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soutien scolaire

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour, je me présente: Lily, 20 ans, 1m75 pour 55 kg et un 90 C satisfaisant. Je suis en couple depuis quelques temps avec un mec dont je suis folle et à qui j’ai donné ma virginité. Voici mon histoire: 
Il y a quelques mois, j’étais complètement fauchée. Etant une étudiante brillante, une amie me suggérait de donner des cours de soutien à des jeunes. Je n’avais pas trop le choix: bosser ou manger les restes de pâtes en attendant les bourses. Je me suis donc inscrite sur un site spécialisé sur internet. Je proposais des cours, pour des lycéens voir de jeunes étudiants en Licence. Mon annonce était en ligne depuis seulement quelques heures, lorsque je reçus une proposition. Le message venait de la mère d’un étudiant de la fac. Il passait sa première année pour la seconde fois et n’obtenait que des résultats catastrophiques. Il avait besoin d’aide dans ces cours dans à peu près toutes les matières. Je convenais avec sa mère d’un RDV qui servirait à la fois de rencontre, de discussion sur les tarifs et les heures de cours, et si cela se passait bien pour un premier cours. Je me présentais au domicile du jeune homme appelé Ewan. Sa mère m’accueilli, me remerciant mille fois d’avoir accepté d’aider son fils. La première partie de la discussion se passa très bien, je fus engagée, je devais passer 4 fois par semaine. Je fis la rencontre d’Ewan, et au premier coup d’oeil je voyais à quoi j’avais affaire. Ce n’était pas un étudiant ayant de réelles difficultés de compréhension. Non, c’était plutôt le genre beauf, à qui les parents ne refusent rien: polo Lacoste, Brushing parfait et une Audi comme voiture. Mais ces parents mirent les choses au clair dès le début: tu travailles et tu valides ton année ou adieu les privilèges. Le père nous installa dans la bibliothèque pour que nous puissions travailler au calme. "- Bon Erwan, tes parents me paient pour t’aider. Je ne veux pas perdre mon temps pour rien, j’attends donc un minimum de sérieux de ta part."J’essayais de me montrer autoritaire, il avait un sourire goguenard sur la figure qui m’agaçait au plus au point. "- Ok ma belle, pas la peine de s’énerver. Si tu veux on bosse 20 minutes et après je t’emmène boire un verre. — Merci mais je ne suis pas là pour ça. Nous avons deux heures devant nous pour évaluer tes difficultés. Apporte moi tes cours, tes devoirs sur table."Il sortit de la pièce en trainant des pieds, et revint avec son sac de cours. Il le vida sur la table, il était rempli de feuilles griffonnées et chiffonnées. Pour trois mois de cours, il avait à peine une vingtaine de pages. Ca allait être compliqué! "- C’est quoi ce bazar?!— Ben mes cours, tu viens de me les demander!— Tu n’as que ça?! Et tu penses que ça pourrait te suffire pour valider tes partiels?!"A ce moment là, sa mère passa la tête dans l’embrasure de la porte:"- Excusez moi Lily, mon mari et moi devons nous absenter. Nous allons voir ma mère à l’hopital. Bon courage! Ewan, je compte sur toi pour bien travailler."Le sale môme pris son air angélique: "- Oui maman". Une fois de nouveau seul, je le mis en garde. "- Tu vas devoir mettre un sacré coup de fouet. Ce n’est pas comme ça que tu vas réussir ton année! Tu as entendu tes parents: encore un échec et adieu la bagnole.— Rien à foutre de la bagnole"

Il semblait prendre un malin plaisir à me mettre hors de moi. Comment faire travailler quelqu’un qui ne veut pas, et surtout qui se fout des menaces que l’on fait planer au dessus de lui???!!!!"- Sinon, tu es bonne! Peut être qu’on pourrait mettre à profit tout ce temps pour... s’amuser"Excédée, je lui retournai une gifle. Il se leva, s’approcha de moi:"- J’adore les femmes qui ont du caractère". Il m’embrassa. Je tentais de me dégager; mais il tenait ma tête entre ces deux mains. "- T’énerve pas! Je sais que tu en as aussi envie!"Sa langue se trouvait dans ma bouche, et je me surpris moi même en répondant à son baiser. Mes mains, qui tentaient de repousser son torse, se pendirent à son coup. Ma langue s’enroulait avec la sienne. Je sentis une de ses mains passer sous ma jupe, remonter lentement, et effleurer le tissus de mon string. Il commençait à devenir mouillé. Ce petit con avait réussi à m’exciter, mais je restais tout de même la patronne. Tout en l’embrassant je le poussais doucement, jusqu’à ce qu’il bute contre le bureau sur lequel nous étions sensés travailler. Je commençais à lui embrasser le cou, je le mordillais, tout en descendant lentement vers sa bite. Je sentais une bosse dans son pantalon, une bosse prometteuse. Après avoir ouvert sa braguette, je libérais une bite appétissante. Je commençais à lui tailler une pipe, j’y mettais tout mon coeur et tout mon talent. Ma langue faisait le tour de son gland, elle montait et descendait sur sa hampe, elle allait lui chatouiller les couilles. Je le regardais dans les yeux, avant qu’il ne renverse sa tête en arrière en gémissant de plaisir. Mais pas question pour lui de jouir tout de suite. Je me relevais, enlevais ma veste déboutonnais mon chemiser, et remontais ma jupe. "- Maintenant baise moi, et vas-y fort. Fais-moi bien sentir ta teub."J’étais assise sur le bureau, les jambes écartées. Mes lunettes et mon chignon me donnaient l’allure d’une secrète cochonne. Sans prendre la peine de se déshabiller complètement, il frotta sa bite sur ma chatte, avant de s’y enfoncer d’un coup de sec. Je poussais un cri de plaisir. "- Alors comme ça, ma prof a envie de se faire baiser. Tu vas prendre ma cochonne.— Tagueule et baise moi, je sens rien là.— Je vais te défoncer!"Il me tenait les fesses pour m’empêcher de reculer sur le bureau. Il me donnait des coups de boutoirs comme j’en avais rarement reçu. Pour autant j’avais envie de l’énerver:"- C’est tout ce que tu peux faire?! Tu es vraiment un gamin!"Je vis ses dents se serrer avant qu’il accélère la cadence, y allant de plus en plus fort. La maison était remplie de nos cris de baise. "- Tu vois ce qu’il te fait le gamin?! Il te fait gueuler tellement tu aimes sa bite"C’est vrai que je gueulais, mais putain c’était bon. Après un quart d’heure de se traitement, et plusieurs jouissances pour moi, il finit par jouir dans ma chatte, dans un grognement de satisfaction. 

Epuisée, je décidais de rentrer chez moi. Je récupérais mes affaires mais je ne trouvais plus mon string. Après avoir convenu d’un autre cours dans la semaine, je rentrais. Sur le chemin, je commençais à reprendre mes esprits, je venais de tromper mon chéri? Qu’est ce que j’allais lui dire? Rien! Ca ne se reproduirait plus jamais.Mais une fois rentrée à la maison, je reçus un sms:" Bonsoir, c’est le papa d’Ewan. Merci pour le cours, ça a du être intensif, il s’est écroulé sur son lit! J’ai retrouvé quelque chose à vous dans la bibliothèque, je vous le rendrai la prochaine fois!"Et merde! Mon string!
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