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Souvenirs de mon année Erasmus

Chapitre 5

Les mésaventures avec Jane

Hétéro
Mon premier défi n’était pas des plus simples, mais le challenge valait le coup d’être relevé. Pauline m’en avait donné les détails le lendemain de notre sortie au cinéma.
Elle avait une coloc anglaise, Jane. Dès leur rencontre, elle lui était apparue très réservée, voire timide, ce qui contrastait fortement avec sa propre personnalité. L’ayant accompagnée au cours de plusieurs soirées Erasmus, elle avait pu la voir rejeter toutes les avances des garçons qui s’intéressaient à elle.
Des avances, elle en avait eu un certain nombre. Il fallait reconnaître que malgré sa discrétion, elle avait une figure, une élégance et un charme qui ne laissaient pas indifférent et qui captait l’attention de n’importe qui. Son accent anglais à craquer et sa manière innocente d’aborder tous les sujets, lui donnaient un air de première de la classe, un peu intello, le genre de fille brillante.
Niveau physique, elle s’opposait aussi à Pauline, car elle se caractérisait plutôt par sa minceur. Sa poitrine semblait petite et ses jambes longues et fines se terminaient par des hanches très légèrement courbées. Lorsqu’on la regardait, il était facile de se perdre dans ses yeux verts derrière ses lunettes rondes cerclées, dégagés de ses cheveux châtain clair.
Au départ, Pauline l’avait mise dans la catégorie de celles «qui n’y touchent pas», le genre de fille un peu coincée, un peu prude. Mais par la suite, elle était revenue sur son jugement, reconnaissant sans doute une erreur de sa part. En effet, un jour, écoutant au travers de la porte de la salle de bain, elle l’avait entendue se donner du plaisir du bout de ses doigts.
Elle y touchait donc, mais il restait à savoir si elle n’y touchait que du bout des doigts.
Pauline était comme ça, un peu voyeuse, appréciant connaître toutes sortes de détails sur la vie des autres et particulièrement lorsque cela relevait de l’intime et de nos vies sexuelles. À vrai dire, je pouvais tout à fait comprendre cette attirance, moi même étant friand de ce genre d’histoire qui m’excitait beaucoup.
Elle avait beaucoup apprécié lorsque je lui avais raconté l’histoire entre Rafael et Lara, si bien qu’elle m’avait avoué avoir mouillé à plusieurs reprises en y repensant.
Elle avait l’embarras du choix dans ce groupe. Les murs étant peu épais et les langues rarement liées, les histoires finissaient toujours par se faire connaître.Pauline ne semblait pas y avoir encore goûté à ma connaissance, ou alors je ne connaissais pas le garçon, elle se contentait pour l’instant de se délecter des histoires des autres.
Le défi en question était donc le suivant : coucher avec Jane et réussir à ramener une preuve. Elle devait être ma prochaine proie et Pauline ne raterait bien sûr aucun détail de mes exploits.
La partie s’annonçait compliquée d’avance. Pourquoi avait-elle repoussé les avances de ces garçons et accepterait-elle les miennes ? Réservée, elle l’était sans aucun doute. Un peu fermée sur le plan sexuel, j’émettais des réserves. J’avais connu des filles qui cachaient tellement bien leur jeu que personne n’aurait pu imaginer qu’elles étaient en fait des accros à la levrette.
Avec Jane, je devrais probablement adopter une stratégie différente de celle utilisée avec Krystyna, elle serait sans aucun doute plus difficile à convaincre, plus difficile à conquérir.
Pour me faciliter la tâche et pour donner un point de départ à ce défi, Pauline décida de faire les présentations lors d’une soirée qui avait lieu dans l’appartement d’un Italien. Nous nous sommes retrouvés tous les trois dans la cuisine:
— Je ne connais pas beaucoup de Français, mais je trouve toujours étonnant qu’un des clichés qui vous collent à la peau c’est de dire que les Français ont une manière "raffinée" de prendre la vie. Raffiné, c’est le mot ? demanda-t-elle, tout en portant le verre de vin qu’elle avait dans les mains à ses lèvres.— Les clichés ont la vie dure, lui répondis-je. Dans les faits, tout dépend de ce que tu entends par "raffiné". Je peux te garantir que tous les Français ne le sont pas forcément.— Mais c’est vrai que nous avons l’impression que vous les Français, vous pouvez parler de culture, de littérature, de peinture, de gastronomie, d’amour. De choses raffinées.— En tout cas, c’est un cliché sympathique.— Je sais que tous les Français ne peuvent pas être comme ça, je m’en doute, mais vous avez malgré tout cette réputation. Par exemple, vous ne buvez pas ce genre de vin ! Italien ou quelque chose, en tout cas, ça n’a pas de goût, dit-elle en riant et reposant le verre avec une mine de dégoût.
Je ris en la regardant. Elle était terriblement sexy.
— Non, c’est juste, tu as raison. On adore parler de vins, même quand on n’y connaît pas grand-chose.— Vous avez aussi le cliché d’être romantique, mais je n’en ai pas encore vu beaucoup à l’œuvre.
Elle m’envoya un grand sourire que je n’arrivai pas à interpréter.
Elle avait vraiment des yeux magnifiques. Pauline sentant que le coup était bien lancé, me donna une petite tape discrète dans le dos et alla rejoindre le groupe.
Nous avons continué à discuter pendant longtemps, de ses études, de ses passions, des miennes, de toutes sortes de sujets fort intéressants. Plus la soirée avançait, plus les verres de vin italien ingurgités, plus j’avais envie d’embrasser fougueusement ces deux petites lèvres mises en valeur par un rouge vif.
Mais Pauline avait raison, elle n’était pas une fille facile. Il n’était pas difficile de nouer contact, mais loin d’être évident de passer à la vitesse supérieure. Dès que je voulais orienter un peu le sujet, ou la taquiner quelque peu, elle répondait par un sourire et revenait à son sujet de conversation. Elle ne termina d’ailleurs pas la soirée en ma compagnie et retourna se mélanger au sein du groupe.
Ce n’était pas gagné, mais j’avais néanmoins passé une très charmante soirée.
La semaine suivante avait été bien remplie. J’avais eu de nombreux cours intéressants, vu Krystyna 3 fois, lui avait fait l’amour 5 fois (dont une fois contre un mur dans une rue peu fréquentée), avait vu une fois Lara traverser l’appartement en petite culotte, admiré la splendide poitrine de Pauline au travers de son maillot de bain à la piscine et enfin vu 3 fois Jane.
Une fois, nous sommes allés à la bibliothèque ensemble pour travailler nos cours, une fois pour une promenade dans un parc et une fois pour voir une exposition de peinture. Tous ces moments avaient été agréables et plaisants.
Lors de la visite de l’expo, nous bûmes quelques verres de vin. J’avais vu la dernière fois que le vin lui faisait vite tourner la tête et qu’elle devenait un petit plus tactile et facile d’approche. Depuis la dernière fois, j’avançais pas à pas avec elle, mais il existait encore une ligne rouge que je ne m’étais pas autorisée à franchir.
Après l’expo, nous sommes allés dans un bar pour continuer cette merveilleuse soirée. Assis dans cet endroit tranquille, où nous n’étions pas dérangés par la musique qui n’était qu’un fond sonore, je l’écoutais pendant plus d’une heure, parler d’un tas de sujets. Ce n’est que lorsque j’ai senti que nous étions tous les deux étourdis par l’alcool, que je me suis risqué à essayer de l’embrasser.
Je fus surpris par le fait qu’elle n’y opposa aucune résistance. Le baiser fut long. Ses lèvres étaient un vrai délice.
Il n’était plus à présent question de refaire le monde dans de longues discussions, je l’avais apprivoisée et elle s’offrait désormais à moi. Je fis le tour de sa taille avec mon bras pour la rapprocher de moi et continuais à l’embrasser langoureusement.
De ma main au contact de sa peau, je sentis son cœur battre plus fort et accélérer. Elle m’enlaça également en faisant le tour de mon cou avec son bras. J’apprécais infiniment ce moment. Il semblait que ce sentiment passionnel était exactement ce qu’il me manquait avec Krystyna, et j’en étais sûr, elle était dans le même état d’esprit que moi à ce moment-là.
D’ailleurs, nous n’avons pas tardé dans ce bar. Tous les deux avec une idée en tête, nous quittâmes ce bar pour rejoindre la résidence. La traversée de la ville de nuit, comme deux amoureux, est un magnifique souvenir.
Elle ne parlait plus beaucoup, j’avais pris le relais et j’arrivais à la faire rire. Elle restait accrochée à moi comme si le contact avec un garçon lui avait beaucoup manqué. Je me sentais fort, fier et capable de tout. Ma conquête était ravissante, charmante et la suite qui nous attendait me rendait impatient.
Arrivés au dortoir, nous sommes montés dans sa colocation qui était totalement vide. Les autres devaient encore être partis faire la fête dans un club de la ville. Le couloir entier était silencieux.
Avant même d’avoir franchi le pas de la porte de la chambre, elle me reprit par le cou et m’embrassa longuement, me torturant les lèvres. Comme si les derniers mètres à réaliser pour rentrer dans sa chambre auraient été une torture, nous restâmes debout dans le couloir à s’embrasser et s’enlacer.
Elle ne voulait pas du lit, pas de problème pour moi, j’étais prêt à lui faire l’amour ici si elle le souhaitait. J’étais en fait prêt à tout, mon corps n’avait plus qu’une finalité, en pilotage automatique, j’allais faire l’amour à Jane, car c’était mon plus profond désir.
Je posai ses mains sur ses hanches et en remontant lui caressai le dos. Elle avait la peau douce. Des frissons lui parcouraient le corps, et ils furent d’autant plus fort quand je lui pris les cheveux dans la main et avec le bout des doigts lui caressai la nuque. Elle exultait, mais ne semblait pas avoir beaucoup de temps pour ce genre de tendresses. En fait, elle était déjà prête. Elle changea rapidement d’attitude et me fit comprendre qu’elle voulait désormais que cela soit plus sauvage. Tout ça m’excitait beaucoup. A vos ordres Madame, je suis prêt !
Sans perdre de temps, elle prit de sa main droite la boucle de ma ceinture et ouvrit mon pantalon. Elle le fit ensuite glisser, ainsi que mon boxer afin de libérer mon sexe qui prenait de plus en plus de place.
Elle m’avoua d’un air coquin, qu’elle n’avait jamais vu de français nu, elle qu’elle n’avait jamais goûté au fruit défendu avec eux. Je lui demandai alors si elle était déçue de ce qu’elle voyait ?
Tout en me prenant le chibre fermement par la main, elle me glissa que c’était bien le contraire. Elle continua à m’embrasser et mit l’engin prêt à l’emploi en le masturbant lentement. Pas besoin de trop le solliciter, il fut rapidement en ordre de marche.
Je souhaitai néanmoins reprendre le contrôle avant l’assaut final, car je ne voulais pas lancer les hostilités avant d’avoir vu les trésors cachés de ma partenaire.
Hélas. Je n’en eus pas l’opportunité, car ce moment merveilleux déboucha malheureusement sur une fin moins plaisante.
C’est à l’instant même où elle allait dégrafer son soutien-gorge que la porte d’entrée de la collocation s’ouvrit. De celle-ci, firent irruption dans la pièce, Valentina l’Italienne et Marie la Belge.
Dans la précipitation, j’essayai de dissimuler ce qui était possible de cacher. En vain. La colonne de chair gonflée de sang, prête à l’usage, était belle et bien visible et mes mains n’en couvraient qu’une partie. Tous, nous étions pris sur le coup de la surprise. Jane était rouge de honte et moi je ne savais plus où me mettre.
Personnellement, dans ce genre de situation, je serais ressorti de la pièce laissant les deux amants vivre leur honte seuls. Loin de là, les deux filles restèrent plantées ici, dans le couloir avec nous, sans réagir.
Jane, gênée, se tourna sur elle-même tout en m’invitant, en me priant plutôt, de me rhabiller. Marie accompagna également la démarche en se couvrant les yeux d’une main, comme pour conclure leur intrusion dans un minimum de décence. Valentina elle, au contraire, passée la surprise semblait apprécier la situation, elle ne voulait pas en perdre une miette. Elle se délecta du regard en me regardant remonter mon boxer et en essayant comme je pouvais de caler "tout ça" à l’intérieur.
Pour mettre fin à l’insoutenable, sans un mot, je sortis de la pièce laissant Jane s’expliquer avec ses colocs. Partis me réfugier dans ma chambre, je tentai sans grand espoir d’échapper à la honte qui m’envahissait...
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