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Souvenirs d'un queutard

Chapitre 4

PASCALE

Erotique
Pascale était une cliente des plus normales que l’on avait aiguillée vers moi pour des renseignements. Rien de particulier à son physique qui m’ait donné d’emblée envie de me la taper. La seule chose qui me captiva en elle, son regard et ses yeux d’un vert indescriptible. Son regard pénétrait au plus profond de moi. Dès le deuxième contact je l’ai invitée au restau, la réponse fusa :
- Oui, quand vous voulez, mais pas aujourd’hui.
Pascale avait une copine avec qui elle passait la majeure partie de son temps à courir les magasins. Délaissant sa copine pour une fois nous avons déjeuné à midi au restau, faisant plus ample connaissance. Pascale avait 33 ans, mariée très jeune à 18 ans, divorcée, un fils de 15 ans et vivant depuis quelques années avec un homme de 35 ans, un fou du boulot aux revenus importants qui pensait que l’argent et faire l’amour à sa compagne, ou plutôt tirer son coup une fois par semaine, la comblait. Grossière erreur de sa part.Mon directeur préférant me laisser récupérer mes heures sup plutôt que de me les payer, me permit de prendre un après-midi pour retrouver Pascale à un motel du coin pour commencer, et ensuite à la baiser régulièrement.Dès la première fois elle se montra avide de sexe, cherchant sans doute à rattraper un manque d’avec son compagnon qui, une fois tiré son coup hebdomadaire s’endormait. Je ne cherchai qu’à lui donner du plaisir pour prendre le mien ensuite. Pendant l’après-midi de notre première rencontre, entre 14h et 18h, je lui ai fourré la chatte quatre fois. Si au premier et au deuxième coït je lui ai bien remplie de ma semence, au 3e et 4e plus grand-chose ne sortait de mes boules, à la grande déception de Pascale. Elle avait joui quatre fois et avait une attitude reconnaissante à mon égard, elle aurait bien été partante pour se faire sauter une 5e fois mais j’étais sur les genoux. C’était une sacrée chaudasse qui n’avait qu’une envie : avoir une bite bien profond en elle, trémoussant ses hanches au moment où elle sentait le plaisir venir, et il n’y avait plus qu’à lui taper dans la motte pour la faire jouir.Je n’ai jamais compris comment son compagnon pouvait se contenter de baiser une seule fois par semaine avec une femme pareille.Sans trop savoir si je pouvais en avoir la possibilité, juste avant de quitter la chambre Pascale s’accrocha à mon cou et :
— On se revoit la semaine prochaine
Ce n’était pas une question mais une affirmation de sa part, j’étais dorénavant inclus dans son emploi du temps.Pascale m’avait dit dès notre première rencontre qu’elle ne prenait pas la pilule, qu’avec son compagnon ça ne servait à rien d’une part, et d’autre part qu’étant une tête en l’air elle aurait fini par oublier de la prendre certains jours.Au fil du temps Pascale s’amouracha de moi, alors que moi mon envie était de tremper ma queue dans cette chatte gourmande et me soulager les couilles.Nous étions au motel, nus sous les draps, Pascale avait les cuisses largement écartées, je fouillais délicatement les replis de sa vulve, glissant mon index et mon majeur dans son vagin, je la doigtais du pouce faisant monter son envie de me sentir venir en elle, que :
— Aujourd’hui faudra que j’aille me laver après, sinon je risque de tomber enceinte.
Elle me sortait ça de façon naturelle, le plus important pour elle était de se faire fourrer, de jouir, de se faire rincer et remplir la chatte de ma semence, et ensuite de penser aux éventuelles conséquences. Décidément la logique féminine et moi ça fera toujours deux.Alors que je sentais mon plaisir venir pour la 1ere fois, j’émettais l’idée (tout à fait fausse) qu’il serait peut-être mieux que je me retienne ou me retire au moment où je me sentirai sur le point d’éjaculer, qu’elle me prenne en bouche pour me faire jouir. La réponse fut cinglante :
— Reste, enfonce-toi !
Après avoir fait l’amour par trois fois je suggérais à Pascale d’aller prendre une douche et de se faire une toilette très intime,
— Oui quand je rentrerai à la maison
De façon tout à fait idiote nous nous sommes pris la tête un jour, et avons cessé de nous voir. La copine de Pascale passa à l’agence me disant qu’elle était malheureuse et voulait me revoir. Chose dite, chose faite, nous nous sommes retrouvés chez sa copine un jour à midi. La copine voulant nous voir rabibochés nous poussa dans une de ses chambres pour que l’on renoue. Allongée sur le lit Pascale fit glisser sa culotte, remonta sa robe juste au-dessus de sa chatte, ne laissant voir que son triangle de fourrure. Elle n’était pas du genre à exhiber sa nudité, mais de m’offrir si peu me parut bizarre. Je fis comme elle, ne retirant que mon pantalon, le sexe bien dressé. Contre elle, les yeux dans les yeux je caressais l’intérieur de ses cuisses remontant lentement. J’arrivais entre les bords de sa fente, Pascale était trempée, elle mouillait toujours autant, sa vulve était gluante. Sous la caresse elle gémissait doucement les yeux fermés.Prolongeant ma caresse je passais sous sa robe, stupéfaction, je trouvais un ventre relativement arrondi. Pascale ouvrit les yeux me faisant oui de la tête.
— Qui ? — Devine !
Pascale était enceinte d’au moins trois mois, j’étais sûr que cela datait de la fois où elle n’avait pas voulu se faire une toilette intime au motel et qu’elle ne l’avait pas faite non plus en rentrant chez elle.Nous avons fait l’amour, mais entre nous il y avait quelque chose de cassé. Quelques mois plus tard sa copine passa à l’agence me donnant un bout de papier avec un numéro de téléphone.
— Appelle, c’est la clinique
Une fois la copine de Pascale partie, un peu perturbé j’appelai ladite clinique. C’était une maternité, je suis tombé directement à la chambre de Pascale ; elle venait d’accoucher d’une petite fille.La conversation fut brève, Pascale éclata en sanglots :
— T’as pas compris que je t’aime !
Et elle raccrocha.J’ai revu Pascale plus d’un an après, elle m’apprit que son compagnon avait reconnu l’enfant.Sans hésiter Pascale me dit :
— C’est tout ton portrait
Le temps est passé, je n’ai plus eu de contact avec Pascale. Un jour sur le parking d’un hypermarché j’aperçus Pascale dans sa voiture, un enfant sur un siège à l’arrière ; j’ai freiné, quelques secondes plus tard je redémarrai..............
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