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Le souvenir d'un été

Chapitre 1

Gay
Aujourd’hui, je touche du bout de mes orteils la cinquantaine.L’histoire que je raconte là est à 102% véridique !
Ma première et unique expérience gay.
Cette histoire se déroule en 1989 sur l’île des « Lotophages » (ou comme la nommaient les Grecques dans l’antiquité «Meninx» ou comme la nomme, le commun des mortels de nos jours, "Djerba" la douce.
C’était l’été de mes 17 ans.C’est les premiers jours des vacances d’été et les premières sorties en discothèque. Comme je n’étais pas encore motorisé, je me contentais des boîtes de nuits des hôtels près de la maison. À l’époque, les discothèques en vogue étaient celles de l’hôtel « Abou Nawes » et de l’hôtel « Ulysse » et grâce à mon père, j’avais un accès gratuit à ces 2 discothèques et j’étais bien content d’ailleurs.
Les nuits d’été à Djerba sont rythmées par des soirées beuveries entre copains, ou des soirées cartes et chicha (narguilé N. D. L. R) au café ou alors soirées maison à te faire chier devant la télé (à l’époque, en Tunisie, il n’y avait que la chaîne nationale et Fr2). C’était un soir de semaine, mes potes étaient occupés à vagabonder entre les différents mariages du quartier, un vagabondage qui ne correspondait pas, ou dois-je dire, ne correspond (toujours) pas, à goûts. Donc j’avais décidé de me rendre à la disco de l’hôtel « Abou Nawes ».
On était le 28 juin et les premiers jeunes lycéens et lycéennes européens ne seraient avaient en vacances scolaires qu’à partir du 4 juillet donc les hôtels n’affichaient pas encore complets, et de là, il n’y avait pas grand monde dans cette discothèque, ni dans les autres aussi.
(Petite précision : sur notre île, il n’y a point de discothèque privée, donc chaque hôtel a sa propre boîte de nuit, et il y a une petite concurrence entre «elles »)Mais qui ne tente rien n’a rien ! On a parfois le plaisir de rencontrer des jeunes européens qui sèchent les cours, car en début de saison estivale, les prix des hôtels sont encore raisonnables et les parents peuvent se permettre d’avancer les vacances de leurs enfants de 2 ou 3 semaines...
Bref, voyant mes chances de me "lever" une petite Française ou Suissesse ou Italienne ou Allemande... Bref, mes chances étaient nulles et plus que nulles, donc je me rabattis vers le comptoir, afin de vider une ou deux bières et jouer la musique du bon client pour ne pas se faire refouler au prochain passage, bien que l’accès m’était autorisé, mais les videurs de la disco pouvaient être chiants et refuser l’entrée à mes potes !
Le bar étant en U, là où j’étais assis, face à moi, il y avait un homme d’une cinquantaine d’années qui paraissait me dévisager. N’osant le défier du regard, sans doute par timidité, je regardais autour de moi, ou discutais avec quelques habitués de ce lieu... En tout cas, j’essayais de mon mieux d’ignorer cette personne. Mais après quelques vérifications, effectivement, je me rendis compte qu’il me regardait fixement.
Ne l’ayant jamais vu en ville ou dans les parages, j’étais un peu inquiet, bien que l’homme ne paraisse pas méchant. Epuisant les quelques Dinars que j’avais en poche, et perdant tout espoir de voir venir une minette qui aurait eu droit à une séance de drague dont j’ai eu le plaisir de parfaire lors de mes étés passés et surtout en commençant à sentir les premiers frémissements de l’alcool, je pris le parti de rentrer chez moi. J’avais une marche de plus de 30 minutes à faire et la fraîcheur des nuits blanches de ce mois de juin me ferait du bien, avais-je pensé.
Il était 02h00 du matin et la route touristique était totalement vide. De temps à autre, un taxi passait, déchirant un peu le silence de la nuit.Après quelques minutes de marche, je remarquais alors cette BMW noire qui roulait au pas. Cela faisait au moins la troisième fois qu’elle passait à proximité de moi et, encore une fois, une petite inquiétude naissait au fond de moi.
Je décidais de l’ignorer et de continuer ma route.
Je me trouvais entre l’hôtel « les sirènes » et le « Stand-Hôtel », et voilà que les BMW passaient une nouvelle fois près de moi, puis faisaient demi-tour un peu plus loin, et revenaient dans l’autre sens. Au volant, le chauffeur paraissait me regarder à chaque passage.
Je poursuivais mon chemin tranquillement, confiant et ne voulant pas paraître inquiet, bien que... Mais la dose de bières que j’avais dans le sang me rendait invincible. C’est à ce moment-là que la voiture stoppa à mon niveau.
L’homme se pencha afin d’ouvrir la vitre côté passager (il était peu courent de voir des voitures avec vitres électriques en ce temps-là)
Je pouvais voir alors son visage et je reconnaissais l’homme du bar de la discothèque qui m’interpellait :
— Salut, dis-moi, comment je dois faire pour rejoindre la ville de Midoun, c’est loin ?— Vous êtes dans la bonne direction. Au prochain croisement, tournez à droite et au stop suivant, à gauche !— OK ! Sinon, tu ne connais pas un coin où je pourrais encore boire un coup ?
(A cette époque, il y avait une cinquantaine d’hôtels répartis sur plus ou moins 20 kilomètres. Et comme je l’ai dit, je suis familier du monde touristique et je connais assez bien les bons plans.)
— A cette heure-ci ? Il y a encore la boîte de l’hôtel « Dar Djerba », mais franchement, je ne le conseille pas, à cette heure, il n’y a plus que les soulards ! Ou bien il y a le « Club-Med », mais l’accès est quasi impossible !!!— OK ! Tu n’as pas envie d’essayer ? Je n’aime pas trop aller seul en boîte ?— Non merci ! Je dois rentrer !— Mais... Je te reconnais, c’est toi qui étais à la discothèque de l’« Abou Nawes » ?— Oui, c’est moi !— Allez viens ! Monte, je te raccompagne chez toi !
Pourquoi ai-je dit oui ? Je n’en sais rien... (Mais je ne vais pas le regretter.)Je monte donc dans la voiture et lui indique le chemin et puis je me rappelle alors une autre discothèque et je le guide vers l’hôtel « Ulysse » et je lui ai dit que peut-être, il y a encore du monde et j’espérais surtout me faire payer une ou deux bières...Chemin faisant, il me disait s’appeler Selim, qu’il habitait Gabes, qu’il venait souvent à Djerba pour affaire, etc.Il roulait à 20 kilomètres à l’heure. J’ai eu le temps de lui raconter un peu ma jeune vie de lycéen sans trop rentrer dans les détails, j’étais un peu tendu.
Après quelques minutes de route, nous atteignîmes la discothèque, et là encore, le désert complet. Presque pas de voiture sur le parking
— Qu’en penses-tu ? Tu as envie de tenter la disco ? Il me semble pour ne pas dire j’ai la quasi-certitude qu’il n’y a personne ! Me dit Selim.— T’as raison. On va se faire chier. Je crois que pour cette fin de soirée, on l’a dans me baba, on va rentrer et on ira un autre soir boire un coup.— Je te propose de rouler un peu avant. Je n’ai pas trop sommeil et j’ai pas trop envie de rentrer. Ça te gêne ?— Non pas du tout. Si tu me ramènes après ?— Bien sûr !
Et nous voici partis en direction du phare « Tougueness » (pour info, c’est le plus haut "phare" du bassin méditerranéen). Les vitres ouvertes et la petite musique de fond.Très vite, la discussion déviait sur les filles. Il me racontait ses meilleurs coups et était même un peu cru dans ces paroles. J’en profitais pour prendre quelques leçons, vu que mes expériences n’étaient pas très nombreuses. La discussion m’amusait assez et commençait même à m’exciter un peu. Sans doute un autre effet de l’alcool que j’avais ingurgité.
Enfin, Selim m’annonça :
— Sinon, je fais aussi avec les mecs parfois.— Ah bon  ? M’exclame ai-je, un peu dégoûté (et je ne connaissais pas le terme bisexuel)— Oui... Ça te gêne ?— Non pas du tout... Mentis-je. — Et toi ? Tu n’as jamais rien fait avec un mec ?— Non jamais ! Bien que je me sois déjà fait draguer par deux ou trois homos de nationalité française. Je ne me sens pas attiré par les hommes !
Tout en parlant, sa main était passée du levier de vitesse à ma cuisse. Pourquoi je ne bougeais pas ? Sans doute parce que ça me plaisait. En tout cas, mon pantalon commençait à être serré, je bandais comme un âne. Est-ce que c’était la cause de ce qu’il m’avait raconté avant ou bien c’est cette main qui était en contact avec ma cuisse ??Puis le silence s’installa dans la voiture. Il roulait direction la "chaussée romaine" (encore un vestige de notre île de Djerba) doucement, la musique de fond qui berçait chaque mouvement, et sa main qui commençait à masser ma cuisse. Je n’étais pas inquiet, mais juste de plus en plus excité, sans trop savoir pourquoi. Quelque chose de nouveau pour moi.
— On va s’arrêter un peu petit moment si tu veux. J’ai envie de pisser.
Il prend le premier petit chemin sur sa droite et stoppa la voiture. Les reflets de la lune éclairée le « fort du scorpion » (un fort construit sur une petite île et la légende dit qu’il y avait un roi... Je raconterai cette histoire une autre fois) qui se trouve derrière nous. Il sortit de la voiture et se plaça dans les lumières des phares. Il sortit son engin (car c’en était un), déjà bien gonflé et se mit à pisser violemment. J’étais excité comme un fou et je ne pouvais détacher mon regard de cette énorme bite. Lui me regardait en train de l’observer, de le détailler et souriait.Il revint dans la voiture, sa queue hors de son pantalon.
— Alors, elle te plaît ?
Ne trouvant quoi dire :
— J’en ai pas vu... Ou... J’en ai jamais vu sauf... Celle que j’ai... Entre les jambes... Et je... Oui... Elle est pas mal !— Tiens, caresse-la ! dit-il en me prenant la main et en la posant sur sa bite presque dure.
Immédiatement, je m’en emparai et commençai à la branler doucement.
— Humm, je vois que tu commences bien. Tu te branles souvent toi ?— Oui... Qui ne l’a pas fait dans sa jeunesse ?— Montre-moi comment tu fais. Vas-y, baisse ton pantalon et branle-toi devant moi.
Hypnotisé, je me débarrasse en 2 temps, 3 mouvements de mon jeans qui vole sur le banc arrière du véhicule, je me retrouvai assis, les cuisses ouvertes, mon zob dans la main droite qui le caresse doucement.
— Humm ! T’es un bon petit cochon toi ! Me dit Selim. Vas-y, branle-toi bien et regarde comment je me branle moi aussi.
Effectivement, il se branlait la queue en me matant. Elle était énorme et impressionnante.Au bout de quelques minutes, il m’ordonna :
— Viens, on passe à l’arrière.
Et une minute plus tard, nous étions totalement nus tous les deux à l’arrière de sa voiture.
Nous nous branlions chacun de notre côté en regardant l’autre. Puis il me prit par le cou et me dit :
— Viens un peu vers là, et montre-moi comment tu fais lorsque tu manges une glace.
Pour la première fois, ma langue se posa sur une queue d’un homme et le goût et cette odeur, un peu sauvage n’était pas pour me déplaire.
— Prends-la dans la bouche et suce-la un peu.
Je ne sais pas qui me guidait : sa main ? Mon cœur ? Mes envies ? L’alcool ? Le DIABLE ?Toujours est-il que je m’exécutais comme affamé et l’entendit qu’il commençait à souffler de plus en plus... De bonheur ?
— Humm tu sais y faire tout compte fait ! Vas-y, suce-moi bien à fond petite salope...
Je ne relève pas ce mot qui, en temps ordinaire, j’aurai pris pour une insulte, mais... Plus il parlait mal et plus j’étais excité...
— Je vois que ça te plaît qu’on te parle ainsi petite pute... Vas-y bave bien... Je vois que tu aimes ma queue... Lèche-la... Ouiiii... Suce... Suce-moi à fond comme une bonne petite pute que tu es... Branle-toi en même temps !
Je m’exécutais, tâchant de faire de mon mieux... Je me sentais planer... C’est comme si je m’observais et cela ne faisait qu’accentuer mon plaisir et mon excitation.
— Viens un peu vers moi, je vais jouer avec ton petit cul aussi.
Je me mets à 4 pattes sur la banquette sans cesser pour autant ma caresse buccale et je sentis un doigt humide qui me caressait la rondelle. C’était comme de l’électricité. Il enfila un doigt dans mon cul, et de mon côté, j’émettais un petit cri de surprise, mais de bien-être aussi.
— Tu aimes ma salope ? Ohh putain... Tu dois être une bonne petite baiseuse toi !
Il continua à me doigter de plus en plus. Il m’ouvrait le cul doucement, mais sûrement. J’avais abandonné sa queue pour me retourner et me mettre en levrette et lui tends mes fesses, ma tête contre la banquette et je me cambre afin d’ouvrir au mieux mon petit trou.
Lui de son côté avait compris que son travail donnait de l’effet, et s’appliquait à m’ouvrir en crachant par moments sur anus.Un doigt allait et venait en moi, puis deux... A chaque fois, il les sortait, les mouillait, et revenait en moi. De mon côté, je ne voyais plus rien, je n’entendais plus rien, j’étais en transe. Un nouveau plaisir envahissait mon ventre et j’en redemandais :
— Ouiii vas-y, continue...— Tu aimes ça petit salope ! J’en étais sûr... Dès que je t’ai vu en boîte, je savais que tu aimais te faire prendre le cul... Dit-il en continuant à me doigter de plus en plus fort pour m’ouvrir.
Je m’aperçus, qu’en même temps, qu’il se branlait et que sa queue était encore bien raide.
— Je crois que tu es prête maintenant... Laisse-moi faire... Tu vas apprécier... Tu vas aimer... N’aie pas peur !
Malgré cet espace réduit de la voiture, il se plaça derrière moi, me fit me cambrer en appliquant mon visage sur la banquette de la voiture et en me demandant d’écarter les fesses avec mes mains.
— Humm, tu es très excitant comme ça. Si tu voyais ton trou comme il est bien ouvert ?
C’est alors que je sentis quelque chose de dur se poser sur ma rondelle et pousser. Je compris qu’il était en train de m’enfiler sa bite dans le cul. J’avais un peu peur (à cette période, on commençait tout juste de parler de SIDA) et j’avais un peu mal (un mal, qui est presque le même, que celui que tu ressens quand tu essaies de vider les intestins après 2 jours de constipation), mais dès que son gland avait passé le cap, tout rentrait dans l’ordre des choses, si je puis dire. J’étais rempli de sa queue et en s’agrippant à mes hanches, il commençait, tout en douceur, ses allers-retours en moi.Doucement, il me prenait, et doucement, le plaisir montait en moi. Je grognais, je râlais, je gémissais et lui m’encourageait.
— Vas-y... Laisse-toi aller... Tu sens comme c’est bon de se faire prendre le cul ?— OUIIII, c’est bon... Vas-y continue... Vas-y... Un peu plus fort...— Doucement ! Tu ne veux pas que je t’éclate le cul dès le premier soir ?
Et il continuait ses allers-retours, tout en soufflant de plus en plus fort.
— Ya zebbiiii... Que c’est bon... Branle-toi en même temps...
Sans avoir attendu qu’il me le demande, je m’étais déjà emparé de ma bite et je commençais déjà à la branler... Mais en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ai senti une décharge indéfinissable qui m’électrisait... Je me mis à jouir par de longs jets de sperme qui s’écrasaient sur la banquette.
— Tu as joui ma petite salope ? Mais tu vas me faire jouir à mon tour... Je sens bien ton petit cul qui me sert la queue... Humm...
Il accéléra ses coups de reins, je sentis qu’il voulait en finir. Dans cette aire réduite, je j’entendais plus que ses couilles qui claquaient mes fesses et les soupirs d’un marathonien... Tout se bousculant dans ma tête, milles questions me traversaient l’esprit :
Que suis-je en train de faire ?Qu’est-ce qu’il m’a pris ?Pourquoi j’ai accepté ?Je suis pédé ?Putain que c’est bon !De nouvelles sensations et pas si désagréables !Enfin, après quelques minutes, il s’enfonça au fond de mon cul, me tenant fermement, et je sentis de longs jets chauds inonder mes entrailles.
Il lâchait de longs râles de plaisir et, une fois les jets finis, il se retirait doucement, pour ne pas me faire mal.
— Oh putain comme tu m’as fait jouir ma petite salope !— Moi aussi j’ai joui !— Oui et je crois même que tu as joui de l’anus aussi, j’ai senti ton muscle se serrer autour de ma queue à plusieurs reprises.
Nous reprîmes un peu nos esprits, puis nous nous rhabillâmes.Selim reprit la route direction Midoun et me ramena chez moi, sans trop parler.Arrivé non loin de la maison, il me donnait un numéro de téléphone:
— Voici mon numéro. Je ne veux pas le tien. Si tu en as envie, appelle-moi et on se refait une soirée discothèque.
Il me laissa devant l’hôtel « El Jazira » avec mon petit bout de papier à la main sur lequel il avait noté son numéro... Je m’en souviens encore le 05 681 308...
De là où il m’a déposé jusqu’à la maison, j’en avais pour 5-10mn de marche... Et tout au long du trajet, je repassais le film de ce que je venais de vivre... J’étais envahi à la fois d’un sentiment de honte... De dégoût... Et... De bonheur.
Quand je poussais la porte du jardin de la maison, il était déjà 5h du matin et les oiseaux accueillaient paisiblement les premières lueurs du jour par leurs chants.Je fus aussi accueilli par mon chien qui colla son museau aux fesses, et à chaque fois que je le repoussais, il s’éloigna pour aussitôt revenir à la charge !
Après une bonne douche et un sommeil réparateur et excitant (car à mon réveil, j’avais la surprise de retrouver mes draps souillés) je me suis juré de ne jamais le rappeler et de n’en parler à quiconque même sous la torture !Il m’arrive parfois de regretter... Mais... Regretter Quoi ?Regretter Qui ?Regretter ? Je me dis parfois en y repensant : pourquoi regretter ?Tel est un autre débat !!
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