Après cette expérience nous n’avons pas pu recommencer tout de suite. Nos plannings au boulot mais aussi ta vie de famille ne nous le permis pas. Cependant, les rares moments, souvent en fin de journée, où nous étions tous les deux au bureau nous continuions nos jeux. Mes yeux parcouraient toujours autant ton corps, et tu faisais tout pour m’exciter en prenant des positions me permettant d’avoir une vue plus que généreuse sur tes décolletés. Ce n’était pas facile de rester discret au boulot, mais griser par cette interdit, j’essayer de plus en plus souvent de venir à tes côtés pour laisser mes mains te frôler « par inadvertance ». Ce petit jeu dura quelques temps, puis l’envie de recommencer l’emporta et un vendredi midi, tu me dis que tu passerais chez moi après avoir grignoté. Je suis donc rentré chez moi en 4ieme vitesse ce jour-là, pour manger vite fait et être fin prêt pour ta venue, qui se fit pile à la fin de mon repas. Quand j’entendis mon interphone, mon cœur se mit à battre plus fort. C’était la troisième fois que tu venais, mais l’émotion était toujours aussi grande. J’étais déjà excité, et mon sexe commençait à prendre du volume en attendant que tu montes les marches. Une fois arrivée à mon étage, je te pris ton manteau, et alors que tu te dirigeais vers la salle à manger, je te pris par le bras, te retournais pour me faire face et t’embrassais. Que c’était bon, j’adore vraiment tes baisers. Je libère la frustration accumulé par nos jeux au bureau, sans jamais quitter tes lèvres, je te guide jusqu’au canapé sur lequel tu butes pour finir assise. Je pose alors mes genoux de part et d’autre de toi, pour venir t’embrasser à nouveau. Mes mains partent sur tes seins, et alors que nos langues s’affolent je fais remonter ton tee-shirt ample, que je finis par te faire enlever. Je fais sortir ta poitrine au-dessus de ton soutif pour venir titiller tes pointes de mes mains. Je reviens t’enlacer, t’embrasser le cou pour remonter sur le lobe de tes oreilles. Mes mains viennent dégrafer ton soutien-gorge pour n’avoir plus aucune entrave sur tes seins. Pour mieux en profiter je viens m’assoir à tes côtés et viens y gouter. Je te lèche toute l’aréole, je souffle sur cette zone humide pour rendre encore plus dur tes tétons. Puis je viens englober l’ensemble dans ma bouche et je te tète. Cela te fait gémir, et je continue de plus belle. De l’autre main je viens caresser ton sein libre._ Oh oui c’est bon ! T’arrête pas. Je redouble mes caresses, je te suce avec plus de vigueur, tes gémissements m’excite tellement. Tu ne veux plus être passive et tes mains viennent entre mes jambes palper la bosse qui déforme mon jeans. On se caresse mutuellement, l’excitation monte encore. Mes mains délaissent tes seins, pour te procurer la même caresse que toi. Mais je déboutonne ton jeans, pour faciliter le passage de ma main. Je passe directement sous ta lingerie et viens en contact avec ton mont de vénus. Ma main glisse encore pour venir effleurer ton clito et finir sur tes lèvres humides. Je frotte de haut en bas en n’oubliant pas ton petit bouton, avant de te pénétrer d’un doigt. Cette intromission t’arrache un vrai cri._ Ouiiiiiiiiiiii Je commence mes vas et viens, doucement puis j’accélère. Je te regarde, tu as la tête en arrière pour mieux profiter de mes caresses. Alors que je ressors doucement et essaye de calmer le jeu, tu viens m’embrasser fougueusement. Alors que ta langue joue avec la mienne, je te pénètre à nouveau à fond et fait bouger mon doigt au fond de ta grotte ce qui t’arrache un second cri. Je retire le doigt pour bien vite y revenir mais avec deux cette fois ci._ Putain c’est trop bon ! Tu as des doigts magiques. Continue j’adore ce que tu me fais. Je continu de te doigter et reviens m’occuper de tes seins. Qu’est-ce que cela m’excite, je bande comme un âne, j’ai rarement étais aussi dur. Je te donne mon pouce à sucer sur tes lèvres ouverte cherchant l’air comme si tu étais en apnée. Tu le suces goulument en me regardant dans les yeux. Ta main reprend ses caresses et viens défaire les boutons de mon jeans. Tu l’ouvres bien pour un simulacre de branlette sur mon boxer. Je vois à ton regard que tu as envie de plus. Tu retires tes mains et écarte les miennes pour te lever et venir te mettre à genoux devant moi. Tu tires sur le jeans et le boxer, et je me soulève pour t’aider à me les enlever. Ta main vient enserrer ma bitte, et je peux lire toute ton excitation dans ton regard. Et tu le plonge dans le miens, quand tes lèvres viennent enserrer mon gland. Comme la première fois, tu ne gardes que mon gland en bouche que tu viens caresser de ta langue, et cela me procure des frissons partout._ Humm oui, c’est trop bon ! Dis-je quand tu descends, coulisse et fait entrer le plus possible mon sexe dans ta bouche. Quelle suceusse tu fais. La chaleur de ta bouche, l’agilité de ta langue me font grimper au rideau. Je gémis de plus en plus. Tu lâches parfois ma bitte pour partir de la base et me lécher en remontant en t’attardant sur mon frein et finir en gobant littéralement mon gland. Tu joues de ton regard quand tu me suces._ Tu aimes ça hein que je te suce ?_ Humm oui continu c’est trop._ Elle est bonne ta bitte ! Et je te vois replongée dessus, ton regard toujours dans le miens. Tes mots crus et tes talents m’excitent au plus haut point. Je me penche vers toi pour venir caresser ta peau douce de ton dos avant de remonter et poser mes mains sur ta tête pour t’accompagner dans ton geste de vas et viens. Puis je prends ta poitrine en main, et à chaque coup de langue bien placé de ta part je viens pincer tes tétons entre mes doigts. Ce traitement te fait gémir, et j’arrive même à t’arracher un cri. Malheureusement ce cri te fait lâcher mon sexe et ton regard ce portes sur mon horloge, et tu prends conscience qu’il est l’heure de mettre fin à nos joutes. Tu donnes un dernier coup de langue sur mon gland avant de te relever, je me mets bien vite debout pour venir caresser ta poitrine, puis t’enlacer. Tu m’écartes pour venir récupérer ton soutif, mais pencher sur le canapé, je viens derrière toi pour venir frotter mon sexe contre tes fesses. Avec ce petit jeu, tu as bien du mal à te rhabiller. Finalement, une fois tous les deux prêts on se dirige vers mon entrée. Mais l’envie est encore trop forte, je te plaque contre le mur pour venir t’embrasser et passe une main à l’intérieure de ton jeans. Je te déboutonne, pour faciliter ma caresse. J’ai trop envie de toi, je libère à nouveau mon sexe et descends ton jeans pour me frotter contre ton boxer. Emporter par l’excitation, je descends ton boxer pour frotter ma bitte sur tes lèvres trempées. On finis à terre, je me place sur toi et guide mon sexe en toi. Nous franchissons un cap. Nous n’avions pas osé jusque-là, mais je viens te pénétrer à fond._ Humm ouiiiiiii ! Nous crions en cœur notre plaisir. Mais pris par l’excitation je sens que je vais jouir et te le dit. _ Ne viens pas en moi stp. Et après seulement quelques allers retours, je ressors de toi et cours tant bien que mal à la salle de bain pour éjaculer dans le lavabo. On a connu plus romantique, pour une première fois ensemble. Cet acte n’était pas prémédité, mais une fois prêt à partir, on s’étreint tendrement On s’embrasse avant de sortir et de prendre la direction de nos voitures pour ne pas arriver en retard au boulot. Sur le chemin, je repense à ce moment si intense. Je ne pensais pas que nous irions jusqu’à la pénétration, mais au risque de passer pour un salaud, à ce moment-là je ne ressens aucune culpabilité. Juste un grand bonheur et un intense plaisir de ce que nous venons de vivre. Et je pense à notre prochaine fois, où maintenant je le sais, on pourra recommencer, mais plus longuement et ailleurs que par terre dans mon entrée…
