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Chapitre 1

Hétéro
Il est huit heures, lorsqu’en sortant du vestiaire, je croise Maud, la secrétaire de direction qui m’informe que Madame Elana souhaite me voir à neuf heures dans son bureau.Christiane a repris la gestion de l’entreprise, après le départ en retraite de son père. C’est une femme mature entre quarante-cinq et cinquante ans. Comme on dit entre nous à l’atelier, c’est une belle plante, mais venimeuse.Etant divorcée, elle passe tout son temps au bureau. Peu confiante, elle a, petit à petit, désiré tout contrôler. Elle s’est mise à surveiller nos faits et gestes. Sa dernière trouvaille a été d’équiper tous les chefs de chantiers extérieurs, d’un téléphone portable avec l’application face time. De cette manière, elle peut contrôler visuellement que nous sommes bien présents sur les chantiers et vérifier leurs avancements également.
Moi je suis entré dans cette entreprise il y a six ans. Je sortais d’une période de chômage difficile, ayant les charges d’un couple avec enfants, j’ai été très heureux de retrouver ce job. Même si, il est loin de chez moi, je me suis bien intégré et le boulot me plaît bien. Je suis responsable de chantiers, étant appelé à superviser les équipements à l’atelier ou bien les mises en œuvre et les mises en route chez les clients. C’est Monsieur Elana qui m’a embauché à l’époque et je connais peu sa fille. Elle passe quelquefois à l’atelier, un peu hautaine, elle nous salue quand même. Du peu que j’ai pu voir, c’est une femme classique. Habillée souvent de robes larges dissimulant ses formes, chaussures basses, son visage est joli, mais ses traits sont marqués, de plus elle a une coupe de cheveux à la garçonne blanc cendré qui la durcit encore un peu plus.Je demande à Maud si je dois me changer, car je viens de mettre mon bleu de travail.
— Non Thomas, je pense que tu peux y aller comme ça. Me répond-elle avec un large sourire.
Il est maintenant neuf heures et je frappe à la porte de la directrice. Je suis un peu anxieux, car c’est la première fois que je suis convoqué de la sorte. Une voix féminine m’invite à entrer.Je pénètre dans le bureau, qui est assez vaste. Assise à son bureau, Madame Lana m’invite à m’approcher. Il y a deux fauteuils placés face à son bureau. Alors que je vais pour prendre place, elle me demande de rester debout.
Un lourd silence s’installe dans le bureau. Elle pivote son siège, pose une tasse sous le percolateur disposé sur une console, et l’enclenche. Le vrombissement de la machine à café vient stopper ce silence pesant. Je remarque pendant ce moment que Christiane n’est pas vêtue comme d’habitude.
Je ne peux voir que le haut de son corps, mais déjà il y a une grosse différence. Elle porte un chemisier noir transparent, qui laisse voir son soutien-gorge noir également. Lorsqu’elle reprend place face à moi, je peux effectivement distinguer les deux bonnets noirs qui sont aussi transparents, laissant ainsi deviner au travers, les deux taches sombres formées par ses tétons. Je découvre une femme très sensuelle, à l’opposée de son image habituelle. Je suis troublé de découvrir ainsi sa très belle poitrine, et je ne sais pourquoi, je baisse la tête comme un enfant surpris à faire une bêtise.
Posant sa tasse sur le bureau, elle me regarde droit dans les yeux et prend la parole.
— Bonjour Thomas. Je suis heureuse de vous voir.
Je dois l’avouer, je suis un peu rassuré par ce préambule.
— Nous nous connaissons peu, mais jusqu’à ce jour, j’étais plutôt satisfaite de votre travail.

Je ne comprends pas pourquoi ‘ jusqu’à ce jour’.
— Oui, vous savez que depuis un petit moment, nous subissons des vols d’outillages. Ces vols sont assez préjudiciables à l’économie de l’entreprise.
Non, elle n’est quand même pas en train de me soupçonner de ces vols. Alors que j’allais m’exprimer, elle me coupe en haussant le ton.
— Taisez-vous ! laissez-moi terminer ce que j’ai à vous dire, après, vous pourrez vous expliquer.
Je suis décontenancé, comment peut-elle imaginer une telle chose, mais sous la nature sévère de son intonation, je me résous à garder le silence.
— J’ai dû donc procéder à des vérifications dans les casiers du personnel. Donc il y a deux jours, le soir après le départ de tous les employés, j’ai ouvert tous les casiers. Vous ne le savez sûrement pas, mais ces casiers fermant par un code à quatre chiffres personnels, peuvent être ouverts avec un code de sécurité que je suis la seule à avoir. Cette fouille m’a permis de découvrir l’auteur des vols ! J’ai donc déposé plainte contre cet employé malhonnête et il sera bientôt convoqué par les gendarmes pour répondre de ses actes. Mais comme vous le savez, il ne s’agit pas de vous.
Je libère ma respiration contenue depuis quelques secondes. Mon cœur décélère et mon corps se détend doucement. J’ai eu une sacrée frousse. Toutefois, je sens qu’elle n’a pas terminé son intervention.
— Alors vous vous demandez pourquoi je vous ai convoqué ?
Elle sourit et de sa main droite, elle ouvre un tiroir, puis attrape des magazines qu’elle dépose sur son bureau, face à moi.Je sens mes jambes fléchir sous le poids de mon corps. Je suis atterré en prenant conscience de la situation dans laquelle je me suis fourré. J’étais tellement accaparé par cette histoire de vol que je n’ai pas imaginé ce qu’elle avait pu découvrir d’autre dans mon casier.La vérité est là face à moi, étalée devant mes yeux. Quatre revues pornographiques, aux couvertures plus obscènes les unes que les autres. Debout devant la directrice, je baisse les yeux, je voudrais disparaître tellement j’ai honte. Elle reprend la parole.
— Eh bien, Thomas, voici ce que j’ai découvert dans votre casier. J’avoue que je ne m’attendais pas à cela. Je peux dire que j’ai été très étonnée même. Je vous voyais comme un garçon lisse, sans réellement de défauts, beau gosse mais sans intérêt, un peu insipide, mais là, j’admets que je ne vous regarderai plus de la même manière. Qu’avez-vous à me dire au sujet de ces revues planquées sur votre lieu de travail ?— Je suis désolé, Madame, ça n’aurait pas dû se passer.
Elle me rétorque brutalement.
— Ce n’est pas ma question !
Ne comprenant pas où elle veut en venir, je lui demande ce qu’elle veut savoir.
— C’est simple, ce que je veux savoir. Avez-vous utilisé ces revues au travail ?— Toujours la tête baissée, je reconnais que oui.— Et dans quel endroit ?— Aux toilettes.
Puis soudain, l’interrogatoire prend une tournure que je n’attendais pas !
— Très bien, j’apprécie votre honnêteté. Maintenant, je souhaiterais savoir laquelle de ces quatre revues vous préférez ?
Je suis décontenancé par la question. Dans ma tête, ça bouillonne. Cherche-t-elle à m’humilier encore plus ? Je lui réponds que c’est un peu gênant. Mais son regard ne me laisse pas envisager de ne pas répondre.
— Madame, je ne souhaite pas vous manquer de respect.
Elle me coupe en me confirmant qu’il n’est absolument pas question que je lui manque de respect et que justement dans cette perspective lorsqu’elle me pose une question, elle exige une réponse.Je regarde alors les quatre revues aux titres évocateurs. ’Sévère Maîtresse’, ’Ma femme m’humilie devant son amant’, ’Esclave de ma boss’, ’Dressage’.
— J’ai une petite préférence pour Dressage...— Je ne veux pas être médisante, Thomas, mais vous avez des goûts plutôt orientés en matière de sexualité. Je constate que vous aimez les femmes dominatrices. Une question. C’est un fantasme ou est-ce déjà une pratique pour vous ?.— Non Madame, ce n’est qu’un fantasme.
Alors que je suis toujours debout, Christiane se lève, attrapant sa tasse de café, elle fait le tour du bureau et s’appuie dessus. Je découvre sa tenue complète. Une jupe en cuir noir, ses jambes sont gainées d’un voile en résille noir finissant sur des escarpins noirs. Avec son haut noir transparent, elle est terriblement sexy. De plus, la position qu’elle a prise devant moi est assez subjective. A cet instant, il arrive alors un événement dingue, cette vision et la teneur de cet entretien me provoquent une érection incontrôlable. Etant en bleu de travail, plutôt moulant, on peut maintenant distinctement voir la bosse formée par ma verge tendue.
— C’est quoi ça, Thomas ? Me crie Christiane en attrapant la grosseur déformant mon vêtement. Qui t’a autorisé à bander devant moi. Bien sûr la pression de la main ne fait qu’amplifier mon érection.— Eh bien tu es plutôt bien monté. Je vais t’avouer que j’ai parcouru tes revues et elles ont réveillé en moi un désir inconnu jusqu’alors, surtout celle « Esclave de ma Boss ». Je l’ai enviée cette salope. J’ai aimé la voir humilier son employé docile. Tu t’es déjà masturbé sur celle-là ? Finit-elle en buvant son café fumant.
Mon excitation étant à son comble, je me dis que je peux peut-être réaliser un fantasme qui me hante depuis mon plus jeune âge. Je décide de rentrer dans son jeu.
— Oui Madame, souvent. J’avoue que je n’osais pas vous le confier tout à l’heure, mais c’est ma revue préférée aussi.— Je te préviens, c’est la dernière fois que tu me mens ! Bon, tu aimerais te branler dessus maintenant ?— Oui madame, j’adorerais.— OK, sors ta queue.
Je m’exécute, je remonte la fermeture éclair de mon bleu, une fois assez ouverte, je plonge ma main dedans. Christiane n’en perd pas une miette, son regard brillant est fixé sur ma main qui ressort ma bite à l’air libre. Il faut reconnaître que j’ai rarement bandé aussi fort. Ma queue est énorme.Madame saisit la revue et l’ouvre. Les images sont explicites, montrant une belle mature au bureau commençant à échauffer un jeune employé.Sur l’ordre de Madame, je me branle. Mais mon regard est plus tourné vers ses seins qui pointent au travers du fin tissu, ou encore sur ses cuisses qui s’ouvrent imperceptiblement, faisant ainsi remonter sa jupe en cuir au-dessus de ses bas.Elle s’en aperçoit, et décide de reposer la revue. De sa main gauche, elle ouvre son chemisier, et commence à se caresser les seins. De son autre main, elle attrape sa tasse et m’ordonne.
— Bien Thomas, nous sommes partis sur de bonnes bases. Je vais te confier un secret. J’aime mon café avec une bonne dose de crème. Elle place sa tasse à la hauteur de ma bite juste en dessous de mon gland.— Je veux que tu craches dedans, et avant qu’il ait le temps de refroidir, j’ai horreur du café crème froid !
Elle m’observe alors que je me branle devant elle, ses doigts maltraitent ses tétons, les pinçant ou les étirant. Elle écarte encore plus les cuisses et je peux distinctement voir sa culotte. Sa mouille détrempe le tissu noir, en laissant une trace plus sombre et brillante.Je sens ma queue se tendre, une pression remonte le long de la hampe, prémisse de mon éjaculation. Je décide de prévenir Madame. Elle penche la tasse de façon à placer mon gland dedans et m’ordonne de gicler. J’ouvre les vannes et de gros jets épais et blanchâtres explosent dans la tasse. Ma crème blanche finit par recouvrir le liquide noir.
— Tu as aimé m’obéir ?— Oui madame, j’ai aimé.
Portant la tasse à sa bouche, elle la dépose sur sa lèvre inférieure, et doucement l’incline. J’observe et vois mon foutre glisser entre ses lèvres et disparaître. Une fois la tasse vide, elle la pose et passe sa langue sur les contours de sa bouche avec un regard pervers. Elle me regarde puis m’ordonne de m’agenouiller à ses pieds.J’ai le visage à la hauteur de son pubis. Elle ôte sa culotte, ouvre très largement les cuisses. Je vois alors sa vulve brillante de cyprine. Elle est ciselée par deux grandes lèvres proéminentes, mais assez fines. Comme une faille terrestre, cachant en son sein, une source volcanique. Son bouton est dur et parait si vulnérable. Malgré ma jouissance, je bande encore.Elle attrape mes cheveux et me force. Mon visage s’enfonce dans son entrejambe et ma bouche se plaque sur sa vulve.
— Bouffe ma chatte et fais-moi jouir, c’est un ordre !
C’est d’abord le goût de sa mouille qui envahit mon palais. Son jus est fort et épais. Puis ma langue part en exploration, pénétrant cette muraille de chair incandescente. Je la transperce jusqu’à sa source.
Elle gémit, puis crie. Elle s’essuie sur mon visage le recouvrant de son liquide intime poisseux. Et elle finit par jouir dans ma bouche.Après avoir repris nos esprits, Madame me dit qu’elle a décidé de faire de moi son soumis et me demande si je suis d’accord pour l’être. Je lui réponds sans hésitation que je le suis. Mais je n’imaginais pas à ce moment toutes les répercussions que cet accord allait avoir sur ma vie.
Madame me dit que dorénavant, je devrais lui obéir sans restriction. Que si je n’obéis pas, je serai puni, que je dois absolument garder la confidentialité de cette relation et que cet engagement est réciproque.
Elle a insisté sur le fait que je sois toujours joignable sur mon téléphone professionnel ainsi que mon oreillette Bluetooth, et qu’elle en usera à sa guise.Avant de quitter son bureau, elle me tend les revues avec un dernier commandement.
— Interdit de te branler sans que je te l’autorise. C’est clair ?— Très clair Madame...
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