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souvenirs, souvenirs

Chapitre 3

Divers
Cinq minutes après, nous sommes sur la pelouse, les garçons en short, les filles en robe. Je suis sur des charbons ardents. Sans pouvoir deviner comment cela va tourner, je sens qu’il va se passer des choses.Je vois aussi Monique et Viviane échanger des regards complices et des sourires en coin, aussi je me morfonds en attendant que Viviane parle, parce qu’elle ne peut pas se taire plus longtemps. Finalement, elle nous prend en pitié et voici ce qu’elle dit :— Je suis surprise de vous voir si peu profiter du soleil, mes enfants, mettez-vous à l’aise que diable !— Mais madame, on n’a pas pris nos maillots, expliqué-je— La belle affaire ! Il n’y a pas de vis-à-vis, ici. Vous n’avez pas à être gênés. Autre chose : je m’appelle Viviane pour vous, et on se tutoie. Que je n’aie pas à le répéter. Monique, ma chérie, montre à ces deux phallophores ce dont est capable une femme sûre d’elle-même !— Je suis prête à le faire, mais cela me ferait encore plus plaisir, si c’était toi, Viviane qui me le fasse, déclare une Monique rouge de honte, mais décidée.— Bravo, excellente idée conclut Viviane en se levant.
Alors, les deux femmes debout devant nous, assis sur l’herbe, ont commencé par s’embrasser passionnément, longuement, sur la bouche. Puis Monique s’est reculée un peu et Viviane a commencé à déboutonner la robe de la blonde qui n’a pas cherché à rien cacher de ses superbes nichons bien ronds ni de sa tendre motte dorée. Une fois nue, Monique a pirouetté sur elle-même, pareille à une danseuse d’opéra, comme si elle voulait que nous profitions bien de toutes les facettes de son corps, puis sous nos yeux toujours aussi médusés, elle est revenue vers Viviane pour une nouvelle étreinte tout aussi passionnée que la précédente. Nous nous sommes alors regardés, Bernard et moi, complètement bluffés par l’attitude des filles et leur complicité. Moi je spéculais déjà à toute vitesse sur les perspectives que les dispositions d’esprit de Viviane nous ouvraient, tant pour notre amitié de garçons que pour nos futures relations hétérosexuelles. Bernard interrompit ma rêverie.— Regarde, me chuchota-t-il, on dirait qu’elles se parlent.
Effectivement, on avait l’impression que Monique demandait quelque chose à Viviane mais que celle-ci n’était pas trop d’accord. N’osant pas bouger de peur de les distraire, nous les regardions, à vrai dire, je les regardais, car Bernard, lui ne fixait que les fesses de Monique. Finalement, elles parurent se mettre d’accord et Viviane se tourna vers nous tandis que Monique s’asseyait à ses pieds.— Monique veut que je l’imite et moi je prétends que je suis trop vieille pour me montrer à des petits jeunes comme vous. Qu’en pensez-vous ?— Très sincèrement, Viviane, tu ne peux dire une chose pareille, ou alors tu ne te regardes jamais dans la glace. Pour ce que ta robe me laisse apercevoir, je dois dire que tu es la plus belle femme que j’aie jamais vue.— Tu es gentil, peut-être manques-tu aussi de points de comparaison, mais ça fait toujours plaisir à entendre. Et toi, mon fils, on ne t’a pas entendu.— A poil, maman ! réplique sobrement un Bernard totalement dépassé par les événements.
Nous éclatons tous de rire sauf Bernard qui a dit ça avec le plus grand sérieux. Il nous regarde avec inquiétude, ne comprenant pas notre hilarité. Il est vrai que si Bernard est souvent drôle, il ne le fait pas toujours exprès, mais sa franchise et sa naïveté en font un personnage attachant.
Viviane enlève alors sa robe puis son soutien-gorge et nous fait face. Même si elle ne cache pas grand-chose je lui fais signe d’ôter sa culotte et comme elle ne paraît pas pressée de le faire, c’est Monique qui fait glisser le vêtement jusqu’aux chevilles de notre belle hôtesse, qui entreprend aussitôt de faire une démonstration de danse du meilleur effet.Bien entendu, je m’empresse de me débarrasser de mon short. Je commence à bander mais peu importe, ça m’étonnerait que Viviane me le reproche, parti comme c’est, au contraire, je nous vois bien aller plus loin dans les polissonneries. A présent Viviane s’est allongée sur son drap de bain, les jambes disjointes offrant son intimité à l’avidité de nos regards. Il faut dire que si ce n’est pas la première fois que je vois le sexe d’une vraie femme, pas une gamine comme Monique, c’est en tout cas la première fois que je peux le regarder de si près, à satiété, à m’en tuer les deux yeux. Viviane est très brune, mais sa toison ne couvre que le pubis, laissant bien nettement dégagée toute la vulve. Je n’ose pas aller plus loin, par peur qu’elle fasse marche arrière, mais je me gave les yeux de cette vision. Bernard, plus inconscient sans doute, s’est carrément installé à plat ventre entre les jambes de sa mère, la tête à trente centimètres de la sublime entrée qu’il contemple d’un air plus pensif qu’excité. A un moment on l’entend murmurer “ Dire que j’ai passé neuf mois là-dedans !ˮ ce qui bien sûr provoque une nouvelle crise de fou rire.
Une heure plus tard, la situation a évolué de façon significative. Je suis étendu sur le dos, Monique m’a enjambé pour s’empaler sur ma queue, tandis que Bernard, derrière elle, s’apprête à investir son cul, guidé par la main de Viviane qui a empoigné la queue de son fils pour l’aider à ne pas rater sa cible. Lorsque le trio est enfin opérationnel, on commence à bouger en cadence, alors que Viviane, agenouillée à côté de nous, se branle énergiquement. Lorsque je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, je me dégage d’un coup de rein, faisant chuter mes deux partenaires. Solidement agrippé des deux mains aux hanches de Monique, Bernard n’a pas déculé et se vide en gémissant dans le fondement de ma copine. Celle-ci grimace un peu, je ne pense pas que, pour elle, la séance ait été un vrai bonheur, mais enfin, elle voulait essayer, on l’a fait, mais je ne suis pas sûr qu’on recommence de sitôt. Personnellement, j’ai trouvé la séance plus pénible que jouissive.Je me suis mis à genoux sur l’herbe, ma queue toujours raide laisse échapper un dernier filet de foutre. A deux pas de moi, Monique, toujours empalée sur Bernard, essaie de se dégager, mais mon copain se sent bien comme çà et reste ferme sur les positions précédemment acquises. Viviane vient s’accroupir à mes côtés et me passe un bras autour du cou.— Je te félicite, bonhomme, pour ta parfaite maîtrise. C’est malheureusement rare chez les hommes et la pauvre fille doit se hâter vers la toilette sous peine de se retrouver enceinte.— C’est Thérèse qui m’a demandé de faire comme ça.— Qui est Thérèse, questionne Viviane intriguée ?— C’est ma mère, intervient Monique. Tout à fait au début, quand on a décidé de sortir ensemble, j’en ai parlé à ma mère. Ma mère, elle est un peu comme toi, Viviane, très cool sur le sujet. Elle m’a dit tout ce qu’il fallait savoir au départ, puis elle a pris Gérard à part pour lui faire la leçon.— Et que t’a-t-elle dit ? s’amuse Viviane.— Essentiellement un truc, conviens-je. Elle pensait que ça ne servait à rien de nous interdire de faire des choses, parce qu’on arriverait à les faire quand même. Alors elle voulait juste une chose : pas de bébé. Donc quand je baiserais sa fille je devrais juter en dehors. Elle m’a même conseillé de m’entraîner en me branlant sans aller jusqu’au bout. — Elle est super cette femme, Monique, il faudra que tu me la fasses connaître. Et que t’a t’elle dit d’autre ?— Rien. Elle a dit que c’était à nous de découvrir ces choses. Elle a juste conclu en disant qu’elle n’en parlerait à personne, son mari deviendrait furieux et ma mère était trop bigote pour ne pas mourir de chagrin en sachant ce que faisait son fils si bien-pensant, croyait-elle.— Et depuis, tu sautes toujours en marche ?— Oh non ! J’hésite à continuer, je dois être rouge comme une tomate mûre. On préfère autrement.— Comment ça, autrement ? insiste Viviane, intraitable.— Ben… je sors plus tôt et… enfin… Monique me prend dans sa bouche et elle me suce jusqu’à ce que je vienne.— Adorable cochonne, commente Viviane en riant. Et je suppose que tu aimes ça, gourgandine ?— Oui, chuchote Monique en baissant la tête.— Et tu avales tout ? continue impitoyablement Viviane.— Oui… confesse la blonde au supplice.
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