Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 64 J'aime
  • 8 Commentaires

Souvenir de vendée

Chapitre 1

Travesti / Trans
Rêves
Un samedi matin de ce début septembre, je pris la route en direction de cette station balnéaire de Vendée. Des amis m’avaient prêté leur grand studio où je devais séjourner une semaine. Arrivé à Angers, je fis un arrêt pour déjeuner dans une brasserie face au château du roi René. Bien que partant seul, j’avais quelques bagages, une valise avec mes vêtements masculins et une seconde valise avec ceux correspondant au développement de mon anima, avec bien sûr mon ordinateur et une petite glacière. Le temps était doux et je voyageais avec un pantalon en lin et une chemisette, le deux dissimulant un string blanc et un soutien-gorge de même couleur (où je n’avais pas ajusté de prothèses), cette tenue correspondait parfaitement à mon goût de porter des sous-vêtements féminins, la tension des bretelles du soutien-gorge me rappelant sa présence agréable lorsque je bougeais le buste ou les épaules, tout en sauvegardant une apparence masculine.
J’arrivais à destination en milieu d’après-midi et pris possession du studio et rangeais le contenu des valises et de la glacière. J’avais une semaine pour m’occuper de moi, sans contrainte horaire, professionnelle ou de représentation. Après une douche rapide, je partis en ville faire quelques achats pour le repas du soir et passais prendre rendez-vous pour le lendemain matin à 10h avec une manucure (chose que je faisais pour la première fois). Une fois renté au studio, je me changeais complètement, guêpière rouge avec prothèses B et tanga rouge, mini jupe noire, chemisier blanc, pendentifs d’oreille et collier rouge. Après le dîner, visite sur l’ordinateur de différents sites de travestis, visites agrémentées par la présence d’un plug anal de 3,5cm de diamètre. Puis au lit dans une nuisette violette avec culotte assortie.
Après une nuit de sommeil et un bon petit déjeuner, grande toilette avec rasage et épilation soignés. Pour la tenue, pantalon taille basse rouge et string assorti, soutien-gorge blanc sans prothèse cachée par un tee-shirt crème. Aux pieds des chaussures “bateau” cachant le vernis rouge des orteils. En route pour la manucure, jeune femme très sympathique, visiblement peu habituée à s’occuper des hommes mais souriante et compréhensive. Ongles avec un vernis incolore, qu’il est agréable de se sentir avec des mains soignées, je renouvellerai à Paris ce type de soin. Je me décidais pour une promenade sur le remblai. Ce dernier était très calme en cette période d’arrière-saison où les vacanciers étaient retournés au travail et les jeunes générations à l’école.
La marée montait doucement et les vaguelettes successives venaient s’étaler paresseusement sur le sable, précédées par un léger voile brumeux qui semblait rouler devant elles comme pour prévenir le sable de leur arrivée. Je regardais ce spectacle depuis un moment, lorsqu’un homme dans mes âges m’adressa la parole :
"Phénomène assez rare, dit-il, mais toujours fascinant que ces rouleaux de brume""C’est vrai cela est étonnant, je vais aller voir cela de plus près", dis-je, en me dirigeant vers l’escalier le plus proche descendant vers la plage."Cela vous ennuie si je vous accompagne", dit-il."Pas de souci".
Arrivé à la dernière marche, je me penchais en avant pour enlever mes chaussures et je sentis que le haut de mon string se montrait à l’arrière de mon pantalon, devant ainsi visible à l’homme qui descendait derrière moi.
"Qu’il est agréable de sentir le sable sous ses pieds" dis-je, "C’est vrai" dit-il, en regardant mes orteils avec leur vernis rouge.
Nous approchâmes du rivage et suivîmes les vagues, tout en discutant de vacances, de lieux à visiter dans les environs, de restaurants. La mer montait lentement et nous poussait petit à petit vers le remblai, puis, à partir d’un moment, elle nous obligea à regagner l’escalier le plus proche. Arrivé à ce niveau, je me penchais en avant pour enlever le sable de mes pieds et tournais la tête vers mon compagnon de promenade. Je vis qu’il regardait mon string qui avait réussi à se hisser en partie hors du pantalon. Je rougis et détournais le regard, puis au bout de quelques instants je me tournais à nouveau vers cet homme qui me regardait toujours. Nous échangeâmes un regard, je lui souris, il rougit et baissa tête. En montant l’escalier, il me dit :"Vous aimeriez un verre de cabernet bien frais avec des crevettes ?"
"Volontiers, merci"
Nous nous installâmes à une terrasse d’un des cafés du remblai et passâmes notre commande. Nous continuâmes notre conversation qui prit un tour plus personnel. Pierre, il s’appelait Pierre, il dirigeait, dans le sud de Paris, une entreprise de 50 salariés qui fabriquait des moteurs électriques et des pompes, mais selon lui le contexte actuel était très difficile et même pendant ces quelques jours de repos, il était en contact plusieurs fois par jour avec ses subordonnés. Je lui parlais de mon métier de professeur de biologie dans une université parisienne et de mon laboratoire de recherches. Il était célibataire et me dit être revenu dans cette station car c’est là qu’il avait passé ses dernières vacances avec son ami (e). Son ami (e) était décédé(e) voilà 2 mois d’un cancer foudroyant, 3 mois après la découverte de ce dernier.

"J’espère qu’elle n’a pas trop souffert, dis-je""Non ce fût très rapide, il est décédé sans trop de souffrance grâce aux soins palliatifs et à la morphine".
Silence...
"Je me penchais vers l’avant pour prendre une crevette dans le ravier posé sur la table et en même temps, à travers le tee-shirt, je remis en place une bretelle du soutien-gorge.
Il remarqua mon geste mais ne dit rien. Silence...
"On pourrait se tutoyer ?""Pourquoi pas", répondis-je."Tu es célibataire ?""Oui""Pas de petite amie ou petit ami ?""Non, pas pour le moment, et ce n’est pas facile de construire quelque chose de stable"."Pourquoi ?""Et bien tu as remarqué que j’aime porter des sous-vêtements féminins et les femmes admettent difficilement que leur compagnon porte ce type de sous-vêtements pour aller travailler et s’habille en fille le soir et les week-ends"."Tu n’as jamais été en couple ?""Si, j’ai vécu pendant 2 ans avec une femme qui avait beaucoup de mal à supporter mes goûts et elle partit pour aller vivre avec un"vrai homme" m’a t’elle dit.""Et ?""J’ai eu une autre expérience avec une fille qui était compréhensive et m’aidait pour les achats féminins et m’a initié au maquillage"."Et ?""Elle a rencontré une lesbienne et vit maintenant en couple avec elle"."Tu portes souvent des sous-vêtements féminins pour aller à la fac ?""Oui, très souvent. C’est une impression très agréable de penser que tout le monde voit ton costume-cravate, alors qu’en dessous tu es en bas, porte-jarretelles, string et petit soutien-gorge, et tous ces dessous se rappellent à toi quand tu fais cours devant un amphi de 600 personnes, en te déplaçant l’écran de projection"."Tu as déjà couché avec un homme "."Non""Pourquoi ?"" Je ne sais pas, l’occasion ne s’est jamais présentée""Et tu aimerais ""Peut-être, mais..." "Mais ?"" A condition que je sois habillé en femme".
Silence...
"Tu manges où à midi ?""Je vais aller manger un poisson à La Chaume" (un quartier de pêcheur de la station)"Je peux t’inviter ?""Nous y allons ensemble si tu veux, mais nous partageons""OK""Mais avant il faut que je repasse au studio""Ok, je passe te prendre ?""Ok, 12 h45 ?". Je lui donnais l’adresse et mon numéro de portable.
A ce moment son téléphone sonna, il répondit et fit une grimace, "c’est pour le travail", dit-il en occultant le micro. Je me levais et lui adressais un "à tout à l’heure" silencieux accompagné d’un petit geste de la main. Il me répondit de la même manière avec un sourire. Je regagnais le studio qui n’était qu’à quelques minutes à pied. Je me rasais à nouveau, pris une douche et me préparais. J’enfilais un pantalon blanc taille basse de coupe féminine, qui laissait voir le nombril. Le tissu était très fin et laissait apercevoir par transparence, pour l’œil attentif, un string de la même couleur.
Je mis un soutien-gorge, blanc lui aussi, avec des prothèses B qui donnent une jolie poitrine. Par dessus j’ajustais un petit gilet écru sans manche, fermé sur le devant par 5 boutons (je ne boutonnais pas les 2 boutons du haut). J’aime bien ce gilet court, car il s’arrête à 5cm du nombril et le fait qu’il n’ait pas de manche laisse parfois voir une bretelle de soutien-gorge qui glisse. Aux pieds des sandales tropéziennes. Pour le visage, un peu de cache-barbe, un léger fond de teint, un peu de fard à paupières vert, du mascara. Pour les lèvres, rouge à lèvre rouge et gloss. Enfin une perruque châtain clair au carré et pour les accessoires, des boucles d’oreilles, un pendentif, des bagues et un sac, tous rouges. Enfin prêt (e).
On sonna au visiophone, "c’est Pierre""J’arrive""J’ouvris la porte"
En me voyant, Pierre ouvrit la bouche en me regardant quelque peu éberlué.
"Wouah, je ne t’aurais pas reconnu !""Cela te plaît"" Beaucoup"
Il m’ouvrit la porte de sa voiture et nous partîmes. En quelques minutes nous fûmes à La Chaume et il fut facile de trouver une place devant le restaurant en cette période calme. Le maître d’hôtel nous conduisit à une table un peu isolée en bordure de terrasse dominant la côte sauvage. Je compris qu’il avait réservé. En apéritif un Kir royal, nous triquâmes : "Aux vacances ! Nous commandâmes assiette de fruits de mer et une langouste fraîchement pêchée.
"Et comme boisson ?" demanda le serveur. Pierre me demanda "Champagne ?""Oui, brut. La bouteille arriva en même temps que nos fruits de mer et nous trinquâmes à nouveau : "A nous, à nous ! Nous dégustâmes les fruits de mer et la langouste."Merci Pierre, ce repas est très agréable" dis-je tout en posant ma main sur la sienne."Que désires-tu comme dessert ?""Une omelette norvégienne""Tiens, pourquoi ?""Parce que l’extérieur ne laisse pas deviner ce qu’il y a à l’intérieur ! Rire de Pierre : "Excellent"
A la fin du dessert, son portable se remit à sonner, j’en profitais pour me lever, en m’excusant, afin de la laisser tranquille. Pour la première fois de ma vie je me dirigeais vers les toilettes "Dame", et tins la porte à une consœur qui en sortait et qui me remercia avec un joli sourire. En me regardant dans la glace, je réalisais le chemin parcouru depuis ce matin et pensais à ce qui était en train de se passer et de ce qui probablement risquait d’arriver, cette dernière pensée me fit sourire, j’étais à la fois impatient et intimidé. Lorsque je revins dans la salle, Pierre avait un air sombre. On nous apporta les cafés.
"Il va peut-être falloir que je retourne sur Paris rapidement, nous avons un problème avec un fournisseur"."Désolé""Ils me rappelleront plus tard, ne t’inquiète pas" et il posa sa main sur la mienne qu’il caressa doucement avec son pouce en me regardant dans les yeux.
Il régla l’addition et me prit par la taille pour sortir et me fit un bisou sur la joue une fois que nous fûmes dehors. Je lui rendis son bisou avec un tendre baiser déposé sur ses lèvres, il rougit et me serra contre lui. Une fois dans la voiture, il me demanda où je souhaitais aller."Au puits d’enfer. Le puits d’enfer est un ensemble de cavités où la mer s’engouffre avec des grondements, et qui se situe en bordure sud de la station. Tout en conduisant, il posa sa main droite sur ma cuisse gauche et l’y laissa, en réponse, je posais ma main gauche sur la sienne. Il dégagea sa main lorsqu’il manœuvra pour entrer dans le parking du site. Une seule voiture était garée.
Nous partîmes vers le site et il me prit la main, en route nous croisâmes un couple se tenant également par la main et qui retournait à la voiture que nous avions vue sur le parking. Arrivés près du puits, je me penchais en avant pour mieux voir. Il se plaça derrière moi pour me tenir par la taille et je sentis son corps qui touchait le mien. Instinctivement je me mis à faire de légers mouvements du bassin en forme de huit. Ces mouvements eurent l’air de lui plaire. Il me serra plus fort contre lui et je sentis sa virilité qui se nichait au creux de mes fesses. Je me retournais et pour la première fois de ma vie, j’embrassais d’un vrai baiser un homme. Ce baiser tout d’abord timide et chaste devint rapidement plus goulu avec l’envie de posséder la bouche de l’autre. Il me dit à l’oreille : "J’ai envie de toi. Je le regardais dans les yeux et répondis "Moi aussi"
Nous repartîmes en voiture sa main posée maintenant tout en haut de ma cuisse, la caressant doucement en se rapprochant de l’aine. En quelques minutes nous furent à son hôtel. Il se gara dans le parking souterrain et montâmes directement à sa chambre. En fait il s’agissait d’une suite avec une grande terrasse avec vue sur mer, un salon qu’il avait transformé en bureau, avec ordinateur et imprimante, et une vaste chambre avec un décor de marine. Je me déchaussais et laissais mon sac près du lit. Il commanda au room service du champagne pendant que j’allais m’appuyer à la rambarde de la terrasse, il me rejoignit me prit par la taille, me serra contre lui et m’embrassa dans le cou, tout en me caressant les seins, sa main descendant doucement vers mon sexe. Je me retournais, l’embrassais à mon tour, le serrais contre moi, sentant son sexe toucher mon ventre tandis qu’il me caressait les fesses. Le room service vint interrompre cette étreinte.
Nous rentrâmes à l’intérieur et trinquèrent à notre rencontre, j’étais dans un état gai, un peu euphorique à cause de l’alcool et de ce qui était en train de se produire. Il s’assit dans le canapé, je me mis sur ses genoux et tout en continuant à l’embrasser, je caressais sa poitrine, je défis les boutons de sa chemise qui se retrouva derrière le canapé. Je mordillais ses tétons tandis qu’il poussait de petits gémissements. Mes baisers glissèrent ensuite vers le nombril puis plus bas à travers le pantalon. Je défis le pantalon et le tirais vers le bas pour l’enlever. A ce moment je vis qu’il portait un tanga vert pâle, étonné je le regardais et il rit en me disant que je n’étais pas le seul à aimer les sous-vêtements féminins. Nous rîmes tous les deux, tandis que son sexe pointait sa tête en dehors du tanga. Je libérais son sexe et le pris en bouche. Pour la première fois de ma vie j’embrassais un sexe d’homme, je m’appliquais le mieux possible et très rapidement ses gémissements se firent plus sonores. Il me dit d’arrêter, me fit relever et me déshabilla, tout d’abord le gilet, puis le pantalon et le string. Je ne voulus pas qu’il m’enlève le soutien-gorge. A son tour il prit mon sexe en semi-érection dans sa bouche et le suça comme une tétine ce qui nous fit sourire tous les deux. Il m’allongea sur le lit.
Je lui dis à l’oreille, tout en mordillant cette dernière, d’attendre. Je pris un tube de lubrifiant dans mon sac et un préservatif que je lui passais et recouvris également de gel."Je suis prête, va y doucement, je suis vierge, même si mon rectum a déjà connu quelques plugs. Il sourit, m’embrassa tendrement et commença à me pénétrer tout doucement, puis par des mouvements imperceptibles se mit à rentrer un peu plus à chaque fois. Je ne ressentis aucune douleur mais une sensation de plénitude et d’épanouissement.
"Vas-y"
Ses mouvements se firent plus rapides et plus violents et je l’accompagnais par des mouvements du bassin et des contractions rythmiques des sphincters. Je jouis dans un grand cri, tandis que je sentis qu’il se libérait dans le préservatif.
Il se posa sur moi et me dit : "Tu es formidable""Tu m’as fait devenir femme, merci". "Tu es merveilleuse, veux-tu devenir ma femme ?"Si tu le souhaites vraiment, je veux bien".
Il m’embrassa très tendrement et descendit à nouveau vers mon sexe devenu tout petit, l’embrassa, le suça, le mordilla pour notre plus grand plaisir à tous les deux.
"Repose-toi"
Je me mis sur le côté et ne tardais pas à m’endormir en repensant à tout ce qui venait de se produire. A mon réveil, une demi-heure plus tard, je vis qu’il m’avait recouverte d’un drap. Il était nu dans le salon en train de travailler sur son ordinateur, quand il me vit il dit :
"Comment vas-tu ? Pas trop mal ?"Très bien et pour répondre à ta deuxième question, pas du tout, tu es un ange de douceur"
Je m’approchais de lui et déposais un baiser sur ses cheveux pour ne pas le déranger. Je me dirigeais vers la salle de bains vêtue de mon seul soutien-gorge, mon sexe se balançant doucement. Je me pris à remarquer que je marchais les deux pieds sur une même ligne et qu’en même temps j’ondulais des hanches, quelle sensation merveilleuse de se sentir vraiment femme pour la première fois. Au sortir de la salle de bains, il m’appela et me dit de venir m’asseoir sur ses genoux. Je m’assis donc face à lui sur ses cuisses en écartant les jambes et sentis que sa virilité était à nouveau bien présente et disponible.
"Je peux ?" demanda-t-il"Je suis à toi" répondis-je
Je présentais mon sphincter à son sexe et pris le contrôle des opérations en soulevant rythmiquement mes hanches tout en l’embrassant profondément et en lui caressant et pinçant les seins, tandis que ses mains posées sur mes fesses me donnaient le tempo. Rapidement, il jouit et je récoltais dans mon fondement le fruit de son plaisir. Il m’attira vers lui, m’embrassa avec fureur et me dit : "Je t’aime"
"Moi aussi"
A ce moment, il reçut un nouvel appel téléphonique, il fronça les sourcils et dit :’D’accord je serais là tôt demain matin. Je compris alors que mon amant allait repartir sur Paris avant la fin de la journée.
"Je suis désolé" dit-il "il va falloir que je rentre sur Paris ce soir, j’espère que tu ne m’en voudras pas""Bien sûr que non, nous aurons d’autres occasions de nous revoir dans la capitale""Evidemment" et nous échangeâmes toutes nos coordonnées téléphoniques et mails."Je vais rentrer au studio, pour que tu puisses te préparer tranquillement, tu me donneras des nouvelles lorsque tu seras arrivé" et je me dirigeais à nouveau vers la salle de bains pour m’habiller et me rafraichir le visage et faire une petite toilette intime."Laisse-moi ton string" je lui laissais mais enfilais en échange son tanga vert pâle.
Après un dernier baiser et quelques caresses, je rentrais au studio. Je me démaquillais, pris une longue douche et m’installais devant la télévision en me remémorant cette "folle journée" où j’avais réalisé ce que j’appelais de tous mes vœux depuis longtemps sans le savoir, devenir la femme d’un homme qui m’aime. Après un dîner rapide à la maison je m’endormis en nuisette violette et ... tanga vert. A mon réveil, je vis que j’avais un SMS posté à 3h du matin : "Suis arrivé, je t’aime, Pierre. A 9h, on sonna à la porte alors que j’étais en sous-vêtements, bas, guêpière, soutien-gorge mais sans-culotte, sans maquillage ni perruque.
J’enfilais rapidement un peignoir et allais ouvrir. C’était un fleuriste qui me livrait une douzaine de roses rouges avec juste un petit mot : "Je t’aime, à bientôt, Pierre". La fin de ma semaine se passa comme dans un rêve, je fis les boutiques et les supermarchés de la région pour agrandir ma garde-robe féminine et me faire faire des soins esthétiques. Je décidais de repartir le samedi en fin de journée, afin d’arriver à Paris au milieu de la nuit. Ces horaires me permettaient de voyager totalement habillée en femme et de ne croiser personne à mon arrivée dans l’immeuble. Le dimanche matin je prévins Pierre de mon retour. Il répondit immédiatement en disant :"Je viens te voir à midi, je me languis de ma petite femme". Une nouvelle vie commençait, mais comment allais-je gérer ma situation au niveau professionnel ?
Diffuse en direct !
Regarder son live