Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 34 J'aime
  • 3 Commentaires

Sous la chaleur des tropiques

Chapitre 1

1-Délices du petit matin

Voyeur / Exhibition
Je quitte la douce chaleur de Caroline encore endormie et glisse jusqu’à la terrasse baignée du soleil matinal de ce début de journée tropicale.Nous sommes de retour dans la Polynésie de notre adolescence, et sans doute... pour toujours.Je retrouve Michelle, m’accroche à son cou, l’embrasse amoureusement, mes mains posées sur ses fesses nues que je caresse du bout des doigts. Je ne porte qu’une petite chemise courte, Michelle est nue, selon notre règle: moi et Caroline seulement, décidons de sa tenue. Pour l’instant, je m’abandonne à sa bouche mielleuse, ses doigts sont partout sur moi, et sa queue digne d’un étalon, dressée contre mon ventre.Mais Michelle est loin d’être un mâle, encore moins un étalon. Michel est devenu Michelle, selon le désir de Caroline, sa femme qui me l’a offert en esclavage. Les apparences sont trompeuses, mais qu’on se rassure, pour son plus grand bonheur, Michelle a droit à toutes nos attentions, les plus délicates. Pas de tâches ménagères, de travaux pénibles, rien de ce qui ferait d’elle, normalement, une esclave domestique. Son esclavage consiste en une seule contrainte: être mon jouet sexuel avec pour unique devoir l’obéissance sans conditions à mes désirs, en mon absence, à ceux de sa femme, ou de toute autre personne féminine à qui elle serait confiée.
Nos règles sont toutes simples:
— Aucune violence, d’aucune sorte. — Aucune domination masculine. — Obéissance totale de Michelle à ses maîtresses. — Transformation de Michel en femelle équipée d’une queue dont la seule utilité est l’extraction manuelle ou mécanique de sa semence. — Aucune intimité ne lui est autorisée. — Aucune jouissance, son seul plaisir étant celui d’être l’objet sexuel de ses maîtresses.
Elle a posé ses mains sur mes fesses, délicatement, glissées sous ma chemise. Je mords ma lèvre pour ne pas céder au plaisir... Que des caresses légères... Demain nous aurons la complicité, de Raiana, une jeune femme des îles et Raphaël, son compagnon métissé, androgyne. Je saisis les couilles de mon esclave, les serre...
— Elles sont déjà gonflées, et pourtant, hier soir, tu as été une bonne laitière !
C’est maintenant une habitude qui est devenue un véritable rite : la traite du soir après d’innombrables moments d’excitation. Nous ne comptons plus les montées de jus journalières jusqu’à la délivrance du précieux lait. Quelles que soient nos occupations, Michelle doit régulièrement se présenter devant l’une d’entre nous, la queue dressée, pour la pesée et le travail de ses belles mamelles.
Ces journées on fait de Michelle une véritable vache laitière et nous n’aurions pas pensé que cela lui puisse l’exciter autant !
En prévision des futures présentations à nos nouvelles amies, nous avons mis en place le principe de la stabulation libre, comme dans certaines fermes, où les vaches viennent d’elles-mêmes se faire traire quand elles sont pleines: pour mon esclave, cela signifie se présenter devant l’une d’entre nous, prendre la pause qui convient, et demander que l’on veuille bien vérifier si elle est pleine. Elle a également le devoir d’afficher sa tige parfaitement dressée, avec une tétine saturée de mouille, et ainsi de prouver qu’elle est en chaleur.
La première giclée est toujours rapide, mais les suivantes demandent plus d’attention. Nous nous sommes accordées sur le fait que ses mamelles doivent pendre exagérément sous son cul pour mériter d’être vidées. Dans le cas où l’une d’entre nous n’est pas satisfaite, Michelle a droit au fouet, avec doigté, délicatesse. Installée sur la table en grenouille, les cuisses grandes ouvertes, ses couilles sont la cible, mais notre gourmande aime écarter ses fesses à pleine main pour que son petit trou en profite.
— On va laisser dormir Caroline. En attendant chérie, je vais les allonger, les faire descendre pour faire plaisir à ta petite femme, tu sais combien elle aime que je m’occupe de tes couilles ? — Oui, Alice... — Alors écarte mieux les cuisses chérie ...
Nous avons une belle collection de bagues et de poids de toute sorte. Michelle porte jusqu’à six kilos pour de courtes périodes. Je constate que ses couilles se sont "musclées", et acceptent des charges de plus en plus lourdes, ce qui fait la curiosité de nos amies. J’ai quant à moi une nette préférence pour le humbler, tant il y a de jeux possible avec. Nous en avons deux, un dédié à la traite, puisqu’elle ne peut le porter qu’à quatre pattes, tire ses couilles en arrière, et les offre pour un travail aux doigts, ou éventuellement au fouet. Il permet également de brancher sur son pis une petite trayeuse électrique. Joindre l’utile à l’agréable, voilà ce que je répondrais si l’on me demandait pourquoi je fais une telle fixation sur cet endroit particulier de l’anatomie de ma Porcinette. Mais je n’ai pas précisé. Porcinette, c’est le petit nom que nous avons attribué à ma cochonne. ;)
L’utile, c’est pour son bien. Ses boules correctement travaillées, c’est l’assurance d’une queue bien dressée, et la certitude d’une bonne qualité de semence, en quantité. Rien de plus frustrant qu’une récolte minable qui aura du mal à satisfaire sa gourmandise. L’agréable, c’est pour celle qui a en mains ses lourdes mamelles, l’occasion d’une véritable relaxation aux vertus anti stresse. On peut rester des heures à les malaxer, chacune à son tour tout en bavardant entre filles !
Finalement, c’est un anneau de quatre kilos que je lui fais porter.
— Tu as envie ? — Oh oui, s’il te plaît !
Son ventre est tout rond. J’adore exhiber ainsi sa drôle de féminité, quand sa vessie est pleine. Je caresse sa rondeur, appuie légèrement...
— Retiens-toi, hi, hi, hi, retiens-toi ma bonne pute, tu vas attendre Caroline pour te vider !
Cette règle est assez nouvelle, elle fait partie des petites "améliorations " de notre méthode d’éducation de Porcinette: l’interdiction pour elle de pisser sans en avoir reçu l’autorisation, même si elle est à l’extérieur.
— Moi, j’ai envie ! Ca tombe bien, tu sens trop le savon, viens.
Nous avons compris depuis longtemps l’utilité du bidet, abandonné aujourd’hui dans les salles de bains. Je vous avoue que l’usage que nous en faisons est particulier. Je m’assois et soulage longuement ma vessie après avoir pris soin de fermer l’évacuation.
— Si tu savais comme ça fait du bien !
Michelle est debout, la tige magnifiquement levée à quelques centimètres de mon visage. Pendant que je pisse bruyamment, je sers ses couilles gonflées, caresse son ventre en appuyant légèrement...
— Attention... retiens-toi, hi, hi, hi !
Elle écarte docilement les cuisses pour s’abandonner au plaisir de m’offrir ses couilles. Au bout de sa queue coule un long filet de plaisir...
— Fais goûter ta mouille......
J’ouvre la bouche, tends la langue... Michelle y essuie adroitement sa tétine... un délice, de la pure gelée royale ! Je plonge une main dans la cuvette, la glisse dégoulinante entre ses jambes, trouve le sillon des fesses que Michelle, ayant compris où je veux en venir, écarte...
— Gourmande, comme dans du beurre. J’espère que tu es propre, goûte ton cul ! — Hum... c’est bon... — Prends ta bite et branle-la sur ma langue, je veux ta mouille, que ta mouille, pas ton lait !
Je dois vite arrêter, voyant qu’elle ne pourra pas tenir bien longtemps. Je me lève, lui offre ma fente, puis mon cul à nettoyer, avant qu’à son tour elle s’installe sur le bidet. Ma cochonne est experte quand il s’agit de lécher un cul. Elle sait ouvrir délicatement les fesses pour accéder à l’objet de sa convoitise, lécher la raie sur toute la longueur, la langue bien à plat, puis dégager sa cible. Je suis fier de voir qu’elle a bien appris, et que c’est maintenant pour elle une véritable récompense, pour nous une douce excitation. Elle est devenue addict, et aime montrer son plaisir. Il faut dire que sa langue est habile. Si Michelle n’est pas autorisée à utiliser sa queue pour nous donner du plaisir, sa bouche sur notre fente est une véritable merveille !
— Écarte..... mieux que ça... Voilà... la petite truie va se laver... bon, je t’autorise à pisser, comme tu sais faire...
Comme Michelle sait faire, c’est comme je lui ai appris. Elle tient son pis contre son ventre et s’arrose attentive à bien se mouiller. Sa vessie est tellement pleine que le jet puissant n’a aucune difficulté à atteindre son visage. Elle me sourit, visiblement heureuse de me montrer son plaisir.
— Stop, le reste sera pour plus tard !
Frustration totale...
— Caresse-toi, branle ta queue pisseuse, et avec l’autre main, joue avec la pisse.
C’est à ce moment-là que Caroline nous surprend...
— Oh, je vois que vous ne m’avez pas attendue ! déclare-t-elle en riant...
Je me redresse, l’embrasse, Michelle nous sourit...
— Regarde ta salope de mari, elle te plaît chérie ? — Ce que tu ne ferais pas pour me plaire ! — Applique-toi Michelle, fais-nous plaisir, souille-toi, étale comme il faut tout ce jus, fais-le pénétrer dans ta peau...
Michelle n’attend pas mon autorisation pour finir de vider sa vessie, elle se lâche bruyamment. Caroline l’enjambe, fait de même, embrasse son mari sur la bouche et s’éclipse en lâchant:— Je vous aime. Je vais faire le café.
Diffuse en direct !
Regarder son live