Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 80 J'aime
  • 5 Commentaires

Souvenirs !

Chapitre 1

Erotique
Je me souviens encore de cette fille comme si c’était hier.
C’était une collègue à l’époque où je travaillais sur Paris dans une boîte de com. Elle avait une taille moyenne, brune avec un corps de jeune femme et un regard profond et très coquin. Elle attirait le regard de tous les hommes du bureau. Ses lunettes rondes ajoutaient à son charme. Elle était déjà maman de deux petits garçons mais rien ne le laissait penser en voyant ses courbes. Elle s’appelait Emilie. G.
Nous parlions très peu ensemble, on échangeait des banalités quelques fois mais toujours un sourire lorsque l’on se croisait dans les couloirs ou la rue en bas du bureau, lors des pauses repas.
Ce jour-là je me rendis après le repas, dans le bar du coin de la rue où l’on se retrouvait parfois avec les collègues. Elle était assise sur une chaise au bar, jean moulant ses fesses légèrement en arrière du siège. Sa chemisette remontait légèrement et laissait entrevoir son string noir. Je suis sûr que d’autres l’avait remarqué mais personne ne lui avait rien dit, et moi non plus...
Elle avait tourné la tête en entendant la porte s’ouvrir et m’avait adressé un sourire qui m’avait mis en émoi. Je lui avais rendu l’appareil puis rejoignit mes amis à une table.
J’avais du mal à penser à autre chose que ses seins pointant sous sa chemise. Malgré sa petite taille elle avait une poitrine bien galbée et qui semblait ferme. De ma place je pouvais la voir passé sa main dans ses cheveux pour repositionner ses mèches brunes. Ses cheveux étaient lisses et d’un noir profond. Elle riait aux éclats avec ses copines de la direction.
Elle bougeait souvent sur ce siège de bar pour se replacer plus confortablement, je n’en manquais pas une miette. Ce jean épousait parfaitement son petit cul et je commençais à avoir une érection en la regardant depuis vingt minutes. Mon imagination partait dans tous les sens, me faisant faire des films les plus inavouables.
Après la pause repas je retournai au bureau pour préparer la dernière réunion du jour.
Pour me donner du courage je fis un détour par la petite cafétéria installé au fond d’un petit couloir de notre open-space, afin de me servir un café.Quelle ne fut pas ma surprise quand je la vit là également. J’étais persuadé qu’elle était toujours à la brasserie.
— Bonjour Raphaël me lança-t-elle— Bonjour Emilie lui répondis je — Tu veux du sucre ? Je me sers ajouta-t-elle— Oui oui je te remercie — Tiens fit elle en me tendant le sachet avant de retourner dans son bureau

Arriver à ma place j’ouvris le sachet et constata qu’il y avait une chose écrite dessus...Il s’agissait d’un numéro de téléphone souligne d’un « Emilie »
Je devins tout rouge et mon cœur s’emballa.
Mes esprits repris, je m’empressai d’enregistrer son numéro dans WhatsApp. Je découvris son avatar, il s’agissait d’une photo d’elle en robe moulante au bord d’une plage. Qu’est-ce qu’elle était belle.
Maintenant que devais-je faire, écrire, attendre, mais attendre quoi, elle n’allait pas elle-même m’envoyer un message !
Je fis un message basique et attendit son retour. Il ne tarda pas.
— Contente que tu m’ais enregistré, maintenant tu peux m’écrire quand tu le souhaites...
Le week-end end arriva là-dessus et je n’envoya pas d’autre message.
Dimanche soir, je m’apprêtai à me coucher quand une notification retentit. Je cru à une autre de mon frangin avec qui je venais de raccrocher.
C’était elle. Elle me souhaitait une bonne nuit en me précisant qu’elle pensait à moi.J’étais tout émoustillé, je ne m’y attendais pas. Une fois couché, j’étais tellement excité, je me masturbai en pensant à elle.
Arrivés au bureau nous nous retrouvâmes, pour la première fois d’ailleurs, tous les deux dans l’ascenseur. Je ne pouvais m’empêcher de regarder ses fesses. Elle était si belle !Nous n’échangions pas un mot mais nos regards en disaient long.A peine poser sur ma chaise je reçu un message.
— Quand vas-tu être un homme et me dire des choses ? c’était elle !
Je ne savais pas quoi répondre. J’étais surpris par son ton et sa question
Je pris mon courage à deux mains et lui proposa de manger ensemble le midi. Je lui indiquais un resto où nous serions plus tranquille que dans la brasserie habituelle.Elle répondit positivement.
J’étais à cent lieues en venant ce matin d’imaginer vivre une telle journée ! Cela faisait des mois que j’imaginais un éventuel échange ou même juste discuter mais ce fut si rapide que je n’en revenais pas.
Nous prîmes ensemble un taxi pour le restaurant qui se trouvait à 10 minutes de route.Je ne pouvais m’empêcher de regarder régulièrement sa poitrine et ses longues jambes. Je devais être tellement peu discret qu’elle me fit une remarque.
— Tu aimes ce que tu vois ? j’ai constaté que tu me regardais souvent— Excuse-moi, je sais que c’est un peu gênant.— Ne t inquiètes pas. Tu sais, c’est agréable aussi d’être dévisagée ainsi
Avant d’arriver au restaurant elle glissa un mot au taxi lui indiquant de nous conduire à une nouvelle adresse. Ça je le découvris une fois garer devant une maison de ville avec un grand portail en fer et une haie très haute.
— Où sommes-nous ? demandais-je, dérouté,— Descend, suis moi, on est arrivé !
Tellement sous le charme, je suivis sans rien dire.
Elle sortit des clefs de son sac et ouvrir le portail. Je me retrouvais devant une immense bâtisse en pierre de deux étages. La maison typique des beaux quartiers, avec le petit jardin sur l’arrière et la cour devant le perron.
— Où est-on ?— Chez moi.— quoi, chez toi, mais .....— Tais-toi et entre, rassure toi il n’y a personne, mon ex-mari n’habite plus ici— Ex-mari pensais-je, tout en étant un peu rassuré.
Elle alla directement vers le salon et m’invita à la rejoindre. Elle retira ses bottines et s’asseya dans son grand canapé d’angle en tissus blanc.
Qu’elle était belle avec son jean moulant et ce tee shirt marqué qui moulait sa poitrine. Sa veste type blazer lui donnait un côté très chic. Elle retira sa veste, la jeta sur le fauteuil d’à côté puis jeta sa tête en arrière pour se recoiffer. Elle me regarda alors en souriant.
Tout ce que j’avais souhaité depuis des mois, se déroulai là, maintenant. Etre seul avec elle, jamais je n’aurais pensé que cela se produise un jour.
Etant assis à l’autre bout du sofa elle se rapprocha de moi.
— Comment te sens tu demandas t elle— Bien, très bien fis-je malgré ma surprise d’être là et de découvrir qu’elle était loin d’être la fille timide et renfermé que j’avais imaginé
Elle se serra contre moi et me posa un baiser sur la joue afin de voir ma réaction. J’étais pétrifié tel un ado à ses premiers émois. Cela sembla l’exciter car elle m’embrassa, après un recul reflexe j’acceptai son baiser et lui rendit. Elle ne tarda pas à prendre mes mains qu’elle plaçait sur sa poitrine et me chuchotant
— Profites en, c’est ce que tu veux non ? en plus j’adore que l’on me caresse les seins !
J’étais déjà en érection et je cru bien que j’allais jouir immédiatement. Son approche avait inhibé mes dernières hésitations et peurs.
J’enlevai son tee shirt et découvrit sa poitrine soutenue par un magnifique soutien-gorge en dentelle noir. Je lui retirai et commença à lécher ses tétons qui pointaient. Ses seins étaient magnifiques, ni trop gros ni trop petits mais si fermes. Je les massais délicatement, les soulevant un à un, suçotant ses aréoles, pinçant parfois ses tétons ce qui la faisait sursauter légèrement.
Elle me releva et s’empressa de déboutonner mon pantalon laissant jaillir mon sexe raide et dur comme la pierre de sa maison.Elle commença par me caresser lentement d’une main, puis des petits à coup avec la langue en me regardant. Lorsqu’elle me prit en bouche et me suça délicatement je cru chavirer. Sa bouche était si douce et chaude. Elle me repoussa sur le canapé puis se mis entre mes jambes. Elle recommença à me sucer en me regardant dans les yeux. Je failli à nouveau jouir. Elle dû le sentir car elle stoppa directement.
— J’ai envie que tu me lèches dis-t-elle tout en déboutonnant son jean.

Tout en me relevant je la jetai à son tour sur le canapé et retira délicatement son pantalon. Je vins alors entre ses cuisses. Son string était humide et sa chatte rasée luisait déjà beaucoup. Elle sentait si bon ! Je commençai à poser de petits baisers sur ses cuisses en remontant délicatement vers son sexe. J’introduis alors ma langue en écartant le tissus et commença à lécher goulûment son sexe. Elle gémissait en me tenant la tête.
— vas-y, continue, c’est bon ! gémissait-elle
Au bout d’un moment au bord la jouissance elle me demanda de la prendre.
Je la positionnai à quatre pattes sur le canapé et en un instant je la pénétrai en levrette. Elle était si humide que je rentrai facilement et violemment. Ses cheveux noirs ondulaient sur son cou que je maintenais avec ma main droite. Mon pouce gauche titillait son anus et vint par moments s’enfoncer en elle. Elle appréciait, ses gémissements plus forts en attestaient.
Quel magnifique moment ! Je dominais cette femme que j’avais désirée en secret depuis si longtemps. Je savourais cette vue et la pilonnait généreusement. Je ne pu me retenir plus longtemps et jaillit en spasmes réguliers tout en m’enfonçant bien en elle. Je continuai encore un peu à la prendre avant de me poser sur le sofa. Elle s’assit également me regardant avec un sourire coquin.
Nous restâmes quelque minute affalés sur le canapé, échangeant quelques baisers langoureux.
— Oh, il est temps d’y retourner fit elle en m’adressant un clin d’œil. Je file dans ma chambre prendre une douche, tu peux utiliser celle du bas si tu le veux dit-elle en m’indiquant la chambre d’amis.
Tellement excite par ce que je venais de vivre je ne pu m’empêcher de me branler à nouveau sous la douche. Je fus à deux doigts de monter la rejoindre mais je n’osai pas.
Une fois remis sur pied, nous repartîmes séparément au bureau pour ne pas éveiller les soupçons des collègues.

Le reste de l’après-midi je ne fus pas trop dans les affaires. Mon esprit encore tout chamboulé par cette expérience inattendue. J’aperçu Emilie passé quelques fois devant mon bureau, elle me fit des petits clins d’œil à chaque fois.
J’avais tellement désiré cette femme, tellement regardé ses courbes chaque jour que je ne pus réaliser ce qui s’était passé.
Quelques jours plus tard, la directrice marketing faisait son pot départ. Elle avait enfin réussi à décrocher le poste dans le Sud qu’elle convoitait.Une bonne partie du staff était présent et la terrasse en roof top avait été choisie pour ce moment de partage.
Bien sûr elle était là. Elle portait une superbe robe de soirée dos échancré noire. Talons et chignon lui donnaient un charme fou. Quand elle est apparue, tous les hommes de la soirée la reluquaient. Elle aimait cela j’en suis sûr maintenant.
Je repris le cours de la soirée, échangeant avec différents services, parlant de tout et de rien avec les collaborateurs. Je l’apercevais de temps à autre, la matant dès que je pouvais.
La soirée avançant, une partie des convives étaient rentrés, la terrasse était plus clairsemée.Elle s’approcha de moi alors que je fumais dans un coin tranquille. Elle me fit un sourire et glissa dans ma poche un objet avant de repartir.
Lorsque je plongeai ma main dans ma veste, je senti comme un tissu ! J’en sorti une culotte en dentelle noire ! Je le remis rapidement dans ma poche non sans l’avoir reniflé auparavant.
Elle était toute humide et sentait la cyprine...
La salope ! Pensais- je immédiatement. Malgré notre épisode passé de la pause méridienne je n’aurais jamais pensé à une telle attitude de sa part, pas au bureau en tout cas... cela m’excita au plus haut point. Mon pantalon s’en souvient encore. Je dû rester planqué là de longues minutes pour faire redescendre la pression sanguine...
Une fois retourné proche du bar au centre de la terrasse je ne l’aperçue plus. Etait-elle rentrée aussi ?A cette idée je décidai moi aussi de quitter les lieux, après tout j’étais resté assez longtemps, j’avais assez fait semblant d’apprécier cette directrice sur le départ.Je passai au vestiaire récupérer ma veste.
Après avoir descendu les quelques marches qui amenaient à l’étage inférieur, je fus tirer par le bras dans un bureau tout proche.
Sur le coup je sursautai.
Il faisait noir mais je reconnu rapidement le parfum d’Emilie qui s’empressa de rigoler, ravie de son action.
Je n’eus pas le temps de parler qu’elle me poussa sur le bord du bureau, ouvrit ma braguette et se mis à genoux devant moi. Elle sortit mon sexe tout ramolli par cette petite frayeur. Cet état ne dura pas longtemps dans la bouche de cette coquine qui me pompait de plus en plus fort. Tout y passait. Mon gland ma queue et mes bourses étaient léchées, aspirées et sucées comme jamais. Je ne dis rien et savoura cet instant trop rapide à mon goût car ces va-et-vient buccaux eurent vite fait de me faire jouir. Je voulu repousser sa tête quand je senti le jus arriver mais elle m’aspira de plus belle et avala tout. Elle me suça encore quelques instants, ne ratant rien de ma semence. J’avais tout lâché dans un râle bruyant sans me soucier que quelqu’un ait pu entendre.
Lorsqu’elle se releva, elle était encore toute souriante de sa blague et vint m’embrasser en me susurrant à l’oreille
— Il t’en reste encore malgré cela ? moi je suis toute mouillée, je veux que tu me prennes, je te veux en moi
Ces paroles ravivèrent en moi l’excitation, je l’attrapai par les bras puis la coucha sur le bureau. Je l’empalai sans autre préliminaire, si mouillée qu’elle était. Je m’enfonçais bien profond en elle à chaque coup de reins, lui faisant bien ressentir tout mon membre. Ses seins ballotaient au travers de sa robe presque transparente et je déchirai même cette dernière afin de lui lécher les seins que je pelotais à pleine main. Elle gémissait si fort que je suis sûr que tout le monde pouvait entendre. Cela décupla mon excitation et je vins gicler en elle au même moment où elle jouissait dans un cri presque bestial.
Ce fut si intense qu’elle resta un long moment allongée sur le bureau, les jambes ballantes dans le vide, mon jus coulant entre ses cuisses. J’étais moi-même allongé sur le sol, vidé dans tous les sens du terme.
Après de longues minutes, elle se leva, se rhabilla tant bien que mal, le haut de sa robe étant déchiré. Elle enfila sa veste pour cacher ses seins et me dit :
— Tu te rappelles de mon adresse ? demain 21 heures vient chez moi, la baby Sitter aura couché les enfants..... on pourra certainement trouver une occupation tous les trois...
Je n’eus pas le temps de répondre, qu’elle s’engouffra dans les ascenseurs à proximité.
Evidement je me rappelai de son adresse et le lendemain je pris un taxi pour m’y rendre..................................................................................
Diffuse en direct !
Regarder son live