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à un souper

Chapitre 1

Erotique
Ce samedi soir, nous sommes invités à un souper à Cavallaire dans le sud de la France par des gros clients amis. Le temps est super, il fait très chaud,que mettre sous cette chaleur accablante ? J’opte pour une petite robe assez courte noire avec un dos nu qui rend fou mon époux. Me regardant dans la glace, je me trouve superbe, très bronzées avec mes yeux brun-noisette et mes cheveux blonds qui recouvrent mon dos nus. Je mets mes sandalettes noires me parfume abondamment avec un Diorissimo et je descends rejoindre mon mari qui ne rate pas l’occasion de me dire exceptionnelle. Nous avons un trajet de vingt minutes pour rejoindre notre endroit de rendez-vous, temps durant lequel mon mari n’a pas arrêté de me tripoter et de me faire mouiller le fond du slip avec sa main indiscrète insinuée sous ma robe, oui, je l’avoue je mouille dés qu’on me touche car j’aime susciter l’envie des hommes de moi.Nous arrivons dans la propriété et Robert notre hôte vient m’ouvrir la porte et c’est très mal à l’aise que je sors du véhicule, la robe relevée très haut et étant obligée de m’extraire du véhicule laissant voire à mon hôte quasi toute mon intimité bordée d’une soierie blanche entachée par le tripotage de ma moitié et la vue de mes seins devant me courber exagérément pour m’extraire de notre coupé. Il m’embrasse sur la joue et me dit à l’oreille que je suis superbe et que le peu de moi qu’il a vu le rend fou ... !Nous sommes une trentaine d’invités et je remarque la valse des hommes dans mon sillage qui essaye de découvrir beaucoup de moi car assise, je réalise que mon entre-jambes est exposé, penchée, que mes seins libres sont visibles, que debout ma croupe de rêve doit ne laisser de glace aucun mâle hormoné.A table, mon hôte s’est arrangé pour être à ma droite, j’ai vu qu’il avait échangé les cartons, et il n’est que compliment à mon égard, ce qui me gêne un peu car je ne suis pas venue seule. Mon verre n’est jamais vide, je commence à être très gaie et à faire moins attention à ne pas être trop indécente. Il m’explique les dernières péripéties de ses vacances avec une main sur ma cuisse dénudée. Je ne sais quelle attitude adopter, je laisse faire, ce qui doit être perçu comme un acquiescement puisque je sens cette main s’aventurer où elle ne doit pas. Je suis gênée et en même temps j’aime ce petit jeu qui me rend moite. Il doit le sentir et il me propose de ma faire découvrir sa collection de papillons. je me sens prise au piège, je dois accepter et lui dit ok, mais nous resterons sages n’est ce pas. Sitôt dans son bureau, il me plaque contre la porte, il m’embrasse avec fouge son genou entre mes jambes. Je suis surprise, j’aime cet assaut viril, je subis avec délectation. Il me dit qu’il me sent chaude, belle et faite pour lui. IL m’étreint, il me guide je ne sais où, il m’incline sur le dossier du guéridon, il relève ma robe, il descend mon slip sur mes cuisses, et il s’enfonce en moi en une fois. J’aime cette prise en levrette où l’homme plein d’envie de moi s’enfonce au plus profond , j’aime ces coups de butoir qui me heurtent bien au fond de moi, je ne résiste pas et je hurle mon plaisir le sentant éjaculer en jets puissants en moi. On reste quelques instants à savourer et nous revenons à la réalité. Il me confisque mon slip en souvenir me dit-il, je ne veux pas, un souvenir plein de mes senteurs me dit-il, je m’avoue vaincue et c’est nue sous ma robe que nous rejoignons le groupe pour terminer ce souper délicieux. La soirée commence, mon époux m’invite à danser, il découvre très vite que je ne suis pas dans mon état habituel, il devine quelque chose, il me pousse aux aveux de cette aventure avec son meilleur client et le salaud m’avoue qu’il n’y était pas étranger. Ce client ayant vu une de mes photos sur son bureau lui avait demandé de me voir en réalité. Mon mari lui avait avoué que je n’étais pas farouche et je comprends maintenant pourquoi Robert était à nous attendre quand on est arrivé et pourquoi mon mari m’avait rendue très aguichante à la sortie de véhicule en me retroussant ma robe. je comprends aussi le sens de cette phrase "le peu de moi qu’il a vu l’a rendu fou" ... ! Je comprends aussi son audace, comme si je faisais partie d’un contrat. Je dis à mon mari qu’il ne perdrait rien pour attendre, il s’était servi de moi et j’allais en profiter. C’est ainsi que quand j’ai été invitée pur une série de slows par un superbe quadragénaire parmi les invités, j’ai tout fait pour l’émoustiller, je me suis collée à lui, j’ai laissé ses mains découvrir la peau nue de mon dos, je l’ai laissé se frotter contre mon ventre, sentant sa verge bandée à fond, verticale, je me suis arrangée pour la masser avec mon ventre, je lui ai proposé une promenade dans le jardin où je me suis donnée à lui contre un arbre, j’ai aimé encore être prise en vitesse par cet homme bien membré. étant aussi en vacances dans la région, nous nous sommes échangés nos adresses pour se revoir. Ce que j’ai surtout aimé, c’est d’avoir volé à leurs snobs d’épouses le nectar de leurs maris ce soir, et de savoir que demain et après demain, c’est en pensant à mon cul et mes nichons, à ma croupe qu’ils exploseront dans leurs épouses, j’en jouis à l’avance.Rentrés dans notre villa, ayant tout avoué à mon époux, il m’a encore prise avec plus de puissance que d’habitude et j’ai jouis plus que d’habitude.J’aime les hommes, j’aime être prise, j’aime voler leurs éjaculations puissantes en moi bien au fond en pensant à leurs épouses trompées.Mon quadragénaire n’a pas attendu longtemps avant de me donner à nouveau rendez-vous dans une magnifique chambre d’hôtel avec vue sur mer. J’ai prétexté une séance de Spa pour m’y rendre. J’ai opté pour un robe fourreau, nue en dessous avec des lunettes de soleil blanches de chez Gucci et des chaussures lassées. Sitôt dans la chambre, un feu d’artifice, l’un sur l’autre vautrés sur le lit nous nous sommes embrassés comme des collégiens, il me caressait au-dessus de la robe, devinant tout de moi, j’avais ouvert sa braguette et je m’occupais de sa virilité avec mes doigts et ma bouche, je le sentais à l’étroit, je luis soufflait de l’air chaud avec ma bouche, de l’ongle de l’index, je grattais, massais sa tige qui était en émoi maximum. Une fois excités comme jamais on s’est donné mutuellement l’un à l’autre, il est entré en moi, j’étais très mouillée, il s’est enfoncé en savourant doucement, s’est retiré puis à recommencé. J’en voulais plus, je voulais me sentir pénétrée à fond, je me suis détachée et me suis mise à quatre pattes sur le lit, les seins pendants, et je lui ai demandé de me prendre en levrette à fond. Que s’était bon, de le sentir plein d’envie de moi, il avait les seins en main, il me pilonnait, j’étais proche de l’explosion, je le sentais bien en moi, il explosa me provoquant un orgasme d’une rare violence que j’en ai crié tout mon bonheur.Voilà un épisode de ma vie ...
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