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Souvenirs érotiques d'une femme mûre

Chapitre 1

Seule au vestiaire des hommes

Avec plusieurs hommes
J’allais sortir avec mon mari, chez des amis, après le travail. On devait se rejoindre près de chez eux pour l’apéro, mais comme j’avais fini tôt, j’avais décidé d’aller à sa rencontre, au tennis. J’y venais de temps en temps, j’aimais le voir jouer, le teint hâlé, les muscles saillants, et quand il revenait du court, il faisait toujours un détour pour venir m’embrasser. Je crois que je rougissais chaque fois de fierté et de désir.
Ce jour-là, il devait finir vers six heures et demie, j’y suis donc allée vers six heures. En arrivant, je fus un peu déconcertée : je croyais le trouver facilement, en scrutant la douzaine de courts. Comme je ne le voyais nulle part, je me dis que peut-être son match était déjà fini, et que je le retrouverais vers les vestiaires. Je pris donc position la sortie des vestiaires, assise sur un banc. Par petits groupes, de nombreux hommes passèrent devant moi : ceux qui allaient se changer, élégants dans leurs habits de ville, encore accrochés à leurs portables ; ceux qui sortaient des douches, les cheveux encore humides, déjà la tête dans l’agenda ; et ceux qui revenaient des courts, tout en sueur, avec leurs dégaines de conquérants et leurs échanges de blagues d’adolescents. Il y en avait des jeunes et des moins jeunes, et plusieurs beaux hommes comme je les aime : grands, sportifs, bruns grisonnants, au regard franc, au port assuré.
Je prenais goût à ce défilé, d’autant plus que beaucoup me regardaient plus ou moins discrètement, l’œil attiré, ma tenue de sortie : chemisier rouge, jupe noire fendue), escarpins rouges. Je crois qu’avec ma position jambes croisées, ma jupe était remontée sur mes cuisses et qu’ils devinaient le haut de mes bas-up. Il y eut des regards échangés, quelques sourires. Je me sentais bien, attrayante, sexy, ainsi je ne vis pas passer le temps, mais me rappelai soudain le but de ma visite. Je hélai un petit groupe de sportifs dont l’âge pouvait correspondre à celui de mon mari, et leur demandai s’ils l’avaient vu. Ils n’étaient pas sûrs ; l’un croyait l’avoir vu partir, l’autre pensait qu’il devait être sous la douche. Ils m’invitèrent à y venir voir avec eux. Je les suivis, scrutant les vestiaires. Ils m’indiquèrent le numéro 4 comme étant le plus vraisemblable. J’y entrai, il n’y avait personne au demeurant, mais des affaires de toutes sortes qui traînaient. Ne sachant que faire, je me dis que je lui ferais la surprise et je m’asseyais sur un banc.
Je restai seule un petit moment, puis soudain les portes des douches s’ouvrirent, laissant passer d’un coup cinq ou six hommes, tous nus. Je me levai précipitamment et fis un mouvement vers la sortie, en titubant, et je butai contre un corps. L’homme me saisit par la taille pour m’empêcher de tomber. Je sentis le parfum de son gel douche et l’odeur de sa peau avant de me détacher. Il était tout mouillé et, comme je m’étais pratiquement collée à lui en me tournant, son humidité s’était transmise à mes vêtements, mon chemisier était devenu translucide, ma jupe avait des auréoles.
— Vous êtes toute mouillée, je suis désolé ! — Ça ira, merci.— Mais non, vous allez prendre froid. Attendez, j’ai un t-shirt sec, je vous le donne.— Merci, c’est très gentil, mais je me débrouillerai.— Non j’insiste ! On peut pas vous laisser partir comme ça.
Comment me suis-je laissé convaincre si facilement ? Tout s’enchaîne, je ne sais plus comment. Je déboutonne ma blouse, je commence à me sécher avec une serviette qu’on me tend, puis j’ôte mon soutien-gorge qui est aussi mouillé. Je sais bien qu’ils me regardent et ça ne me fait rien – ou plutôt ça me plaît ! Alors deux, puis trois hommes viennent avec leurs serviettes, me frottent le dos, les épaules, le ventre. Les frottements, d’abord vigoureux, s’adoucissent, ressemblant à des caresses. Ils en oublient de se couvrir, je me tourne vers eux et je me mets à les frotter à mon tour, histoire de reprendre l’initiative. Je suis entourée, je crois qu’ils sont tous là, je vois leurs sexes dont certains commencent à se dresser. J’en touche un, je le caresse, il se dresse comme un cobra, je le saisis et il grandit entre mes doigts, il n’est pas très long, mais très épais, au moins une courgette, et tout épilé, pas un poil. Je sens mes tétons se durcir et une chaleur monter en moi.
Pendant ce temps, on a retroussé ma jupe et on baisse ma culotte. Je laisse faire, trop occupée avec cette bite qui m’hypnotise. Ma jupe est tombée aussi, de deux pas je les laisse tout enlever, mais je garde mes bas et mes escarpins. Des mains sont partout sur mon corps, sur mes fesses, entre mes fesses, entre mes lèvres qui se sont ouvertes comme une écluse.
Je ne tiens pas bien debout, mais ils ont anticipé : au sol, il y a un matelas fait de serviettes, je m’y couche. Ils sont plusieurs autour de moi, nus, le sexe raide. Un premier s’agenouille entre mes jambes, il me pénètre d’un doigt, puis de deux, trois, je ne sais pas. Un autre met son sexe près de mon visage, je le saisis, je le lèche, je le suce, il emplit ma bouche. Je crois qu’ils sont deux à m’enfouir leurs doigts dans mon vagin détrempé, je m’arc-boute, ils me font gémir de plaisir. Je suis prête à jouir, mais je veux leurs bites. Je leur fais comprendre en me mettant à quatre pattes. Je ne sais pas ce qui me prend, il ne fait pas long feu, après cinq-six mouvements profonds, je le sens frémir, il se retire pour éjaculer. Je brûle encore de désir : un deuxième prend sa place. J’espère qu’il va durer un peu plus. J’aperçois le cercle des autres autour de nous, hypnotisés par le spectacle.
L’un d’eux vient s’agenouiller devant moi et me remettre le sexe dans la bouche, je le suce goulûment tandis que mon vagin est une culasse où un gros piston fait son va-et-vient accéléré. Ils culminent presque en même temps, mon sexe et ma bouche sont emplis de sperme chaud. L’autre se retire, sa place est prise par celui qui se tenait en retrait, je me retourne, il me baise en missionnaire, il a une longue queue qui vient me trifouiller jusqu’à l’utérus, mon vagin se contracte et je jouis, mais ce n’est pas fini. Un autre, ou le même qu’avant, me met les chevilles sur ses épaules et me masse le clitoris. Je dis oui, oui, ouuuui et l’orgasme arrive.
À la fin, je ne sais pas combien de temps cela a duré, combien de fois ils m’ont prise, ni combien de fois j’ai joui. Ils se sont habillés et sont partis en fermant discrètement la porte. J’ai verrouillé la porte, j’ai pris une douche et j’ai enfilé ma jupe et le t-shirt sec qu’ils m’avaient laissés. J’ai regardé mon portable, il y avait un message de mon mari qui disait qu’il avait été retenu au bureau et qu’il allait directement au restaurant. Lorsqu’il s’est étonné de mon retard et de ma tenue, je lui ai tout raconté. Nous sommes toujours ensemble et mon expérience nous a souvent inspirés. Je dois avouer que c’était un fantasme que j’ai réalisé, un peu malgré moi, et que je n’ai pas regretté !
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