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Le Souper

Chapitre 2

Erotique
Le Souper 2

Perdue dans mes souvenirs agréables, je n’ai pas entendu la porte de la cuisine grincer, je sursaute. Je ne m’attendais pas à voir James debout, là, qui me domine d’une tête. J’en bégaie :
« Euh, bien sûr. »« C’est agréable de voir une femme sourire. C’est de penser à moi qui vous fait sourire ? »« Euh…. Non, enfin, oui….peut-être. »
je me sens rougir légèrement d’avoir été prise en flagrant délit de pensées osées….James se dirige alors vers l’évier, la tasse à la main. Il se dirige surtout vers moi qui ait les mains dans la vaisselle, au point que j’ai l’impression, (Mais est-ce vrai ?) qu’il cherche à me toucher, qu’il cherche le contact et je sens à nouveau une chaleur incontrôlable m’envahir, cette fois indubitablement quelquepart entre mes cuisses, aucun doute. J’ai de la mousse jusqu’aux coudes. Alors je retire mes bras de l’eau de vaisselle, les essuie sur une serviette et prend la tasse des mains de James, qui se tient maintenant juste à côté de moi. Je le regarde maintenant droit dans les yeux et maintenant, j’en suis presque sûre…. James me dit tout doucement:
« Vous savez que vous êtes bien trop jolie pour faire la vaisselle ?»
Et il enlève un cheveu plein de mousse de mes yeux. Une goutte d’eau savonneuse coule sur mon cou jusqu’à ma poitrine puis dans la zone déboutonnée de son chemisier au fond de mon décolleté ! James prend alors une serviette sur le support et essuie doucement ma poitrine. Il me regarde dans les yeux tout le temps, me caressant doucement les seins. Je suis pétrifiée, à la fois par le geste mais surtout par les souvenirs que ce geste évoque en moi. James remet la serviette sur le support et se retourne à nouveau pour me faire face et, cette fois-ci, il recommence à me caresser les seins, à mains nues.
« Oui, aux Bahamas, il y a cinq ans, j’ai connu une Ursula avec laquelle j’ai travaillé quelques jours... »
Je ferme les yeux et gémis doucement …..
« Ah oui ? Quel genre de travail faisiez-vous avec elle ?  Vous pourriez me montrer ? Enfin…. m’en parler»
La main de James descend en cercles doux vers mon mamelon tout dur maintenant. De petits chocs électriques se déclenchent sous ma taille, dans le bas de mon ventre. Je connais ce genre d’excitation quand un homme s’approche trop de moi, surtout un homme comme James, qui me rappelle tant de souvenirs, de bons souvenirs ……
« Cinéma….. mais je ne veux pas vous embêter avec ça ! »
et James se penche vers moi et m’embrasse, d’abord doucement, puis fougueusement.
« Vous ne m’embêtez pas, James, racontez-moi ! J’ai envie de tout savoir !»
Il me prend un sein dans sa main……
« Ursula, vous savez, Ursula, elle avait une superbe poitrine, 85D ou E, comme la vôtre…. »« Moi, c’est 85E….. » lui dis-je dans un louable souci de compléter l’information de James qui me pince le mamelon droit à travers le tissu. Je sens soudain ma pompe à cyprine s’enclencher violemment quand je sens au même moment sa virilité se frotter contre ma cuisse.
James pousse un petit gémissement alors que ses grandes mains enserrent maintenant mes deux seins et en pincent les deux mamelons. J’en suis maintenant convaincue, James ne s’appelait peut-être pas réellement James à l’époque, quoique…. , c’était peut-être Kevin ou peut-être Sergi, peut importe, parcequ’ils avaient tous de belles mains, mais ces mains, j’ai vraiment l’impression de les connaître. Pour le savoir il me faudrait poursuivre la conversation que l’humidité entre mes cuisses m’intime de poursuivre. Dès lors, hors de moi, et ruisselante de désir, je tends une main vers la braguette du pantalon de James pour en caresser la belle proéminence.
J’ai à peine commencé à estimer la grosseur de l’objet que James me soulève comme un fétu de paille. Par réflexe, j’enroule mes jambes autour de sa taille. Il me porte à la grande table en bois au centre de la cuisine. Il m’assoit sur le bord de la table, il recommence à m’embrasser, il déboutonne fébrilement et complètement mon chemisier. Je soupire alors qu’il tire un de mes gros seins ronds et charnus hors du soutien-gorge et qu’il commence à en sucer le mamelon rosé. Son autre main ouvre sa braguette et il sort sa bite qui bande déjà fort et il commence à se la branler.
Je regarde le membre qui m’est destiné et en soupire d’aise. Je le reconnais, oui, la longueur, la grosseur, et tout le reste que j’avais eu tout le loisir d’examiner de près quand je le prenais en bouche. Des queues comme ça, il n’y en a pas deux pareilles. Là, je la prends en main….. pour l’instant.
« Et cette Ursula, James, elle vous plaisait ? Je ne voudrais pas être indiscrète mais vous aimiez qu’elle vous fasse quoi cette Ursula ? »« Cette Ursula, comme vous l’appelez, elle aimait tout faire. Tout me faire à moi ainsi qu’aux autres partenaires de tous les films que nous avons doublés. Je pourrais vous donner des détails mais….. »« Oh, si, James ! Donnez moi des détails….. J’en ai tellement envie…. Mais pas que des détails…. »« Eh bien, Ursula, Ursula avait une superbe poitrine, comme la vôtre, du reste, et elle adorait l’espagnolette, toute l’équipe y est passée, c’était fabuleux une espagnolette avec Ursula…. »« Une espagnolette ? Qu’est-ce que c’est ? Vous voulez dire, peut-être, une branlette espagnole, non ? »« Oui, c’est ça, une branlette espagnole ! Excusez mon français qui n’est pas parfait ! »« Et qu’aimait-elle faire d’autre, cette Ursula ? »« Elle adorait se faire brouter le mouni. »« Se faire brouter le mouni ? C’est quoi ça ? » « C’est ça, je vous montre. !»
James me regarde alors fixement tout en branlant sa bite devenue énorme comme dans les souvenirs que j’en avais, il me repousse en arrière, m’allonge sur la table, m’arrache ma petite culotte et enfouit son visage dans ma chatte humide. Juste avant de prendre mon pied, j’ai le temps de lui dire :
« Excusez-moi, James, mais si elle était comme moi, elle adorait se faire ‘brouter le minou’ pas le ‘mouni’. Alors broutez moi le minou comme vous le faisiez avec elle ! »
Je sens bientôt des vagues et des vagues de plaisir exquis se répandre dans tout mon corps.
« Oh, James, je vais jouir ! » m’écriai-je en gémissant avec délice et je me mets à trembler de tout mon corps, j’ai des contractions brutales et James lèche mon délicieux jus coulant de ma chatte sur le haut de mes cuisses. L’attente de sa queue me fait mal au ventre et le seul remède que je connaisse pour cette maladie, c’est qu’il me baise.Je lui demande :« James, baise-moi ! »« Tu veux un baiser ? One kiss ? »« No I want you fuck me ! Me baiser ! Je veux que tu me baises, je veux emprisonner, enterrer ta queue profondément en moi et que tu envoies des décharges de sperme bouillants dans mes profondeurs palpitantes. Suis-je claire ? »
James se redresse. J’en profite pour enlever le peu de vêtements qui me reste. Je m’allonge à nouveau sur la table et lui, en se positionnant directement au dessus de moi, il plonge en moi. J’en ai la respiration presque coupée !
« Oh oui ! Putain que c’est bon ! Putain que t’es bonne, Ursula ! Tu n’as rien à envier à l’autre ! »
Je manque lui dire que c’est normal.
« J’espère bien être meilleure ! »Et il commence à entrer et sortir, de plus en plus profond, de plus en plus violemment et de plus en plus rapidement. Je crie de désir, de plaisir satisfait. Je m’écrie :
« Oh oui, James, baise-moi comme tu as dû baiser l’autre Ursula et les autres ! »« Oh oui, c’était une vraie pute, elle aimait ça, se faire enfiler. Tous les mecs du plateau lui sont passés dessus mais c’est moi qu’elle préférait ! »« C’est vrai que t’es pas mal !  Oh oui, James, je vais jouir! Oh mon dieu, jouis avec moi! »
Et James se vide dans ma chatte. Il s’enfonce profondément en moi une dernière fois et fait rugir sa bite qui gonfle et lance ce qui semble être des litres de foutre chaud dans ma chatte encore brûlante.« Woahhhhh ! You’re a fucking bitch ! You’re a volcano ! Une vraie pute! Un sacré volcan»
Oui, je suis un volcan, agité de soubresauts violents. Grognant et haletant, James reste en moi en appréciant les répliques des convulsions de ce volcan qui me semblent durer longtemps, longtemps….. Il se retire enfin mais, toujours en érection, m’invite à le sucer. C’est ça qui me plaisait chez lui, quand on était aux Bahamas, chez lui plus que chez les autres, c’est son endurance, sa capacité à décharger tout en restant chargé ! C’est ce qu’il se plaisait à répéter : moi je peux décharger en restant chargé !Plus disposée que jamais à le sucer, je descends de la table et m’agenouille devant lui. Les jambes écartées, son foutre mélangé à ma mouille coulant le long de mes cuisses, une main qui doigte mon clito toujours excité, je commence à sucer sa virilité toujours palpitante, goûtant les restes de sa semence sur le gland qui s’offre à moi.
« James, vous n’avez rien de plus à me raconter sur votre putain des Bahamas ? Je suis sûre que si ! J’adore vous écouter la bouche pleine ! »
Surpris par ma prise en bouche immédiate, il prend sa respiration et m’avoue :
« Oui, bien sûr ! Elle était capable de tout. Un soir qu’on tournait sur la plage, la scène se terminait avec Ursula couchée sur moi. Je devrais dire, emboîtée sur moi, les lumières se sont éteintes. Les gens nous ont dit que c’était fini et qu’on pouvait y aller. Mais j’ai compris qu’elle voulait rester. On est resté seuls, on était bien, elle grimpait et descendait sur ma bite tout doucement…. Et puis elle m’a demandé ce qu’on tournait le lendemain. Elle n’avait pas regardé le planning…. Je lui ai alors expliqué qu’elle devait se faire… comment on dit en français….. enc.. ? Comment on dit en français ?»
Je lâche sa queue pour répondre à son interrogation :
« Sodomiser, on dit sodomiser . »« Non, un autre mot… en quelquechose.. ? »« Enculer, peut-être ? »« Oui, c’est ça…. In her asshole…. Enculée par Kevin.  Vous savez ce qu’elle a fait ? Elle a saisi son téléphone et elle a appelé Kevin qui picolait avec les autres, il devait être onze heures du soir et elle lui a dit :« Kevin, j’ai besoin de toi, maintenant, faut qu’on répète pour demain…. Oui maintenant…. Oui avec gel et préservatif….. oui tout de suite. » Alors moi  je lui ai dit que j’allais les laisser répéter…. Mais d’un air qui n’admettait pas la discussion, tout en me souriant, elle m’a dit :« Mais mon chéri, t’es pas bien là, avec moi ? T’aimes pas que je me ramone la chatte avec ta grosse queue ? Alors toi tu bouges pas ! T’attends ! » Alors, j’ai attendu, Kevin est arrivé, il l’a…. enculée. C’était la deuxième fois que je participais à une double pénétration et je peux vous dire qu’elle a aimé, la salope ! »
Je manque de m’étouffer en écoutant l’évocation de cette double pénétration. Je déglutis, sors sa bite de ma bouche, tourne ma langue autour de son gland, je le lèche avec soin, avec délicatesse.
« Hummm, c’était vraiment une sacrée salope, cette Ursula ! »« Et je pourrais vous en raconter de bien pires…. »« Non, ce n’est pas la peine, James. »
Je m’arc-boute, James gémit et pousse ses hanches vers l’avant pour m’ inciter à lentement prendre sa longue tige dans sa bouche humide et avide qui bave de partout. En le caressant depuis la base de sa queue, je la prend toute dure jusqu’au fond de ma gorge. C’est là que j’ai la preuve que c’est bien lui qui m’a tant fait jouir il y a cinq ans, j’aperçois dans les poils de son pubis les lettres ‘J’ et ‘B’ tatouées clairement ! Alors je n’hésite plus, je reprends sa queue en bouche, de plus en plus profondément pendant un long moment. Puis je la retire de ma bouche et , tout en caressant sa tige palpitante, je commence à sucer ses couilles qui ne demandent que ça.
James émet des grognements sourds et gémit puissamment alors que je suce doucement ses boules dans ma bouche, apaisant temporairement le besoin de libérer la grande quantité de jus bouillant prêt à gicler. Je doigte encore ma chatte humide et James se penche pour me caresser un téton. Je commence à me doigter furieusement. Je gémis, James me redresse et me pose doucement sur la table, tête en avant. Il monte par-dessus moi et écarte mes jambes et s’accroupit pour enfouir son visage dans ma chatte. C’en est trop pour moi, je me mets à trembler, à miauler alors que James mord mon clito et, en un rien de temps, mes jambes sont enroulées autour de son cou et je jouis à nouveau violemment sur son visage. C’est de plaisir que je me mets à pleurer pendant que je jouis abondamment sur son visage. Il se redresse et j’ai tout de suite compris. C’est lui qui enfonce son pieu raide dans ma bouche et, sans réagir, sans avoir même envie de réagir, j’écoute les râles contenus de mon partenaire accompagnant les spasmes libérateurs de sperme chaud et salé envoyé dans le fond de ma gorge. J’avale tout. C’est délicieux. Il s’allonge à côté de moi sur la table….Le calme règne à nouveau dans le restaurant….. Un long moment de plaisir partagé…. Je caresse ses épaules. Oui, bien sûr, c’est lui. C’est étonnant qu’il ne m’ait pas reconnu. Pas grave, il m’a baisée comme dans mes souvenirs. Je lui propose de le laisser quelques minutes pour aller me rhabiller….Je pars aux vastes toilettes du restaurant. J’essuie ce qui doit être essuyé, je me refais une beauté rapide et je retourne à la cuisine….Il n’y a personne à la cuisine… Je me précipite vers la salle du restaurant…. La salle est rangée impeccablement. J’ai l’impression qu’il ne s’y est rien passé. Il n’y a plus de cabriolet garé devant le restaurant. James est parti. Mais est-il jamais venu ?Je me pince, j’ai dû rêver…. C’est ça ! J’ai rêvé… Tous mes souvenirs sont remontés à la surface mais, Monsieur Proust, c’était quoi ma madeleine ? Je m’assois derrière le comptoir sur une chaise haute pour appeler mon taxi. De là, j’aperçois un bout de papier sur la première table. J’ai dû l’oublier en faisant la salle toute à l’heure. Je vais pour le ramasser et le mettre à la poubelle. Je m’approche, constate que la porte vers l’extérieure n’est pas complètement fermée. Le bout de papier n’est pas un bout de papier, c’est une carte de visite professionnelle, un nom dont les initiales sont J et B, bien sûr ! Un n° de téléphone, je regarde derrière, il est écrit : « Cécile, tu es bien meilleure qu’Ursula ! N’attendons pas cinq ans ! »En allant fermer la porte pour de bon, je me dis :« Promis, je n’attendrai pas cinq ans ! »
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