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Souvenirs de mon année Erasmus

Chapitre 8

Au tour de Mme Marzeda de me surprendre

Hétéro
Le mardi, nous avions cours avec Mme Marzeda : Dynamiques économiques au XXe siècle. J’appréciais particulièrement ce cours, et pourtant, j’étais pris par une sorte d’appréhension qui me tordait l’estomac avant de m’y rendre. Le sujet du cours n’était pas en cause, mais bien celle qui l’assurait. A vrai dire, je n’assumais pas du tout l’épisode de la piscine avec elle (voir chapitre 6). Quels réaction et comportement allait-elle avoir avec moi ? Allait-elle m’ignorer ? Comme elle essayait probablement d’oublier cette histoire, c’était le scénario le plus plausible. Ou alors allait-elle tenter de me faire payer cher le piège que je lui avais tendu ?
Une chose était certaine, de mon côté, je n’étais pas passé à autre chose. Depuis la piscine, le souvenir de son corps, de sa peau douce sous l’eau chaude de la douche, de ses courbes et de sa poitrine opulente, m’obsédait. Je m’enivrais de ces images gravées dans mon esprit. Me les rappeler m’en donnait des tremblements dans les membres, et pourtant il ne s’agissait pas d’un rêve, je l’avais bien vécu.
Aujourd’hui, je ne pouvais ignorer mon envie, mes pulsions, j’en voulais plus, je devais l’avouer. J’enviais ce corps, je le convoitais, je le désirais. Nous deux au creux d’un lit, au fond d’elle, je voulais lui procurer du plaisir, je voulais la voir jouir.
Hélas, cela semblait impossible, tout simplement parce qu’il y avait peu de chances pour qu’elle partage les mêmes pulsions qui animaient mon esprit. Elle me l’avait dit, elle était mariée, elle avait 20 ans de plus que moi, je n’étais rien pour elle.
Dès la rentrée des élèves en classe, je ne pus m’empêcher de la regarder fixement, mais l’échange de regards n’eut pas lieu. Elle m’ignora de la façon la plus naturelle possible et je n’étais pas à cet instant un élève particulier. Je me fis discret en m’installant au fond de la salle. Il fallait que cette heure passe, ensuite ça irait mieux.
Mais une heure comme celle-ci, c’est long, d’autant plus lorsque l’on a un tel l’objet de convoitise à quelques mètres de soi. Elle portait à son habitude un tailleur qui mettait en valeur ses courbes et je ne pouvais m’empêcher d’imaginer ses dessous. Quel type de lingerie mettait-elle le matin ? String ou culotte, ou alors ne mettait-elle rien ? Non, j’optais pour la culotte.
Ensuite, j’apercevais dans mes rêveries ses hanches nues, celles-ci, je les avais vues, et leur souvenir était suffisamment bon pour que je puisse le calquer sur ma chère professeure qui se mouvait dans les rangs de bureaux. Ces belles hanches, je voulais les toucher et m’y agripper, un jour si j’avais la chance de la prendre par-derrière. Enfin sa poitrine, que je rêvais de soupeser, palper, presser, embrasser. Enfin, mordre légèrement ces magnifiques tétons roses.
Ne suivant pas du tout le cours, perdu dans mes pensées, j’avais une gaule qui poussait de toutes ses forces mon pantalon. Sans pouvoir lever les yeux de cette belle femme, j’étais d’autant plus incité à continuer, qu’elle en retour ne me décocha pas un seul regard. Ah si seulement...
Le cours se termina normalement et les étudiants prirent lentement le chemin de la sortie. J’en fis de même, pensant m’en tirer à bon compte. Mais du fond de la salle, tranquillement assise à son bureau, de sa voix qui porte, ma prof de macro-économie m’interpella.
— Lucas, peux-tu venir 5 minutes ?
Elle demanda au dernier étudiant de fermer la porte. Il n’y avait rien de suspicieux à cela, une prof pouvait très bien avoir un entretien privé avec l’un de ses étudiants sans que cela n’éveille la curiosité ou l’inquiétude des autres.
Penaud, je m’approchais du bureau, n’osant pas dans un premier temps la regarder. Je restais à 1 mètre, tandis qu’elle demeurait assise. Lorsque je pus relever les yeux, son regard qui me fixait troubla mon esprit, sans que je puisse supposer les pensées qui lui traversaient la tête, était-ce de la colère ou du défi ?
Tenir plus d’une trentaine de secondes était déjà au-dessus de mes forces. Peut-être même ai-je tenu moins. Elle avait facilement pris le dessus et pendant un temps qui me parut une éternité, elle maintint cette emprise sur moi, toujours sans rien dire. 1 minute, 2, peut-être plus.

— Tu n’as rien à me dire ? finit-elle par lâcher.
Sur le coup, n’étant pas capable de sortir ne serait-ce qu’une phrase, je me résolus à sortir un stupide : «bah non».
— Tu avais plus d’assurance l’autre soir ? mmh ?— Peut-être...
J’étais véritablement au comble de la honte. S’étant aperçue de mon manque de coopération, elle prit l’initiative de lancer l’offensive.
— Tu sais, j’ai réfléchi, tu ne pouvais te trouver là-bas, dans cette piscine, dans cette douche, dans ta tenue, par hasard, tu m’as tendu un piège, ce que tu as fait est très malsain.— Je, j’en suis désolé.
Elle laissa encore quelques secondes s’écouler après ces excuses sans grandes valeurs.
— De toute façon, la forme ne change rien au fond du problème. Et le problème justement, c’est que je ne peux pas dire que je n’ai pas apprécié.
A cette dernière déclaration, je repris confiance et relevai lentement la tête.
— Tu me mets dans une situation impossible mon cher Lucas, et je n’aime pas ça. Je ne suis pas une femme qui se fait dominer par un jeune de 20 ans de moins que moi. Ce que tu m’as fait, tu vas me le payer.
C’était une menace sérieuse, mais elle ajouta ensuite :
— Mais avant ça, je voudrais vérifier quelque chose.
Désormais, je la fixais, buvant ses paroles et prêt à obéir à toutes ses exigences.
— Tu restes muet, mais tu sembles prêt à coopérer, c’est bien. Maintenant, tu vas te déshabiller devant moi.
Avais-je bien entendu ? Ma prof me demandait de baisser mon pantalon, d’ôter mes vêtements et de lui montrer mes attributs, là, au milieu d’une classe de mon université. Encore une fois, je vivais une scène surréaliste et c’était la deuxième fois que cela m’arrivait avec elle.
Mais le pouvoir qu’elle avait sur moi m’empêchait de douter et je ne réfléchis pas plus longtemps et m’exécutai. Je déboutonnai ma chemise, puis mon jean, le fis glisser par terre, accompagné aussitôt du caleçon. Je fus un peu plus lent avec ce dernier et comme par réflexe, je posai ma main sur mes bijoux de famille. J’étais tellement tendu qu’il n’y avait même pas un début d’érection, tout tenait donc dans ma paume. A sa mine, ma prof semblait insatisfaite, et je savais bien pourquoi.
— Rapproche-toi un peu du bureau, histoire que j’y vois mieux.
J’obéissais tout en m’apercevant qu’elle avait saisi la longue règle en bois de forme carré avec sa main. Étonnamment, pas une seconde je m’inquiétais du châtiment qu’elle pouvait m’infliger avec tel objet, et la possibilité qu’elle avait de me faire payer cher le piège de la piscine. Un petit coup dans l’entrejambe et hop, l’affaire était réglée.
Je n’étais pas inquiet, et pourtant c’est dans cette direction qu’elle tendit le bout de la règle. D’un geste souple, elle vint tapoter le côté de ma main qui lui cachait ce qu’elle convoitait. Je fis lentement glisser la main le long de ma hanche. Elle avait désormais en visu ce qu’elle voulait.
— Elle était plus impressionnante l’autre soir dans mes souvenirs, me lança-t-elle en souriant.— Je ne bande pas madame.— Je le vois bien, hélas.
Elle vint loger le bout de sa règle, au milieu du scrotum entre mes deux couilles, et toujours assise, elle la fit monter et descendre légèrement, comme si elle avait besoin de soupeser mes bourses. Mon sexe lui, demeurait au repos, peut-être étais-je trop impressionné pour être excité.
— Ce petit jeu ne te suffit pas pour retrouver de la vigueur. Je te croyais plus réactif que cela. Ma voix n’est donc pas suffisante ? Peut-être que si j’essayais autre chose...
Je n’osai le croire, mais lentement elle déboutonna un bouton de sa chemise, puis un deuxième, tout en ne quittant pas mon sexe des yeux. Au quatrième bouton, le sang commençait déjà à affluer dans mon membre. L’idée de voir sa poitrine me rendait fou.
— Ah c’est déjà mieux, se fit-elle la remarque. On dirait que ça t’excite un peu plus. Tous les mêmes, dès qu’on parle poitrine, vous vous mettez au garde-à-vous. Et vu comme la tienne se dresse, tu dois particulièrement apprécier ce que j’ai là dessous.
Je ne pus m’empêcher de lui répondre aussi sec :
— Si vous saviez...
Libérée des boutons, elle entrouvrit son chemisier, et je pus entrevoir son soutien-gorge noir bien tendu, qui soutenait un volume certain. Sans m’en rendre compte, ma main était revenue au niveau de mon sexe pour constater son état de tension.
— Tu peux te branler si tu veux, je vais t’en donner les moyens, me glissa-t-elle avec une voix qui me rendait tout chose.
Je bandais déjà au maximum. Ma main commença à entourer mon sexe et à le décalotter, oh c’était déjà bon. Mes couilles étaient bien remontées, non pas par la peur du bâton de ma chère professeure, mais bien en raison de l’érotisme qui se dégageait de la scène.
Lentement, elle fit glisser une bretelle de son soutien-gorge sans pour autant dévoiler son sein. Elle le prit à pleine main tout en effectuant un lent massage. J’étais subjugué. Elle de son côté, appréciait particulièrement l’emprise qu’elle avait sur mon regard grâce à son manège. Elle gardait aussi un œil sur les va-et-vient que j’effectuais de manière lente, mais rythmée sur mon chibre. Nous nous délections tous les deux du spectacle auquel nous assistions.
L’étape suivante était évidente, elle fit descendre le bout de tissu pour laisser apparaître le sein enfin libéré. Maintenu par le bas du soutien-gorge, il avait une forme parfaite. Je bavais sur ses larges aréoles et ce téton tendu à l’extrême. Elle passa le doigt dessus à plusieurs reprises, tout poussant des petits gémissements de plaisir.
Sans que je puisse clairement le distinguer de mes yeux, je déduis par les mouvements de son bras, qu’une de ses mains était descendue vers son entrejambe. Elle avait dû remonter son tailleur pour pouvoir atteindre son intimité. Tous deux, nous nous procurions ainsi du plaisir, tout en sachant qu’elle était définitivement plus armée que moi pour me faire craquer en premier.
Toujours dissimulé derrière l’épais bureau, j’entendis ses chaussures faire un mouvement sur le parquet. Qu’est-ce qu’elle pouvait bien manigancer ? Elle quitta des yeux, un instant, le spectacle que je lui offrais pour ramasser quelque chose par terre au niveau de ses pieds, puis me le lança sans me prévenir. Par réflexe, ma main droite quitta son travail pour attraper le bout de tissu en plein vol.
Elle venait de m’envoyer sa culotte ! Un vrai trophée de chasse ! Qu’avais-je fait pour le mériter ? Au toucher, je ne mis pas beaucoup de temps à me rendre compte qu’une partie de celle-ci était humide. Il semblait que notre petite activité l’ait bien excitée à ce niveau. L’imaginer mouiller devant ma nudité, en me matant, me mit dans un état d’excitation et de tension extrême.
J’ignorais ce qu’elle avait en tête pour la suite, mais je ne pouvais plus tenir. Je repris mon sexe en pleine main, et en trois ou quatre allers-retours, envoyai la sauce droit devant moi, par jets puissants, synonymes d’un orgasme bien prononcé.
Ma semence arriva sur un ensemble de feuilles déposées devant elle sur son bureau. Elle inspecta les dégâts, puis murmura d’une voix très calme.
— Bah alors ? Sur le travail de tes petits camarades ? Qu’est-ce que je vais faire de ça, moi maintenant ? Monsieur Lucas ne peut donc pas se retenir ?
Son ton était toujours au jeu, ce qui me rassura.
— Il va falloir se racheter à présent. Surtout que moi, je n’en ai pas fini. Il me semble que tu as des capacités question travaux pratiques, tu me l’as prouvé à la piscine. Tu vas te racheter de cette manière. Viens ici et mets-toi à genoux.
À peine redescendu de mes émotions, je me dirigeai vers ma charmante prof, et m’exécutai. À genoux devant son fauteuil, quasiment sous le bureau, je me rapprochais de la source à laquelle j’avais déjà bu. Son tailleur était remonté au niveau des hanches et sa culotte bien entendu n’était plus là. Droit devant moi, son buisson blond comme dans mes souvenirs, avec ces deux petites lèvres bien visibles et son antre bien lubrifié. Un tableau de rêves.
Elle posa une main sur ma tête pour interrompre mes rêveries et m’inciter à me mettre au travail. À vos ordres madame ! Je m’y plongeai et m’apprêtai à mettre tous mes moyens en œuvre pour la faire décoller. Je commençai par baiser délicatement ses deux lèvres, déjà bien imprégnées de son jus de plaisir. Puis avec le bout de la langue, effectuer de longues montées et descentes sur la tranche de chacune d’elles. Au bout de chaque série de 3 ou 4 montées, je tentai une rapide immersion avec le bout de ma langue dans l’entrée de son vagin, ce qui la faisait tressauter, mais j’imagine exulter également.
Je prenais parfois une lèvre du bout des miennes pour la sucer doucement pendant de longues secondes. Mais c’est véritablement lorsque j’entamai le travail au niveau de son clito, que je sentis son souffle devenir plus court. Elle ne pouvait s’empêcher d’effectuer des pressions avec ses jambes, enserrant ma tête. Je prenais ça comme une incitation à continuer à pousser dans cette direction.
D’ailleurs, elle ne tarda pas à reposer une main sur ma tête, tous les signes montraient que j’étais sur le chemin de la vérité, j’étais son instrument de plaisir.
Elle était vraiment mouillée, difficile de faire plus, je pense qu’elle n’était pas loin de la jouissance lorsque quelqu’un frappa à la porte de la classe. Prise d’effroi, elle comprit rapidement dans quelle galère, elle s’était encore mise.
Répondre ou pas à la personne derrière la porte, ne changeait rien, dans les deux situations celle-ci allait rentrer. Elle était coincée. Elle n’eut même pas le temps d’échanger un mot avec moi, et me poussa sous le bureau devant ses jambes, d’ici j’étais invisible et indétectable si je restais tranquille.
Un groupe d’étudiants finit par rentrer avec des questions à lui poser. Gênée, elle devait être toute rouge, mais heureusement pour elle, la distance entre la porte et le bureau devait rendre invisible ce genre de détail.
Heureusement, les jeunes ne vinrent pas jusqu’à elle et engagèrent le dialogue du milieu de la classe. Sous le bureau, en réfléchissant, je compris de quoi avait tant peur ma prof : mes vêtements restés en tas devant son bureau nécessiteraient une bonne explication si les étudiants s’en rendaient compte. Encore pire au sujet du sperme répandu sur le bureau.
Malgré le danger de la situation, mon esprit restait focalisé sur l’exercice que j’avais dû interrompre. Sa chatte et son buisson bien humides étaient à quelques centimètres de moi. Et demeuraient bien visibles. Elle avait vainement essayé de descendre son tailleur, mais elle évitait de faire trop de gestes qui auraient pu apparaître suspects.
La discussion durait, et moi je m’ennuyais. Je décidais, sans en avertir ma partenaire, de reprendre le travail là où je l’avais commencé. Lorsqu’elle sentit ma tête progresser vers son entrejambe, elle serra de toutes ses forces et tenta de me repousser de la main. Trop tard, j’étais déjà arrivé au niveau de sa fente. Mon travail redémarra.
Oh, la tension n’était pas descendue chez elle, puisque les premiers coups de langue la firent frissonner. De toutes ses forces mobilisables à ce moment-là, elle essaya de me repousser, mais c’était vain. J’accélérai le mouvement de langue, et sous les vagues de plaisir, elle se courba un peu, rapprochant son buste du bureau. Les élèves se rendaient-ils compte de quelque chose ?
Si ce n’était pas encore le cas, elle ne pourrait cacher l’explosion qui était imminente. C’est alors que je l’entendis leur dire qu’elle avait du travail et qu’elle avait besoin d’être seule à présent. Et ce n’est que lorsque la porte fut refermée, qu’elle desserra les cuisses, et puis laissa arriver son orgasme, si puissant qu’elle en eut des spasmes dans tout le corps. Elle se colla la main sur la bouche pour faire le minimum de bruit.
Je l’avais fait jouir, une grande victoire. Affalée sur son siège, épuisée par le traitement que je lui avais fait subir, elle me regarda me lever et reprendre mes affaires. Dans ses yeux, de la colère et de l’envie étaient mêlées. D’une certaine façon, cela résumait bien notre relation à présent.
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