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Souvenirs de mon année Erasmus

Chapitre 2

Premières journées en Pologne et premières rencontres

Hétéro
Quand l’alarme de mon portable sonna, j’étais plongé dans un sommeil si profond, qu’il me fallut quelques dizaines de secondes pour reconstituer les événements et réaliser où j’avais passé la nuit. Je m’empressai de l’éteindre pour ne pas réveiller ma voisine de lit. Je n’avais pas l’habitude de partager une chambre avec quelqu’un et encore moins avec une fille qui n’était pas ma copine. On m’avait prévenu que je devais m’y faire puisque la disposition des chambres était identique dans la résidence étudiante où je devais me rendre ce matin.
Il était d’ailleurs temps d’y aller, j’avais rendez-vous là-bas à 8h30 et il était déjà 7h30. Prendre une douche, manger quelque chose, trouver le bus, j’avais juste assez de temps pour arriver à l’heure.
Sur la pointe des pieds, je quittai la chambre pour me diriger vers la salle de bains tout en espérant ne pas rencontrer une des filles dans le couloir. En effet, mon érection matinale était encore plus visible que d’habitude ; impossible à dissimuler. Agata et ses activités nocturnes n’étaient pas étrangères à cela.
Une fois dans la salle de bains, je refermai la porte, mis le loquet et commençai à me déshabiller. Il faisait plutôt froid dans l’appartement alors je ne fus pas long à m’introduire dans la douche pour profiter de l’eau chaude.
Soudain, sans avoir eu le temps de me rincer, la lumière dans la pièce s’éteignit. Merde, lançais-je ! L’interrupteur était placé dans le couloir. Impossible de rallumer la lumière sans sortir de la salle de bains à poil trempé. Je devais finir ma douche dans le noir.
Grommelant tout seul dans la cabine, je me demandais qui avait bien pu éteindre la lumière. Je n’étais pas vraiment adepte de ce genre de blague même s’il s’agissait peut-être d’une simple coupure d’électricité. À la sortie de la cabine, dans le noir complet, je me mis à tâtonner les murs à la recherche d’un interrupteur, dégoulinant sur le sol carrelé sans savoir où j’avais posé ma serviette.
À la droite de la glace au-dessus de l’évier, je parvins à trouver le petit interrupteur qui allumait une faible ampoule qui éclairait la glace par le dessus. On n’y voyait pas grand-chose, mais c’était suffisant pour me sécher et renfiler mes affaires.Alors que je m’essuyais avec la serviette, les souvenirs de la veille me revinrent peu à peu : Agata. Qu’est-ce qu’elle était belle à regarder ! La veille, l’envie d’aller plus loin et partager ce moment de plaisir avec elle m’avait bien évidemment traversé l’esprit, mais l’occasion ne s’était pas présentée. Ce n’était que le début, pensais-je, j’aurais sans aucun doute le temps de la revoir !
Seulement, à l’évocation de ces souvenirs, un autre problème se posa. En repensant à la belle Agata, mon érection était revenue aussi vite et aussi forte. J’avais toujours cette envie depuis la veille qui m’envahissait la tête et si je ne voulais pas passer la journée avec elle, il fallait la satisfaire maintenant et rapidement. Sans être tout à fait à l’aise avec ce que je m’apprêtai à faire dans la salle de bain de mes trois hôtes, je commençai à me caresser la verge délicatement et rapidement.
Mes longues années d’expérience de masturbation m’avaient appris comment venir vite, comment procéder, quel rythme adopter et comment se concentrer. Les branlettes rapides sont rarement les meilleures, mais elles sont efficaces lorsqu’il faut évacuer quelque chose de la tête.
J’accélérai le mouvement progressivement, en pressant mes doigts au niveau du frein, l’autre main massant délicatement mes couilles, mon esprit focalisé sur Agata et les souvenirs de la veille. Ça allait être rapide, pensais-je.
C’est alors, surprise totale, que la lumière réapparue dans la pièce et que la porte s’ouvrit d’un seul coup. Dans ces moments d’extrême rapidité, il n’est malheureusement pas toujours possible de contrôler ses réactions et il nous arrive d’avoir des comportements stupides. Au lieu de prendre ma serviette et de cacher mon intimité face à la personne qui vraisemblablement allait rentrer dans la pièce, dans un mouvement de panique, je pivotais sur moi-même à 180 degrés. Je me suis donc présenté, nu comme un ver, dévoilant toute mon anatomie, mon sexe dressé compris, à la jolie blonde qui se trouvait à l’encadrure de la porte.
Magdalena fut logiquement aussi surprise que moi. Nous n’eûmes même pas le temps d’échanger des paroles qu’elle était déjà sortie précipitamment de la pièce, refermant la porte derrière soi. La honte. Je me sentis un peu stupide à cet instant. Je connaissais Magdalena depuis moins d’un jour et nous avions déjà franchi une barrière : déjà, elle m’avait vu nu, exposant sous leurs plus beaux jours mes bijoux de famille.
Comment et pourquoi avait-elle réussi à ouvrir la porte alors que j’avais mis le loquet ? Je l’ignorais. Par ailleurs, les événements me firent perdre toute mon excitation et je décidais de m’habiller en vitesse et de filer.
Une fois vêtu, je me dirigeai vers la cuisine où Magdalena préparait du café :
— Je suis désolé Magdalena, j’avais fermé la porte, je ne pensais pas que quelqu’un pouvait toujours rentrer et ...— Ce n’est pas grave, répondit-elle avec un sourire compatissant. J’aurais dû te dire que le machin pour fermer la porte, ne marche pas bien. Je ne voulais pas te déranger.— D’accord, d’accord, il ne s’est rien passé, lui répondis-je en lui renvoyant un sourire.
Nous n’abordâmes pas le fait qu’elle m’avait surpris en train de me masturber dans sa salle de bains, même s’il était évident que cela n’avait pas pu lui échapper. Je pris ma valise, et sortis de l’immeuble en direction du bus. J’avais hâte de découvrir tous mes futurs collègues Erasmus avec qui j’allais passer cette année et impatient de découvrir les charmantes demoiselles qui m’attendaient.
Les trois jours suivants furent très animés ! Comme tout début de séjour Erasmus qui se respecte, les soirées avaient été au rendez-vous. J’avais tout d’abord fait la connaissance de mes colloques, un Allemand, Marvin avec qui j’allais partager ma chambre, un Espagnol à l’accent impossible Rafael, et un bulgare Iordan.
Marvin était grand (minimum 1m90), blond, la belle gueule, le genre de type qui selon moi devait faire tomber les filles. Soupçons confirmés peu après par ses dires : il y en avait déjà eu beaucoup. Rafael était blond aussi, moins beau physiquement avec un peu de surpoids. Tandis que Iordan avait le temps mat, à peu près la même taille que la mienne et assez timide. Le duo qu’il faisait avec l’espagnol était assez atypique.
De nombreuses nationalités étaient représentées dans notre résidence, des Français, Italiens, Espagnols, Allemands, Belges, Grecs, Turcs, Bulgares, suédois et portugais (en tout une cinquantaine de jeunes). Nous avions passé ces quelques jours sans cours à commencer à faire connaissance, boire, s’amuser et donc bien entamer ce début d’année Erasmus.
Il y avait assurément dans ce groupe, des personnes vraiment intéressantes et de quoi passer de supers moments. Il y avait aussi de très jolies ambassadrices des cultures européennes pour pouvoir s’amuser comme il se doit.
D’ailleurs, certains d’entre nous ne tardèrent pas à attaquer cette partie du gâteau. En ligne de front, mon colloque Rafael qui avait jeté son dévolu sur une ravissante Turque : Lara qui était sans aucun doute l’une des plus belles filles du groupe. Très brune, cheveux ondulés, elle avait le visage fin avec de petits yeux noirs, une petite poitrine, des jambes fines et un ravissant petit derrière. Rafael tentait là de décrocher le gros lot ! Impossible à l’heure actuelle d’estimer ses chances d’y parvenir.
Pour ma part, j’étais ravie de cette ambiance festive et amicale. Situation rare, je ne me sentais pas mal à l’aise avec des inconnus, ce qui me permettait de me lier rapidement d’amitiés avec certaines personnes, dont Tom, un belge, Karyo un Grec, et Pauline une Française.
C’est assez courant : le grand groupe se scinde rapidement en plus petits groupes. Toutefois nous nous retrouvions tous ensemble lorsqu’il était temps d’aller en club ou d’organiser un match de foot sur le toit de la résidence.
4 jours après mon arrivée, je fus convoqué à la fac pour procéder à mon inscription. Passé le bazar que c’était de s’inscrire en tant qu’étudiant étranger et les éléments de complications administratives, je parvins au bout de deux jours à pouvoir intégrer mon premier cours.
Ceux-ci étaient exclusivement en anglais et j’étais le seul étranger avec une Espagnole au milieu d’étudiants et étudiantes polonaises. Dans l’ensemble, les profs étaient ravis d’accueillir des étudiants étrangers et nous sommes rapidement devenus leurs chouchous de classe, les Polonais n’étant pas très bavards dans les cours en langue étrangère.
Une semaine après mon arrivée, en cours de théorie économique, la prof décida de nous mettre en binôme pour pouvoir travailler sur un projet que l’on devait rendre pour la fin du semestre. Ce jour-là, j’aurais dû embrasser la prof pour la chance qu’elle allait me donner.
Je fis la rencontre de Krystyna, une jeune Polonaise au grand sourire. Elle avait des cheveux châtain foncé longs jusqu’à la poitrine, un regard noir surmonté de sourcils sombres et épais qui contrastaient avec sa peau claire : une ravissante créature d’Europe de l’Est. À la sortie du cours, nous fîmes plus ample connaissance et étions tous deux ravis de cette association. Elle était heureuse de pouvoir se faire un ami français et moi de rencontrer une si jolie fille.
Son visage, son attitude, sa façon d’être dégageaient une certaine innocence, ou plutôt une insouciance. Elle n’avait pourtant, selon elle, qu’un an de moins : 20 ans. Contrairement à moi, elle semblait totalement désintéressée par l’idée sexuelle. Du coup, j’en culpabilisais presque d’avoir des idées coquines me traverser l’esprit. J’avais donc devant moi un esprit pur dans un corps terriblement attirant.
Au bout de la deuxième semaine, je lui proposai d’aller boire un verre en ville afin d’approfondir de la meilleure des manières cette merveilleuse rencontre. Les sujets que l’on aborda cette soirée-là avaient à vrai dire peu d’intérêts pour moi. Dans un autre contexte, je les aurais trouvés futiles et cette fille trop gamine pour supporter de passer une soirée avec elle et d’envisager d’avoir une relation très sérieuse.
C’est une autre envie qui balayait mes réticences. Tout au long de la soirée, je n’avais pas pu m’empêcher d’admirer le charme qu’elle dégageait. Son sourire était enchanteur et je me noyais dans son regard. Je la voulais. Après plusieurs verres, je la raccompagnai au bas de son immeuble avant de lui dire au revoir. Toujours armée de son grand sourire, elle me fit la bise.
Deux jours plus tard, je lui proposai de travailler ensemble sur notre projet de classe, tout en prétextant qu’il serait préférable de travailler chez elle (n’ayant pas assez de place chez moi). Sa réponse ne tarda pas. Je reçus un message qui me disait qu’elle m’invitait chez elle avec plaisir vers 14h. Mon idée bien précise en tête, j’essayai de réfléchir sur le trajet de bus qui me séparait de chez elle, à la façon dont j’allais bien pouvoir arriver à mes fins.
Elle m’accueillit toujours avec le même sourire, dans son chez-soi. Son appartement n’était pas très grand, mais suffisant lorsque l’on vivait à deux comme c’était son cas. Sa colloque était partie (une chance pour moi, pensais-je) et ne devait pas revenir avant le début de soirée.
Même dans sa tenue actuelle, Krystyna était vraiment ravissante. Elle portait une sorte de legging qui mettait en valeur ses petites fesses et un tee-shirt clair, comme si elle venait juste de sortir de son lit. C’est d’ailleurs sur ce lit, qu’on se mit à papoter, assis l’un à côté de l’autre, de tout et de rien.
Les sujets qu’elle abordait dans la conversation n’avaient vraiment pas beaucoup d’intérêt. C’était étonnant. Cette fille de 20 ans semblait en faire 15. Son corps était celui d’une femme, quoique le visage gardait quelques traits juvéniles. Son esprit en revanche était celui d’une lycéenne si bien, qu’en temps normal, j’aurais pu légitimement me demander ce que je faisais ici.
Quand je repense aujourd’hui à cette journée, je reste impressionné par la détermination et l’absence de doute qui régnait dans mon esprit. Je ne cessais de la complimenter de façon relativement intelligente et discrète sur son physique et je voyais qu’elle éprouvait des difficultés à cacher l’effet que lui faisaient ces flatteries.
Nous travaillâmes deux bonnes heures sur le projet et malgré son niveau d’anglais qui l’empêchait parfois d’exprimer certaines de ses idées, nous avions bien avancé. Tout en travaillant, je ne cessais de la regarder tel un prédateur qui observe sa proie avant de se jeter dessus.
Elle décida soudainement de partir dans la cuisine faire du thé. Après 5 min, me sentant seul dans la chambre, je la rejoignis. Les événements par la suite s’enchaînèrent très vite et j’agis quasiment uniquement par instincts. Néanmoins, j’en garde encore aujourd’hui un souvenir impérissable.
Je m’approchai d’elle et lui posai un doux baiser sur la joue pendant qu’elle était en train de fixer la théière en train de bouillir. Surprise, elle tourna son visage de façon immédiate dans ma direction et c’est là que je commençai à l’embrasser fougueusement. Déséquilibrée par cette première attaque, elle m’agrippa le tee-shirt.
Sur le coup, je crus que c’était une façon de me repousser, mais très vite, je me rendis compte qu’elle était incapable, saisie par la surprise de résister à mon offensive. Nous nous embrassâmes durant de longues minutes durant lesquelles je sentis la résistance diminuer d’intensité.
Avant que ma main n’y aille s’y promener pour la caresser et la malaxer, je sentis sa poitrine contre mon torse. Quelques bouts de tissus me séparaient de mon objet de convoitise. Je voulais découvrir ses seins, j’en mourrais d’envie. Lorsque ma main prit contact avec elle, à travers le soutien-gorge et le tee-shirt, elle essaya alors de me repousser :
— Lucas je ne pense pas que ...— Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer, lui soupirai-je dans l’oreille.
Je faisais démonstration d’une confiance déconcertante qui anéantissait dès le départ toutes ses tentatives de révolte.
Sa poitrine semblait parfaite au toucher : elle devait faire un bon C. Je ne pouvais plus patienter encore une minute pour la découvrir. Cette poitrine, je n’avais pas cessé de l’imaginer lors de la dernière soirée à travers sa chemise qui jouait avec les transparences.
Ma main baladeuse continuait sa route vers son cul, qu’elle prospecta sous tous les angles. Cette fois-ci, je passai la barrière du tissu, pour directement glisser ma main sous sa culotte. Ses fesses étaient froides, mais fermes. Je sentis son souffle plus fort sur mon épaule, il était indéniable qu’elle appréciait ce que j’étais en train de faire. Encore une qui n’avait pas eu suffisamment d’attentions ces derniers temps, pensais-je.
Je l’attirai vers son lit pour être plus à l’aise, tout en continuant de faire tout le travail nécessaire pour la maintenir dans son état. Son corps et son esprit semblaient partagés entre l’excitation et l’appréhension, si bien que pendant un moment, je doutais du fait qu’elle ne soit plus vierge.
En retirant son tee-shirt et puis son soutien-gorge : une poitrine magnifique apparut. Elle avait deux beaux seins volumineux, ronds avec deux aréoles de taille moyenne surmontés de deux tétons plutôt volumineux.
Alors que j’étais subjugué devant le magnifique tableau d’une poitrine qui se tenait si bien, elle retrouva le sourire qui la caractérisait. Elle reprit un peu la main en commençant à déboutonner mon jean, puis en baissant d’un coup sec mon boxeur.
Son sourire laissa place à la stupeur.
— Kurwa, lâcha-t-elle.

Sans m’en rendre compte, j’esquissais un léger sourire face à sa surprise. J’étais en train de lui montrer sous la meilleure des manières à quel point j’étais aussi excité qu’elle.
— Je pense que je vais avoir mal, me dit-elle. Ce n’est pas contre toi, mais je n’ai eu qu’un copain, il y a longtemps et il en avait une, comment dire, plus petite que la tienne... beaucoup plus petite...— Encore une fois, ne t’inquiète pas, ça va très bien se passer.

Elle enserra mon sexe de sa main pour évaluer la largeur, son inquiétude n’était pas encore partie. Je recommençai mes caresses pour la rassurer et lentement je fis glisser son leggin à ses pieds. Plus qu’une petite culotte blanche et nous pourrions passer aux choses sérieuses.
Il était visible avec le petit halo humide sur sa culotte que la petite Krystyna mouillait déjà beaucoup. Je ne tardai pas à retirer ce dernier petit bout de tissu avant de moi aussi, être soudainement stupéfait.
Décidément, je n’étais pas au bout de mes surprises avec elle. Je découvris une large touffe châtain clair taillée en triangle. Certes entretenue, mais une telle pilosité n’était pas habituelle pour une fille de cette génération.
— Je suis désolé, je ne me suis pas rasé depuis longtemps, je me sens mieux comme ça.— Cela ne fait rien, j’apprécie aussi comme ça, lui dis-je d’un ton rassurant.

Explorant ce buisson avec mes doigts, je manipulai avec mon index et mon majeur ses grandes lèvres avant de me rendre compte que la forêt était bien humide. Elle était bien excitée la coquine, et moi aussi. Cela faisait trop longtemps que j’attendais cela. Le temps d’enfiler un préservatif, j’étais déjà à l’entrée de la Sublime Porte. Ses craintes ne furent pas fondées, car je m’introduisis en douceur sans grandes difficultés dans cette fente chaude et humide.
Une fois pénétrée comme elle ne l’avait jamais été, je restais immobile pendant quelques instants. Elle semblait savourer, elle avait fermé les yeux et poussait avec ses bras sur le bord du lit, pour que ma pénétration soit la plus profonde.
Je savourais aussi et mon excitation était à son maximum.
Puis, progressivement et en accélérant, je commençais mes mouvements du bassin. Ma vue était braquée sur sa poitrine qui accompagnait le rythme de haut en bas avec les coups de boutoir que je lui donnais. Rapidement, elle joignit les mains au mouvement, en agrippant mes fesses pour que je pousse plus fort et plus loin. Elle n’était définitivement pas innocente comme je l’avais imaginé.
Après une dizaine de minutes, je finis par fatiguer. Elle en demandait plus que je ne pouvais et il était clair que je manquais d’entraînement. Elle le sentit et décida de changer de position en me chevauchant. Sans transition, elle s’enfourcha sur ma bite et nous pûmes continuer nos activités d’amants déchaînés. Ses hanches et son cul se mouvaient de façon parfaite pour pouvoir prendre en elle, le maximum de mon chibre, qu’elle accueillait à chaque fois en poussant un petit couinement très mignon.
Je repris un peu de mes forces, tout en savourant ce pur moment de plaisir. Mes mains n’étaient pas en reste : tantôt sur les hanches, tantôt manipulant cette magnifique poitrine, elles ne savaient plus où donner.
Décidé à reprendre les choses en main, je la fis se mettre à quatre pattes sur son lit dans une position idéale pour la prendre par-derrière. Ma bite était en feu. Je n’en avais plus pour longtemps. Je la pris en levrette de façon presque violente en faisant bien claquer mes cuisses contre les siennes. Encore une fois, mes mouvements étaient accompagnés de sa lourde poitrine qui balançait la mesure avec les coups. Elle était aux anges et moi aussi.
Alors que je sentis l’explosion proche, je m’allongeai quelque peu sur son dos, agrippant avec mes mains ses deux beaux seins et malgré moi, incapable de me retenir davantage, expulsa trois jets de sperme dans le préservatif. Le corps tendu, je restais dans cette position une à deux minutes, exténué.
Je me retirai et me mis à l’embrasser, elle avait retrouvé son grand sourire.
— Je n’ai pas eu le temps de jouir, me dit-elle.— Pas le temps ? Tu n’es pas du genre rapide, lui répondis-je sur le ton de l’humour.— Je savourais parce que c’était exquis. Ça faisait longtemps, et je sais me retenir pour profiter.— Je le pensais aussi, mais face à toi, j’ai dû abdiquer.— Tu pourras me reprendre rapidement tout à l’heure quand tu auras repris ton souffle ? me demanda-t-elle tout en soupesant délicatement mes couilles avec sa main droite.— On verra, lui répondis-je en souriant.— Je ne voudrais pas perdre une occasion de profiter d’un si gros pénis, c’est pas tous les jours que j’en ai l’occasion.
Nous travaillâmes encore une bonne heure sur le projet et comme promis, je la repris rapidement dans la salle de bains, elle assise sur le lavabo, sa main torturant son clitoris, son bras autour de mon cou, sans retenir son dernier cri au moment de l’orgasme. Les sensations de cette journée avaient été incroyables, et je lui fis promettre que l’on se reverrait bientôt.
A suivre...
N’hésitez pas à me dire si ce chapitre vous a plus dans les commentaires ou en mettant un like. En attendant une suite qui arrivera bientôt...
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