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Souvenirs : M

Chapitre 1

Hétéro
Je me rend compte, en comparant mes récits avec les autres, que les miens sont beaucoup moins.... hard !
Néanmoins, tant que je posterai des souvenirs réellement vécus, je ne compte pas les enjoliver en y rajoutant des scènes inventées. Quand j’écrirai des récits imaginaires, je préviendrai donc les lecteurs et me livrerai toutes les fantaisies que mon imaginaire me permettra....
Je vais aujourd’hui raconter ce qui c’est passé avec ma tante maternelle, "M". Je suis persuadé, même avec le recul, qu’elle n’avait aucune envie de faire l’amour avec moi. Je pense que c’était juste une sorte de jeu, une complicité particulière et un peu scabreuse....
Tout commença un Dimanche après-midi. Avec mes parents, nous avions été invités à déjeuner chez mon oncle et ma tante et, à la suite du repas, nous étions partis nous promener. Il y avait un parc, non loin de chez eux.... Une ancienne propriété bourgeoise, transformée en jardin public. Au détour des allées, se dressaient à intervalles réguliers, des statues de nus, d’inspiration grecque. Les hommes était tous des athlètes musculeux et les femmes avaient des formes rondes, voire grassouillettes.
Curieusement, les hommes, malgré leur stature puissante et leurs muscles saillants, étaient sculptés avec des sexes, en comparaison, minuscules.... Ce détail n’avait pas échappé à "M", puisque, alors que nous étions à la traîne tous les deux et que nous passions au pied d’un guerrier barbu, elle me regarda en disant : -"Et bien !.... J’espère que tu es mieux monté qu’eux !". Et elle tourna les talons en éclatant de rire...
Je connaissais ma tante. Plus jeune que ma mère, de plusieurs années (nous n’avions qu’une dizaine d’années de différence), il émanait d’elle une impression de joie de vivre et de dynamisme. Je savais qu’elle était capable d’avoir un humour grivois et paillard et, d’après les récits de ma mère, qu’elle avait toujours eu beaucoup de succès auprès des garçons. Mais c’était bien la première fois qu’elle me ciblait de façon aussi direct. Du haut de mes 16 ans, je ne savais pas trop comment réagir et je restais un peu interloqué.
Elle revint à la charge quelques instants plus tard... Je regardai une statue représentant une Diane Chasseresse, seulement vêtue d’une étoffe légère cachant à peine son bas-ventre. -"Je suis sûr que tu rêves de la déshabiller et de la toucher ?", me demanda t-elle.
Pour prouver que j’étais un mec très au fait de ce genres de choses, je lui répondis par un "Oui", que j’espérai suffisamment mature et viril. -"Pourquoi regardes-tu autant ces statues, alors que tu as une femme superbe, en chaire et en os à tes côtés ??", poursuivit-elle en se désignant de façon théâtrale.
Et de nouveau, sur un éclat de rire, elle me planta là en poursuivant son chemin...
Si sa première intervention m’avait laissé interloquer, celle-ci me plongea dans un abîme de confusion. Mais qu’est ce qu’elle racontait ? Pourquoi me disait-elle ça ? Néanmoins, j’obéis à sa suggestion et m’appliquais à la regarder. C’est vrai qu’elle était séduisante et élégante. Elle avait un visage rond avec des cheveux noirs qu’elle laissait pousser, des yeux pétillants d’humour et une bouche pulpeuse. La rondeur de son visage se retrouvait dans les formes de son corps, mis en valeur par un tailleur. Sa croupe tendait la jupe, qui, s’arrêtant au dessus des genoux, laissait voir des jambes magnifiques, gainées dans un collant couleur chaire.
J’en étais là de mes observations, quand je me rendis compte que je bandais ! Comme un malade, qui plus est ! Était-ce ce qu’elle recherchait ?
Si c’était le cas, elle avait réussi. Quelque peu gêné, j’essayais de cacher mon érection en tentant de refermer dessus les pans de ma veste et surtout, en me tenant à l’écart...
Évidement, ma tante ne laissa pas tomber. Je m’étais arrêté (le terme de "caché" conviendrai peut-être mieux) devant des statues représentant trois femmes enlacées, quand elle me rejoignit pour la troisième fois. -"C’est les statues ou c’est moi qui te mets dans cet état ?", me dit-elle, triomphante. Je me sentis rougir. -"En tous cas..." poursuivit-elle, "....je suis rassurée ! Tu es beaucoup mieux pourvu que ces messieurs !". Je ne savais plus ou me mettre.
Elle continua, en baissant le ton. -"Tu sais, quand je suis dans cet état là, chez moi, je file dans ma chambre ou dans la salle de bain !". Elle avait les yeux fixés sur la bosse de mon pantalon.
Inutile de vous dire, qu’en rentrant chez-moi ce jour là, je m’enfermai moi aussi dans ma chambre. Je me fis jouir à deux reprises avant le repas du soir. Malheureusement, cela ne dû pas suffire, puisque la nuit venue, je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Mon esprit était traversé de visions érotiques, ou ma tante tenait le rôle principal. Je sentais son parfum, je revoyais ses fesses sous le tissus de sa jupe, j’entendais sa voix me répéter qu’elle filait dans sa chambre "...quand elle était dans cet état...". Je m’imaginais déshabillant, non pas une statue, mais elle, mes mains parcourant son corps, se glissant sous ses collants et dans sa culotte.... Je me dénudai sous ma couette et à quatre pattes sur mon matelas, je me branlais encore une fois. Je m’endormis enfin, tard, la main serré sur mon sexe.
______________________________
Quelques semaines plus tard, nous retournâmes manger chez eux.
Après le repas, mon père et mon oncle partirent chez un voisin suivre un match de foot. Mes cousines rejoignirent des amies du quartier et comme cela ne m’intéressais que très moyennement de les suivre, je restais à la maison, squattant le canapé après avoir pillé la collection de BD de mon oncle. Ma mère s’assit dans un fauteuil et ma tante me rejoignit sur le sofa. Elle retira ses escarpins, replia ses jambes sous ses fesses et y installa un plaid, comme pour les réchauffer.
Au bout d’un moment, je sentis quelque chose de doux et de chaud effleurer ma cuisse, puis s’y presser fermement. Je compris que sous le coussin recouvrant ses pieds, ma tante avait, peu à peu, allongée ses jambes pour pouvoir me toucher. Je sentais la chaleur de sa peau à travers le jean. J’étais tétanisé ! J’avais chaud et, bizarrement, ma BD ne m’intéressait plus autant. Ma mère et elle, continuaient de discuter. Ma tante ne laissait rien percevoir de ce qu’elle faisait. Je me mis à bander avec une volupté, un plaisir que je n’avais encore jamais ressenti. Je sentais mon sexe qui gonflait petit à petit et se "dépliait", de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon. Il me prit l’envie folle de me déboutonner et de me branler là, devant ma tante pour qu’elle voit l’effet qu’elle me faisait.... Je me contentais de glisser doucement ma main droite sous le livre que je tenais sur mes genoux et, du bout des doigts, d’effleurer mon gland à travers ma braguette. Je réussi même à glisser mon index à travers les boutons et à toucher la chaire brûlante et humide qui palpitait en débordant du slip.

Je dus tressaillir involontairement, car ma tante se retourna brièvement vers moi. Le visage brûlant, je ne pus m’empêcher de la regarder. Se rendit-elle vraiment compte de ce que je faisais ? En tous cas, son regard s’attarda quelques secondes sur le livre qui cachait ma main, puis sur l’endroit où, maintenant, ses pieds caressaient doucement ma jambe. Ses yeux se fixèrent aux miens et elle me sourit, avant de reporter son attention sur sa sour.
Je pense que j’ai certainement pris cet échange silencieux pour un signe de compréhension, de connivence et d’encouragement car, de façon impulsive, je glissais ma main gauche sous le coussin. Bien que cela me semblait impossible, je me sentais encore plus chaud et eu la nette impression que la peau de mon visage allait s’enflammer. J’avais la gorge sèche et nouée. Doucement, ma main s’enfonça sous le coussin et rencontra la douce chaleur d’une des chevilles de tante "M". Bien que mon geste fut pleinement conscient et décidé, je sursautais, comme surpris de trouver là ce que j’était pourtant venu y chercher. Ma tante poussa un soupir, mais n’interrompit pas le mouvement de ses pieds contre ma cuisse et encore moins sa discussion. Ma main glissât lentement et j’appréciais le contact à la fois doux et électrique de ses collants. J’entrepris alors moi aussi de la caresser, massant doucement ses chevilles et ses pieds, passant de l’un à l’autre en un ballet inlassable. Pendant ce temps, mon autre main avait élargie un peu plus l’ouverture de ma braguette et, cachée par ma bande dessinée, avait permis à mes doigts d’avoir plus de place. Je pouvais maintenant faire des va-et-vient discret autour de mon gland... Je me surprenais moi-même de cette hardiesse.
Quelques minutes plus tard, ma mère se leva, déclarant qu’elle se rendait en cuisine refaire du café. Ma tante manifesta son assentiment et, sa sour partie, se tourna de nouveau vers moi. Ses pieds se plaquèrent encore plus contre moi et leurs frôlements s’intensifièrent contre ma cuisse. Elle posa l’un d’eux sur ma main, qu’elle taquina de ses orteils. Elle me sourit gentiment et me demanda si j’allais bien... Je tentais de répondre "oui", mais, la gorge nouée, je ne pus que hocher la tête. Elle tendit alors l’une de ses jambes, qu’elle allongeât sur les miennes. Se faisant, je la senti qui frôlait ma main droite, toujours occupée à masser mon sexe, douloureux à force d’être tendu et s’y appuyer franchement. Le mouvement fit lentement glisser mon livre, qui, petit à petit, finit par chuter de mes genoux. Instinctivement, je me levais pour le ramasser et.... me retrouvais comme un idiot, debout devant ma tante, les boutons du jean à moitié dégrafés sur une érection de belle taille, formant une bosse sous la toile. Tante "M" éclata de rire devant mon air déconfit et me suggéra d’aller faire un tour dans la salle de bain pour me calmer.
Ce que je fis.
Je terminais de déboutonner mon jean, qui tomba sur mes chevilles, baisait mon slip et m’assit sur la cuvette des toilettes. Mon sexe se dressait, le gland rouge et gonflé laissait couler un liquide clair, qui l’avait déjà abondamment lubrifié. Je glissai ma main gauche sous mes couilles, que je massais doucement pour en soulager la douleur, tandis que la droite se posait sur mon gland. Je tressaillis, tellement il était devenu hyper-sensible. Puis, je commençais un mouvement de va et vient, remontant et abaissant la main le long de ma queue. Je m’activai déjà depuis quelques instants, quand on frappa à la porte. Je me figeai... La voix de ma tante se fit entendre et demanda : -"Tu en es ou ? Tu n’as pas encore fini ?... Il faut que tu te dépêches, moi aussi il faut que j’y aille, j’ai envie !... Préviens-moi quand tu auras terminé !".
Aujourd’hui encore, je n’en reviens pas !!....
Quoi qu’il en soit, après un instant de stupeur et de panique, le son de sa voix et les mots employés, eurent un effet aphrodisiaque. J’accélérai mon mouvement et, obéissant impulsivement à sa demande, j’élevai la voix pour dire : -"Ca y est, j’ai terminé !".... et je jouis, me mordant la main gauche pour ne pas crier. Mon sperme jaillit et mouilla mon pantalon, mon ventre et le carrelage.
Après m’être essuyé et avoir rapidement épongé les taches sur le carrelage avec du papier hygiénique, je ressortis de la salle de bains. Ma tante était toujours là, m’attendant dans le couloir, derrière la porte. -"C’est bien..." me dit-elle en m’effleurant la joue. "A moi maintenant.".
Au lieu de retourner dans le salon, je restais moi aussi dans le couloir, tendant l’oreille aux bruits qui filtraient de la pièce. Je cru entendre tante "M" se déshabiller. Il me sembla également entendre des bruits un peu plus évocateurs.... Mais peut-être n’était-ce que mon imagination, particulièrement fertile. Quand la chasse d’eau retentit, je quittais mon poste et regagnait le canapé. Ma mère n’était toujours pas revenue.
Ma tante revint quelques minutes plus tard et en la regardant approcher, j’eu l’impression qu’il y avait quelque chose de changer . Ce n’est que quand elle reprit sa place que je mis le doigt dessus. Elle avait changé de collants ! Ceux-ci étaient maintenant noirs. Elle suivi mon regard qui remontait le long de ses jambes et me sourit... -"J’ai été obligée d’enlever les autres.", me dit-elle, "Ils étaient tout mouillé !".
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Dans les mois qui suivirent, mes parents manifestèrent le désir de profiter de leur moindre temps libre pour rester entre-eux. Je devais comprendre, bien plus tard, qu’ils avaient des problèmes de couple et qu’ils souhaitaient ainsi les régler. En vain, puisque tous ça devait se solder par un divorce.
Quoiqu’il en soit, ce fut une époque "bénie" pour moi... En effet, dans leur souci de se retrouver entre-eux, la plupart de mes week-ends et de mes vacances scolaires, étaient une occasion de passer du temps loin du domicile familial. Ainsi, je fus invité par des amis ou par des membres de la famille. Dont mon oncle et ma tante....
En février, pendant les vacances, ceux-ci proposèrent à mes parents de me recevoir dans leur maison de campagne. Mon père et ma mère acceptèrent et ce fut avec plaisir que je partis les rejoindre.
Mes cousines passant quelques jours chez leur grands-parents, j’occupais leur chambre au rez-de-chaussée, plutôt que la chambre d’ami, à l’étage.
La deuxième nuit, lisant dans mon lit, j’entendis venant du plafond, des rires et des chuchotements. La chambre de mon oncle et de ma tante, était située dans le grenier qui avait été retapé et aménagé. Le vieux plancher, en bois de chêne, laissait facilement passer le moindre son. Ces rires s’interrompaient et reprenaient, entrecoupés de périodes de silence ou par des paroles que je ne comprenait pas. Au bout d’un certain temps, intrigué et vaguement excité, je me levai et me glissai silencieusement dans le salon, plongé dans l’obscurité. Sans en être certain, je me doutai évidement de ce qui pouvait se passer la-haut. Je me dirigeai à tâtons vers le pied des escaliers et m’assis sur la première marche en tendant l’oreille.
Les bruits étouffés se transformèrent bientôt en gémissements... Mon sexe se dressa peu à peu dans mon caleçon et je me sentis devenir brûlant. Je baissais le vêtement, libérais mon membre et me rassis sur la marche. Les gémissements se faisaient plus forts, moins contenus. J’imaginai ma tante, ouverte, chaude et ruisselante sous les caresses de mon oncle. Je pensai à ses seins lourds et à sa croupe généreuse. Je me souvenais de sa chair chaude, pressée contre ma cuisse sur ce canapé. Je la voyais, les cheveux défaits, les joues rouges, les yeux brillants, ses jambes s’ouvrants et se refermant, poussant son ventre à la rencontre des doigts, de la langue, ou de la queue de son mari. Lentement, je me branlais, assis là, à moitié nu dans le salon. Je m’imaginai avec elle ou même, pensée étrange, avec eux, les regardants, me masturbant devant ma tante qui me fixait en prenant son plaisir et qui m’encourageait avec des mots crus. Les gémissements s’intensifièrent, accompagnés de "Oui... encore.... maintenant...".
J’éjaculais longuement, presque douloureusement.... Mon sperme se répandit sur le parquet en jets puissants et je criai de plaisir. Je cru un instant (et je pense même que je l’espérai), qu’ils m’avaient entendus. Mais non ! Je me levai et tentai dans le noir, d’éponger mon sperme avec mon caleçon roulé en boule. J’avais à peine terminé, que j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir et la voix de ma tante. Paniqué, je me levais précipitamment et, le plus silencieusement possible, tentais de regagner ma chambre sans heurter un meuble. J’y parvins au moment ou elle atteignait la marche sur laquelle je m’étais assis. Je fermais la porte, me précipitais sur le lit et rabattis la couette sur moi. Je m’aperçus alors que j’avais, dans la précipitation, lâché mon caleçon.
Je vis de la lumière filtrer sous la porte et entendis ma tante traverser la pièce et se diriger vers la petite salle de bain. Quelques minutes plus tard, elle revint et je distinguai un mouvement derrière la porte.... qui s’ouvrit. Je fermais les yeux et me tint le plus immobile possible, m’efforçant de respirer le plus calmement possible. Ma tante resta là quelques instants, immobile dans l’embrasure. J’entrouvris doucement mes yeux et, dans la mince fente entre mes paupières, je distinguai sa silhouette. La lumière derrière elle, rendait très visibles les formes de son corps, à travers le fin tissus de sa chemisette de nuit. Mon sexe se dressa de nouveau par saccades, frottant sur la toile rêche du drap en lin. La tension devenait intolérable. Puis.... ma tante referma la porte et j’entendis les marches grincer quand elle les gravit. De nouveau excité, je me frottais sur le drap. Je savais que sans mon caleçon, je ne pourrais ni m’essuyer, ni recueillir mon sperme pour ne pas tout éclabousser. Mais je m’en foutais. Je voulais jouir encore. Les jambes écartées, légèrement redressé sur mes genoux et appuyé sur mes coudes pour que seulement l’extrémité de mon sexe soit en contact avec le drap, je me frottai longuement. Je découvrais que le lin était agréable pour ce genre de pratique. Son côté râpeux excitait encore plus mon gland déjà sensible et décuplait mon plaisir. Mon va et vient se fit plus frénétique, plus incontrôlable et je giclai.... Repus, haletant, je me recouvrai et m’endormis, couché dans mon sperme qui refroidissait.
Le lendemain, je fouillais mes affaires pour trouver un autre caleçon et me levai pour partir à la recherche de celui perdu la veille, pendant ma fuite précipitée.
Tante "M" était déjà debout et, les pieds nus, revêtu d’un chandail et d’un pantalon court, qui moulaient ses formes, lisait un roman en buvant son café. Par la fenêtre, j’aperçus mon oncle, travaillant dans le jardin. Le plus discrètement possible, m’efforçant de prendre un air dégagé, je parcourais nonchalamment la pièce à la recherche du sous-vêtement. -"Tu ne viens pas manger ?", me demanda ma tante.
Je m’asseyais donc à table, mais mes yeux continuaient de fouiller la pièce. Ma tante posa devant moi un bol de café fumant et m’annonça : -"Si tu cherches ton caleçon, je l’ai mis avec le linge sale,.... Il était tâché !".
Je me sentis rougir jusqu’aux oreilles et m’absorbais dans le beurrage de mes tartines. Elle avait, sans aucun doute, dû se rendre compte de la nature des tâches en question. Elle ne fit cependant aucune remarque. Mais mon esprit ne put s’empêcher de travailler. Qu’avait-elle pensé ? Qu’est-ce que cela lui avait fait ? Avait-elle deviné ce qui avait provoqué mes émois ? A cette évocation, mon sexe se réveilla sous la table et je fut pris d’une érection que je tentai "d’étouffer dans l’ouf". Le petit déjeuner à peine avalé, je m’enfermais dans la salle de bain, essayant de dissimuler ma queue à moitié durcie, qui tendait mon caleçon.
Une fois dans la place, je tentais de me calmer. Mais mon excitation était trop intense. Je devais me branler. J’avisais, dans un coin de la salle de bain, une corbeille de linge. J’en soulevais le couvercle et y découvrit, outre mon caleçon, des culottes, des collants et des bas... Comme un somnambule, me sentant à la fois glacé et brûlant, je me saisi frénétiquement de quelques exemplaires de ces sous-vêtements.
Je me souviens d’une culotte en soie noire et de deux paires de collants, l’une noire, assortie à la culotte, l’autre couleur chaire. J’y enfouie mon visage, m’enivrant de leurs odeurs. Des odeurs de femme, à la fois pénétrantes et douces. Je léchais le tissus de la culotte, à l’endroit précis ou la chatte de ma tante devait se nicher et entourais mon sexe avec le collant noir. Quand il fut enroulé et qu’il se colla comme une seconde peau sur mon gland humide, sa texture, sa légèreté firent perler une grosse goutte de liquide a l’extrémité de mon sexe. Je m’aperçus que j’étais tombé à genou, les jambes repliées et ouvertes sous mes fesses. Je me commençais à me branler, faisant glisser le tissus du collant le long de mon membre. J’avais l’impression de devenir fou ! Ma main s’activait et ma langue, ma bouche jouaient avec la culotte, en en goûtant tous les sucs, déposés là par le con de tante "M". Ma main droite, pendant se temps, continuais de faire glisser le collant sur mon sexe. Je me mis à gémir, mon bassin semblait animé d’une vie propre et bougeait de façon convulsive d’avant en arrière. J’éjaculai avec force dans le collant, la bouche ouverte, le souffle coupé et je poussai un cri !...
Je restais prostré quelques minutes, plié en deux, haletant et fiévreux, mon sperme s’égouttant dans le tissus du sous vêtement....
Quand je ressortis, douché et habillé, ma tante se dirigea à son tour vers la salle d’eau. Je l’imaginais se déshabillant et frictionnant son corps sous l’eau chaude de la douche. Elle ne ressortit qu’une bonne heure plus tard. Elle tenait quelque chose, serré dans sa main droite. Elle vint vers moi et me le tendit... Il s’agissait du collant dans lequel j’avais éjaculé ! -"Tu peux l’étendre sur le fil à linge, dehors ?", me demanda-t-elle, "Je l’ai lavé...".
Je me sentis encore une fois rougir... Ma tante me sourit et me caressa la joue. -"Ce n’est rien... C’est naturel !...".
Comme un automate, je sortis dans le jardin, ou mon oncle continuait de travailler et me dirigeais vers l’arrière de la maison, ou j’étendis le collant humide sur le fil.
La journée se passa sans rien de particulier.
Toutefois, le soir venu, lorsque je rejoignis ma chambre après le repas, une surprise m’y attendait : Une paire de collant et une culotte, étaient négligemment étalées sur la couette ! Le cour cognant subitement dans ma poitrine, je m’approchais et les saisis dans ma main. A n’en pas douter, il s’agissait de ceux que ma tante avaient portés la journée !.... J’y enfouis mon visage et en respirais les fragrances. L’odeur de ma tante avait profondément imprégnée le tissus léger. Malgré mon excitation, je me contraignis à cacher le vêtement sous mon oreiller. Je voulais m’en imprégner, faire durer le plaisir... Je ressortis de la chambre, en m’efforçant d’adopter une attitude normale et rejoignis mon oncle et ma tante pour une partie de cartes. "M" me regarda droit dans les yeux, quand je m’assis à la table. Pendant la partie, je sentis les pieds de ma tante me caresser les chevilles....
Comme j’avais un peu de mal à me concentrer, je ne pu gagner une seule manche !....
Avant d’aller nous coucher, ma tante, profitant de ce que mon oncle montait dans leur chambre avant elle, me glissât à l’oreille : -"Attends un peu, avant de faire comme hier soir !...".
Sur ces paroles sibyllines, elle montât l’escalier, éteignit la lumière et rejoignit mon oncle dans la chambre. Je rentrais dans la mienne et me déshabillais pour enfiler un caleçon. Je tâtonnais ensuite sous mon oreiller pour récupérer les collants et j’attendis. Après peut-être une demie-heure, j’entendis à nouveau des rires, qui se transformèrent également en gémissements. J’ouvris ma porte de chambre et, avant de m’asseoir comme la veille, sur les premières marches de l’escalier, je retirai mon caleçon. La voix et les doux cris de ma tante résonnèrent dans la cage d’escalier, de plus en plus forts. Entièrement nu, je portai la culotte de ma tante à mon visage, respirant son odeur. Puis, je fis de même avec les collants, me caressant le visage et le torse avec le tissus électrique. J’en léchais doucement l’entrejambe et y passai la main droite, comme on enfile un gant. Je retardais le plus possible le moment d’empoigner ma queue, qui se dressait par saccade entre mes jambes, car je savais que si je commençais maintenant, je ne pourrais pas m’arrêter et que je jouirai avant ma tante. A l’étage, les gémissements continuaient et j’entendais ma tante parler à mon oncle d’une voix hachée et essoufflée : -"Oh oui !... Là ! oui.... Non... Non, attend, doucement ! Oui, doucement, comme ça ! Non, pas là tout de suite !..." (Je me base sur mes souvenirs, sans doute déformés par les années).
Le tout entrecoupé de silence, de grincements de sommier et de plancher...
N’y tenant plus, je saisis enfin mon sexe gonflé et commençais à m’activer, tentant de contrôler mes mouvements. De la main gauche, je portais la culotte une nouvelle fois à mon visage et la léchais comme un chiot qui lape, tout en m’enivrant de ses fragrances. J’avais le corps en sueur, malgré la fraîcheur de la pièce. Mes hanches bougeaient à l’unisson des vas et vient de ma main. Ma tante poussa enfin un cri bref, suivi d’un deuxième, plus long, qui ressemblait à un sanglot. Je me branlai maintenant avec frénésie, une suite d’images obscènes défilant dans ma tête. Je joui dans le collant, mon sperme perlant au travers du tissus....
Je restais assis quelques minutes, tremblant et essoufflé, puis, le collant entourant mon sexe, je me relevais. Je retirais doucement le vêtement, le moindre frôlement sur mon gland enflammé m’arrachant un gémissement, je m’essuyais hâtivement et m’apprêtais à regagner ma chambre, quand, à l’étage, la porte s’ouvrit. J’entendis ma tante rire, refermer la porte et descendre les marches.
Je me précipitais vers ma chambre et décidais sur une impulsion, de laisser la culotte et le collant en évidence sur la table.... A l’instant ou je refermai la porte, je vis les jambes nues de ma tante atteindre la dernière marche, alors que la lumière s’allumait. Je sautais sur le lit, me retournais sur le dos et je tentais de retrouver une respiration normale, sans même penser à me recouvrir.
Dans le salon, j’entendais tante "M" ouvrir le frigo et sortir un verre. Les événements avaient dû lui donner soif ! Puis, quelques instants plus tard, comme la veille, la porte de la chambre s’ouvrit lentement. Je me souvins alors que j’étais entièrement nu, offert à son regard, le sexe encore à demi gonflé, laissant encore poindre des gouttes de sperme que je sentais couler doucement sur ma cuisse !!.... Je persistais bêtement à vouloir feindre le sommeil, bien que je sois convaincu que ma tante ne s’y soit pas laissé prendre. Entre mes paupières, je la vis s’approcher du lit. Dans sa main, elle tenait les sous-vêtements que je venais d’utiliser. Elle s’arrêta à mon chevet. J’entendais sa respiration et respirais son odeur "d’après l’amour", un mélange de sueur féminine, de sécrétions et de foutre.... Elle se pencha, m’embrassât sur le front et je sentis que ma queue reprenait de la vigueur. Sa main se posa sur mon bras droit et.... elle quitta la chambre.
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Le matin, mon oncle partit chercher ses filles chez leurs grand-parents. Ils devaient revenir le lendemain dans la journée, ce qui me laissait une journée et une nuit seul avec ma tante.... Elle m’aida à préparer la chambre d’ami, à l’étage, mes cousines devant récupérer leur chambre à leur retour. J’allais donc passer la nuit, juste en face de la chambre de ma tante.
La journée, nous profitâmes du beau temps pour nous promener et le soir, "M" me proposa de m’inviter au restaurant dans la bourgade voisine. Bien que simple, le repas fut délicieux, arrosé d’une bouteille de vin. Même si j’en buvais de temps à autre, c’était la première fois que j’en vidais une demie à moi seul et j’étais quelques peu éméché bien avant la fin du repas. Ce qui me semblais être également le cas de ma tante, comme en attestaient ses joues rouges et ses yeux pétillants. Nous rentrâmes dans la fraîcheur de la nuit et, arrivés à la maison, tante "M" sortit du frigo une bouteille de champagne.
Nous avons allumé du feu dans la cheminée et nous sommes installés face à l’âtre, sur le sofa. Comme l’autre fois, elle étendit un plaid en patchwork sur elle, me cachant malheureusement la vue de ses jambes, gainées dans le nylon. Très vite, alors que nous descendions coupes sur coupes, elle orientât la conversation sur mes relations féminines. D’abord relativement innocentes, ses questions devinrent rapidement plus précises et "orientées". Elle voulut savoir si j’avais déjà embrassé une fille, puis si j’en avais déjà caressé une et, finalement, si j’avais déjà fait l’amour. Depuis mon aventure avec ma cousine (pas l’une de ses fille, je le précise), j’avais effectivement tenté cette expérience,.... qui c’était avérée plutôt décevante ! Je lui expliquais cela et elle me demanda pourquoi. Elle voulu aussi avoir plus de précisons, sur ce que nous avions fait ma cousine et moi.... : L’avais-je vu nue ? M’étais-je dénudé devant elle ? Avais-je vraiment vu son sexe ? L’avais-je touché ? Comment ? L’avais-je léché ? Et elle ....? Que m’avait-elle fait ? Est-ce que nous nous parlions, en même temps que nous nous caressions ? L’avais-je pénétré ? Est-ce que nous avons criés en jouissant ?...
L’alcool me fit oublier ma réserve, ainsi que la particularité de ses questions et je lui racontais dans le détail nos caresses et nos jeux... Était-ce mon imagination, ou mes récits lui faisaient de l’effet ?? Je m’apercevais en effet que ses seins durcissaient sous la laine fine de son col roulé, tandis que ses jambes repliées s’agitaient en cadence, sous le plaid, frottant l’une contre l’autre. En tous cas, son intérêt et sa voix rauque me posant des questions, m’en faisaient, à moi ! Je bandais dans mon jean et je m’efforçais de trouver une position plus confortable, qui comprimerait moins ma queue. J’étendis les jambes devant moi, sur la table basse mais, ce faisant, je mis en évidence mon érection, qui formait une sacrée bosse. Tout en continuant son questionnement, le regard de ma tante se fixait tantôt sur mon visage, tantôt sur ma braguette. Je ne tentais même pas de cacher mon état et sentais mon excitation s’intensifier en constatant que "M" n’en perdait pas une miette. J’entrepris, moi aussi de serrer et desserrer mes jambes, comprimant mon sexe et me procurant un plaisir diffus, qui me rappelait d’une certaine façon celui que je me procurais quand je me branlais franchement.
Tout en poursuivant son questionnement, ma tante allongea alors ses jambes, les faisant reposer sur mes cuisses. Ses pieds s’appuyèrent sur la bosse que formait mon sexe. Je croyais rêver ! "Installe-toi mieux !....", me proposa t-elle doucement en soulevant le plaid pour que j’y passe mes jambes.
Dans le mouvement qu’elle fit, je vis que sa jupe s’était remonté sur ses cuisses, me dévoilant sa culotte. Elle intercala une de ses jambes entre les miennes et reposa le plaid. Elle reprit alors le balais ronronnant de ses questions, tout en reposant ses pieds sur ma queue durcie. J’avais chaud, mon corps tremblait et je ressentais avec acuité chacune des zones érogènes. Puis sa voix se tut... Elle avait la tête appuyée sur un coussin, légèrement en arrière, le bras gauche logé sous sa nuque. Ses lèvres me paraissaient luisantes, ses narines palpitaient et sa respiration s’accélérait. Son bras droit, disparaissait sous la couverture, que je voyais s’agiter rythmiquement au niveau de son ventre. La caresse de ses pieds se faisait plus insistante, plus rapide... Je glissais mes deux mains sous le plaid et caressait ses pied, appuyant dessus pour augmenter la pression sur ma bite. Au contact de mes mains, elle tressaillit et il me sembla qu’elle me regardait entre ses yeux mi-clos.
Il ne me fut pas facile d’ouvrir ma braguette et de dégrafer ma ceinture, pendant qu’elle poursuivait son massage, mais j’y parvins enfin. Seul mon slip et ses bas, séparaient mon sexe d’un contact direct avec sa peau. J’allongeai moi aussi la jambe qui était glissée entre les siennes, cherchant à entre en contact avec sa chatte. "M" réagit à mon initiative, en glissant légèrement vers moi. Ce faisant, elle appuya fortement ses pieds sur ma queue. Je gémis, mais moins à cause de la légère douleur que du plaisir....
Mon pied nu avait atteint quelque chose de chaud et d’humide. Je sentais, à quelques millimètres de mes orteils, les doigts de ma tante qui s’activaient à l’intérieur de sa culotte. Elle souleva la tête pour enlever son bras gauche qui soutenait sa nuque et l’enfila sous le plaid. Une main chaude se posa sur mon pied, le pressant sur son entrejambe. Son bassin vint à ma rencontre et je compris qu’elle avait écarté sa culotte pour me plaquer contre la chair nue de son sexe trempé. Je me senti aspiré dans sa moiteur. Elle gémissait, les yeux toujours fermés, ondulant des fesses, usant de mon pied pour se branler la chatte, tandis que sa main droite, je le supposais, calmait son clitoris. Je sentais ses poils crisser contre mes orteils, qui furent rapidement englués de mouille.
De mon côté, j’avais réussi à sortir ma bite et ma tante faisait frotter ses collant contre la peau ultra sensible de mon gland, descendant le long de mon membre, jusqu’à mes couilles. Je caressai ses pieds avec une avidité et une excitation croissante, les accompagnant dans leurs caresses. Les yeux fermés, crispés sur son plaisir, le visage tendu et luisant, gémissante, ma tante se donnait, concentrée sur ses sensations. Son corps entier s’exprimait et ondulait. Ses jambes s’ouvraient et se fermaient en cadences, ses pieds m’astiquaient et sa main me plaquait avec encore plus de force dans sa chair....
Je sentais que je n’en avais plus pour longtemps, que je ne pouvais plus me retenir. J’étais trop dur. Il fallait que je gicle tout de suite. Je voulais prévenir ma tante, mais ma gorge nouée d’émotion et de plaisir, ne laissait filtrer que grognements et gémissements. Je saisis fortement ses pieds, les écrasais contre ma queue et projetais mon bas ventre contre-eux en me frottant. Ma verge se glissât entre-eux et ma tante, comprenant ce qui se passait, les pressa l’un contre l’autre, m’emprisonnant et accentua sa friction. Mes orteils s’étaient depuis longtemps glissés profondément dans son con et les mouvements que je faisais, tout à mon orgasme, les agitaient en elle et les enfonçaient encore plus.
Soudain, ses yeux s’ouvrirent en grand, se fixant dans les miens. Deux fenêtres rondes écarquillées de surprise et de plaisir. Elle ouvrit la bouche. Ses cuisses se refermèrent autour de ma jambe, sa main se crispa sur mon pied et son bassin se projeta spasmodiquement vers l’avant. Sa bouche s’ouvrit sur un cri, qui demeura tout d’abord silencieux, avant de s’exhaler brusquement en un feulement rauque, un long "AAH !..." de soulagement....
Nous retombâmes chacun sur les coussins et restâmes prostrés un long moment, concentrés sur notre plaisir qui refluait et sur le battement de nos cours qui ralentissait. J’avais fermé les yeux et je caressais doucement les jambes de "M". Une douce somnolence me gagnait et je fus rappeler à la réalité par ma tante qui, une main pausé sur mon épaule, me secouait doucement en m’embrassant sur le front.
Elle s’était visiblement changée, pendant mon demi-sommeil car elle avait revêtu une robe de chambre. Elle me sourit et sa main s’attarda sur mon bras, puis sur ma joue. "Tu ferais mieux d’aller dans ta chambre !", me dit-elle doucement. "Il faut qu’on dorme, il est très tard !".
Elle déposa un dernier baiser sur mon front et se dirigea vers les escaliers. "Bonne nuit.".
Le lendemain soir, mon oncle revint avec mes cousines. Ma tante ne laissa rien paraître de ce que nous avions vécus et, bien entendu, moi non plus.
Avec les années, nous sommes restés en contact et, pendant le reste de mon adolescence, tante "M" devint pour moi une sorte de confidente intermittente. Nous n’avons jamais reparlé de ce que nous avions fait, ni tenté de le refaire. Comme je le disais, ce ne fut qu’un jeu un peu scabreux. Une parenthèse...
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