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Sous le soleil de Mérida

Chapitre unique

Gay
Sous le soleil de Mérida
Il faisait beau à Mérida, en cette fin d’après-midi. La sieste était terminée. Les rues, à nouveau, s’animaient.
J’étais arrivé la veille en avion, en provenance des Etats-Unis où j’avais bossé pendant quelques mois. Dans deux jours, trois amis, dont ma copine, me rejoindraient à leur tour pour effectuer, sac au dos, un voyage au Mexique et au Guatemala.
Je tuais le temps comme je pouvais, content de pouvoir me relaxer complètement. Content aussi de pouvoir prendre le temps de flâner au gré des ruelles de cette petite ville mexicaine.
J’étais assis sur un banc, sur la place du marché, lorsque j’aperçus un jeune gars du coin qui me faisait signe pour me dire bonjour. A mon tour, je lui ai répondu par un geste de la main qu’il a interprété comme une invitation à me rejoindre. C’était un beau mec, brun, de type métissé, avec de beaux yeux brun très foncé, une abondante chevelure bouclée noire, des lèvres bien pulpeuses et un sourire engageant. Il portait un T-shirt blanc, bien cintré, et un jean 502 qui, à l’arrière, laisse apparaître le liseré d’un boxer jaune pâle sur un dos musclé et bien bronzé.
— Hello, me dit-il, moi c’est Mateo. De quel pays viens-tu ? Je peux te faire faire le tour de la ville si tu veux ?— Sympa, lui ai-je répondu, mais j’ai déjà pas mal circulé dans la ville ce matin.— Si tu es prêt à marcher un peu, je peux te montrer quelques ruines maya situées en bordure de la forêt que tu vois là-bas.
Je me laisse tenter par sa proposition. Non seulement parce que j’ai du temps à tuer, mais aussi parce que Mateo est manifestement en mode séduction et que je suis curieux de voir jusqu’où peut aller une relation initiée de manière aussi impromptue. Je suis dans un état d’esprit disponible et curieux, pour ne pas dire plus à ce stade.
Nous nous mettons en marche. En bon « latino », Mateo est volubile. Il me parle de sa vie de jeune mexicain, de sa famille. Il me dit qu’il aime par-dessus tout discuter avec de jeunes étrangers - comme moi - pour comprendre comment la vie est ailleurs. Tandis que nous sortons progressivement de la ville pour rejoindre la forêt, il y a de moins en moins de monde autour de nous. Quand Mateo rencontre quelqu’un qu’il connaît, c’est toujours un jeune autochtone de son âge, généralement accompagné d’un touriste de mon âge. Ils se saluent chaque fois avec de grands gestes de la main. Je relève aussi quelques sourires en coin, mais sans doute est-ce le fruit de mon imagination...
Nous approchons de la forêt et de l’endroit où, me prévient habilement Mateo, il faudra quitter la route pour prendre un petit chemin. Nous marchons côte à côte. Deux ou trois fois déjà, sa main a frôlé la mienne. Comme si de rien n’était. Juste pour voir... Au fond de moi-même, je suis un peu interloqué, mais je le laisse faire. Dès que nous quittons la route, il se fait insensiblement plus pressant. De sa main, il effleure cette fois le haut de ma cuisse. Plusieurs fois... Décidé à tenter l’expérience jusqu’au bout, je le laisse toujours faire. Sa main, à présent, effleure à deux reprises mon pantalon, à hauteur de mon sexe. Cette fois, le doute n’est plus permis. Il est en train de me draguer. Je sens d’ailleurs poindre le début d’une érection entre mes jambes. Je sens l’excitation monter en moi. A ce jour, je n’ai encore eu aucune expérience avec des garçons. Je me suis jusqu’ici contenté d’une sexualité hétéro classique ... et ma copine me rejoint ici dans deux jours !
— Jusqu’où tout cela va-t-il nous mener ?
Au moment même où je me pose la question, la main de Mateo se fait encore plus insistante. Il sent mon sexe se gonfler dans mon pantalon ... et appuie là où il faut pour s’en convaincre. Il s’arrête, se met face à moi, me regarde droit dans les yeux et, sans le moindre début de gêne, me dit:
— J’ai envie de te sucer. D’avaler ton sperme. I really want to suck your fuck. Je peux ?

Sans même me laisser le temps de lui répondre, il défait ma ceinture, me déboutonne, ouvre ma braguette et baisse mon pantalon. Je n’en crois pas mes yeux... mais je laisse faire. Me voilà, en plein bois, cul et jambes à l’air, avec à genoux devant moi, un gars que je ne connaissais pas il y a une heure. Mateo est manifestement sexuellement très entreprenant. Avec ses mains, il tâte mon corps de partout et enfourne goulument ma queue dans sa bouche, tout en me palpant les fesses avec ses deux mains. Pour une « première", je suis décidément bien servi !
Et je dois reconnaitre que j’aime ça. Sans qu’il me le demande, j’enlève mon t-shirt et me voilà complètement à poil, en pleine forêt, avec, à mes pieds, un partenaire très très excité. Tellement excité d’ailleurs, qu’il me communique son agitation et que, sans avoir le temps de le prévenir, j’éjacule sans préavis - et très abondamment - dans sa bouche. Cela n’a nullement l’air de le perturber. Aussitôt, il entreprend de me lécher le sexe de haut en bas et de bas en haut, puis de sucer mon gland comme il le ferait avec un cornet de crème à la glace.
Le « travail » terminé, il me dit, avec un sourire désarmant:
— Allons prendre une douche dans ta chambre d’hôtel.
Là, pour le coup, je me montre hésitant. Je n’ai jamais ramené quelqu’un dans une chambre d’hôtel. Notre « couple » est tellement improbable que ma première réaction est de refuser. A vrai dire, j’ai un peu peur du « qu’en-dira-t-on »... et cela bien que je ne connais évidemment personne dans cette petite ville du Mexique. D’autre part, l’occasion fait le larron, dit le dicton. Et j’ai soif d’expériences nouvelles...
Nous rentrons vers la ville, je fais toujours mine de refuser, mais Mateo, lui, avec bagout et charme, n’arrête pas d’insister.
— Juste une douche ! Après, je te promets de te laisser, me répète-t-il sans cesse.
Au fond de moi, je sais déjà que je vais le laisser venir. D’autant plus que notre échange a jusqu’ici été à sens unique. Lorsqu’il était à genoux devant moi, lorsqu’il me suçait avec avidité, il était resté habillé. En éjaculant rapidement, comme je l’ai fait, je ne nous ai pas laissé le temps de pousser plus loin l’expérience. Et puis, je dois reconnaitre que je suis fasciné par sa décontraction. Il pratique le sexe un naturel vraiment désarmant.
Nous convenons de ne pas entrer ensemble dans ma chambre, dont je lui donne le numéro pour qu’il me rejoigne avec un petit délai. Mateo ne se formalise pas.
— Comme tu veux. De toute façon, personne ne me demandera rien.
J’entre donc dans ma chambre, remets rapidement un peu d’ordre partout et, déjà, Mateo me rejoint. Sans aucun préalable, il se déshabille complètement et me prend la main pour m’inciter, sans hésiter, à le toucher. Pendant que je le caresse, encore un peu timidement il faut bien le dire, il me déshabille à son tour avant de m’entraîner vers la douche. Et là, sous l’eau tiède ruisselante, nous glissons sans retenue vers une partie de corps à corps d’un érotisme torride. Il me touche, je le touche. Il m’embrasse, je l’embrasse. Il se frotte contre moi, je me frotte contre lui. Il me pince et me suce les tétons, je lui pince et lui suce les tétons. Serrés, face à face, l’un contre l’autre, nous nous palpons mutuellement le bas du dos, les reins, les fesses. Il s’agenouille pour me sucer - la fellation, c’est vraiment son truc ! - tout en jouant de ses doigts fins et experts avec mes testicules. Puis je me lance à mon tour dans une fellation sauvage.
Son sexe a pris une dimension impressionnante. En extension, bien plus gros que le mien... Ah, ces latinos !
Lorsque nous avons épuisé les plaisirs de la douche, nous nous essuyons mutuellement, ce qui apparaît bien vite comme une nouvelle occasion d’explorer les recoins les plus enfouis de nos corps surexcités. Et là, d’un coup, Mateo file vers le lit, se couche sur le dos, met un oreiller dans le creux de ses reins, relève les jambes et me dit:
— Prends-moi. Baise-moi. Je veux te sentir à l’intérieur de moi. Je veux ton sperme à l’intérieur de mon corps.`
Sa pose est tellement suggestive et nous sommes tellement chauds l’un et l’autre que je me « tape » la plus belle érection de ma vie. Je ne me pose donc aucune question. Sans hésiter, j’enfourne ma queue bien gonflée dans son anus accueillant. Tout frémissant, tout dilaté et bien chaud... Au fond, Mateo est un bon passif. Son plaisir, c’est de se prendre des queues dans le fion. En profitant au maximum des occasions qu’il provoque lui-même... En profitant aussi au maximum du moment présent. Tandis que je suis en lui, tandis que je le pénètre jusqu’au tréfonds de lui-même, il écarte bien ses fesses et me regarde faire. En espagnol, il n’arrête pas de lancer des mots salaces qui contribuent à m’exciter toujours plus. Je me lâche comme je ne l’ai jamais fait. « Je vais et je viens, entre ses reins », son corps est offert, tout à moi, mes poils pubiens caressent ses fesses à chaque mouvement de pénétration.
— Féconde-moi, fais de moi ta femelle, donne-moi ton sperme, me dit Mateo, tout en se branlant de plus en plus frénétiquement. Il est prêt pour l’extase. Ses yeux brillent. Sa bouche est entrouverte.
A ce rythme, je ne tarde pas à lui offrir ce qu’il attend, sans pouvoir m’empêcher de pousser plusieurs petits cris rauques tandis que mon jus l’inonde à l’intérieur.
C’est ce que Mateo voulait..., et il l’a eu !
Calmement, comme s’il était rassasié, il s’est rhabillé, m’a embrassé sur la joue, m’a dit au revoir et m’a souhaité bon voyage.
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