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Souvenirs de mon année Erasmus

Chapitre 3

Lara la coquine

Hétéro
Depuis une semaine, nous n’avions pas cessé de nous voir et de faire toutes les choses imaginables sur son petit lit grinçant. À ma grande surprise, je me rendis compte que ses besoins en la matière parvenaient même à dépasser les miens. C’était assez inédit pour moi : jeune inexpérimenté, je n’aurais jamais imaginé un tel appétit sexuel en provenance du sexe opposé.
Pourtant, bien que j’appréciais énormément nos ébats (j’en étais rapidement devenu dépendant), je n’arrivais pas à savoir s’il y avait véritablement de la passion dans notre relation. Y en avait-il par ailleurs dans son rapport à la sexualité ? Elle semblait aborder cela de façon tellement simple et naturelle que j’arrivais à me demander si le sexe, pour elle, n’était pas juste un moyen qu’elle avait découvert pour se faire du bien, tel un enfant qui découvre un nouveau jouet et qui n’arrive plus à s’en passer pendant une période donnée.
J’avais l’impression de faire l’amour à une adolescente de lycée, pour qui tout est incroyable. Comme si le niveau pour moi était trop facile. Plus je faisais l’amour avec elle, plus mon besoin d’être avec une femme m’occupait l’esprit. Une femme expérimentée. Une femme pour qui, faire l’amour avec serait un challenge, charnel, passionné, épuisant, tout simplement jouissif.
J’avais cela en tête sans trop savoir ni comment ni pourquoi cela me venait. Quel enfant gâté, pensais-je, tu as une ravissante fille qui baise avec toi dès que tu en as envie et tu n’es pas satisfait... C’est toujours la même complexité qui traverse n’importe quel être humain.
Pour autant, ces pensées ne m’empêchaient pas de continuer à m’amuser avec Krystyna. Elle aussi d’ailleurs prenait son pied. D’après ses dires, désormais, elle ne pouvait plus se passer de cette sensation, ce plaisir pur : « l’envie de se faire remplir » disait-elle.
À peu de choses près, nos parties de jambes en l’air se déroulaient toujours de la même façon. Elle mouillait très rapidement et n’était pas très « intéressée » par des préliminaires. Ce n’était pas un problème pour moi, qui à la vue de sa poitrine, me mettait au garde-à-vous aussitôt. Elle baissait sa culotte et attendait que ma bite violente son antre. « La tienne me va à merveille, y a pas à dire, la taille ne fait pas tout, mais elle fait un petit peu quand même » me disait-elle avec le sourire. Consciente que je n’avais pas l’entraînement suffisant pour pouvoir tenir une heure sans venir, elle parvenait à jouir en s’aidant de sa main avant que je puisse me vider dans le préservatif.
J’adorais la voir jouer du bout de ses doigts avec ses lèvres gonflées par l’excitation. Pas besoin de lubrifiant avec elle, sa cyprine suffisait amplement à maintenir l’ensemble bien humide. Elle entamait l’ultime phase de sa jouissance par un massage de son clito en faisant des cercles. D’abord avec un seul doigt puis un deuxième et un troisième, tout en augmentant la pression exercée. Elle y allait parfois tellement fort, qu’il lui arrivait de faire apparaître son clitoris à l’air libre, pourtant à l’abri d’ordinaire sous un large capuchon. C’est souvent lorsque son bouton de plaisir voyait la lumière qu’elle poussait son dernier râle.
Son autre main était aussi utilisée à bon escient. Parfois notamment pour effectuer un massage de mes bijoux de famille, pendant la pénétration, que j’affectionnais particulièrement.
Tout cela était très excitant et rien que d’y penser quand je passais une journée sans la voir, j’en bandais fort dans mon caleçon.
Un jour, nous avions baisé dans les toilettes de la fac. Elle était venue en cours sans culotte et juste à la fin de la classe, elle avait pris ma main pour la faire passer sous sa jupe afin que je puisse attester de sa moiteur. Jupe remontée, porte refermée, la peur dans le ventre de se faire surprendre, je l’avais prise rapidement par-derrière, nous procurant à tous les deux un puissant orgasme.
J’adorais voir sa poitrine balancer sous mes coups de boutoir. Une poitrine magnifique, volumineuse et qui se tenait si bien. Je pouvais passer de longues minutes à les malaxer, sucer ses tétons qui pointaient à la moindre caresse. Bref, ces moments avec Krystyna étaient divins.
Un soir chez elle (sa coloc n’était pas là pour une partie de la soirée), alors que nous avions déjà baisé deux fois dans l’après-midi et qu’il commençait à se faire tard, elle ne semblait pas lassée du sujet. Elle s’amusait avec ma queue et mes couilles en effectuant une inspection complète à coup de langue. J’étais fatigué des efforts fournis, mais bandais quand même à moitié.
C’est alors que je reçois un SMS de Rafael. Il me demandait si j’étais à la soirée Erasmus (organisée dans un club de la ville), ou dans notre appartement. Je n’étais ni à l’une ni dans l’autre. Mais c’est en regardant l’heure que je me rendis compte qu’il était grand temps de rentrer. Il y avait des règles strictes d’entrées et de sorties dans ma résidence auxquelles il était difficile de déroger sans inventer des combines.

— Il va falloir que j’y aille moi, ta coloc pourrait rentrer et me voir dans cet état-là. Et ce n’est peut-être pas ce qu’elle s’attend à voir en rentrant, lui dis-je.— Oh non, reste encore un peu ! Elle va sûrement rentrer plus tard que prévu et puis elle n’est pas du genre à être effrayée par un beau jeune homme en tenue d’Adam, glissa-t-elle en souriant. Sauf qu’elle est plutôt du genre à se les prendre dans l’autre petit trou, si tu vois ce que je veux dire.— Ah bon ? C’est intéressant ça, répondis-je avec le sourire en coin tout en saisissant mon jean.— Si tu savais. Je connais tous les détails, car elle n’est pas pudique pour un sou de ce côté-là. Et puis quand son copain vient, ils ne sont pas gênés pour baiser dans la chambre alors que je suis dans la pièce d’à côté. Le nombre de fois où ça m’a excité et que j’ai dû me caresser pour me calmer... Avant que tu arrives, c’était le seul moyen que j’avais de me satisfaire.— Dis donc, c’est la collocation du sexe débridé ici.— Elle m’a proposé plusieurs fois un plan à trois avec son copain, mais je ne le trouve pas vraiment beau. Et puis l’anal, ça ne me dit rien, je prends suffisamment de plaisir par l’entrée classique. D’après elle, le plaisir est vraiment différent. C’est son copain qui lui a fait découvrir et depuis, elle ne peut plus s’en passer.— Tu aurais dû essayer, on ne sait jamais ! Bon, il est temps de rentrer maintenant.
En me rhabillant, je lui glissai quelques baisers, puis rapidement, je quittai les lieux. Quelle furie, pensais-je, elle n’en a jamais assez.
Je rentrais à pied jusqu’à la résidence, car après 10h, il n’y avait plus de bus. Le gardien me laissa entrer sans rien dire quand je lui montrai ma carte : avant minuit, ça ne posait pas de réel problème.
Le « couloir Erasmus » était très sombre et silencieux. Ils étaient probablement tous partis à la soirée ensemble et les connaissant, ils n’allaient pas revenir de bonne heure. Seul peut-être Rafael était déjà rentré, ce qui expliquerait son SMS.
Je rentrai la clé dans la serrure et ouvris la porte avec précaution pour faire le moins de bruit possible. Ma suspicion était fondée, l’appartement n’était pas vide. En revanche, je fus surpris d’entendre que Rafael semblait accompagné d’une fille dans sa chambre. Une fille qui appréciait sans aucun doute ce qu’il était en train de lui faire.
La porte de la chambre était fermée, mais je pouvais voir qu’il y avait du monde à l’intérieur avec le halo de lumière sous la porte et le bruit qui s’en échappait. D’ailleurs, sans prendre trop de risques, je pouvais parier que la fille en question était en train de se faire prendre en levrette, vu le bruit caractéristique cuisse/fesse que je distinguais.
Je restai figé. Selon toute vraisemblance, Rafael devait être à l’intérieur. Mais qui pouvait être sa partenaire ? Impossible de le savoir, il ne me restait que les suppositions. C’était une bruyante dans tous les cas. Elle n’hésitait pas à crier tout ce qu’elle pouvait tant les coups qu’elle prenait semblaient jouissifs. La rapidité du claquage des cuisses était impressionnante : jamais je n’aurais pu tenir un tel rythme. Rafael devait avoir eu la chance de s’entretenir de manière intensive pour réaliser de telles performances.
Bien que la situation m’excitait fortement, je ressentais en même temps une certaine gêne. Ils ne se doutaient pas que quelqu’un se trouvait de l’autre côté de la porte et je n’avais pas d’autre choix que de faire du bruit pour pouvoir rentrer dans ma chambre : le séchoir avait été positionné juste devant la porte.
Il était impossible de le bouger sans faire du bruit et les déranger dans leurs ébats. Je n’avais pas non plus envie de poireauter dehors à attendre, j’étais tout autant chez moi que chez lui. Je poussai donc le séchoir sur la longueur et comme je l’avais imaginé, ils m’entendirent et les claquages cessèrent.
— Il y a quelqu’un ? demanda Rafael.— Oui, c’est moi Lucas, je vais juste aller me coucher.
Je n’entendis pas de réponse, mais il me sembla percevoir la voix de Rafael glisser deux mots à sa partenaire. Elle lui répondit en lui glissant une phrase, du genre : « vas-y tu peux finir ». C’est alors que je pus reconnaître la voix, il s’agissait bien de Lara. Le coquin avait déjà réussi à se la faire, c’était incroyable, un véritable talent ! Il avait vraiment décroché un beau numéro. Peut-être le plus beau de la promo.
Sur ces pensées, je me glissai dans mon lit et tombai de sommeil.
Le lendemain, ne commençant pas les cours avant 11h, je pris le temps de me lever tout en repensant à ce que j’avais entendu hier soir. J’aurais bien aimé en plus d’entendre, assister brièvement à la scène pour voir Lara dans cette position, profiter de chaque pénétration, la voir agripper ses petites mains sur le drap froissé en se pinçant la lèvre, et enfin de voir ses petits seins qui j’imaginais en forme de poire, pointer par l’excitation.
Elle était vraiment attirante habillée, alors qu’est-ce que ça devait être toute nue. J’avais conscience d’avoir un petit côté voyeur. L’idée de la surprendre toute nue m’excitait grandement.
Pour me changer les idées et me réveiller, je décidai d’aller me faire un bon café. En passant devant la chambre de Rafael, je vis que celle-ci était vide. Rafael commençait effectivement à 8 heures, aujourd’hui donc il avait dû partir tôt. C’est peut-être pour cela aussi que je ne les avais pas entendus remettre le couvert ce matin.
Mais qu’en était-il de Lara ? Avait-elle dormi ici et était repartie en même temps que Rafael ?
Je traversai le couloir pour aller aux toilettes et en passant devant la salle de bain, je vis que la lumière était allumée. Ça ne pouvait être qu’elle, les autres garçons n’ayant pas dormi ici et Rafael étant déjà parti. Cela n’allait pas atténuer mon excitation de l’imaginer toute nue de l’autre côté de la porte.
Je pris une longue inspiration pour me calmer. Je n’allais pas lui dire bonjour avec un caleçon en forme de chapiteau. J’enfilai des vêtements et je me décidai à préparer mon café. J’entendis le verrou de la porte de la salle de bain s’ouvrir, et tout naturellement, elle débarqua dans la cuisine, habillée d’une simple serviette de toilette, avec un sourire coquin jusqu’aux oreilles. Je lui rendis le sourire et lui proposai du café. Tout en me demandant si j’avais passé une bonne nuit, elle me répondit qu’elle en voulait bien volontiers.
À peine réveillé, j’avais cette merveilleuse créature dans ma cuisine au petit matin, qui ne cessait de faire des allusions à ce qui s’était passé hier. Mais je devais être fort et résister à cette sirène. Je n’allais pas trahir Rafael avec la première demoiselle venue.
Pourtant, il était très difficile de se retenir quand j’avais le loisir de l’observer des pieds à la tête. Elle jouait de moi, croisant ses jambes puis les décroisant, jouant avec ses cheveux, réajustant sa serviette en faisant bouger sa poitrine. J’avais bien fait de mettre un jean, sans quoi je n’aurais pas pu lui cacher grand-chose.
Voyant que nous avions acheté des oranges et qu’elles étaient disposées sur le plan de travail, elle me demanda si elle pouvait en avoir une. Bien entendu, je n’allais pas refuser une orange si joliment demandée. Mais maladroitement, lors de la transmission du fruit, elle le laissa tomber par terre. Ce dernier roula avec l’élan et vint se caler sous la table.
— Laisse, je vais la ramasser, ne t’inquiète pas, me dit-elle.— Je te la nettoierai si tu veux, lui répondis-je.
Mais l’inévitable arriva, pour mon plus grand plaisir et désarroi à la fois. Elle se pencha pour attraper le fruit et posa un genou au sol. Moi situé juste derrière, je ne me rendis pas compte sur le coup que j’allais être le seul spectateur d’un splendide tableau.
La coquine ne pouvait ignorer que vu la taille de la serviette dans cette position, je ne pouvais être mieux disposé pour admirer son abricot. Selon moi, elle l’avait bien fait délibérément.
La scène ne dura qu’une ou deux secondes, mais cette image resta longtemps dans ma mémoire. Son petit cul était juste ravissant, parfaitement galbé, symétrique et alliant une parfaite harmonie avec ses deux belles jambes. Et son petit minou, avec ses deux petites lèvres ouvertes comme une fleur du matin, n’attendait qu’une seule chose : qu’on s’occupe de lui. Mais je m’étais promis de ne pas enfreindre cette promesse. Elle me tendit l’orange :
— Une orange, quoi de mieux pour commencer une journée n’est-ce pas ?
Coquine, pensais-je, je me vengerai tôt ou tard, tiens-le pour dit...
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