Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 51 J'aime
  • 0 Commentaire

Sous le soleil exactement

Chapitre 3

Sylvia et Sarah

Erotique
Alors que je termine le service de midi, j’aperçois depuis la terrasse du restaurant deux silhouettes féminines qui bavardent calmement vers l’entrée de l’hôtel; il ne me faut pas longtemps pour deviner qui elles sont : Sylvia et Sarah ! Je détourne le regard, j’ai les jambes qui flageolent et me demande ce qu’elles peuvent bien se raconter. Le soir venu lorsque je rentre chez moi, Sarah écrit à ses parents. Je vais faire ma toilette avant de me mettre au lit ; elle vient me rejoindre peu après. Elle me prodigue quelques caresses qui ne laissent pas de doute sur ses intentions ; je me demande cependant si elle va aborder sa rencontre avec Sylvia et quand ? Alors qu’elle me lèche consciencieusement le gland, elle me dit innocemment :
— Ce midi j’ai discuté un bon moment avec Sylvia ; elle est très agréable et je regrette de ne pas l’avoir mieux connue avant.
Je simule l’étonnement :
— Quoi ? Tu es allé la voir et qu’est-ce que vous vous êtes raconté ? — Devine ? On a parlé de toi bien sûr !— En mal, j’imagine ?— Mais pas du tout ; elle et moi t’avons trouvé charmant, sympathique, bon amant !— Arrête de te ficher de moi !— Mais c’est vrai, tu pourras le lui demander. On s’est posé la question de savoir où l’on pourrait se rencontrer tous les trois ?
Je n’en crois pas mes oreilles ! Sarah, si empruntée en amour il y a quelques mois, serait en train d’organiser un rendez-vous pour une partie à trois !
— Ne dis pas de bêtises Sarah, baiser tous les deux, je veux dire Sylvia et moi, c’est déjà compliqué, et tu sais pourquoi, alors à trois ?— Mais on va s’arranger, d’ailleurs je trouve Sylvia très sexy et très appétissante et de ce côté tu as eu raison de baiser avec elle.
Les bras m’en tombent! Sarah qui était à deux doigts de me larguer après avoir appris ma liaison avec Sylvia, cautionne et approuve aujourd’hui ma conduite ! Il doit y avoir un piège quelque part.Sarah s’est tue et continue de me sucer le gland ; ma bite a retrouvé de la vigueur et je sens ma jouissance venir rapidement et je le lui dis :
— Chérie, je vais jouir !— Ne t’inquiète pas mon amour, me répond-elle avec son merveilleux sourire, grâce à toi j’en connais maintenant le goût et je vais tout avaler.

En fait elle n’a pas tout avalé ; elle m’apporte sur sa langue ce qu’elle a gardé pour moi. Sarah, je t’aimeQuelques jours plus tard Sarah me dit avant de partir au travail :
— Chéri, ce soir pour changer un peu nos habitudes, j’aimerai que l’on se retrouve à la petite crique comme au premier soir.— Ok Sarah, pourquoi pas, ça me paraît être une excellente idée !
Je me demande ce qui peut bien se cacher derrière cette proposition et n’ose pas croire à ce qui vient de me traverser l’esprit. La journée au travail se passe normalement, j’y ai vu Sylvia bien sûr, elle me semble égale à elle-même, toujours agréable malgré sa mise à l’écart, peut-être un léger sourire narquois.Le soir venu, je me dirige vers la crique avec quelque appréhension; c’est la pleine lune et l’on y voit comme en plein jour. Sarah m’y attend allongée sur la couverture du premier soir. Elle se lève et accourt vers moi pour m’embrasser comme la première fois. Nous marchons sur le sable, enlacés, allons tremper nos pieds dans l’eau et elle me ramène vers la couverture qu’elle a disposée au même endroit. Nous calquons les mêmes gestes qu’il y a quelques mois sauf que cette fois-ci nous sommes nus comme des vers ; et nous nous retrouvons l’un sur l’autre alors qu’elle essaie d’introduire ma queue dans sa chatte. Elle me demande :
— C’est bon mon chéri ?— Oui c’est bon, bien meilleur que la première fois, tu as eu une excellente idée !
A ce moment précis je sens une main se poser sur mon dos, je sursaute, ce ne peut pas être Sarah ses deux mains sont collées sur mes fesses, je tourne la tête et aperçois Sylvia, son corps nu, ses petits seins pointant vers moi leurs tétons agressifs, et Sarah qui éclate de rire. Je me doutais bien que cette soirée serait pleine d’inattendus, voilà donc où était le piège qu’à ce moment je ne comprends pas très bien. Je ne sais plus que faire, la diversion m’a fait ramollir la queue qui est sortie bien malgré elle du sexe de Sarah et j’ai vraiment l’air couillon entre ces deux petites pestes qui me ridiculisent. J’hésite à foutre le camp et à les laisser toutes les deux gamberger sur leur piège sexuel, mais d’un geste commun je les vois s’emparer de ma bite en piteux état et se mettre à la sucer en alternance non sans rire de la situation ; lorsque l’une lâche ma queue elle vient m’embrasser goulûment et vice versa.
A ce rythme il ne lui faut pas longtemps pour retrouver sa vigueur initiale ; les filles ont maintenant en main cette bite qu’elles ont déjà apprécié l’une et l’autre, mais pas ensemble. Je n’ai plus la maîtrise de la situation et décide de me laisser aller au gré de leurs fantaisies.
Je me demande laquelle des deux va s’empaler la première sur l’objet de leur désir et là une deuxième surprise m’attend : ces demoiselles se lèvent, se rhabillent et s’en vont sans dire un mot ! Je suis abasourdi, groggy et surtout terriblement vexé. Si Sarah voulait me donner une leçon pour l’avoir trompé avec Sylvia je dois dire qu’elle a vu juste et qu’il serait vain de ma part de lui en vouloir.
Je rentre chez moi tout penaud. Un petit mot m’attend sur le lit : « Mon chéri, je suis désolée pour cette mise au point sans doute un peu brutale, mais je voulais te montrer qu’une irlandaise ne se laisse pas berner comme cela ! Je t’aime, Sarah.
Je ne sais plus à quel saint me vouer. Comment dois-je réagir ? Ces deux petites garces m’ont bel et bien ridiculisé, mon amour-propre est en berne et je ne sais si je pourrais un jour les regarder en face. Et ce mot sur le lit où elle me dit qu’elle m’aime, à quoi cela rime-t-il ? Et Sylvia ? A-t-elle pensé à Sylvia et au rôle dégradant qu’elle lui a fait jouer ?
Le lendemain au travail où je suis obligé de côtoyer Sylvia, je la trouve plus froide que d’habitude, fuyant mon regard comme si elle avait honte de ce qui s’était passé la veille. Je ne vois pas Sarah de la journée, mais c’est plutôt normal puisqu’elle travaille dans les bureaux. En rentrant chez moi le soir je m’aperçois qu’il y a de la lumière à ma fenêtre. Je me demande bien ce qui peut m’attendre derrière ma porte; je l’ouvre un peu hésitant et je vois Sarah couchée nue sur le lit ; ma réaction primaire me pousse à quitter la chambre, mais je fais là preuve d’une certaine lâcheté, je vais donc près d’elle et m’assied sur le lit ; elle me prend une main et la pose doucement sur un sein :
— Yann, mon amour, je me rends compte que j’ai peut-être exagéré hier soir, mais apprendre que tu avais baisé avec Sylvia m’a fait l’effet d’un coup de poignard. J’ai voulu me venger mais pour se faire je l’ai utilisée et je n’aurais pas dû. Je me suis excusée auprès d’elle, elle a bien compris, c’est une fille formidable. Elle est restée dans ma chambre hier et nous avons dormi ensemble.— Dormi ? Seulement dormi ? — Bien sûr, qu’est-ce que tu imagines ?— Je ne sais plus trop ! après le coup fourré d’hier soir, je peux m’attendre à tout !— C’est une chic fille et elle est superbe ; tu as bon goût, mais ça je le savais déjà !
Décidément Sarah ne cesse pas de m’étonner par sa détermination, son culot voire sa perversion.Elle m’attire vers elle, mais je lui dis que je n’ai pas le cœur à baiser ce soir ; je m’allonge près d’elle nos corps se touchent mais restent sages : l’heure n’est pas à la galipette.Le sommeil tarde à venir et l’image de Sylvia se greffe dans mon cerveau : je l’imagine seule dans son lit soit dormant, pensant à nous deux et j’ai honte de lui avoir fait subir ce rôle indélicat ; je n’en suis pas l’auteur, mais j’en suis le responsable. Que pourrai-je faire pour me faire pardonner ce camouflet ? En pensant à Sylvia je me mets à bander, je tourne le dos à Sarah et m’endors dans les bras de Sylvia.
Au réveil le lendemain, le corps de Sarah a raison du mien. C’est un aimant et je me laisse magnétiser par son parfum, sa souplesse, sa peau, sa couleur, son attraction et nous faisons l’amour comme des fous, oubliant les tracas et les soucis ; assouvis, relaxés, détendus, nous commençons cette journée comme tant d’autres : avec le sourire.
Sourire que nous n’allions pas garder très longtemps : la présence quasi quotidienne de Sarah dans ma chambre est venue aux oreilles du directeur et j’ai été convoqué dans son bureau ; après un sermon digne d’un pasteur anglican, insistant sur le fait que je suis encore mineur il m’a promis qu’à la prochaine incartade c’était le retour en France par le prochain bateau. Sarah a également eu droit au même sermon et à la promesse du même bateau.
J’avais effectué la moitié de mon stage sur cette île de rêve et l’avenir s’annonçait assez sombre.
Diffuse en direct !
Regarder son live