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Souvenirs...

Chapitre 1

Inceste
C’est aujourd’hui mon anniversaire, j’ai 18 ans ! Et je suis reçu au bac, c’est le début des vacances et il fait beau.Je suis né à la fin de la dernière guerre dans une ferme au fin fond de la Lorraine profonde. Papa était ouvrier dans une scierie locale (il a évolué depuis) et maman était mère au foyer. Quand je suis né maman avait 19 ans et papa en avait 21.Nous étions une famille heureuse, nous n’étions pas riches mais nous ne manquions de rien. Nous n’avions pas de confort mais c’était le lot de tout le monde à la campagne à l’époque.Maman, qui s’appelle Julie, est une jolie femme ronde, blonde naturelle, de jolis seins et de belles fesses, on pourrait la qualifier de plantureuse. Elle n’est pas avare de ses charmes et ne m’a jamais caché sa nudité. Comme la ferme où nous vivons est à l’écart de toute habitation, à la belle saison nous sommes souvent très légèrement vêtus. Maman, en été, ne porte généralement qu’une robe légère boutonnée devant et jamais rien dessous ce qui fait que je n’ignore rien de son anatomie. Papa qui s’appelle Marc, quand il rentre le soir et que le temps le permet se lave au puits dans la cour de la sueur de la journée et, le plus souvent, il reste nu pour le reste de la soirée. Je trouve qu’il a une belle queue, longue avec un gros gland et maman est manifestement de mon avis puisqu’elle n’arrête pas de le toucher et de le câliner. J’étais un peu jaloux de la queue de papa, la mienne était beaucoup plus petite à l’époque et bien que maman me la caressât tout le temps j’avais peur, à tort, qu’elle ne me préfère celle de papa.
Au début de leur union, mes parents cultivaient une petite parcelle, ils avaient aussi une vache pour le lait et un grand potager. Pour les gros travaux comme la fenaison, mon oncle Claude, le frère de maman, venait donner un coup de main avec son cheval. Je me souviens d’une scène qui m’a beaucoup marqué à l’époque. C’était le soir, en été, nous étions tous les trois à l’étable, je jouais avec le petit veau que nous avions alors, papa renouvelait la litière de la vache que maman était en train de traire. Maman était donc assise sur le petit tabouret destiné à la traite, le seau entre ses genoux écartés, dans cette position elle avait ouvert tous les boutons du bas de sa robe. Ses belles cuisses un peu grasses étaient donc dénudées jusqu’au ventre. Cela a dû inspirer papa, il a posé sa fourche contre le mur, s’est approché de maman, s’est collé contre son dos et lui a malaxé les seins après lui avoir ouvert les derniers boutons de sa robe. Maman a tourné la tête vers lui en souriant, elle lui a dit quelque chose que je n’ai pas compris d’où j’étais.
Papa a sorti sa queue raide et maman l’a embouchée, je voyais ses joues se creuser et se gonfler au rythme de ses succions. Papa n’a pas tenu longtemps, il a sorti sa bite de la bouche de maman et j’ai vu de longs jets blanchâtres que papa a dirigés dans le seau que maman tenait entre ses genoux. Le lendemain matin au petit-déjeuner, je n’ai pas trouvé de goût particulier au lait.
A l’époque, la satisfaction des besoins naturels se faisait tout aussi naturellement à la campagne. Nous avions « une cabane au fond du jardin » mais elle n’était pas utilisée systématiquement. Pour pisser, papa et moi sortions notre queue là où nous étions quand nous travaillions à l’extérieur et nous pissions par terre. Maman, comme elle ne portait jamais de culotte, se contentait d’écarter les jambes et laissait couler sans se cacher devant nous. Pour « la grosse commission » on le faisait dans la litière à l’étable, souvent l’un à côté de l’autre. Personne n’était gêné, c’était naturel, j’imagine que c’était partout pareil dans les campagnes reculées.Je me souviens d’un été, c’était un samedi car papa était là, nous devions rentrer les foins. Pour cela oncle Claude nous avait amené son cheval et sa charrette.
— Salut petite sœur chérie, salut Marc, salut Lucas (c’est moi), je vous amène de quoi travailler.— Salut frangin, viens boire un coup avant de rentrer.
Maman avait pris son frère par la main et lui l’avait prise par la taille, en marchant mon oncle a laissé glisser sa main de la taille à la fesse de maman qui se contenta de rire.
— Si tu as le temps mon frère chéri, j’ai envie de te faire une pipe avant que tu partes, je vois que ta queue est déjà toute dure.— Tu es un amour de sœur, si je ne t’avais pas je serai obligé de me branler.
Mon oncle sortit sa queue que maman s’empressa d’emboucher.
— Tu vois fiston, ta maman et ton oncle s’aiment vraiment beaucoup, ta maman m’a raconté qu’ils ont perdu leur pucelage ensemble, l’un avec l’autre et ils continuent de s’aimer comme au premier jour.
Une fois mon oncle reparti les couilles vides, nous nous mîmes à charger le foin. Maman était sur la charrette pour répartir les fourchées que papa lui lançait, moi, à l’aide d’un râteau, je ramassais les brins qui traînaient. Une fois tout chargé il a fallu faire descendre maman du tas de foin. Papa était à l’arrière de la charrette :
— Chérie assieds-toi et laisse-toi glisser, je t’attraperai.
Maman s’assit et se laissa glisser lentement. En glissant, sa robe déjà très déboutonnée, remonta sur ses cuisses et nous dévoila son minou. Papa l’attrapa sous les cuisses et bloqua sa descente. Il approcha sa bouche de la jolie chatte et la lécha copieusement. Maman ne mit pas longtemps à avoir son orgasme et papa la reposa par terre. Maman s’agrippa à lui en haletant, en se serrant contre papa elle s’aperçut que ce dernier avait une trique monumentale, elle s’empressa de la mettre à l’air et sans la lâcher, elle se tourna remonta sa robe et présenta le gland turgescent à l’entrée de sa chatte encore ruisselante de son récent plaisir. Papa l’attrapa par les hanches et s’enfonça d’un seul coup dans la chatte accueillante. Devant ce spectacle je ne restai pas insensible, je sortis ma queue et commençai à m’astiquer.
— Viens ici mon petit chéri, je vais te sucer, c’est dommage de gâcher ton foutre que j’aime tant avaler.
Maman emboucha ma queue et me suça tendrement. Très vite papa et moi remplîmes respectivement la bouche et la chatte de maman qui jouit derechef.J’étais un enfant heureux et comblé, j’étais parfaitement libre, quand l’envie m’en prenait, je pouvais me caresser la queue en présence de mes parents qui, au contraire m’encourageaient à ne pas bouder le plaisir et maman était toujours partante pour me soulager et, en même temps prendre son plaisir.Un jour, nous étions au potager, maman et moi à désherber. Maman était devant moi, penchée en avant et j’avais sous les yeux son beau et gros cul qui oscillait au rythme de ses mouvements. Ma queue était raide dans mon short léger et je la caressais doucement. Maman devait sentir mon regard insistant, elle se retourna en souriant :
— Chéri, c’est la vue de mes fesses qui te met dans cet état ? Tu voudrais me la mettre ? J’ai une idée mon petit cœur, j’aimerais que tu me la mettes dans le trou du cul, je n’ai pas réussi à chier ce matin, peut-être que si tu me remplis le boyau avec ton foutre, ça ira mieux.
Je me plaçai derrière maman, penchée en avant, les mains aux genoux elle me tendait ses fesses superbes, je me penchai pour lécher copieusement son trou du cul pour le lubrifier, je présentai mon gland sur sa rondelle plissée et quand maman sentit que je poussais elle poussa aussi pour faciliter la pénétration. Je fus tout de suite au fond de son trou et commençai à limer énergiquement. Maman haletait et d’une main se caressait le clito pour venir plus vite. Je sentis monter mon plaisir, je me raidis, poussai ma queue au fond du trou du cul de maman et lâchai plusieurs jets de foutre épais dans son boyau, maman jouit en même temps et tomba sur les genoux ce qui fit sortir ma queue de son cul. Dans cette position elle poussa pour faire sortir mon foutre mais à force de pousser, elle expulsa un gros et bel étron qui tomba entre ses pieds.
— Hou mon chéri je crois que c’est la première fois que je jouis en chiant, c’est génial !
Voilà donc quelques souvenirs de ma jeunesse, j’aime toujours autant mes parents, je fréquente maintenant une fille de mon âge et nous nous entendons très bien. Surtout depuis le jour où, après une partie de jambes en l’air elle m’a demandé où j’avais appris à baiser, je lui dis que c’était papa par ses conseils et surtout maman par ses « travaux pratiques » qui m’avaient appris à donner du plaisir à mes partenaires. Quand elle a appris que je baisais avec mes parents elle était sincèrement enthousiasmée et me dit qu’elle avait hâte de les connaître.FIN
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