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Souvenirs d'une autre vie

Chapitre 5

Inceste
Les portes du bonheur
Yohann aussi suit son instinct et … sa nouvelle amie

Maryse
Je n’en reviens pas. En moins de trois mois, ma vie a basculé complètement. Moi si réservée, si solitaire depuis le départ de Pierre, je suis devenue une véritable salope. Il y a eu mon propre fils avec qui à deux reprises j’ai couché puis Pauline et son fameux Moïse, et maintenant Sylvain. Pour ce dernier cependant je ressens quelque chose d’indéfinissable. Je n’ai pas eu beaucoup d’expérience dans ma vie, mais je sais reconnaître les pincements au cœur. Je crois… je me sens attirée par lui et quelque part… amoureuse.
Mes deux faux pas avec Yohann me pèsent quand même sur la conscience, je me demande comment il va prendre mon histoire, enfin le début de cette amourette, ébauche de liaison qui s’installe dans ma vie. Si Sylvain est venu chez moi, je lui ai rendu visite également à plusieurs reprises et c’est toujours avec une frénésie sans nom que nous avons refait l’amour. Cet homme est doux, il a des gestes, des paroles qui ne sont pas sans me rappeler, les tiennes mon pauvre Pierre. Là encore, il va falloir que je perde cette habitude de faire comme si tu étais toujours là.
Je ne sais pas pourquoi, mais j’aime faire l’amour avec cet homme. Il n’est pas surdoué, pas non plus vulgaire. Il prend son temps et a une patience d’ange avec moi. Il sait pourtant tellement bien m’amener là où il le veut, que je me sens parfaitement à l’aise en sa compagnie. Dire que le premier soir je l’avais éconduit, quelle gourde, pire, pour un peu je serais passée à côté d’une belle histoire. J’ai revu aussi Pauline et son copain la presse pour que nous renouions le dialogue de notre dernière rencontre. Mais je suis plutôt réticente sur ce plan.
Non pas que cette façon de faire l’amour m’ait déplu, loin de là ! Mais bon, je ne veux en aucun cas courir deux lièvres à la fois. C’est aussi pour cette raison que je veux faire absolument le point, avec mon fils lors de son prochain retour. Le message qui m’annonçait son arrivée pour le week-end me laissait entendre qu’il ne viendrait pas seul. Sans doute que son ami Jean-Baptiste va aussi être à la maison. Ce gamin, je l’ai vu aussi grandir, et je dois avouer que je l’aime beaucoup également.
Ce vendredi matin, le ciel est avec nous ! Pas un nuage, une couleur qui déteint sur l’eau, une belle journée s’annonce donc. J’ai fait les courses, et comme tout est, comme d’habitude, prêt pour la rentrée de mon fils. Je suis sur la terrasse et je me fais bronzer. Sylvain a appelé, mais il a parfaitement compris que je voulais profiter de mon gamin, lui expliquer ce qui arrive, être claire en quelque sorte. Alors il sait que nous ne nous reverrons que lundi en fin de journée. Contrairement à lui qui semble avoir pris cela d’une manière philosophique, j’ai du mal de me dire que je ne ferai pas l’amour de toute la fin de semaine.
On retrouve vite des envies et des automatismes dans ce genre de sport. Attention ma petite Maryse ! Tu vas tomber de haut si d’aventure ton chevalier servant se détournait de toi pour une raison inconnue. Ne tombe pas trop rapidement amoureuse. Laisse du temps au temps. La priorité c’est d’être franche avec Yohann et je le sais bien. Mais mon esprit s’évertue à me lancer des images du genre érotique et la chaleur qui m’envahit n’a rien d’imaginaire, elle. Alors sur ma balancelle, entièrement nue, je pense déjà à laisser errer mes mains sur des endroits très… inflammables. Quel mal y a-t-il à cela ?
Le livre que j’essaie de lire n’a pas l’attrait nécessaire pour me faire oublier une seule seconde cet énervement de mon corps qui monte crescendo, en fonction des flashes qui me reviennent. Le plus curieux, ce sont des images où les visages de Yohann et celui de mon Pierre se mélangent. N’y tenant plus, je laisse glisser « le symbole perdu », qui se trouve oublié à la page sur laquelle mes yeux se sont arrêtés net. J’ai l’eau bénite qui coule du bénitier et mes doigts qui s’y frottent sont enduits de cette « Clairette de Die » d’un genre nouveau. Il fait au bas mot, vingt-cinq degrés, mais je frissonne sous les effets pervers de ces phalanges qui tournicotent sur l’énorme bouton dont le capuchon se trouve repoussé.
Frénétiquement, je me branle en silence d’abord, puis mes gémissements sont de plus en plus audibles. Mais il n’y a personne pour entendre ces cris provoqués par ma séance de touche-pipi. Dire que quelques mois plus tôt, j’aurai eu sans doute honte de faire ces gestes pourtant si normaux dans la vie d’une femme… ou d’un homme. C’est chez les jeunes, un réflexe des plus familier, mais pour nous les… le mot vieux qui monte à mon esprit me fait sourire. Comment penser à des trucs pareils alors que je me caresse la chatte ? Il faut en tenir une sacrée couche…
Si quelqu’un me voyait… une sotte qui se tripote en pensant que c’est mal, qui se cherche des excuses. Mais Maryse tu deviens cinglée ? Et finalement, c’est mon corps qui prend le dessus, lui ne s’embarrasse pas de préjugés, de tergiversations ou de justifications plus ou moins crédibles. Il me soumet à son rythme, m’envoie en l’air quand il en a marre de toutes les questions que je me pose. J’ai un premier orgasme qui part en vaguelettes de mes orteils à la racine de mes cheveux. Le plaid, sur l’escarpolette, prend cher.
Ma mouille ne se contente pas de petites giclées, non ce sont de grandes saccades qui ruissellent de mon minou chauffé à blanc. Je suis exténuée par cette débauche d’efforts qui m’entraine dans une somnolence bienveillante. Le temps et l’heure n’ont plus de prise sur moi. Quand j’ouvre de nouveau les yeux, ma main est restée bien à plat entre mes cuisses serrées. Il fait toujours aussi beau et seul le soleil a fait un long chemin. Heureusement que le toit de ma balançoire m’a un peu protégé de ses rayons. Il y avait de quoi griller… cette suggestion qui s’impose à moi me semble puérile et dérisoire.
Zut, je réalise soudain que si « Ra » a autant changé de place, l’heure doit également être bien avancée. C’est à l’instant où je vais pour reprendre la station debout que je les vois. Ils sont deux et chacun à un verre devant lui. Il y a mon fils à qui je devrais reprocher de ne pas m’avoir réveillée et puis face à lui… une fille. Il aurait pu au moins me couvrir… je pique un fard à l’idée qu’elle me voit… dans le plus simple appareil. J’en veux presque à mon gamin de ne pas… de… de quoi ? Après tout, pourquoi m’aurait-il réveillée ? J’ai honte de devoir m’expliquer, d’avoir encore à me justifier peut-être !
Puis non ! Je n’ai rien à leur dire. Je me réveille encore un peu plus et j’admire la demoiselle qui est là ! Elle a beaucoup grandi cette gamine, mais je sais qui elle est. Ses traits sont tous pareils à ceux de son frère. Je ne comprends pas pourquoi elle est chez moi, avec mon fils, mais c’est sans importance. Du coin de l’œil, j’observe la grande bringue qui fait face à Yohann. Elle doit avoir un an de moins que Jean-Baptiste si j’ai bonne mémoire. Mais elle a pris de la poitrine, elle a de jolis cheveux et surtout, c’est une femme qui est près de mon gosse.
— Ah ! Ça y est ! Tu reviens parmi nous ? Tu dormais si bien que nous n’avons pas eu le cœur de te tirer de tes rêves…— Bonjour Madame !— Bonjour à vous deux… Yohann tu aurais pu me prévenir et surtout tu aurais dû t’annoncer, ça m’éviterait la honte d’être dans une tenue plus que légère.— Quel culot, j’ai dû appeler dix ou douze fois ! Vérifie ta messagerie.— Vous n’avez pas à rougir, madame, vous êtes très belle ! Je connais beaucoup de mes amies qui vous envieraient. — Bon ! Excusez-moi une minute, je reviens.

J’entre dans la maison et je vais passer quelques minutes sous ma douche. À mon retour, je suis toute pimpante et fraiche et surtout vêtue. Oh ! Pas les fringues des grands soirs, non ! Simplement une longue liquette assez légère. De toute manière lui me connaît déjà bien plus intimement et elle… ce qu’elle a vu n’est plus à cacher. C’est fou, mais je deviendrais presque impudique maintenant ! En tous cas, je ne sais ce qu’il fait avec cette Anne-Marie, mais… s’il couche avec elle, il a bien caché son jeu jusque-là ! Je ne vais quand même pas être jalouse d’une gamine… et puis ça devrait bien m’arranger puisque désormais, j’ai aussi un homme dans ma vie.
Je mets réchauffer mon diner et naturellement, je sors un couvert supplémentaire. Elle ne dit rien, sourit à mon retour vers eux. Elle se lève et m’aide à mettre la table. Je regarde ses mains, sa poitrine, je la détaille, le comprend-elle ? Elle est mignonne, bon gout, mon fils ! Et lui sourit aussi en la regardant déposer les fourchettes, les couteaux. C’est seulement à cet instant-là que je sais que ces deux-là sont amants. Un petit quelque chose dans les yeux de mon garçon, une lueur allumée par la silhouette qui danse devant nous.
Le diner se déroule dans un climat plutôt détendu. Cette fille est un éclat de soleil dans notre jardin. Il me semble que Yohann n’est plus tout à fait le même, qu’il n’est plus totalement mon fils. Nous parlons de leurs études, des mois à venir si cruciaux pour les jeunes. À la fin du repas, ils desservent ensemble la table, m’intimant gentiment l’ordre de ne pas me lever de ma place.
— Tu m’as servi… toute ma vie, un peu de repos pour toi maman, ce n’est qu’un juste retour des choses. Reste assise, on s’occupe de la vaisselle.
Bien sympathique d’être ainsi dorlotée de temps en temps ! Depuis le départ de Pierre… personne ne l’avait plus jamais fait. Je regarde la donzelle qui donne des couleurs aux joues de mon fils. Elle est vraiment belle. J’entends des rires étouffés dans la cuisine, mon domaine pourtant. Quand je me lève enfin pour marcher un peu, je les entrevois. Ils sont enlacés et si je ne vois pas ce qu’ils font, la position de leur corps me laisse penser qu’ils s’embrassent. Ça me remue de partout, de savoir que mon Yohann a un béguin pour cette jolie plante.
Ensuite je les laisse seuls, et je lis longuement dans ma chambre. Ça me fait tout bizarre d’entendre des rires et des bruits dans mon salon. La télévision et les deux jeunes font revivre la maison. J’ai éteint la lumière depuis plus d’une heure, je me retourne dans le lit, impossible de trouver le sommeil. À pas feutrés, je les entends passer dans le couloir qui mène à la chambre de Yohann. La porte se referme doucement sur les gamins. Pourquoi mon esprit reste-t-il ainsi en veille ? Je n’arrive pas à m’endormir et je change de position constamment. La maison m’offre ses bruits spéciaux que je n’avais plus vraiment oui depuis des années.
Craquements du bois, sifflements dus au vent, que sais-je encore, ces petits riens qui nous amusaient avec Pierre, mais qui depuis longtemps étaient enfouis dans mon esprit. Perdue dans ces pensées d’un autre temps, un autre son devient soudain plus présent. Mon oreille se tend vers celui-ci. Il se répète et le doute n’est plus permis. Ce sont les deux jeunes dans la chambre en face qui soupirent. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, je ne vais tout de même pas jouer à la voyeuse ! Et pourtant au fur et à mesure de l’amplification des bruits, j’écoute ce qui se passe.
Tout d’abord, ce sont de simples soupirs. Petit à petit ils deviennent plus forts, moins retenus. Alors j’avoue que mon cerveau se met à faire des siennes. Il se réveille et les images qu’il m’envoie sont toutes plus ou moins axées sur le sexe. Il y a en premier lieu, ce sexe dont je garde le souvenir dans la bouche, dans les mains, dans le ventre. Puis se dessinent les contours d’une vulve fraiche, de poils encore fins, de lèvres roses et attirantes. Je vois mon fils lécher celles-ci, je l’imagine qui va la prendre, après tout un tas de préliminaires, mon ventre se met à gargouiller. J’ai moi aussi envie de faire l’amour, de me sentir désirée, belle pour un homme.
J’ai envie que l’on me caresse, que l’on me touche, mais j’ai surtout envie de sentir vibrer en moi ce pistil qui me donne tellement de plaisir. Plus les gémissements à demi étouffés me parviennent, plus cette idée de faire aussi l’amour devient obsédante. N’y tenant plus je vais à la rescousse de ce corps en état d’abandon. Aux sons des cris qui me parviennent, mes doigts rejouent sur un clavier chaud une musique des plus étonnantes. Je me berce d’images et de sensations, les répercutant sur ma chatte avec une certaine maestria. Lentement, mais surement, je réponds à leur envie, par mes envies et c’est presque à l’unisson que nous nageons sur les eaux claires de la jouissance.
Apparemment dans la chambre de Yohann, Anne-Marie tire un certain profit de mes… leçons. Et moi, en maitresse d’école attentionnée, je suis l’évolution de ce qu’a retenu mon fils. Elle glousse, je me touche, elle remue, je me berce. Et dans cette fureur de vivre, des mains blanches et douces s’attachent à nous donner à elle comme à moi, une certaine forme de bonheur. Les miennes s’envolent sans que je les retienne, et je pense à celles de mon gamin qui doivent roder sur les formes encore juvéniles, mais terriblement excitantes de la fille qui est dans son lit.
Quand le final retentit, légèrement plus fort, plus saccadé aussi par les bruits de la petite, je mets un point d’honneur à jouir de façon synchronisée avec elle. Solidarité toute féminine, que mon corps ne refuse pas. Je tremble de partout. Je griffe les draps froissés, mon corps savoure et quand enfin je me calme, l’espace d’une seconde je me dis que cette fille a dû aussi avoir un orgasme similaire, qu’elle a pris son pied. En mère soucieuse du bien-être de sa progéniture, je souris en pensant que finalement, cet orgasme… elle me le doit en partie. Pensées présomptueuses, pensées impures, d’une mère indigne sans doute…

— oooOOooo —

Pauline

Moïse m’a fait l’amour comme un Dieu. Il a une façon tellement… je ne trouve aucun mot pour décrire ces séances qui m’emportent dans des délices extrêmes. Dans ces moments, je deviens comme folle et ma bouche prononce des paroles que je voudrais reprendre ensuite. Mais ce qui est dit est dit et c’est tellement compliqué de refuser quoi que ce soit à cet amant d’exception qu’est mon ami. Alors me voici devant le fait accompli et pas moyen de revenir en arrière.
— Tu m’emmèneras encore chez ton amie Maryse ? Je vous regarderai faire l’amour et demande-lui si je pourrai la prendre cette fois.— Oui ! Mon amour, je lui demanderai, je l’amènerai à se laisser baiser par toi. Je te le promets !
Comment ai-je pu faire cette promesse ? L’état second dans lequel me plongent à chaque fois nos parties fines n’est pas étranger à cette situation. Merde, et maintenant ? Après le sexe, comment lui faire comprendre que ma langue est aussi agile dans les fellations que dans des propos qui ont dépassé largement ma pensée. Maryse a donc laissé des traces dans la mémoire de mon amant. Dans mon esprit aussi je dois dire. C’est vrai que ce soir-là Moïse n’a pas cherché à profiter de la situation.
Mais je comprends bien qu’il compte, qu’il espère en user, pour ne pas dire en abuser, lors d’une prochaine rencontre. Mais comment demander à mon amie, un truc pareil ? L’occasion a fait que ce soir-là elle laisse faire, mais… j’ai peur qu’elle ne soit plus réceptive à ce genre de plaisir. Pour le moment lui se frotte à nouveau contre moi. Sa pine ne réclame pas beaucoup de repos. Ça fait tout juste, cinq ou six minutes que nous avons eu un premier orgasme et le voilà déjà au garde-à-vous. Il me le montre ostensiblement en se frottant contre mon derrière. Je ne suis pas insensible à ce genre d’argument. Alors je me coule contre lui, mon dos, mes fesses, tout cherche la protection de sa poitrine et de son ventre.
Évidemment cette cheville qui glisse dans mon sillon, découvre celui-ci encore englué par ma mouille et son sperme. La bête chaude coulisse sans à coup, lentement, et elle finit par buter sur l’œillet qui n’a pas échappé à la marée de nos sucs. La tête sans chapeau reste un moment à hésiter à l’entrée de ce second hall qu’elle voudrait prospecter. Puis doucement sans m’effaroucher, elle pousse la porte close. C’est tout d’abord une sensation bizarre, une révolte de ce muscle qui s’émeut de cette intrusion. Quand une main me donne une claque sur la fesse.
Profitant de l’avantage que lui procure la détente de mes muscles, la bite franchit l’anneau serré et elle est maintenant dans la place. Enduite de toutes nos sécrétions intimes, elle profite donc de son avancée et elle file d’une manière rectiligne vers le fond de la galerie. C’est rapide, pratiquement indolore. J’ai seulement l’impression que mon anus est dilaté au possible que le calibre de ce chibre qui est en moi va déchirer tout sur son passage. Mon souffle lui est coupé pour un instant. Moïse me prend maintenant par les hanches et se retire tout aussi vite que lors de son invasion.
C’est pour mieux revenir, pour mieux rentrer en force dans ce cul largement ouvert qu’il défonce allégrement. Je sens qu’il prend un plaisir puissant, que sa pine reste tendue, raide, qu’elle navigue en terrain conquis. L’appréhension légitime qui m’a gagné dès l’intromission me quitte avec les mouvements à l’amplitude bienveillante. En un mot comme en cent, chaque passage dans un sens comme dans l’autre adoucit mes craintes et calme mes douleurs, supposées ou réelles. Il est bientôt chez lui, et il me besogne avec des soupirs qui sont communicatifs. Il me murmure des insanités, des mots orduriers, rendant encore plus facile ses promenades en moi et lubrifiant non pas l’endroit où il s’éternise, mais bel et bien ma chatte qui en transpire.
Puis en prêtant une oreille plus attentive, je me demande si c’est bien à moi qu’il fait l’amour en me parlant.
— Tiens ! Tiens sale pute brune…— Brune ? À qui tu parles Moïse ? — Je m’imagine dans ta copine et tu vois comme elle me fait bander !— Salaud va ! C’est moi ou elle que tu veux ?— Toi… et elle… tu comprends.
Puis je n’arrive plus à parler. Il s’enfonce de plus en plus vite dans ce gouffre qui est maintenant plus accueillant, plus ouvert à cette forme de pénétration. Je sens pourtant encore les spasmes de la bite qui m’envahit. Je la jurerais moins longue, plus courte… mais je réalise qu’en fait c’est seulement l’épaisseur qui me fait cet effet. Et je sais, je sens qu’il vient de trisser en moi, que sa semence s’est de nouveau répandue sans qu’il n’arrête pour cela de me limer. L’idée qu’il puisse avoir éjaculé, me fait soudain partir sur les chapeaux de roues. Mon corps se crispe sans me demander mon avis et d’un coup je suis entrainée dans une spirale vertigineuse.
Mes cris font trembler les murs et il est obligé de me cramponner par les hanches plus fortement pour que je ne m’échappe pas. Involontairement je me tords de bien-être, je gesticule dans tous les sens, ne sachant plus comment refréner cette folie qui s’abat sur moi, en moi. Partout, je me sens trembler, je ne dirige plus mon esprit non plus, je suis un pantin que le sexe et la jouissance emportent vers des ailleurs sans nom, vers des couleurs inconnues, vers d’incroyables lumières aux sons étranges. Tout est inaudible, tout est flou, tout est parfaitement imparfait. Je hurle sans arrêt et il a soudain peur et sa main telle un bâillon vient me museler quelque peu, tempérer cette ardeur à crier sans retenue.
— Eh ! Ben ma belle, si tu n’as pas aimé tu me le diras ? Ne crie pas comme si on t’égorgeait ! Je n’ai pas envie de voir les flics débarquer et tu nous vois embarqués pour tapage ? — Hummm ! Humm ! Lâche-moi ! S’il te plait ! Non ! Nooon !
Le brusque arrêt de ma jouissance me fait mal. Il m’arrache un peu de lui, extrayant sans ménagement la queue encore suffisamment raide pour que je veuille la garder en moi. Il me prive soudain de cet objet de plaisir et du même coup me fait frissonner. J’ai envie de pleurer, de le frapper, de hurler encore plus finalement. Cinq petites minutes, deux minutes ! Non, il ne fait rien pour que je sois bien ! Sale type qui dès son plaisir passé, file rapidement. Puis je réalise que c’est méchant et injuste, il a seulement voulu se préserver d’un voisinage curieux et hostile.
Je persiste cependant à mordre les draps un long moment, prise entre hystérie et mauvaise conscience. En fait, il me manque l’essentiel, la jouissance suprême parce que celle-ci vient d’être lamentablement écourtée. Lui est fier ! Fier de son engin qui reprend une forme plus ordinaire, fier d’avoir joui en songeant à une autre aussi peut-être, fier parce que les mecs sont ainsi faits. Mais je dois reconnaître que sa main vient finir le travail débuté par ses allers et retours. Allongé près de moi, il me flatte les grandes lèvres et sa bouche en penchant son visage vers ma chatte, apporte un certain réconfort à ma foufoune.
— Pourquoi… pourquoi t’es-tu retiré aussi vite ?— Tu t’es entendue crier ? Je crois que toute la rue est au courant de notre… partie de…— Je m’en fiche moi, des autres… et merde ! La peste soit des envieux et des culs bénis qui trouvent toujours de quoi râler.
Moïse s’est mis à rire. Il continue à me lécher le con et mon Dieu, je trouve cela sinon bon, du moins agréable. Mais mon voyage interrompu, c’est mission impossible de me faire remonter sur un beau nuage. Ce n’est que partie remise et d’une main sûre, je repousse gentiment la caboche de mon amant.
— Ça va ! Arrête va ! Je ne pourrai plus jouir totalement maintenant. J’ai simplement besoin d’une pause, d’un répit. Et puis j’ai vraiment soif…— Bien reçu ! Jus de fruit ou plus corsé ?— Jus de pomme ce sera parfait. — D’accord ! Je vais nous servir.
Mon homme s’est levé et marche vers la cuisine. Son petit cul noir se dandine devant mes yeux et je souris à cette vue. À son retour, plateau en main, il me sert une grande rasade d’un jus blond et gouteux.
— Tiens ma belle ! Étanche ta soif ! — Merci. Tu m’as parlé en faisant l’amour, mais je n’ai pas tout saisi.— Ben… j’aimerais que ta copine, Maryse vienne nous rejoindre où que nous la retrouvions un soir. J’aimerais lui faire tout ce que nous venons de faire. J’adorerais sentir sur mon nœud ses lèvres rouges. Je les ai aimés sur ta chatte alors, laisse-moi les imaginer un peu sur « popol ».— Je… je ne suis pas sûre qu’elle accepte, tu sais ! Je vais lui en toucher deux mots, mais…— Tu sauras bien te montrer persuasive ! Enfin fait du mieux possible…— Mais oui, ne t’inquiète donc pas. Moi aussi j’aimerais… oui j’ai aussi apprécié de la lécher et qu’elle me le fasse… alors tu penses que je vais lui demander ! Un peu de patience…— Si on allait diner quelque part ?

— oooOOooo —

Sylvain

Maryse m’a imposé un break pour ce week-end. Je suppose que même si elle n’a rien dit, elle voulait parler tranquillement à son fils. Je n’ai pas encore vu ce gamin. J’ose juste espérer qu’il ne va soulever aucune objection pour cette ébauche de relation entre sa mère et moi. C’est fou comme cette femme compte désormais dans ma vie. Je n’arrive plus à me passer d’elle. Dès qu’elle est près de moi, je bande comme un âne et ça ne m’est jamais arrivé ce genre de chose. Il faut dire qu’elle a de jolies formes et que bien des mecs se retournent sur son passage. Bon Dieu que ce samedi et ce dimanche vont être longs. Mais je n’ai pas vraiment le choix.
Je passe un temps impressionnant dans mon restaurant et les employés se demandent quelle mouche me pique ! Je me sens hargneux et grognon. À la moindre peccadille, ils se font enguirlander et je crois qu’ils n’apprécient pas trop. Je sais, c’est idiot, mais ne pas la voir me manque vraiment. Ses gambettes fines et élancées, son cul, ses seins, tous dansent dans ma tête et je n’ai pas les idées claires. Je ne tiens pas en place. A Bientôt cinquante balais, c’est la première fois que je me sens aussi attiré par une nénette.
La salle, ce dimanche soir s’est remplie et je fais le tour des tables. Plus pour faire passer le temps et feindre de faire quelque chose de mes dix doigts, mais le cœur n’y est pas. Tiens ! Cette femme de dos on dirait… oui c’est bien Pauline. Elle n’est pas seule et le type qui l’accompagne ne m’est pas non plus inconnu. Je me creuse les méninges pour tenter de me souvenir. Ça y est, elle m’a vu et sa main s’est levée en signe de salut. Je n’ai donc plus qu’à m’approcher pour leur dire bonsoir.
— Ah ! Pauline ! Heureux de te revoir chez moi ! Bonsoir Monsieur !— Salut Sylvain ! Je te présente Moïse, mon compagnon…— Enchanté Monsieur ! Et heureux de voir que vous avez fait craquer cette… solitaire acharnée.— Le plaisir de vous rencontrer Sylvain n’a d’égal que celui de déguster vos spécialités.— Je suis content que ça vous plaise, alors. — On se revoit tout à l’heure ? Après le diner, tu viendras prendre le pousse-café avec nous ?— D’accord… je vous laisse finir votre repas…
Elle a une mine rayonnante, un air étincelant. Ce type doit bien la baiser pour qu’elle s’accroche de la sorte. Elle qui n’a jamais voulu d’un mec dans sa vie… il doit avoir quelque chose celui-là. C’est vrai aussi qu’on dit que les noirs sont bien montés, il doit donc lui donner ce qu’elle veut… tant mieux pour les deux. Je connais son tempérament au plumard et c’est une vraie bombe en matière de baise. Mais bon, je n’ai pas perdu au change. Maryse aime aussi le cul, et elle sait y faire également. Au moins le fait d’avoir un peu discuté avec ces deux clients, m’a fait oublier un peu ma brune et son fils. Merde, le temps est bien long sans elle.
Voilà ! Un à un les couples et les dineurs passent à la caisse. C’est bon pour les affaires. Ils ont tous un mot gentil ! On est toujours plus sympa la panse pleine. Il ne reste plus que mes deux loulous qui attendent leur schnaps. Je me glisse vers eux et je prends un siège. Le serveur prend la commande.
— Les cafés et les pousses sont pour moi ! Vous nous mettrez une petite mirabelle aussi, en plus de la commande de ces messieurs-dames !
Le garçon opine du chef et note sur son calepin ce que veulent Pauline et son chevalier servant.
— Alors comme ça, vous avez perverti notre amie Pauline ?— Disons que je me suis laissée faire… un peu ! Tu me connais.— Oui, mais de là à t’imaginer avec un fil à la patte…— Oh ! Je ne la retiens pas ! Elle fait et va à sa guise. Disons que nous avons seulement les mêmes gouts pour certains petits plaisirs
Je regarde le gars qui me semble bien sympa ! Lui aussi me dévisage et comme je ne sais pas vraiment ce qu’a bien pu lui raconter la blonde, je m’abstiens de faire une allusion directe à nos coucheries passées.
— Vous avez un beau restaurant. Les affaires vont bien ? — Je ne me plains pas… et vous vous êtes dans quelle branche ?— Le dessin industriel, je travaille à mon compte ! Ça me laisse du temps pour… Madame Pauline.— Et tu sais bien Sylvain que j’aime avoir du temps pour… faire ce que j’aime. N’aie aucune crainte Moïse est au courant de ma vie et de nos parties de cul à tous les deux.—… ! — Allons ne faites pas cette tête, je ne suis pas d’un naturel jaloux et je dirais même que je suis du genre… partageur.— Partageur ? — Oui… vous voyez… libertin. Pour ne pas dire un zeste pervers.
Je regarde les deux-là et lui n’a pas l’air de rire en disant cela. Pauline non plus ne dément rien. Merde, elle a un don cette pouliche, oui, bof ! Je devrais dire jument pour créer un climat plutôt chaud. Et pour être bouillant, il l’est devenu en quelques secondes. Je n’ai jamais partagé comme il dit avec flegme… et je me demande… si j’en serais capable. Mais avec une Pauline, tout est possible, elle ferait bander un mort. Elle a légèrement rougi, mais elle ne dit plus un mot. Il ne reste personne d’autre dans la salle que nous trois et le personnel.
J’ai bu mon café et ma « mirabelle » le nez en l’air. Je m’absorbe dans une dégustation imbécile. Lui et elle ont mis le feu à mes sens et l’alcool fort, n’est pas fait pour calmer soudain mon imagination. Envolées les images de ma belle Maryse, perdues de vue mes résolutions de rester sage. Les deux près de moi m’ont fait perdre un peu de mon calme. En apparence rien de changé. Mais intérieurement, je bous. Et la première à réagir à ces suggestions à peine voilées c’est ma queue. Ils se tiennent la main et je sens la tension palpable qui me surprend par sa soudaineté. Mon serpent est à l’étroit dans mon caleçon.
Me lever équivaudrait à montrer mon érection. Je reste donc assis, mais bon sang que c’est difficile. Le feu de ma gorge n’est pas dû à la seule descente de la « prune ». La poitrine de la blonde se soulève à un rythme anormal. Je pense que son Moïse aussi bande peut-être pour elle en ce moment et ça ne fait pas retomber ma fièvre.
— Bon ma Pauline ! Nous allons rentrer à la maison ! Je vais régler la note ! Vous m’attendez là tous les deux ?— Oui ! Va ! Sylvain va me chaperonner en t’attendant.
Il s’est levé, et je suis face à mon amie, mon ex-amante et les souvenirs qui fusent sont de nature à garder ma trique constante. Finalement son visage reflète le bonheur et fait oublier les petites imperfections de son corps. Un peu forte, mais je sais quel amour elle donne, quand elle se donne… avec amour. Ce n’est pas très long et elle se met debout au retour de son mâle. Lui reste aussi en attente, le regard posé sur nous deux.
— Vous avez fini ici Sylvain ? Vous voulez venir prendre un dernier verre à la maison avec nous deux ?— … !— Allez ! Ne soyez pas timide ! Pauline n’a plus beaucoup de secrets à vous cacher et… la nuit est à nous ! Enfin, je ne voudrais pas avoir l’air d’insister… plus on est de fou… vous connaissez le proverbe !
Je suis scotché par ces paroles engageantes. Je danse d’un pied sur l’autre, hésitant. Et puis merde, je suis seul, Maryse est chez elle avec son gamin et qu’est-ce que j’ai à perdre ? Je verrai bien comment les choses se goupilleront. C’est vrai aussi que cette blonde vaut le détour côté sexe. Mais bon ! Je ne sais pas si je serais capable de… la baiser en compagnie. Il n’y a qu’une seule façon de savoir si je serais à la hauteur. Et je me décide brusquement.
— Pourquoi pas ? Après tout, je suis seul ce soir…
Voilà, le sort en est jeté. Me voilà entrainé dans une aventure extravagante, mais le cul de Pauline qui chaloupe devant nos deux regards de mecs, le clin d’œil que m’adresse ce Moïse sont une invitation à les accompagner. C’est parti. À la porte alors qu’elle passe sa veste, je sens ses yeux sur nous. Elle sourit. Je pense qu’elle a compris et qu’elle accepte en toute connaissance de cause ce qui devrait suivre. Je sifflote en suivant les feux arrière de leur voiture et je peux aisément imaginer les mains baladeuses, les mots doux et les idées des uns et des autres.
Les miennes sont axées sur une partie de sexe qui s’annonce prometteuse et riche en évènements. Au détour d’un chemin, une longue barre d’HLM profile son ombre inquiétante. Je suppose que nous allons bientôt arriver. En effet, la berline que je suis s’arrête et je cherche moi aussi une place de stationnement. Quand j’ai trouvé, je rejoins les deux amants qui se serrent l’un contre l’autre et nous voilà partis, tous les trois vers une entrée et des escaliers aux odeurs… plus que bizarres. C’est sale et des inscriptions sur les murs donnent une idée de ce genre d’endroit.
Intérieurement, je me demande ce que je fais ici. Je ne me résigne pourtant pas à les planter là. Il faut dire que le popotin qui se meut devant moi dans les escaliers est alléchant. La main de son ami, du reste, ne résiste pas à l’envie de glisser le long de la jupe, pour dessiner et renforcer plus encore les lignes des fesses que le tissu recouvre. Elle glousse et ça résonne dans cette cage dont on ne voit pas la fin. C’est enfin une porte dans un couloir du troisième étage qui, une fois ouverte m’offre une vue sur un appartement parfaitement en ordre et aux allures bourgeoises. Comme quoi… il ne faut jamais juger trop rapidement !
Moïse est dans son univers et il nous offre un verre. Nous sommes Pauline et moi, installés gentiment dans un salon ouvert sur une salle à manger relativement cossue. Elle a posé ses fesses à demi sur un canapé de velours partiellement recouvert d’un plaid. Elle regarde le bout de ses hauts talons. Sa gueule d’ange est dans la ligne de mire de mes regards. Elle est jolie, bien qu’un peu forte. Et mon cerveau fait tout seul des estimations, forcément faussées puisque ce corps, je l’ai déjà tripoté à maintes reprises. L’unique différence, c’est que peut-être cette fois, je n’en serai pas l’utilisateur exclusif. Je la sens anxieuse cependant.
L’homme est revenu d’un meuble-bar duquel il a tiré des flutes et une bouteille de champagne tout droit sortie du réfrigérateur. Prévoyance ? Préméditation ? Ou tout simplement garde-t-il toujours au frais, une bouteille pour les grandes occasions ? Je fais des suppositions, je me pose un tas de questions, c’est drôle ! Le cerveau des mâles réagit toujours étrangement à certaines situations stressantes. Le « pop » du bouchon qui saute avec retenue, le bruit du vin qui coule dans les coupes… tout me parait irréel et pourtant !
— Bien ! Une petite envie de jouer avec nous deux ?— … !
Il a prononcé cette phrase avec un aplomb qui me désarme. C’est donc bien prémédité et Pauline lève les yeux vers moi, avec une sorte de malice au fond des prunelles.
— À notre santé à tous ! — À la bonne vôtre, alors !
Les flutes s’entrechoquent et mes lèvres trempent dans le nectar divin. Une manière comme une autre de masquer ma fébrilité. Apparemment ce Moïse ne s’embarrasse pas d’autant de préjugés. Il s’est assis près de la blonde et ses mains sont plutôt voyageuses. Il caresse les joues. Elle ne me quitte pas du regard alors qu’il descend vers le cou et qu’un à un les boutons de son chemisier sautent sous les doigts agiles. Je sais bien ce que cache le soutien-gorge de dentelle mauve qui soudain s’affiche devant moi. L’homme ne s’occupe plus de savoir ce je pense. Il est à son affaire et s’emploie à un déshabillage savant.
Il ne cherche pas à faire sortir les seins de leur vitrine de satin, non ! Il attaque désormais la fermeture de la jupe qui cède rapidement. L’expérience compte sans doute beaucoup pour ce strip-tease intense. Je suis là, subjugué par ce spectacle et elle me fait un sourire. Dans le dos de son ami, elle me tend la main, m’invitant ainsi à les rejoindre sur leur canapé. Lui se fiche éperdument de ce que je peux faire. Il est maintenant le mufle plongé dans le décolleté de la belle qui rejette sa tête en arrière. J’avance et il se pousse sur le côté. Un signe pour que j’intervienne aussi ? Je le considère comme tel et ma bouche vient à la rencontre de celle de notre Pauline.
Cette pelle est le point de départ d’une soirée de débauche. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, le noir et moi sommes aussi nus que le jour de notre naissance. Elle manie la gaule avec dextérité et saisit tantôt l’une, tantôt l’autre. À genoux sur le tapis que masquait la table basse du salon que Moïse a délibérément poussé sur le côté, elle attaque une pipe d’enfer à son compagnon tout en masturbant ma queue délicatement. Un bout d’un long moment, elle n’a qu’un simple mouvement à faire et c’est l’inverse. Sa sucette est une pure merveille. Mais ça, je le savais déjà. J’apprécie hautement.
Mes yeux se portent sur cette longue et fine mimine, qui masturbe doucement un tube noir, pas vraiment long. Mais les phalangers de la blonde n’arrivent pas à encercler la bite et je réalise que la circonférence est bien supérieure à celle de la mienne. Je n’ai guère le temps de penser à des comparaisons peu flatteuses. La langue qui se déplace sur mon gland calme mon imagination. Elle détourne avantageusement mes pensées et mes mains se cramponnent à la chevelure souple qu’elles peuvent attraper. Je ne cherche pas à lui faire mal, seulement à prolonger cette caresse qui m’émoustille vraiment. Et l’autre aussi oscille du bassin pour qu’elle tripote plus encore sa queue qu’elle tient bien en main.
Quand je sens que le sperme risque d’échapper à mon contrôle, qu’il menace de me surprendre, je retire de la bouche gourmande mon vit prêt à exploser. Ensuite les choses s’enchainent à une vitesse vertigineuse. Elle et lui font l’amour alors qu’elle persiste à me sucer. Je la caresse partout, regardant cette tête qui avance et recule sur mon sexe alors qu’elle se laisse creuser les reins par l’homme. Elle rue, hurle son plaisir, se livre à d’extravagantes péripéties. Elle se plie en deux et puis elle jouit en criant. Après une pause de quelques secondes, pendant lesquelles elle n’a jamais lâché mon jonc, c’est seule qu’elle se met à califourchon sur moi.
Elle se laisse descendre lentement. Sans dire un mot, elle s’empale sur ma queue raide qui ne demande rien d’autre finalement. Le rodéo qu’elle recommence n’a d’autre but que la recherche d’un orgasme plus long à venir. Moïse debout, tend aux lèvres un sucre d’orge circoncis d’un impressionnant tour de taille. Et en vue plongeante, je suis cette chose sombre qui disparaît dans la bouche de notre amie. Pas une seconde je ne débande, pas une seconde je me dis que c’est anormal. Elle geint sans arrêt et ses coups de reins sont tout en souplesse.
Puis alors que je rythme mes mouvements sur les siens, Moïse se déplace. C’est dans une sorte de brouillard bienfaisant que je le vois qui ploie sur ses jambes et je sens, non, j’ai l’impression que mon sexe se trouve littéralement compressé dans celui de Pauline. L’homme vient de s’installer dans le rectum savamment salivé de la blonde. Commence ensuite une sorte de duo dont nos deux queues sont les épées fantastiques. Quand la mienne entre, la sienne sort et l’inverse se produit en cadence. Ce ne sont plus des cris qu’elle profère, mais de véritables hurlements.
C’est finalement fou de désirs et d’envie que je me laisse aller à une éjaculation savoureuse. Je ne cherche absolument pas à retenir ce foutre qui inonde l’intérieur du vagin de notre amante. Sans doute que cette montée de sève est aussi ressentie par l’autre homme et aux mêmes causes les mêmes effets. Je me sens tout remué par cette explosion dont je devine la violence, alors que la blonde feule comme une tigresse. Sa tête se balance sans aucune retenue de gauche à droite et ses mains qui sont sur mon torse, griffent la peau, m’arrachent les poils. Elle prend comme nous, un pied phénoménal. Mon premier trio est un franc succès.

— oooOOooo —
YohannÀ notre arrivée à la maison, nous ne trouvons personne. En faisant le tour, nous découvrons maman à l’extérieur. Fidèle à ses habitudes, elle est sur son escarpolette. Elle est immobile, endormie. Elle est belle comme un cœur et j’ai un pincement aux tripes. Anne-Marie ne dit rien, elle se contente de regarder. Je mets un doigt sur ma bouche en signe de silence et elle me sourit. C’est un vrai spectacle qui s’offre à nous. Étendue de tout son long sur les coussins du divan mobile, ma mère dort à poings fermés. Rien de bien anormal à cet état de fait. Ce qui se trouve être plus original c’est qu’elle est… totalement nue. Ses seins montent, bougent lentement au rythme calme de sa respiration.
Sereine, elle n’a sans doute pas de crainte à avoir et elle est bien sûr, en théorie, à l’abri des regards indiscrets. Mon amie fait mine de repartir vers l’intérieur, mais je la rattrape par la main et nous prenons place à la table de bois sur la terrasse. La dormeuse ne manifeste aucun signe de réveil. Je vais donc chercher à boire pour Anne-Marie et moi. J’en profite au passage pour embrasser sur la bouche cette jolie pouliche qui est venue passer le week-end avec moi. Assis sur un banc avec face à moi mon amie, j’ai également une vue plongeante sur le corps alangui de ma mère. Son ventre est bien plat et sa poitrine ferme. Elle ne bronche pas alors que nous bavardons tranquillement.
Malgré son bronzage régulier, je remarque la longue bande plus sombre formée de poils bien taillés qui orne son pubis. Si je l’ai vu, ma copine l’a aperçu également, mais elle n’a manifesté aucune gêne. Pas un mot sur quoi que ce soit. Elle m’a simplement embrassé avec fougue sur la bouche quand je l’ai sollicité. Nous sommes deux à chouffer vers le lit de fortune, le premier petit mouvement annonciateur d’un réveil. Elle a bougé, ne semblant plus trop savoir où elle se trouve ni ce qui lui arrive. Elle a ouvert les yeux et son regard s’est posé sur nous deux.
Bien sûr elle a eu comme un sursaut, un imperceptible mouvement de peur, mais je sens qu’elle s’est vite reprise et sa voix tremble un peu quand…
— Bonjour à vous deux… Yohann tu aurais pu me prévenir et surtout tu aurais dû t’annoncer, ça m’éviterait la honte d’une tenue plus que légère.— Mais je t’ai laissé au moins dix messages… si tu écoutais ta messagerie de temps en temps… avant de râler !
J’ai répondu assez vertement. Elle s’est rapidement levée et elle est revenue quelques minutes plus tard, vêtue légèrement, mais habillée tout de même. Puis comme si de rien n’était, maman a mis à réchauffer le repas qu’elle avait préparé, sans doute dans la matinée. Anne-Marie, n’a fait aucun commentaire, s’est aussi spontanément proposée pour mettre les couverts. Nous avons diné en parlant de chose et d’autre. Mais je sais bien que le spectacle de ma mère nue m’a émoustillé et que mon amie l’est tout autant.
Le diner est parfait, mais à la maison la bouffe fait partie de ces choses sacrées que maman a toujours privilégiées. Je sais bien qu’Anne-Marie a apprécié. Fine mouche ma mère est partie lire dans son lit, pour nous laisser le champ libre. Elle n’avait pas l’air autrement surprise que je ramène une gonzesse à la maison. C’est bien. Il me restera le souvenir de ces deux fois ou… je ne veux pas y revenir. Elle n’a rien dit, mais je pense qu’elle non plus ne voudrait pas que nous en rajoutions une couche. Sur le canapé, le son de la télévision monté plus que la moyenne masque les autres bruits.
J’en profite un maximum et ma belle ne se dérobe pas. Les hors-d’œuvre pris, nos bouches impatientes veulent découvrir d’autres plages, d’autres contrées et j’ai la bite raide comme un piquet. Anne-Marie ne s’embarrasse d’aucun préambule et ses lèvres se referment sur le bout turgescent de mon sexe. La pipe est royale, la bouffarde est magistrale et mes doigts impatients voudraient la fouiller. Seulement la position n’est pas évidente sur ce divan au cuir fauve. Au final je me dis et mon amie est bien d’accord, que nous serions mieux dans ma chambre, dans mon lit douillet.
Une fois la décision prise, inutile de passer plus de temps à se faire un torticolis et nous filons dare-dare vers mon pieu. Mille précautions en passant dans le couloir et devant la chambre de ma mère. Cette fois-ci, les bruits ne seront plus vraiment étouffés. Si d’aventure elle dormait, ce n’est pas la peine de la réveiller. Aucune lumière ne filtre sous sa porte. Nous sommes désormais dans mon domaine. Cette piaule c’est toute mon enfance, c’est ma jeunesse et les souvenirs de mon père, de ma mère, des tas de trucs que nous avons faits ensemble tous les trois. Les photos de mes joueurs de foot préférés sont accrochées aux murs de bois. Ça sent le pin, la résine, ça sent ma vie quoi…
Nos affaires sont reprises, là où nous les avons abandonnées sur le canapé. Les petits seins de ma belle me tombent sous la langue, ils sont délicieusement, merveilleusement agréables à butiner. Mes mains reviennent sur ces chemins qu’elles viennent de quitter, quelques instants auparavant. Les soupirs se répercutent dans la chambre et je sais bien que nous faisons un boucan d’enfer. Mais après tout ce ne sont que des bruits de la vie, des murmures normaux qui nous rassurent. Je caresse, touche tout ce qui peut l’être et le jeune corps de ma maitresse frémit, se contorsionne, se tord, se tend, se détend sans que je n’y trouve rien à redire.
Elle n’est pas en reste et me prodigue aussi des câlins dignes d’un roi. Les doigts sont partout, menus, attentifs à me procurer des sensations à nulle autre pareille. J’adore cette jeune femelle qui comme moi, fait ses premières armes sans complexes. Encore que… mes balbutiements et ma défloraison ne sont pas dus à son jeune corps. J’ai juste une pensée émue pour cette femme qui à quelques mètres dort dans son lit. Tant pis si elle entend ce vacarme, ces cris et ces gémissements, elle ne pourra ainsi ignorer que son rejeton prend son pied avec une gamine de son âge. Et le souvenir d’une phrase de Maryse me remonte en tête.
— Je t’ai tout montré ! Tu es vraiment un homme maintenant et tu dois voler de tes propres ailes. Bienheureuse la femme que tu aimeras ! Elle aura la chance d’avoir près d’elle quelqu’un de solide et de gentil…
Donc pas de remord, c’est chose faite. Je vole de mes propres ailes et je suis bien parti pour faire l’amour à cette jolie fille qui pour le moment occupe mon temps, mon espace et mes pensées. Pas de bataille pour savoir qui d’Anne-Marie ou maman baise le mieux ! C’est différent et c’est bien comme ça. Les reins de la sœur de Jean-Baptiste sont accueillants à souhait. Cent fois sur le métier j’ai remis ma langue, et chaque passage de celle-ci est un vrai régal. Bien sûr, elle ne coule pas de mouille, elle ne gicle pas sur mon visage, mais je pense aussi que c’est simplement parce que c’est moi qui n’ai pas encore trouvé le truc pour l’amener à ce genre de plaisir.
C’est avec délice que je plonge dans le centre de cette poule qui se laisse aller. Elle gigote comme une diablesse, elle remue dans tous les sens et mes allers et retours sont freinés par ces mouvements désordonnés. J’adore cette chatte qui reçoit mon vit, j’aime baiser cette fille. J’y mets tout mon cœur, j’y mets toutes mes forces, j’y mets… tout mon amour. Voilà que dans ma tête le mot est lâché. Suis-je amoureux d’Anne-Marie ? Je n’en sais rien. Mais ce que je vis en cet instant avec elle, c’est le super nanan, c’est du lourd, c’est… trop bon. Et je n’ai pas le mot « interdit » qui me colle au cerveau, cette peur de faire mal !
Quand elle braille trop fort, je m’empresse de lui clore le bec par un baiser passion, sans pour autant cesser de la chevaucher. Belle pouliche qui me donne autant de frissons qu’elle peut en ressentir. Je me prends au jeu, je déguste le fruit encore vert de ce calice qui me fait bouillir. Ses lèvres aussi sentent la jeunesse, elles sont l’antichambre des préludes de jeux bien plus corsés. Mais chaque chose en son temps ! Il y a encore tellement à explorer, tant de voyages à effectuer sur et dans ces paysages découverts de ce corps d’Anne-Marie que rien ne semble pouvoir m’arrêter. Les minutes se succèdent sans que nous éprouvions l’envie ou le besoin de nous séparer.
Notre cavalcade ne prend fin qu’avec trop de fatigue et elle se blottit contre moi. Le sommeil qui nous enlève est profond, sans nuages. Ma dernière pensée avant de sombrer dans le néant réparateur est pour cette femme qui dort dans la chambre en face. Et c’est son clitoris démesuré qui est inscrit dans mon cerveau. Rien de commun avec celui d’Anne-Marie qui reste sans doute dans une bonne moyenne. Finalement je ne saurai jamais décider lequel des deux est le plus jouissif. Chacun doit apporter à ces deux femmes des avantages et c’est le noir qui m’engloutit qui m’empêche encore une fois de me torturer l’esprit inutilement.

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