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Sous influence

Chapitre 3

Hétéro
Je stationne ma voiture sur le parking du marché, proche de la maison. J’habite une maison dans une petite ville de province.
Je suis fatigué et contrarié par les abondantes taches blanches de foutre qui salissent mon pantalon autour de la braguette. C’est dans cet état que je rentre chez moi.
Et là, je suis surpris par Isabelle qui est assise dans la cuisine. Bien sûr son regard se porte sur mon entrejambe souillé et dans un réflexe stupide et honteux, j’essaye maladroitement de le cacher. Isabelle me regarde étrangement.
J’avais complètement oublié qu’elle était venue donner un coup de main à Élisa pendant mon absence. Isabelle est ma belle-mère. J’ai perdu ma mère jeune dans un accident de voiture et mon père après quelques années a refait sa vie avec elle. Elle a toujours été très prévenante vis-à-vis de moi et nous avons lié ensemble des sentiments forts et sincères. Toutefois, Isabelle restait pour moi une icône. Moins âgée que mon père, c’était une jeune femme très belle et sensuelle. Des formes là où il fallait. En vieillissant, cette belle plante de 55 ans est devenue une femme mature voluptueuse. Mon père étant tout le temps accaparé par ses activités personnelles, Isabelle vient souvent chez nous pour occuper son temps libre et ainsi profiter de sa bru et de ses petits-enfants. Lorsque je suis en déplacement professionnel, elle dort chez nous dans la chambre d’ami.
J’étais face à elle rougissant, lorsqu’elle me dit :
— Bonjour Thomas, tu as l’air anxieux et fatigué. Pourquoi me caches-tu ces taches sur ton pantalon ? Que se passe-t-il mon chéri ?

Isabelle a toujours été à mon écoute, dans la protection et elle a été de toutes mes confidences, mêmes les plus intimes.
Je suis tellement surpris que je décide d’éviter la question, je vais dans la chambre et referme la porte derrière moi.
M’asseyant sur le lit le cœur battant, je suis comme un gamin qui s’est fait prendre la main dans la culotte. Je suis abattu en prenant conscience que je ne vais pas pouvoir gérer la situation. Devenu le soumis de Christiane et je ne me vois pas mentir à tout le monde alors que je suis à la merci d’une dominatrice.
Isabelle frappe doucement à la porte.
— Chéri dis-moi ce qui ne va pas, tu peux me faire confiance ça restera entre nous tu as ma parole. J’ai vu les taches sur ton pantalon, tu as une maîtresse... Tu peux me le confier je ne le dirais pas, mais je t’en supplie ne garde pas un secret trop lourd, car il va te bouffer et tu prends le risque de tout perdre ... ta femme et tes enfants...

Isabelle a toujours su m’aider dans mes épreuves passées et elle m’a presque convaincu. Je suis déstabilisé par sa proposition. Je vais dire à ma belle-mère, que j’ai trompé Élisa, et qu’en plus je suis le jouet érotique de ma patronne. »

Je suis pris au dépourvu et je décide d’adapter les faits pour qu’ils soient plus acceptables.
J’ouvre la porte et explique à Isabelle que ce matin, j’ai été convoqué par ma Patronne, pour m’apprendre que plusieurs clients s’étaient plaint de moi et qu’elle allait me licencier pour fautes lourdes de qu’en plus elle me ferait une mauvaise réputation dans le métier. Je l’ai alors supplié de me garder que j’étais prêt à faire tout ce qu’elle veut. Alors elle m’a proposé de me garder si je devenais son esclave sexuel, et j’ai accepté.
Isabelle, stupéfaite, me regarde alors que je lui livre mes frasques. J’évite de lui donner trop de détails salaces sur la matinée, par contre, je lui parle de la séance au restaurant avec la serveuse Eliane.
Elle est stoïque, mais réagit lorsque je lui parle de Christiane et de son chantage, lui expliquant qu’avec le téléphone, je suis dans l’obligation d’obéir à ces ordres. A la fin du récit, je la sens très troublée et inquiète.
— Merci Thomas pour m’avoir fait confiance et de m’avoir avoué ce secret. Maintenant, il faut absolument protéger ta famille et il ne faut absolument pas qu’Élisa l’apprenne. Ça foutrait en l’air ton couple. Ta femme rentre avec les enfants dans une demi-heure, tu vas aller prendre un bon bain chaud histoire de te détendre avant qu’elle rentre. Surtout tu ne parles de ça à personne d’autre. Tu laisses ton pantalon et tes dessous sur le lit je les laverais discrètement à l’occasion. Puis elle quitte la chambre.

J’obéis à Isabelle et me déshabille, dépose mon pantalon et ôte mon boxer. Bon sang, il est rempli de grosses taches de sperme encore frais et en plus il sent très fort la bite. J’ai honte... alors je le glisse dans une des poches du pantalon souillé et enfile mon peignoir.

L’eau chaude est réparatrice, je suis dans un cocon chaud et je lâche enfin prise en m’assoupissant dans le bain. Alors que je suis dans les bras de Morphée, je suis réveillé en sursaut en sentant une forte étreinte sur ma bite. C’est Elisa ma femme qui est rentrée du boulot et qui vient me taquiner.
— Salut mon amour » me dit-elle sensuellement « Tu as l’air fatigué, ça tombe bien parce que les Anglais viennent de débarquer. Conclue-t-elle en riant, puis elle quitte la salle de bain.

Quelques minutes plus tard, je sors du bain, enfile mon peignoir et m’essuie. Frottant alors mon épaule, je sens une vive douleur. Sortant de la pièce, je me tiens machinalement mon épaule. Isabelle qui sort de sa chambre me voit ainsi... Elle me murmure à l’oreille.
— Qui a-t-il tu as l’air de souffrir !! Je lui explique qu’effectivement c’est douloureux. Isabelle me fait rentrer dans sa chambre. Elle ouvre sa trousse de soins et en ressort un tube. — Eh bien elle a dû être brutale pour que tu aies mal comme ça. Tiens applique-toi cette crème, tu vas voir ça devrait être efficace, ah au fait je me suis occupé de tes affaires sales, heureusement qu’Élisa n’a pas vu ça, elle aurait tout de suite compris la situation. Puis elle sort.
Isabelle ma belle-mère toujours à mes petits soins sort un tube de crème. J’enduis mon épaule avec.
La soirée se déroule sans encombre, nous dînons tous ensemble, mais je n’ose pas trop regarder Élisa dans les yeux, de peur qu’elle perçoive toute la culpabilité qui s’y trouve. Isabelle, elle le voit bien et s’efforce de créer une situation conviviale. Puis profitant de l’absence de ma femme, elle me demande si j’ai moins mal. Je confirme. Puis elle me dit d’aller en remettre un peu. Le tube est dans sa chambre toujours dans sa trousse de soins. Je sors de table et me dirige vers la chambre de ma belle-mère.
J’entre, tout est rangé impeccablement. Isabelle a mis quelques effets dans l’armoire. Mais sa valise est posée sur une chaise. Sur une des tables de chevet est posée sa trousse. J’en sors le tube puis m’asseyant sur le bord du lit, je me crème à nouveau. C’est dingue comme c’est efficace, car la douleur a presque disparu. Pendant que j’étale le produit pour le faire pénétrer mon autre main posée sur le drap à glisser sous l’oreiller. Je sens alors un bout de tissu. Je le tire et découvre mon boxer souillé de nombreuses taches blanchâtres de sperme. Une forte odeur également s’en dégage.
Je suis assez surpris de le trouver là. J’avais imaginé qu’elle l’aurait laissée dans la poche de mon pantalon en attendant de le laver. Pourquoi l’avoir sorti ? Il faut avouer qu’elle n’a pas eu peut-être trop le temps de réfléchir à une meilleure planque. Il est vrai qu’Élisa ne viendrait pas voir sous l’oreiller de sa belle-mère ce qui s’y cache.
Je range tout et retourne dans le salon. La fin de soirée se passe sans encombre et nous allons nous coucher. Heureusement qu’Élisa a ses règles ce soir, car je me sens tellement coupable qu’elle aurait certainement perçu quelque chose si nous avions baisé.
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