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Souvenirs de mon année Erasmus

Chapitre 11

Cette fois-ci Lara est allée trop loin

Hétéro
Je voyais de moins en moins mon coloc Rafael. Au mieux, nous nous croisions lorsque l’un partait et l’autre arrivait dans l’appartement. La belle Lara lui prenait tout son temps et son énergie. Les deux amoureux étaient sans cesse en quête d’endroits tranquilles pour leurs ébats, d’où la faible fréquentation de sa propre chambre.
Parfois, quand Marvin et moi ne passions pas la nuit dans notre chambre ou alors lorsque nous rentrions tard, ils pouvaient alors se permettre de baiser à domicile. Et quand cela arrivait, le matin, elle se permettait de traîner dans la chambre de Rafael, vu que ce dernier commençait les cours de bonne heure. Cela me donnait l’occasion et la chance de voir cette ravissante créature.
De manière quasi systématique, elle traversait les lieux, assez peu habillée, parfois d’une simple serviette, ou quelquefois en petite culotte avec un t-shirt sans soutien-gorge (de loin sa tenue que je préférais).
Nous n’échangions pas beaucoup tous les deux, sa présence était discrète et de toute manière de courte durée. Pour autant, j’en savais beaucoup sur elle et de nombreuses anecdotes m’avaient été rapportées. Dans cette promo Erasmus, tout se savait. C’est Victoria qui recueillait ces informations, qui les confiait elle-même à Pauline qui bien entendu me racontait par la suite tous les détails. 
Aussi, je savais que le couple de tourtereaux avait récemment tenté l’anal et que Lara avait apprécié. Je savais aussi que Rafael n’était pas particulièrement doté, mais que malgré sa petite bite, il arrivait à faire monter son amour turc aux rideaux. Lara vantait le savoir-faire du garçon qui malgré son manque de centimètres avait un véritable et rare talent.
Pauline me confirmait, de par ses expériences, qu’il arrivait souvent que cette situation se prouve. D’après elle, les petites bites avaient tellement à cœur de combler un soi-disant déficit physique que la plupart du temps, ces garçons développaient des capacités introuvables chez d’autres. 
Pour autant, Rafael avait eu raison de se presser pour avoir Lara, car un bon nombre d’autres mecs de la promo étaient dans les starting blocs pour l’avoir avant que celle-ci promette fidélité à l’espagnol.
Objectivement, cette fille était vraiment une beauté. À moi aussi, elle me plaisait beaucoup. Elle était le genre de meuf à la beauté simple, pas aguichante, cultivant une attitude distante, mais qui, grâce à son unique charme vous donne une gaule franche dans le caleçon.
Elle était toujours coquette et passait beaucoup de temps à s’occuper de ses cheveux très bruns, dont la coiffure alternait entre lisse et ondulée en fonction des jours. Sa démarche gracieuse sublimée par un tout petit déhanchement exposait aux yeux de tous, la valeur de son cul charmant. Son visage faisait fondre n’importe quel garçon : sa bouche toujours teintée d’un rouge vif, donnait l’envie de l’embrasser follement, et ses yeux sombres, qu’elle  avait un peu tombants, contrastaient avec sa couleur de peau très claire.
Je n’avais aucune intention de faire quelque chose avec elle, malgré sa vicieuse manipulation à mon égard (voir chapitre 3). J’estimais devoir à Rafael le respect et la distance sur sa conquête orientale, mais j’ai rapidement compris que cette dernière avait une tout autre idée de la fidélité.
Un matin, alors que je me remettais difficilement d’une cuite prise la veille, je décidai d’aller prendre une douche pour me réveiller définitivement. Marvin n’était pas dans le lit en face de moi, il n’avait donc pas dormi ici. En parcourant ma mémoire il me semblait l’avoir vu aux bras d’une polonaise hier soir mais je n’étais pas sûr qu’il soit parti avec elle.
L’appartement, comme souvent le matin, était totalement silencieux, j’étais probablement seul. Malgré tout, j’enfilais un caleçon pour être sûr. J’avais déjà eu suffisamment de surprises et montré mon anatomie à trop de personnes sans le vouloir depuis le début de cette année.
Je traversai l’appartement, passai par la cuisine et jetai un œil vers la chambre de Rafael. La porte était entrouverte et il n’y avait personne dans le lit. J’étais donc seul. Je pouvais me permettre de prendre mon temps dans la douche. Je fis tomber le caleçon, rentrai dans la cabine et laissai couler l’eau sur mon corps. Une sensation de chaleur que j’appréciais particulièrement le lendemain d’une soirée de débauche, comme un exercice de purification après le vice.

Pourtant le vice revint aussi vite qu’il avait semblé s’éloigner. La température de ma peau allant croissant et la cabine devenant chaude et humide, l’atmosphère me donna des envies au niveau de l’entrejambe. Depuis combien de temps je ne m’étais pas servi de mon attirail ? 3 ou 4 jours, peut-être même 5. Autant dire une éternité. Il était donc temps de se payer du bon temps et j’en avais suffisamment à provision avant que quelqu’un ne se pointe dans l’appartement. Je pris le pommeau de douche et l’orientai en direction de mon sexe. J’exultai quand la pression de l’eau se mit à me masser les couilles avec douceur.
A qui allais-je pouvoir penser pour me faire du bien ? Ma dernière baise avec Krystyna, non je n’en avais pas envie. Pauline et ses seins que je rêvais de sucer ? Trop simple et je viendrai trop vite. Pareil pour Mme Marzeda. Alors, pourquoi pas Lara ? C’était un bon sujet d’inspiration qui ne coûtait rien à personne, et que j’avais souvent utilisé je l’avoue. Mais après tout, ce qui est dans mon esprit reste dans mon esprit, pas de culpabilité à avoir. 
Je me mis donc à imaginer la belle me tailler une pipe et gober avec volupté ma bite. J’imaginais parfaitement ses deux petites lèvres rouges s’affairer sur mon chibre, attendant d’en tirer son jus.
Rapidement une forte érection maintenait mon sexe bien à la verticale. Je me suis empoigné à faire monter la pression sans que la semence synonyme de jouissance arrive trop vite. C’était bon, très bon.
Lorsque je suis seul et en sécurité, sur de ne pas me faire prendre lors d’une séance de masturbation, j’aime sortir des mots crus et des phrases salaces. Cela m’engage dans une spirale d’excitation encore plus forte. Ce qui est à vrai dire étonnant car le faire pendant l’amour ne m’a jamais traversé l’esprit.
Logiquement mes premières paroles étaient destinées à la belle Lara.
— Oh ma jolie, tu sais t’y prendre pour me pomper … Tu les aimes bien comme ça quand elles sont bien grosses … Oh ma Lara, petite chienne, si tu étais en face de moi ce que tu prendrais … tu en aurais pour ton grade … tu aimes bien m’exciter quand tu te promènes en petite culotte dans l’appartement ? hein ma petite salope, c’est ce que tu attendais, que je te fourre ma bite dans ta petite bouche de pute ?
Mon petit scénario progressait et je sentais que la jouissance était proche. Obnubilé par mon plaisir, ne me souciant plus du tout de ce qu’il pouvait arriver dans mon espace proche, je ne vis pas que la portière de la douche s’entrouvrit par le côté.
Celle-ci coulissa sur une douzaine de centimètres sans que je ne puisse entrevoir ne serait-ce qu’une main ou un bras. Pourtant, je ne tardai pas à me rendre compte de cette bizarrerie : une porte qui s’ouvre toute seule. Tétanisé par la surprise, plus un mot ne sortait de ma bouche. Pas le temps de se demander qui pouvait être le grand sacrificateur de mon orgasme puissant qui m’était promis. 
Quelques secondes s’écoulèrent avant qu’une main ne pénètre par l’ouverture et progresse dans ma direction. La paroi de la douche était suffisamment opaque pour que je ne puisse pas distinguer clairement la silhouette qui se cachait derrière. Tout ce que je pouvais voir, c’était ce bras gauche s’approcher lentement de moi. Je faisais face à cette paroi de douche, pétrifié, le sexe toujours au garde-à-vous. 
En peu de temps, cette main arriva au niveau de mon ventre. Les longs doigts fins hésitants, se rapprochèrent et progressivement la main entière vint se poser sur ma peau, pour y effectuer un lent massage
Le bras et la main étaient très blancs, sans aucun poil, de fines veines donnaient un peu de relief à cet ensemble.
Le massage progressivement se rapprocha de mon bassin puis arriva au niveau de ma pilosité pubienne. La main, comme si elle prétendait découvrir un territoire inconnu, progressait de manière délicate, tâtonnant et explorant avec patience chaque recoin.
Je ne pus m’empêcher de constater qu’aussi étrange qu’était la situation, j’étais en train d’imploser sous ses caresses. Très vite une seule envie m’habitait, que cette merveilleuse main, se saisisse de mon sexe, qu’elle termine la masturbation entamée, et qu’elle me fasse cracher mon jus arrêté si proche du but. 
Comme si cette main lisait dans mes pensées, elle s’exécuta comme j’en avais rêvé. Elle saisit en la palpant de toute sa longueur ma bite. Elle n’eut aucune difficulté à faire glisser sa main sur cette colonne de chair vu le débit d’eau qui continuait à couler et ruisseler le long de de mon corps. Sa masturbation s’accéléra puis ralentit, elle alternait les différences de rythme. Cependant, je pu constater son manque d’aisance dans cette position pour mener à bien ce travail délicat. Si bien qu’elle décida de changer de pratique en se lançant dans un massage des couilles, les prenant à pleine main et en les malaxant par le dessous.
Je n’en pouvais plus, il fallait que je me vide dans celle qui jouait avec mes nerfs. Je pris l’initiative d’ouvrir avec violence la porte de la douche. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir … Lara !
— Tu en as mis du temps, me dit-elle avec un large sourire un peu cynique.
Au cours des premières secondes de cette étrange rencontre, je ne parvenais qu’à balbutier quelques mots. De toute manière, l’heure n’était pas aux palabres.
— C’en est trop, tu mérites définitivement une bonne leçon, osais-je.
Avec autorité, je lui soulevai son t-shirt jusqu’à hauteur d’épaule et découvrais deux seins coniques de taille moyenne, surmontés d’une aréole et de tétons de couleur brune, dressés et pointus comme de petites balles. Si je n’avais pas été aussi pressé de jouir, probablement que j’aurais joué un peu avec eux. Mais l’heure était grave. Lara devait être punie pour sa deuxième provocation à mon égard.
Je la poussai en avant vers la machine à laver sur laquelle elle s’appuya de ses deux mains. Elle semblait n’attendre que ça, se faire baiser comme une chienne. Etais-je en train de tomber dans un piège ? Il était trop tard pour se poser la question, point de bouton rouge pour tout arrêter, j’étais trop excité pour tenter une marche arrière.
Je fis glisser sa culotte rouge à ses pieds et pris quelques instants pour admirer le cul blanc et bien rebondi que j’avais en visu.
Alors que je m’apprêtais à la pénétrer sans ménagement, elle me lança avec précipitation.
— Non, l’autre trou, celui-ci est réservé à Rafael.
J’étais estomaqué. Devais-je comprendre par là que je n’étais pas le premier à qui elle demandait de l’enculer, le tout sans préliminaires, sans rien ? Pour sûr, je n’étais pas au bout de mes surprises avec elle.
Je saisis malgré tout un peu de savon pour lui masser la rondelle avec, avant de commencer à la pénétrer.
Elle se mordit les lèvres. Regrettait-elle son choix ? En effet, j’étais très dur et au maximum de ma taille. Se prendre mon bélier dans le cul sans préparation, c’était peut-être un peu plus que ce qu’elle avait imaginé. Il était de toute manière trop tard. Forçant un peu le chemin, le gland était déjà rentré.
Pour lui enlever une dose de stress car malgré tout son petit trou était bien serré, et l’exciter davantage je lui agrippais les seins sous le t-shirt. Cependant, je ne m’attardai pas trop sur son confort personnel. Seul mon plaisir comptait à ce moment et l’envie de punir cette imprudente.
Rapidement ma bite quasi entière parvint à rentrer et je lui infligeai des mouvements de bassins secs et réguliers. Ses cris devenaient vraiment bruyants, alors elle s’obstrua la bouche avec son point.
— Avec ce que je suis en train de te mettre,  tu vas avoir du mal a t’asseoir pendant plusieurs jours, je te le garantie— Oh oui vas-y défonce moi et ne te retiens pas.
Je n’en revenais pas, elle était en train d’apprécier le traitement que j’imaginais être une punition. Elle jouissait de se faire bourrer brutalement. Je n’étais pas de taille à lutter, j’avais malheureusement joué toutes mes cartes, enfin presque toutes. Au bort de l’explosion, je décidai de ne pas me finir dans cet orifice.
Je lui pris les épaules pour la forcer à se mettre à genoux. Tout de suite, elle compris le traitement que je voulais lui faire subir. Elle ouvrit la bouche et tira sa petite langue. Bien que je n’était pas adepte de l’éjac’ faciale, encore une fois j’imaginais ca comme une punition, il n’en était rien, elle attendait ma semence comme une crème chantilly. 
Elle vint en deux grandes giclées qui lui traversèrent le visage. Ca avait été bon pour elle et pour moi, mais contrairement à elle, je me sentais coupable, un peu honteux, de n’avoir pas pu résisté à cette sirène. 
J’espère que Rafael n’en saurait rien, que cette histoire n’allait pas s’ébruiter, ma réputation allait encore en prendre un coup !
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