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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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souvenir de jeunesse

Chapitre 3

Inceste
j’étais de plus en plus étonné, excité mais un peu gêné. Ma grand mère se lève afin d’allumer la lumière centrale. Pour la première fois de ma vie, je la vois totalement nue en pleine lumière. Ses longs cheveux blonds dénoués descendant le long de son dos, ses reins cambrés, ses fesses larges et rebondies, ses seins lourds tombant légèrement, son importante toison qu’elle n’a sans doute jamais rasée, problème de génération....elle s’installe à mes cotés et tente de m’expliquer la présence de cet objet inconnu pour moi. " tu sais que j’ai voulu t’élever seule, afin de me consacrer toute à toi, mais le désir parfois est trop fort, alors....je vais t’indiquer comment je me sers parfois de cet objet. Elle s’installe sur le dos, jambes repliées, les cuisses ouvertes? Je vois son sexe presque ouvert, je pense humide et chaud après ma pénétration. Cependant, elle enduit l’objet d’un corps gras, le présente à l’entrée de son intimité, puis elle le pousse brusquement jusqu’à la base, elle hurle de plaisir, de joie, ma présence semble décupler sa libido. Elle me fait signe de remplacer sa main, je me vois pousser puis ressortir puis....cet énorme objet. Je ne reconnais plus ma grand mère, cette femme discrète, douce, patiente et surtout très maternelle. J’ose lui toucher les seins, les embrasser, les pétrir sans retenue ni précaution, elle n’est plus là, elle jouit pleinement. Je suis moi aussi aux anges. Quelques minutes passent, elle semble revenir à la réalité, mais ses désirs sont encore présents. Elle se retourne, se place à genoux, tout en conservant l’objet entre ses cuisses serrées. Elle me demande de lui caresser la raie des fesses, de l’embrasser, de la lécher pleinement, sans retenue ni respect. J’aperçois son autre trou, sombre, poilu, ouvert. Je peux y glisser un puis deux doigts, j’aime ce contact chaud, glissant, ouvert à tout. Je l’entends me dire de la prendre à cet endroit précis, surpris, je lui demande ce qu’elle veut dire, les réponses sont alors vite présentes..." place ton sexe dans mon trou du cul, n’aie pas peur, ne me respectes plus, je ne suis qu’une femme qui veut jouir, prends mes hanches dans tes mains, place ton sexe à l’entrée, mais avant mets moi ce corps gras, tu glisseras mieux....je lui obéis, je place mon sexe contre son ouverture, elle me dit alors de prendre ses seins à deux mains; et, à son signal, je pousse de toutes mes forces, elle hurle de douleur ou de plaisir, je sens que la pénétration semble difficile, je sens cependant la totalité de mon membre forcer ses muscles intimes, et bientôt mon ventre se plaque à ses fesses. Nos jouissances sont totales, bestiales, je prends ma grand mère selon sa volonté et ses désirs. Je la sens s’écrouler sur le ventre, un objet dur me compresse le sexe dans son étroit fourreau. Nous restons immobiles de longues minutes, l’un dans l’autre. Puis elle se dégage, se retourne, m’embrasse sur le front, et je l’écoute me dire: je savais que ceci arriverait, tu as toujours été mon "homme" et nous recommencerons. Depuis ce jour, je ne l’ai plus regardé de la même façon, mais je lui serai reconnaissant toute ma vie.
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