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Souvenirs de mon année Erasmus

Chapitre 1

Arrivée en Pologne

Hétéro
La valise enregistrée et étiquetée, montait tranquillement la petite rampe automatique du chargement dans l’avion. Avec le billet d’avion dans la main, tout semblait acter de mon départ et je n’y étais pas insensible. Étrange. J’étais déjà parti à l’étranger plusieurs fois. Comment expliquer cette émotion particulière qui me gagnait et cette petite appréhension qui me trottait dans l’esprit. Il est vrai que jamais je n’étais parti aussi longtemps. Je m’apprêtais à m’éloigner pendant un an de mes amis et de ma famille et il faut reconnaître que c’est d’une certaine façon un saut dans l’inconnu. Une impression de quitter le nid définitivement, c’est l’heure du grand départ.
C’était le milieu du mois de septembre et j’avais encore en tête les folles soirées de cet été, passées avec mes amis. Ces moments agréables m’avaient fait oublier un peu ceux plus délicats et douloureux de ma rupture avec ma copine. Nous étions restés un an ensemble et bien que 6 mois se soient déjà écoulés depuis la rupture, son souvenir continuait à me hanter l’esprit. Nous étions vraiment compatibles. Enfin, c’est l’impression que j’en avais. Peut-être que ce n’était pas aussi réciproque de son côté. Ses explications lors de notre rupture avaient été assez vagues, ce qui rendait la suite encore plus difficile à avaler.
Je m’étais énormément consacré à cette relation, mes anciens potes étant éparpillés aux quatre coins de la France et les nouveaux moins enclins à aller s’amuser le soir. Ce qui fait qu’à la suite de la rupture, l’impression de solitude s’en était trouvée doublement grandie.
Enfin sexuellement, c’était vraiment le pied avec elle. Lorsque nous nous étions rencontrés, j’étais un ado vierge sexuellement, mais pas innocent dans mes désirs. Elle, qui avait déjà un peu plus d’expérience, m’avait tout de suite mis à l’aise pour me révéler sur ce plan. Jusqu’alors, je n’avais pu assouvir mes envies sexuelles que par le sexe solitaire. Avec sa rencontre, ces derniers avaient décuplé et elle aimait ça. Elle avait elle aussi des besoins à assouvir.
Autant dire, que depuis la fin de notre relation, revenir exclusivement au sexe solitaire était énormément frustrant. J’avais en vain essayé de rencontrer d’autres filles depuis. Malheureusement, peu de celles qui étaient dans mon entourage me plaisaient. Elles étaient soit inintéressantes, soit elles avaient déjà des copains pour leur tenir compagnie la nuit.
Je restais un garçon timide et réservé. Je n’étais pas moche, mais je n’avais jamais été celui qu’on remarquait dans une classe. Je n’étais pas extraverti et mon physique ne faisait pas retourner les gens dans la rue. Je faisais une taille moyenne (1.80), j’avais des cheveux et des yeux de couleurs communes (châtain clair et marron). Je n’étais ni costaud ni maigrichon. Bref, le type qu’on qualifie de normal.
Dans l’avion qui m’amenait à Cracovie, je repensais à cette fin d’année frustrante. J’avais trop retourné et repensé aux souvenirs qu’il me restait de mon ex. Il était temps de rencontrer de nouvelles personnes et profiter de nouvelles expériences. Cette année Erasmus tombait donc à pic.
J’étais donc parti pour la Pologne. Je n’avais pas une idée précise de ce à quoi je pouvais m’attendre à vrai dire. Erasmus: tout le monde n’en dit que du bien. A croire qu’il existe une certaine pression sociale venant des amis, de tes connaissances, qui pousse à la surenchère. Tous ceux qui sont rentrés doivent vanter les mérites et les bienfaits d’un tel séjour : l’ouverture d’esprit qu’ils ont renforcé là-bas, les rencontres, la langue et l’ambiance Erasmus. L’ambiance Erasmus, rendue célèbre dans le film L’auberge espagnole : les nombreuses soirées inoubliables et les petits « à-côtés » que tout le monde connaît. Bien entendu, j’espérais profondément vivre là-bas une telle expérience au moins équivalente à ce qu’on m’en avait raconté, j’en avais besoin !
J’étais d’ailleurs à ce moment même plutôt excité. Excité de découvrir ce nouveau pays et ce nouvel endroit où j’allais passer un an mais aussi excité par les choses que j’étais en train de m’imaginer dans ma tête. Quelles filles allais-je bien pouvoir rencontrer là-bas ? Arriverais-je à séduire et m’amuser un peu ?
J’étais aussi tout émoustillé par la vue que j’avais devant moi : des très belles hôtesses de l’air qui passaient dans l’allée centrale. L’une d’elles était particulièrement appétissante : Blonde aux yeux verts avec la peau claire et de longues jambes fines. Peut-être était-elle polonaise ? Si c’était le cas, cela donnait un très joli avant-goût de ce que j’allais pouvoir trouver là-bas.
Les pensées qui me traversaient l’esprit commençaient à se rendre visibles au travers de la bosse que j’avais au niveau de l’entrejambe. Si ma voisine de droite, qui semblait très studieuse, avait jeté un œil au-dessus de son livre, elle s’en serait rendu compte. Elle aurait vu aussi que je n’avais cessé au cours de ce voyage, de regarder du côté de son décoté qui y cachait, je me laissais aller à l’imaginer, une magnifique petite poitrine.
Il était temps que j’arrive. Déjà j’apercevais Cracovie vue du ciel. L’aventure allait commencer.
J’avais à peine eu le temps de traverser le hall pour récupérer ma valise et de sortir de l’espace passager, que Magdalena s’était déjà jetée sur moi. Elle m’accueillit les bras grands ouverts et je répondis à cet élan de sympathie avec une accolade amicale.

Magdalena m’avait contacté par Facebook juste avant mon départ pour connaître le jour et l’heure d’arrivée de mon avion et elle tenait à tout prix venir me chercher à l’aéroport. Elle faisait partie d’un groupe d’étudiants et d’étudiantes polonais volontaires qui avaient pour mission d’aider les homologues étrangers à "s’intégrer" le plus vite possible !
Sur le coup, sa spontanéité m’avait surprise. Comment avait-elle réussi à me reconnaître aussi vite sans le moindre doute, au milieu de tous les autres passagers de mon vol ? Malgré ses photos que j’avais un peu regardées, je ne crois pas que j’aurais été capable d’en faire de même.
Après les présentations et quelques banalités échangées, nous nous dirigeâmes vers la sortie de l’aéroport en direction des bus. Magdalena parlait un français correct qu’elle avait commencé à apprendre au lycée. Elle avait un très joli visage avec des traits qui selon moi devaient être typiquement polonais. Elle était blonde avec des petits yeux clairs, des pommettes assez relevées et un charmant sourire qui semblait des plus sincères. Au niveau du corps, elle était plutôt ronde et avait de ce fait une poitrine plutôt volumineuse.
J’avais pris le temps de noter ce détail tout en tâchant de rester toujours discret. Je ne voulais surtout pas créer un malaise.
Dans le bus qui devait nous amener chez elle, elle parla beaucoup. De la Pologne, de ses amis, de l’année Erasmus qu’elle avait passée en Belgique, de son copain qui était anglais, de la vie qu’elle voulait mener là-bas, avec lui, à Manchester. Bref, elle parlait de tout, comme si nous nous connaissions très bien et que nous étions amis de longue date. Je supposais que son copain devait lui manquer.
J’appréciais l’entendre parler avec son accent qui était amusant pour moi. J’appréciais d’autant plus, qu’en raison du monologue qu’elle avait commencé, je n’avais pas besoin de démarrer une présentation exhaustive de ma personne. Ça avait toujours eu le don de m’ennuyer fortement. Malgré le charme et la sympathie qu’elle dégageait, je ne l’écoutais que d’une oreille, j’avais la tête un peu ailleurs.
Elle s’arrêta de parler au moment venu de descendre du bus. Elle habitait en bordure de Cracovie dans un immeuble caractéristique de l’époque communiste situé dans un quartier arboré. Elle partageait sa collocation avec deux autres filles, un et deux ans plus jeunes qu’elle. Une quatrième fille partageait leur logement il y a encore 2 mois de cela, mais avait quitté les lieux pour aller vivre avec son compagnon.
Comme dans la plupart de ses colocations en Pologne, les chambres étaient partagées à deux. Magdalena dormait avec Sylwia, tandis qu’Agata était désormais toute seule depuis le départ de la quatrième.
Arrivé à l’appartement, nous fîmes les présentations en se serrant la main. Il est en effet très rare de faire la bise à une fille que l’on ne connaît pas en Pologne ! Les deux colocs de Magdalena avaient l’air tout aussi charmantes qu’elles. Elles m’accueillirent avec de grands sourires. Malheureusement, leurs niveaux d’anglais ne nous permirent pas d’avoir plus de conversation.
Sylwia avait les cheveux courts, châtain clair, de petits yeux noisette et de bonnes joues bien rondes. Elle faisait dans les 1m65 et avait de jolies formes. Elle n’était pas vraiment mon style de fille mais avait un charme certain. Elle affichait un sourire malicieux qui lui donnait un petit air coquin.
D’ailleurs, c’était aussi un peu le cas d’Agata. Toutes les deux rirent dans leurs coins quand Magdalena m’invita à prendre le thé sur son lit. Ma présence ne devait pas être étrangère à ces petits rires cachés. Agata était plus grande et plus mince que Sylwia. Elle avait les cheveux châtain foncé, ondulés qui lui arrivaient jusqu’à la poitrine. Poitrine que l’on pouvait deviner à travers son tee-shirt clair. Elle devait probablement avoir des petits seins en forme de poire. Son visage était tout aussi agréable à regarder avec des yeux vert amande, et un petit sourire timide.
Après avoir pris le thé et continué à discuter, nous sortîmes prendre une bière avec Magdalena, histoire de profiter de la soirée. Celle-ci fut douce et je pus apprécier la fraîcheur des soirées de septembre en Pologne et les beautés de la ville de Cracovie.
À notre retour, Agata et Sylwia dormaient déjà et Magdalena me montra le lit qui serait le mien pour cette nuit dans la chambre d’Agate en face du sien. Elle semblait dormir à poings fermés quand je me glissai sous la couverture. Un clair de lune pénétrait dans la pièce par la fenêtre et éclairait son corps endormi. Je m’attardais quelques minutes à la regarder dormir. Elle était définitivement vraiment belle. Je me tournai vers le mur en essayant de penser à autre chose pour trouver le sommeil.
L’alcool m’était monté à la tête et je n’arrivais pas à trouver le sommeil. À force de me retourner dans mon lit, je commençais à perdre patience. J’avais besoin de dormir en raison de la longue journée de demain qui m’attendait. Se retrouver à ne pas dormir à trois heures du matin, cherchant désespérément le sommeil reste une situation des plus énervantes.
C’est alors que, tourné contre le mur, allongé sur le côté, un bruit me parvint. Le son était presque inaudible, mais toutefois perceptible vu le silence qui régnait jusqu’alors. Ce bruit semblait provenir de l’autre côté de la pièce. Le bruissement monta en intensité et je n’arrivais toujours pas à déceler de quoi, il pouvait être à l’origine. Cela ressemblait à un bruit de froissement ; ou plutôt un bruit de frottement avec des draps.
Il n’y avait plus de doute. Ce léger bruit de mouvement venait du lit d’Agata. Cette idée m’extirpa aussitôt de ma lassitude nocturne. Il n’était plus question de chercher à dormir à présent. Serait-elle en train de faire ce que je commençais à imaginer ? Serait-ce possible et non un rêve que l’on peut avoir lorsque l’on vient juste de plonger dans le sommeil ?
C’était un de mes plus grands fantasmes étant plus jeune : surprendre une fille s’accordant du plaisir en solitaire. Je n’avais pas eu de sœur, donc, le fantasme était resté inachevé, jusqu’à aujourd’hui vraisemblablement. À quoi pouvait-elle penser en ce moment ? De quelle façon se touchait-elle ? Était-elle sûre de me croire endormi ? J’enrageais de m’être positionné côté mur. Comment pourrais-je me retourner sans qu’elle puisse me voir et m’entendre ? Sans cela, il me serait impossible de l’observer de mes propres yeux ? Malheureusement, se retourner discrètement semblait impossible d’autant que mon lit avait la fâcheuse tendance à vouloir grincer à chaque mouvement de mon corps.
Le son qui s’échappait du lit d’à côté était de plus en plus audible à présent, d’autant plus qu’il me semblait s’accélérer. En tendant bien l’oreille, je pouvais même identifier à travers le bruit, le murmure de son souffle qui se faisait de plus en plus fort. Quelle coquine, pensais-je. Sous ses airs de fille timide, elle cachait plutôt bien son jeu. Elle ne pouvait pas ignorer le risque qu’elle prenait de me réveiller en se touchant au beau milieu de la nuit et d’être ainsi surprise. Mais peut-être que, justement la situation et le risque de se faire surprendre, l’excitaient et décuplaient son plaisir.
Dans l’impossibilité de voir ce splendide tableau, mon imagination s’était mise en marche. Je voyais son corps nu frissonnant sous un drap léger. Ses poils hérissés par le contraste entre la froideur de la pièce et la chaleur de son bas-ventre qui remontait lentement. Sa poitrine était dressée de plaisir, surmontée par deux magnifiques tétons tendus comme jamais. Ses doigts jouaient avec ses grandes lèvres parce qu’elle aimait les toucher simultanément avec deux doigts différents. Son intimité était déjà très humide et la chaleur se propageait désormais jusqu’à la partie intérieure des cuisses. Son index se rapprochait de son orifice en douceur, elle voulait à tout prix faire durer le plaisir. Au même instant, lorsqu’elle se remémora la dernière fois qu’elle avait couché avec un garçon et la dernière queue qu’elle avait accueillie dans son antre, elle introduisit son index lentement jusqu’au bout.
A défaut de voir, mon imagination fonctionnait à toute vitesse. Mon rêve éveillé fut interrompu par un petit son, sûrement pas volontaire, qui s’échappa de sa bouche. Aussitôt, le rythme de ses attouchements ralentit puis cessa. Ce petit cri m’avait extirpé de mes pensées et je l’imaginais désormais regardant dans ma direction pour vérifier que j’étais toujours endormi. Le cri avait dû lui échapper et la peur d’être surprise en train de se toucher avait dû lui faire peur. Si elle pouvait imaginer à quel point j’étais bel et bien réveillé et dans quel état était mon excitation, elle aurait eu une idée de l’intensité de mon désir à cet instant. J’aurais voulu pouvoir l’aider à tout prix dans sa quête de plaisir, mais pouvais-je risquer de tout arrêter en lui montrant que j’étais réveillé ?
Soudain, son lit se mit à grincer. Elle venait de se retourner d’après le bruit du mouvement de son corps et devait être à présent sur le ventre. Peut-être se sentait-elle plus à l’aise dans cette position pour pouvoir finir le travail. Ou alors l’oreiller lui permettait de laisser échapper ses soupirs sans faire de bruit.
Je n’en pouvais plus et décidai de tenter le tout pour le tout. Trop excité pour laisser passer cette occasion, je simulai donc la personne toujours endormie qui change de sens en pivotant sur lui-même. La stratégie était risquée, mais cela en valait la chandelle à mes yeux.
Dès mon mouvement et le bruit de mon lit grinçant, les bruits provenant de son lit cessèrent. Le silence avait regagné la pièce. Je n’osais même pas ouvrir l’œil et regarder dans sa direction. Je devais simuler le sommeil de plomb pour qu’elle puisse reprendre son travail.
Un son, ou plutôt une parole s’échappa de sa bouche, à peine perceptible. Pas de doute, elle venait de prononcer mon nom. J’en déduis qu’elle voulait vérifier si j’étais bien endormi, ce que je simulais plutôt bien apparemment. Que devais-je faire ? Lui dire grand sourire qu’elle m’avait réveillé ? Prendre le risque de détruire ce moment de plaisir solitaire auquel elle était en train de s’adonner et auquel je me faisais un plaisir d’être spectateur ? Non, je voulais assister à l’apothéose lorsque son corps se tendrait de toutes ses extrémités et que sous l’ultime onde de plaisir qui allait l’envahir, elle pousserait un long soupir étouffé par cet oreiller. Je ne voulais pas rater cela donc il fallait continuer de simuler mon sommeil et qu’elle reprenne son petit jeu là où elle l’avait interrompu.
À mon plus grand bonheur, mon plan s’exécuta sans accrocs. Après une trentaine de secondes, elle reprit ses caresses avec sa main droite, la tête bien enfouie dans l’oreiller. J’avais désormais une vue parfaite sur cette magnifique scène avec l’aide du clair de lune. Ses mouvements étaient désormais rapides et accompagnés par des mouvements du bassin. J’ignorais à quand remontait la dernière fois qu’elle avait été accompagnée dans ce genre de mouvement, mais elle semblait vraisemblablement en manque. Le mince drap qui la recouvrait ne parvenait pas à dissimuler les courbes splendides qui s’offraient à moi. Il n’y avait plus de doute, les fesses avaient sûrement autant de potentiel que la poitrine que j’avais devinée à travers son tee-shirt.
Elle agrippa avec son autre main le bord du lit. Elle devait être proche de l’explosion parce que sa main droite n’avait jamais été aussi rapide. Je l’imaginais torturer son bouton du plaisir gonflé d’envie, délaissant quelque peu son intimité parfaitement lubrifiée qui aurait bien accueilli une aide supplémentaire. Elle laissa échapper un petit cri malgré l’oreiller et son corps se tendit comme je l’avais prédit. Tout doucement, son souffle redevint normal et elle retrouva une position plus décente pour dormir. D’ailleurs, elle ne tarda pas à retrouver le sommeil comme me l’indiquait son souffle léger.
J’étais toujours excité comme jamais. J’aurais bien aimé pouvoir me soulager afin de trouver le sommeil et calmer mon sexe qui était au garde-à-vous depuis une vingtaine de minutes. Malheureusement, la masturbation masculine est toujours plus bruyante et je n’aurais jamais réussi à être discret. Il fallait que je parvienne à dormir en attendant demain. Je parviendrais bien, espérais-je, à trouver un moment tout seul pour évacuer cette frustration.
En somme, ce début de séjour avait plutôt bien commencé.
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