Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 11 J'aime
  • 0 Commentaire

Souvenirs d'une autre vie

Chapitre 6

Inceste
Les uns et des autres... continuité de la vie
Une rechute qui ne laisse pas indifférent… La vie des uns et des autres…

Maryse
Le vide de la maison est angoissant. Elle a vécu des moments chauds et dès le départ des deux jeunes, je suis plongée dans le vide de la solitude. Les deux tourtereaux sont partis ce lundi matin et non pas hier soir comme Yohann l’avait initialement prévu. J’ai donc eu droit à une seconde nuit de craquements de sommier, de cris étouffés, de râles plus ou moins camouflés. Mais cette fois je ne me suis pas masturbée en entendant mon fils et son amie faire l’amour. J’ai simplement voulu profiter de ces bruits insolites, mais terriblement explicites. Au petit matin de ce lundi, les poches sous les yeux de la gamine, démontraient de manière éclatante qu’ils avaient tous les deux passés de bons moments.
Yohann avec une sorte de sourire ironique n’a cessé de me fixer. Il voulait peut-être voir si j’allais réagir ou surtout de quelle manière j’allais le faire. Mais non ! Je n’ai pas bronché. Alors en remontant dans la voiture, Anne-Marie m’a soufflé deux mots à l’oreille.
— Vous avez un fils… merveilleux ! Mais vous savez cela déjà depuis longtemps… Je crois que je suis… accro ! Enfin je veux dire… amoureuse.— Bon vous deux ! Pas de messes basses. Si vous avez des choses à vous dire, je peux aussi en profiter ?— Non mon fils ! C’est des histoires de femmes… Tu n’es pas ou partiellement concerné.
La gamine a souri et m’a déposé un baiser sur la joue. J’en ai fait autant et j’ai serré mon fils dans mes bras. Le cul de leur voiture n’était encore en haut du chemin qui donne sur la nationale que déjà, j’avais presque le cafard. La roue tourne, la vie avance et c’est vrai que je dois penser à moi. Je me suis retenue pour ne pas me ruer sur le téléphone et sonner Sylvain. Lui montrer que je suis de plus en plus empressée envers lui n’est pas forcément une bonne chose. Alors j’ai astiqué, nettoyé, changé les draps de la chambre de Yohann et le temps m’a glissé entre les pattes sans pour cela que mon esprit ne cesse d’être vagabond.
C’est à l’heure du déjeuner que mon amie Pauline s’est manifestée. À sa voix, j’ai de suite compris que la nuit avait dû être, sinon difficile, du moins agitée. Elle s’est invitée pour le café après le repas. Finalement je pense que c’est une bonne chose de ne pas demeurer seule. Le reste de la matinée se disperse au rythme de mon déjeuner que je prépare et celui-ci expédié, j’attends sur ma terrasse, au soleil la venue de ma blonde amie. Il fait beau, le ciel se mire dans l’onde du lac et c’est en maillot de bain deux pièces que je suis là, à écouter le chant de l’été, à me remémorer surtout ces deux nocturnes aux sons du renouveau.
Elle vient d’arriver et c’est un tourbillon qui entre chez moi. Elle n’arrête pas de parler, de jubiler, de danser d’un pied sur l’autre. Je tente bien de calmer cet ouragan qui jacasse comme une pie. Enfin, ses fesses posées sur ma balancelle et moi dans un transat, je l’écoute me narrer par le menu une soirée des plus débridées. Sans nommer personne, elle me déclare sans aucune pudeur que cette nuit, elle avait deux amants… et qu’elle a apprécié.
— Comment ça deux hommes pour toi toute seule ? Tu veux dire que ton Moïse t’a partagé avec autre un homme ?— Ben ! Oui… ça te choque ? Tu ne peux même pas imaginer le plaisir que j’ai eu à me sentir l’objet de toutes les attentions de ces deux-là. — C’est… c’est… oui ! J’avoue que je n’imagine pas bien ! Encore que…— Ah ! Tu vois en y songeant un peu… tu comprends… jouir sans relâche, sentir l’un en soi, et l’autre qui bande plus encore pour toi. Et puis j’adore faire des fellations, alors quand tu as deux belles queues sous la main !
— Sous la main… tu as de doux euphémismes toi !— C’est vrai… mais tu devrais essayer un jour.— Je n’arrive pas à savoir comment tu fais pour… déjà, en trouver un d’homme, c’est difficile pour moi ! Alors deux…— Tu sais ma belle… un soir, si tu voulais… pourquoi ne pas te joindre à nous ? Tu serais la quatrième et ainsi nous pourrions profiter d’une soirée libertine. L’échangisme, ça pourrait être sympa ! Tu n’as rien fait l’autre soir quand j’ai rencontré Moïse et que je t’ai laissé au restaurant de Sylvain ?— Non ! Ça te surprend ? Je n’avais pas la tête à cela…— Dis que tu as la trouille plutôt ! Allons ! Avoue que c’est plus cela qui t’a empêché de… baiser.— Il y a surement du vrai dans tes propos, mais pas que ça non plus. J’ai toujours été fidèle à Pierre moi et l’impression que je lui ferais une… — Mais merde, quand comprendras-tu que Pierre serait heureux de te voir vivre et non pas végéter comme c’est le cas pour toi en ce moment ? Tourne la page une bonne fois pour toutes… vas-y ! Offre-toi une partie de cul et tu verras, tout ira mieux dans ta tête !
Elle croit vraiment en ce qu’elle dit, convaincue et surtout très convaincante dans ses propos. Pauline est fougueuse, emportée par ses paroles. J’admire cet aplomb qui lui va si bien. Elle est intarissable sur les prouesses de son nouvel ami. Et pour un peu, sans Sylvain, je pense que je ferais avec Moïse et elle, plus le nouveau venu dans son lit, un bout de chemin. Ses dires m’ont presque ouvert l’appétit et je suis à un doigt de craquer. Mais il y a la tête de mon amant qui s’imprime derrière mes paupières que je ferme et j’hésite encore un peu.
— Allez ma belle ! Dis-moi oui et je nous organise une partie à quatre dont tu me diras des nouvelles. Ne sois pas timide, pas timorée, laisse-toi vivre. C’est simple ! Tu dis banco, je viens te chercher et le jeu se déroulera chez mon ami. — Tu… tu crois que…— Allez dis-moi que tu veux bien… tu n’auras pas à t’en repentir. Dis oui et je m’occupe de tout. Tu ne vas pas entrer dans les ordres, te faire bonne sœur… allez je vois, je sens que tu en as envie ! Je suis presque sûre et certaine que tu en mouilles déjà…
Seul mon haussement d’épaules répond à cette remarque. Mais je n’avais pas prévu ce qui suit. Pauline sans se démonter se lève, s’approche de moi et avec un grand sourire…
— Allez ! Montre-moi ça !— … !— Oui, laisse-moi voir le fond de ta culotte, tu n’as pas à avoir honte ! Moi aussi je mouille ! Tiens !
Elle prend mon bras l’attire entre ses deux jambes légèrement entrouvertes. C’est vrai que son slip est humide. Alors sans rien me dire de plus elle fait glisser sa main vers le fond du mien. Bêtement je lui facilite la tâche en écartement mes genoux. La main se faufile vers le centre de mon corps, et les doigts palpent sans vergogne ma chatte sous le tissu.
— Ah, je le savais ! Regardez-moi cette sainte-nitouche qui crie au loup et qui jute dans son slip. Allez ma belle, une bonne queue, non ! Deux bonnes queues, mon Moïse aussi te ferait l’amour si tu le désires.
Je n’ouvre plus la bouche, mais loin de se satisfaire de cette inspection d’un genre spécial, elle insiste en repoussant la dentelle sur le côté. Ma fente est maintenant totalement accessible à sa patte qui en profite. Elle me caresse et ne cesse de me saouler de paroles. Je ne peux échapper à cette caresse terriblement enivrante. Un index tendu se frotte entre les deux lèvres, ouvrant la fente, revient sur mon clitoris et en repousse le capuchon. Immédiatement mon micro pénis se met à me faire vibrer tout entière. Ma tête repart vers le fond de toile de mon siège et je mouille encore davantage. Elle me parle, me demande, me quémande et comme je ne sais plus vraiment ce que je dis ou fais, elle a soudain un geste de victoire.
— C’est bien, je suis contente ! Je savais que tu dirais oui ! Je prépare ça pour demain soir ? Tu viens vers vingt heures et nous allons passer une soirée… inoubliable.— Mais je n’ai pas dit que je voulais…— Oh que si ! Si, si ma belle et cochonne qui s’en dédit. Tu ne peux plus reculer, mais n’ait aucune crainte tout se passera bien. Je serai là vers dix-neuf heures trente.— Tu as triché… je n’ai pas pu te donner mon accord.— Ah ! Si Maryse ! Ne renie pas ta parole. Parole donnée, serment respecté.— Tu as triché… ce n’est pas sympa !— Que si ! Tu me remercieras après-demain. Je viendrai te chercher pour l’apéro demain soir !
Renier ma parole… je n’ai jamais pu faire cela, alors je vais devoir me rendre à ce rendez-vous pratiquement arraché par mon amie. Je préférerais passer la soirée avec Sylvain et alors qu’après ces attouchements non aboutis, Pauline est rentrée chez elle, c’est lui qui m’appelle. Je suis allée chez lui. Bien sûr la première chose que nous faisons c’est un baiser. Pas un bisou d’attente, non une pelle comme celles des acteurs dans les films, un baiser ventouse, qui dure et met les nerfs à vif. Les mains masculines ne sont pas restées inactives et leurs passages sur ma jupe au niveau des hanches m’ont mis en transe. Je pense une seconde que je n’arrête plus ces temps-ci de mouiller pour un oui, pour un non.
Là c’est plus pour le oui que mon corps penche. Et évidemment quand il m’ouvre les cuisses, me soulevant sur le bord de la table de salle à manger, je ne refuse pas. Mes cuisses relevées, talons placés sur les épaules de cet homme qui me lime tout en douceur, je n’ai aucune raison de ne pas apprécier. Au milieu de cette baise sauvage, la pause qu’il marque simplement pour venir me lécher me fait hurler de bonheur. C’est tout bonnement merveilleux et pour la seconde fois, il me possède avec un acharnement qui m’emporte tout droit à ce septième ciel dont je ne serai jamais capable de décrire les couleurs.
Mais ce soir, il ne se contente pas de cette entrée en matière pourtant bougrement agréable. Sans en avoir l’air, il me donne des conseils que je pourrais qualifier d’ordres. Le ton employé n’a rien d’obligatoire, et malgré cela, je me surprends à lui obéir aveuglément. Mise à genoux je dois sans l’aide des mains, nettoyer cette longue hampe aux veines bleues, je dois sucer ce phallus qu’il me tend. Je fais cela avec une joie défiant toute morale. Je marche à quatre pattes, chienne de son maitre et je sens que je sombre peu à peu dans cette frénésie de l’envie de sexe. Il ne dépasse aucune borne, se contente de me faire faire des choses « raisonnables ». Toujours à genoux je dois lui passer la langue entre les cuisses, la remonter bien loin dans le sillon qui sépare les deux fesses.
Il me demande, sans avoir à me forcer de lui léchouiller l’anus et comme une folle, je me mets à lui donner tout ce qu’il désire. Je passe un temps plus ou moins long à avaler ses deux couilles et lorsqu’il désire éjaculer dans mon gosier, je ferme les yeux et attends sagement l’offrande, bouche béante. Le liquide un peu poisseux est abondant. Il crache dans mon palais une première rasade que je m’efforce d’avaler sans penser à rien. Puis en me tenant par les tempes, il plonge son dard le plus profondément dans mon bec. Je manque de m’étouffer, mais je garde tout, malgré les hauts le cœur qui me font presque vomir. Je deviens sa chose, son esclave et je crois que s’il me demandait plus encore, je le ferais, juste pour lui être agréable.
Après l’amour nous restons sagement assis côte à côte sur son confortable divan, et calmement, devant un bon film, je lui annonce sans trembler…
— Tu sais Sylvain, j’adore faire l’amour avec toi.— Moi aussi ! Je crois que tu comptes de plus en plus dans ma vie.— Demain je ne pourrai pas te voir, j’ai des obligations que je ne peux pas remettre.— Je t’attendrai. Des amis à moi m’ont invité et je ne savais pas quoi leur répondre. Je peux donc leur dire que je suis disponible ? — Ça tombe à pic alors. Bien sûr tu vas me manquer… et je préférerais… passer la soirée en ta compagnie. Mais… j’ai déjà moins mauvaise conscience de ne pas te savoir seul.— Je dois avouer que je suis mécontent de ne pouvoir te voir demain, mais puisque c’est un impératif pour toi… je vais faire contre mauvaise fortune bon cœur…
Un pieu mensonge qui me met plutôt mal à l’aise, mais bon j’ai promis et pour moi, c’est sacré. Puis il ne saura jamais, et ce sera sans doute la dernière fois que je… fauterai ! Ensuite j’en fais le serment muet, je me consacrerai totalement à lui et à mon Yohann ! Promis, juré, craché. Alors pour que mon choix ne compromette rien de cette soirée-là, je refais avec lui, tous les gestes qui nous emportent vers des moments sublimes. Et nos cris succèdent à nos gémissements, sa queue redevient mon jouet, et c’est ensemble que nous jouissons enfin, dans un soupir unique.

— oooOOooo —

Pauline

Décider Maryse n’a pas, finalement, été trop compliqué. Elle n’a pas été curieuse et elle n’a jamais posé de question quant à l’invité mystère. Reste à espérer qu’il sera libre demain soir et je m’emploie à l’appeler au téléphone. À la troisième sonnerie, il décroche.
— Allo ! Sylvain, c’est Pauline. Je ne te dérange pas ?— Non ! Non ça va.— Tu es libre demain soir ? Si oui, nous aurons une surprise pour toi. — Une surprise ? De quel genre ?— Du genre à deux seins et un joli cul ! Tu vois ce que je veux dire. Et ça nous permettrait à Moïse et moi de partager encore une fois avec toi, un peu de bon temps.— Ben ! Je ne sais pas trop ! J’ai peut-être quelque chose en vue et je ne suis pas certain de pouvoir me libérer. — Ne te précipite pas et si ton truc ne se fait pas appelle-moi demain dans la matinée ! Comme ça on avisera. D’accord ?— Oui c’est d’accord ! Et je peux savoir le nom de… votre invitée surprise ?— Pour être franche, elle ne sait non plus ton nom et ne te connaît pas vraiment. Alors tu veux bien que je respecte la parité ?— Comme tu veux ! Elle est jolie dis-tu ? Je te tiens au courant, avant midi demain ! Allez ! Je t’embrasse et bonne soirée à Moïse et toi !— Bise mon Sylvain !
À peine le bigophone raccroché que je tourne en rond. Pourvu qu’il puisse se libérer. Ce serait trop bête de faire venir Maryse si lui n’est pas là ! Je n’ai pas vraiment envie que mon ami la baise tout seul. Même avec moi, ça ne me plait qu’à moitié. À quatre le partage sera plus… équitable et je n’aurai pas de souci à me faire. On ne sait jamais. Prudence est mère de sureté. Le reste de la soirée est calme, mon amant n’est pas rentré de son travail. Il me téléphone aux environs de vingt-deux heures pour me dire que finalement il est chez lui, mais que si je veux, je peux le rejoindre. Et je décide de passer une nuit tranquille, chez moi. Je me garde une marge de sécurité pour demain… et il est content de cette décision.
Nous avons discuté une bonne demi-heure. Je lui ai raconté dans le détail mon entrevue avec Maryse et je l’ai senti excité. Donc il a parfaitement compris mon besoin de faire une pause au moins d’une nuit. Un bon plateau composé de deux croque-monsieur et d’une salade verte, le tout arrosé d’un petit blanc sec. Un film pour passer une soirée peinarde et ensuite la douche. Après celle-ci, les draps qui pour une fois ne souffriront pas de me recevoir. J’ai un mal fou à trouver le sommeil. Les idées qui me passent par la tête sont toutes plus farfelues les unes que les autres. Ce sont des scènes de cul incroyables qui s’entassent dans mon crâne, avant que je ne sombre dans les profondeurs insondables du néant.
Le gazouillis des oiseaux me surprend et le jour troue les jalousies de mes volets. Il est déjà dix heures du matin. La nuit a été d’une traite et je me sens en pleine forme. Dès le lever, j’appuie sur le bouton de la cafetière, beurre mes tartines et c’est à cet instant, que la sonnerie de mon portable se met à grelotter.
— C’est toi Pauline ?— Tu as fait mon numéro, alors tu dois bien te douter que personne d’autre ne va répondre pour moi.
À l’autre bout du fil, le type qui écoute ma réponse éclate de rire.
— Tu as raison ma belle ! Bon c’est juste pour te dire que c’est d’accord pour ce soir. Alors je viens pour quelle heure ?— Ben pour l’apéro pardi ! — Alors dix-neuf heures, dix-neuf heures trente, ça te va ?— Oui ! Si je ne suis pas là, Moïse, lui, le sera.— Ah ! Bon tu risques d’être absente ?— Je vais chercher notre amie…— Bien ! J’amène quelque chose ? Un bon vin ? Du Champagne ?— Fait comme tu le sens ! Tu sais bien que nous ne manquerons de rien de toute façon…— Alors à ce soir ! Bises à toi et amitiés à ton mec…— Bise, Sylvain !
Je termine mon petit déjeuner le cœur léger. Un poids de moins sur l’estomac ! La vie est belle. La soirée promet d’être super. Et je ne verrai pas moi amant trop pris par mon amie. Ce n’est pas un manque de confiance, mais… je reste prudente. Après tout ceci, je passe un temps infini sous la douche. Ma glace me renvoie une image, un reflet de moi que je n’apprécie plus vraiment. Je me sens de plus en plus… enveloppée. Rien que de voir un carreau de chocolat, je prends un kilo. Une chance encore que mon Moïse aime un peu ce genre de femme potelée. C’est vrai que mon visage reste attirant, mais alors je suis large comme une jument. Bon ma petite, je ris… jaune de ce terme, ma petite Pauline n’insiste pas sinon tu vas attraper le bourdon et ta journée sera foutue.
Un après-midi à flâner dans les magasins, à préparer des gougères et autres mignardises pour un diner entre amis, c’est mon lot en attendant le soir. La préparation de notre repas me prend un temps relativement long ce qui m’empêche de gamberger sur ma taille qui devient peu à peu mon obsession. Je relativise en me disant que ça n’a pas rebuté Moïse, ni même Sylvain et que Maryse également a gouté à ces fruits murs, que leur taille n’a rien changé. Mais j’ai un arrière-gout d’amertume, un peu de vague à l’âme qui s’amplifie au fil des heures. C’est vrai que je dois faire pâle figure, comparée à mon amie Maryse.
C’est le jour et la nuit… brune et svelte, une femme sur laquelle les hommes se retournent, alors que moi… ça m’attriste vraiment. Mais pour le moment, je dois surmonter mon stress et oublier un peu ces centimètres en trop, mes mensurations trop… généreuses. Mes invités vont bientôt se pointer. Le premier, c’est mon chéri qui, une bouteille de champagne d’une main et un bouquet de roses rouges de l’autre, me fait oublier mon embonpoint permanent. Il me serre contre lui, me relèche les babines et je dois l’arrêter sinon j’aurais déjà droit à un acompte, une avance.
— Non ! Arrête Moïse ! Je ne veux pas que tu détruises les heures de boulot qu’il m’a fallu pour me maquiller. Tu devras donc attendre.— D’accord, ne te fâche pas ! Tu veux que je te donne un coup de main ?— Si tu veux, mais ailleurs que sur mes fesses… pour le moment…
Nous partons d’un fou rire. Je termine mes préparatifs pour le repas et lui mets les couverts. La table est nickel. Ensuite c’est Maryse que je vais chercher, sur le coup de dix-neuf heures quinze. Et mon gaillard et elle, s’installent sur le canapé, chacun d’un bout de celui-ci. Il reste une place libre pour notre dernier invité. Comme il tarde un peu, mon joli black taquine un peu la brune. Ils font une sorte de jeu et il lui promet un gage si elle perd encore. Bien sûr, elle se trompe dans la réponse et la voici dans l’obligation de passer tout le temps de l’apéritif avec un bandeau sur les yeux. Nous rions tous et elle se laisse donc couvrir le haut du visage à l’aide d’un foulard.
Elle se trouve la tête engoncée dans une sorte de cagoule lorsque Sylvain sonne à la porte. Maryse se raidit légèrement et mon amant a une idée saugrenue. Il ne laisse pas venir notre denier hôte au salon. À la cuisine il lui demande de jouer le jeu également et le restaurateur se laisse convaincre. Il devra donc porter un accoutrement analogue à celui de notre jolie brunette. C’est mignon ces deux-là qui prennent l’apéro sans se voir. Les choses évoluent favorablement et nous les rapprochons de manière à ce que les corps se touchent. De question en question, chacun d’entre eux doit faire un geste vers l’autre. Une fois c’est elle qui doit toucher la cuisse de l’inconnu, et ensuite c’est lui qui de la main caresse la poitrine.
Les choses dégénèrent très vite et moi qui espérais faire diner mon monde avant que nous… baisions, je vais sans doute devoir revoir mes plans. Maryse est devant nous, les seins totalement à l’air et pour Sylvain c’est son pantalon qui file en compagnie des fringues de la belle. Moïse et moi suivons l’évolution des choses. Nous les encourageons de la voix, nous les exhortons à oser. Puis nous aussi, émoustillés par ce strip-tease rapide, nous nous mettons nus. Bien sûr, ses grosses pattes bronzées ne résistent pas à l’envie de me tripoter. Et ma chatte est vite la cible de ses doigts fureteurs. Pendant ce temps, les deux autres passent eux aussi aux choses sérieuses.
Sylvain ne semble nullement handicapé par son bandeau. Sa bouche a très rapidement trouvé le chemin des seins de Maryse. Elle a repoussé sa tête en arrière, ses bras posés sur l’assise du canapé, elle laisse les lèvres et les dents mordiller les tétons qui enflent à vue d’œil. Elle roucoule, elle ronronne, chatte en chaleur et son cavalier explore les pages qui vont de la poitrine au pubis. Un petit triangle brun orne du reste ce bas ventre. Il est vite investi par la langue de Sylvain. Elle glisse entre deux lèvres déjà gorgées d’envie et luisantes d’humidité. Quand enfin l’homme parvient au clitoris, il happe un instant celui-ci avant de se redresser soudain.
— Maryse ? C’est toi Maryse ? Mais… que… qu’est-ce que tu fais là ?
Ensemble, dans un geste presque identique, ils retirent leurs bandeaux. Et les deux amants se font face, gênés, sans trop savoir quoi se dire.
— Mais… Sylvain ? C’est toi l’invité surprise de Pauline ?— Je n’y crois pas… je te croyais avec ton gamin…— Ben tu peux parler toi… tes amis, ceux qui t’ont invité, ce sont Pauline et son mec ?— Merde alors ! Tu m’aurais trompé avec un autre déjà ?— Tu ne manques pas de culot… tu faisais quoi, toi ici ? Et si ça n’avait pas été moi ?
Je sens soudain que notre histoire dérape et je ne sais pas trop comment récupérer les choses avant qu’elles ne dégénèrent.
— Bon ! Stop vous deux ! Nous sommes ici pour faire la fête ! Vous êtes deux adultes et nous ne savions pas que… apparemment les choses avaient évolué entre vous deux. Tu es une sacrée cachotière Maryse ! Et toi Sylvain pas la peine d’en faire tout un drame. Elle ne savait rien, tu ne savais rien, mais c’est peut-être le bon moment pour que vous fassiez enfin ce que vous avez le plus envie de faire. L’amour et pas la guerre. — Peut-être ! N’empêche que je te croyais avec ton fils— Bon ça suffit ! On se rhabille et on part, ou toi et moi avec eux deux, nous profitons de notre soirée ! Si nous partons d’ici, je crois qu’entre toi et moi, les affaires ne s’arrangeront plus jamais.— Ben… tu as encore raison ! On dit merci à Pauline et Moïse et on finit la soirée ensemble à quatre ! Je n’ai pas envie de te perdre. J’avoue aussi que te faire l’amour devant ou avec des autres m’émoustille beaucoup !— Et ben voilà ! C’est bien les tourtereaux ! Que notre fête soit la plus belle de toutes.
Nous nous mettons tous à rire et l’atmosphère se détend d’un coup. Lui a repris seulement la main de la brune et c’est Moïse qui jusque-là s’était tu, qui lance un pavé dans la mare.
— Sylvain ! Comment tu as reconnu Maryse ? Parce que j’ai bien vu qu’un détail t’avait soudain mis la puce à l’oreille.— Je peux le dire Maryse ? Tu permets que je…— Vas-y ! Je suis curieuse aussi de le savoir moi-même.— Maryse a une particularité anatomique très… spéciale et je ne pouvais pas passer à côté. Cette femme a un clitoris gros une petite bite ! J’ai parfois l’impression, en lui faisant l’amour, que je suis… bi et que je suce un mâle.— Tu aimerais ça ! Hein salaud, ça te ferait plaisir de… sucer un autre mec, allez ! Avoue !
Mon amie vient de lancer cela avec désinvolture, avec un sourire et mon Moïse a soudain une petite lueur dans les yeux. Sûr que ça ne lui déplairait pas non plus de se laisser piper par un type. Je découvre une facette de celui avec qui je veux bien partager un long moment de ma vie. Et je décide qu’il est grand temps de remettre le feu aux poudres. Je m’approche de Maryse et d’une main que je veux la plus douce possible, j’effleure l’ovale de son beau visage. Ensuite je l’agrippe par le cou et je viens lentement à la rencontre de ses lèvres. Elle ne bronche pas. C’est par un baiser que je rouvre le bal.

— oooOOooo —

Maryse

La voiture de Pauline est arrivée et nous voilà toutes les deux sur la route. Chez elle, tout est prêt pour une soirée assez chaude si je comprends bien. L’invité est en retard, c’est bien un mec ça ! Ou alors il est comme moi, un peu tendu par une rencontre nouvelle. Moïse veut faire un jeu. Je perds toujours à ce genre de truc et cette fois n’échappe pas à la règle. Le gage n’est pas très grave ! Passer une partie de la soirée avec un bandeau sur les yeux. Sauf qu’ils n’avaient pas prévu cet intermède et que Pauline ne possède aucun accessoire de ce style. Une écharpe assez large fera donc l’affaire. Je suis aveugle maintenant pour une partie de la nuit.
Je tressaille à l’arrivée de... notre retardataire. Il n’est pas amené immédiatement vers le salon ! Je ne sais pas ce qu’ils se disent. Et voilà le type est assis sur le divan, entre moi et Moïse. Apparemment si j’ai tout saisi, il porte aussi une sorte de bandeau, comme moi. Et déjà ses pattes sont sur moi. Il me tripote, en moins de dix minutes, il m’a mis les seins à l’air et déjà sa main descend sur mes cuisses. Nous sommes maintenant à poils les deux et il mordille mes nichons. Il sait y faire, c’est sans doute un bon amant. Mon corps ne s’y trompe pas. J’ai rejeté mes bras sur le sofa et sans doute que Moïse nous a laissé toute la place. La bouche de l’invité est partie en reconnaissance.
De ma poitrine il va vers ma toison, s’y attarde un peu eu je sens son corps qui glisse vers le bas du mien. Ouf ! Sa langue est douce et elle ne s’embarrasse pas d’attente inutile. Je me fais l’effet d’une fieffée salope, mais c’est bon d’être léchée de la sorte. Ce mec connaît son affaire. Il vient de m’ouvrir les lèvres et il plonge sa langue entre les deux, le long de ma fente. Puis il remonte et… ah ! C’est déjà trop bon ! Il vient de happer mon bouton gonflé. Il suçote et puis
— Maryse ? C’est toi Maryse ? Mais… que… qu’est-ce que tu fais là ?
J’arrache mon bandeau alors que ces mots retentissent… je hurle plus que je ne parle !
— Mais… Sylvain ? C’est toi l’invité surprise de Pauline ?— Je n’y crois pas… je te croyais avec ton gamin…— Ben tu peux parler toi… tes amis, ceux qui t’ont invité ce sont Pauline et son mec ?— Merde alors ! Tu m’aurais trompé avec un autre déjà ?— Tu ne manques pas de culot… tu faisais quoi toi ici ? Et si ça n’avait pas été moi ?
Il y a comme un froid qui s’abat sur nous tous ! Sylvain que je croyais chez des amis, il est là à poils devant moi. Plus personne ne sait quoi faire. Je suis aussi nue que lui et la situation me dépasse. Alors c’est Pauline qui tente de calmer le jeu. Elle sait y faire, mais je suis toute retournée. Enfin mon ventre me rappelle que l’envie, elle, ne s’est pas subitement volatilisée. J’ai comme un gros poids en moins sur la conscience et nous en convenons tous, ce sera mieux ainsi. Ensuite il a y le copain de Pauline qui pose une question, la même que celle qui tourne en boucle dans mon esprit.
— Sylvain ! Comment tu as reconnu Maryse ?
Et mon ami qui me demande s’il peut répondre ! bien entendu que je veux aussi savoir… et ce que j’entends me coupe le souffle.
— Maryse a une particularité anatomique très… spéciale et je ne pouvais pas passer à côté. Cette femme a un clitoris gros une petite bite ! J’ai parfois l’impression, en lui faisant l’amour, que je suis… bi et que je suce un mâle.
J’ai une réponse pour le moins cinglante, voire surprenante !
— Tu aimerais ça ! Hein salaud, ça te ferait plaisir de… sucer un autre mec, allez ! Avoue !
Et dans le regard de Moïse, j’ai l’impression que je viens d’allumer le feu. Mais c’est Pauline qui finalement calme tout le monde en général et moi en particulier. Elle se penche vers ma figure, me caresse d’une main fine et douce. Je ne réagis que mollement à ses lèvres qui cherchent les miennes. Puis finalement les yeux fermés, je la laisse me rouler une pelle qui prélude à l’ouverture d’autres plaisirs. Après dix minutes de flottement, la soirée redémarre normalement, l’incident est donc clos. Je réalise que nous tous nus et que Moïse rebande déjà, mais que Sylvain n’a rien à lui envier. Les mains féminines s’égarent sur mon corps, vite rejointes par celles des deux mecs. Je deviens un piano sur lequel trois musiciens s’évertuent à faire des gammes.
Les doigts s’infiltrent partout, je ne veux pas savoir à qui ils sont, je reste les paupières fermées, je savoure cette profusion délicate de câlins, ces promeneuses qui vont et viennent sans que je n’en refuse aucune. Mes cuisses sont frictionnées, mes seins sont empaumés, mon ventre est envahi. Enfin une bouche s’aventure sur la mienne, une autre se place sur mes seins et la troisième va à la découverte de mon triangle. Instinctivement, inconsciemment, j’écarte les deux jambes, facilitant le passage de la tête et de la langue. Mon petit pénis est dévoré par… je m’en fiche. L’important c’est que je suis frissonnante et excitée. Toutes ces caresses pour moi et je n’en veux perdre aucune.
Quand quelque chose de dur touche le coin de mes lèvres, elles aussi s’entrouvrent pour laisser passer ce dard que je sais être à Moïse. L’absence de chapeau me permet d’identifier son porteur sans ouvrir les yeux. Pauline est sur mes seins, elle s’en délecte sans hâte. Alors c’est surement toi, toi mon Sylvain qui t’occupe de mon minou. Je ne suis plus qu’un immense tremblement. Vous mettez tous tant de bonne volonté pour me faire jouir que j’aurais mauvaise grâce à vous décevoir. Mon ventre, les muscles de mes cuisses, ma poitrine tout est parcouru de longs frémissements et je ne retiens plus cette mouille qui afflue à la lisière de ma chatte. Je m’enfonce dans le stupre de la soirée pour laquelle je suis, en ce moment l’unique vedette.
Le sexe relativement court, mais épais de l’ami de Pauline et installé dans mon bec et il fait des allées et venues. Je ne contrôle plus rien, mon ventre est lui aussi pris d’assaut par les doigts de Sylvain ou de la blonde. Je suce comme je peux, tant les sensations sont fortes. Je soupire alors que les bourses noires se collent à mon menton et elles restent là de longues secondes, appuyées sans bouger. Les soubresauts de cette queue fichée dans mon gosier se font plus intenses et je sais, je sens bien qu’il va éjaculer. Je ne peux pas recracher le sperme qui m’asperge la gorge en abondance. Puis les quenottes de Pauline se font plus insistantes et elle mord presque sauvagement les pointes de mes seins.
Dans ma chatte, des doigts un à un, se sont infiltrés et d’un coup j’ai l’impression que mon sexe est fendu en deux. Une petite douleur qui m’irradie dans tout le corps atteint mon cerveau. Je cesse de remuer les cuisses. Je laisse grâce à l’arrêt de tous mes mouvements la semence de Moïse descendre dans mon estomac par petites saccades. Mon souffle est totalement coupé et la chose énorme qui habite désormais mon vagin se met en mouvement. Je n’ai plus mal, et mon orgasme me surprend, m’emporte comme une lame de fond. Je suis secouée par des spasmes incontrôlables, je jouis d’une manière inouïe. J’en perds pratiquement conscience. La bite se retire de ma bouche et j’ouvre à nouveau les yeux.
Le corps de la blonde est en passe d’enjamber ma figure. Le bras qui s’enfonce en moi est bien le sien. À califourchon sur mon visage, elle se frotte la fente sur mon visage et elle est abondamment mouillée elle aussi. Elle reste ainsi en équilibre sur moi, se collant la chatte littéralement à ma bouche. Et la main qui toute entière était enfouie bien au fond de mon sexe se retire brutalement. Je ne peux même pas hurler pour leur dire combien ce vide me fait du mal. Elle ne me laisse aucun répit et déjà ses mains attrapent mes talons, relèvent mes jambes le plus haut possible. Je sens une pression sur mon anus et je ne peux toujours pas prononcer un mot de refus ou d’acceptation.
En une fraction de seconde, Sylvain, excité par le spectacle et les attouchements auxquels tous se sont livrés sur moi, me pénètre par la voie rectale. Je n’ai pas eu mon mot à dire ! La queue raide et longue se fraye un passage entre les fesses et je ne suis même plus en mesure de lécher ce con qui reste soudé à mes lèvres. Elle se remue, bouge ses fesses qui me collent sur le divan. Je suis leur chose, je suis… leur salope. Dans cette torpeur qui m’enveloppe lentement, une sorte de plaisir trouble revient, comme pour me propulser vers un autre orgasme. Mon cul ne me fait pas souffrir et la pine glisse dans l’étroit conduit, ouvert par ce furet qui le visite. Vaincue, je ne résiste pas ! Mais j’avoue n’avoir jamais essayé une seule seconde de le faire.
Pauline a lâché mes jambes que je garde relevées et mon amant me lime lentement faisant aller et venir son chibre dans mon rectum. Les perceptions sont différentes, tellement hors-norme, mais c’est bon ! J’apprécie finalement cette autre forme de possession et dans une sorte de brouillard, les yeux embués, je vois que Moïse s’est redressé et qu’il a lui aussi enjambé mon corps. La blonde lui caresse le derrière et il avance sa bite qui bande encore ou qui a repris du service, je n’en sais rien. Il dirige le bout brun violet vers… non, je n’en crois pas mes yeux. Le gland se presse sur le menton… de Sylvain et… mais est-ce que je rêve ?
Je vois une langue rose qui sort de la bouche de mon ami et qui lèche ce gland à la couleur si… étrange. C’est vraiment au moment où les lèvres happent hampe et tête que mon ventre lui se serre de nouveau, m’envoyant vers ce septième ciel qui me donne tant de délicieux frissons. Est-ce spectacle insolite d’un homme suçant une queue ou les frottis de la chatte mouillée de Pauline, ou encore le fait d’être enculée qui me fait partir à toute vitesse vers un paradis d’où je ne voudrais jamais revenir ? Toujours est-il que je jouis à tout oublier, je jouis à ne plus savoir où je me trouve ni qui je suis. Et mon amie tout excitée également me lâche sur le visage, une véritable marée de sécrétions que ma bouche avale en partie. Elle en oublie son poids, m écrasant la tête entre ses deux cuisses potelées.
Combien de temps a duré notre sauterie ? Je ne veux pas le savoir ! Pas plus que je ne veux comptabiliser le nombre de fois où j’ai eu en bouche l’une ou l’autre des bites des deux hommes. Quant à Pauline, elle aussi a subi les assauts de mâles. Une fois, deux fois ? Plus ? Mais rien n’est important sauf le fait que nous en avons toutes les deux retiré un plaisir fou. J’ai parfois aidé Sylvain, le guidant entre les cuisses de la blonde ou dans un autre canal tellement moins usité. J’ai même voir aimé, alors que couchée sur mon amant, cette femme se laissait prendre par l’arrière, par son Moïse. Je crois que ce que j’ai vu m’a donné des envies et j’avoue avoir joui sans que rien ni personne ne me caresse… je n’ai pas osé, mais une double pénétration m’a effleuré l’esprit !

— oooOOooo —

Yohann

Anne-Marie et moi, c’est une affaire qui roule. Je suis de plus en plus accro à cette fille. Mes examens sont terminés et depuis quelques jours, je suis diplômé. Maman a été très heureuse au vu des notes et de mon nom affiché sur les feuilles des reçus. Je crois que même si elle s’y attendait elle en est très fière. Quand nous sommes revenus à la maison vendredi dernier, elle n’a pas fait de grands discours. Elle m’a simplement dit :
— Ton père serait fier de toi mon grand. Il doit sourire de là où il est !
J’ai serré cette femme dans mes bras et une larme coulait sur les joues d’Anne-Marie. Jean-Baptiste est aussi venu passer le week-end chez nous. Alors depuis des années, nous avons tous revus maman se mettre au piano. Personne ne bougeait quand les premières notes sont montées dans l’air comme des petits anges qui tournaient dans nos têtes. Mon amie a laissé sa petite tête tomber sur mon épaule et j’ai regardé la bouille de J-B. Il semblait subjugué par cette mélodie interprétée par une maestro qui malgré les ans, n’avait rien perdu de sa dextérité. Les doigts filaient sur les touches, alternant blanches, noires, silence et nous étions subjugués.
Le samedi soir, Pauline et son nouveau pote, un noir sympa, sont venus aussi à la maison. Ils étaient accompagnés d’un type agréable aussi. Sa poignée de main avait quelque chose d’étrange ! Je ne sais pas pourquoi, j’ai eu immédiatement l’impression qu’il y avait quelque chose entre ma mère et ce gars. Bien entendu, personne n’a fait mine de rien, peut-être que ce n’est que juste mon cerveau qui s’est mis à imaginer cela. Le repas que nous a confectionné maman, un pur chef-d’œuvre et Pauline, Anne-Marie et les deux gars, nous avons tous complimenté la cuisinière. J’ai suivi le regard de ma mère alors que tard dans la soirée les trois-là sont repartis.
Cette impression que ce Sylvain et elle se connaissaient ne s’est pas estompée et elle est toujours là, alors que je rentre en pleine semaine pour récupérer mon ordinateur portable laissé dans ma chambre. Il est tout juste dix-sept heures quand j’arrive devant notre maison. Personne pour m’accueillir, mais maman ne sait pas que je reviens pour la nuit. Mon amie n’a pas pu m’accompagner et je veux faire la surprise à ma mère. Je suis sur le pas de la porte et l’eau qui coule me renseigne immédiatement sur les activités immédiates de la propriétaire des lieux. Installé confortablement dans la cuisine, je me sers un verre de jus de fruit et alors que je commence à siroter ma boisson, elle sort de la douche.
Elle est totalement nue, ne prête aucune attention à la kitchenette et décroche le téléphone. Je ne bouge toujours pas. Je regarde cette femme splendide qui s’assoit gentiment du bout des fesses sur le fauteuil et apparemment son interlocuteur lui répond.
— C’est moi ! Oui, je sors de la douche ! Non… je suis encore nue. Tu es fou !
Bien entendu je ne sais pas ce que son correspondant lui raconte, mais je la vois elle et je sais que c’est un homme. Enfin le je pense. Sans lâcher le téléphone, elle écarte ses longues jambes et sa main glisse entre ses cuisses. Je me demande ce que l’autre peut bien lui susurrer, mais elle se masturbe avec de longs soupirs et bien sûr, ça me fait aussitôt bander comme un âne. Merde ! Celui qui lui parle doit lui raconter un tas de saloperies pour qu’elle se passe la main sur la chatte. Elle a écarté les lèvres et entre son pouce et son index, elle entreprend de décalotter son inimaginable clitoris. À quelques mètres d’elle, je ne sais plus si je dois me montrer ou filer le plus rapidement possible.
Elle halète de plus en plus, mais elle persiste à garder son téléphone collé à son oreille et le type, il ne peut s’agir que d’un mec, le gars sait, entend qu’elle se donne du plaisir pour lui. Il doit la guider sans doute et un doigt de ma mère disparaît en elle. Je réalise qu’une longue trainée claire coule sur l’intérieur de la cuisse que sa position me dévoile. C’est fou comme je bande. Alors geste inconscient, ma fermeture éclair glisse vers le bas, sous l’effet de mes phalanges qui la font coulisser. Mon sexe sort comme un diable de sa boite et il est dans ma main. Je ferme un instant les yeux et quand j’ouvre ceux-ci à nouveau, ceux de ma mère sont rivés sur moi. Je rougis de honte alors que sans quitter son appareil elle vient de se lever.
Elle avance vers moi, me passe la main dans les cheveux. Son doigt se met en travers de sa bouche pour me dire de me taire. Elle se baisse et sa main libre saisit mon chibre. C’est elle maintenant qui me branle, lentement, doucement, savoureusement. Elle continue de soupirer et puis elle parle à son interlocuteur.
— À ce soir mon chéri ! J’ai envie de toi, de te faire l’amour… Oui ! Si tu savais comme tu me fais mouiller ! J’ai l’impression que je tiens ta queue entre les doigts, que je te branle. Non ! Ne dis rien ! Laisse-moi seulement faire… c’est ça, tu sens bien ma main ? Oui… tu viens, tu me rejoins ce soir et nous ferons l’amour… à tout à l’heure alors !
Elle raccroche, mais ne quitte pas mon sexe. Elle continue ses lents mouvements du poignet et me prend la main pour la guider vers ce centre humidifié au possible. Je suis toujours tétanisé et sans doute rouge comme une pivoine. Elle se met à genoux devant moi et sa bouche commence un périple qui va de mon gland à mes couilles tout en persistant à me masturber. Je me raidis, me dis que je dois interrompre cette séance inutile, mais je n’ai plus aucun courage. Je subis ces caresses plaisantes sans rien faire pour les stopper. Elle avance sa bouche et j’adore cette pipe… maternelle. C’est moi qui la pousse contre la table de la cuisine et qui en y appuyant sur son dos l’oblige presque à se courber sur le tablier de bois.
Mon mandrin est là dans sa main alors que ses fesses me font désormais face. J’avance d’un petit pas et elle le lâche. Ma bite est contre son cul. Elle écarte seulement un peu les jambes en fléchissant sur ses genoux. Son poignet passe sous le pont formé par ses deux cuisses ouvertes. Elle saisit mon vit et elle l’attire vers la source qui semble encore couler. Je ne résiste même pas. Instantanément, elle tortille du derrière et je suis en elle. Quelle sensation de chaleur, c’est brulant, trempé mais bouillant ! Alors comme si tout était normal, je pousse mon bassin en avant et je viens buter contre le fond de la grotte.
Après cela, tout s’accélère. Elle râle, moi aussi ! Elle crie, moi je soupire. Je la baise frénétiquement et ce n’est plus ma mère à ce moment-là ! C’est une chienne, une salope que je cramponne par les hanches, une pute à laquelle je tire les cheveux, je me perds dans des positions improbables, je me fais plaisir et elle hurle qu’elle aime ça. Je rue dans ses reins, lui donnant quelques petites tapes sur les fesses, alors qu’elle hoche la tête, tout en psalmodiant des mots que je ne veux pas comprendre. Notre équipée sauvage dure un long, très long moment et quand je sens mon sperme monter au bout de ma lance, je me recule vivement.
Une longue trainée blanche atteint le sillon et l’œillet qui y niche. Comme je ne débande pas encore, une idée folle germe dans ma caboche. Je pousse à nouveau vers l’avant cette trique qui reste solide. Je sens sur le bout de mon nœud le petit trou sombre qui se crispe. Je tire les cheveux à nouveau de cette brune qu’est ma mère et je me plante dans son trou du cul avec une sorte de rictus de plaisir. Elle reste un moment sans rien dire puis ses hanches chaloupent à nouveau, se dandinent et elle permet ainsi que ma bite entre jusqu’aux couilles dans cet étroit passage. Je suis rivé à la croupe qui ondule doucement et elle crie.
Plaisir ou douleur, je n’en ai cure. L’important c’est que moi, égoïstement je prenne mon pied. Mais elle semble apprécier cette sodomie qui n’en finit plus. Je constate que si j’éjacule assez rapidement la première fois, la seconde tarde à venir et je ressens toutes les douceurs de ce cul serré. Mon Dieu comme c’est bon. J’en ai les jambes qui flageolent, je me crispe sur les endroits de chair que je peux attraper. Et elle ronronne comme une chatte, elle me laisse la baiser comme si j’étais son amant attitré. Quand enfin, au bout de longues minutes je sens que ma queue va recracher son lait, je ne cherche pas à sortir de l’antre où je suis si bien. Je lui donne une violente claque sur le croupion et je ne sais plus ce qui m’arrive.
Voilà, je suis presque penaud, derrière ma mère avec une petite bite toute ramollo qui sort lentement d’entre ses fesses. Quand elle est dehors, je recule un peu et mes yeux se portent sur le sol de la cuisine ou nous nous trouvons. Celui-ci est maculé d’une tache d’eau conséquente. Dans cette flaque quelques gouttes de mon sperme viennent de temps à autre éclater sur la nappe mouillée. Merde alors ! Elle dégouline de mouille et le long de ses cuisses, de larges trainées de jute, bien à moi, celles-ci forment des sillons d’un blanc laiteux.
Maman se retourne lentement, me passe la main dans les cheveux et me regarde droit dans les yeux.
— Anne-Marie a bien de la chance ! Tu es un amant fabuleux ! Oui, elle a bien de la chance.
La messe est dite. Elle retourne vers la salle de bains. Je nettoie mon sexe avec des kleenex alors que l’eau coule de nouveau. Quand elle revient, c’est à mon tour d’aller me laver. Nous ne nous parlons plus de la soirée sauf pour se dire des banalités. Mais je ne suis pas surpris alors que je suis dans ma chambre, que mon véhicule est au garage, d’entendre une voix que je reconnais immédiatement. Je sais que c’est ce Sylvain, celui qui est déjà venu avec Pauline, qui est là. Ils se parlent sans faire de cas de ma présence. Mais je ne suis pas certain que ma mère lui ait dit que j’étais là. Ils sont au salon, et ma chambre est juste au-dessus. Les murmures plus ou moins étouffés montent vers moi et je les interprète comme je le désire.
Les bruits ! Je les hais de suite ! Je sais ! Je sens que cet homme va la baiser lui aussi et je me comporte comme un mari jaloux. C’est idiot, je suis tétanisé dans ma piaule, je n’ose plus bouger. Tous les sons sont amplifiés par mon esprit fiévreux. Je me dois de faire un effort pour ne pas courir lui casser la gueule ! Mais de quel droit devrais-je faire cela ? C’est elle qui lui a demandé de venir, je l’ai bien compris ! Elle a envie de ce type, de sa bite et j’enrage ! Merde, je deviens fou ? Et n’est-ce pas moi, qui il y a quelques mois, l’encourageais à chercher un amant ou un mari ? Alors de quoi devrais-je me plaindre ? J’imagine tout, je ne veux rien savoir d’autre que ces murmures… ils doivent baiser et en quoi ça me regarde ?
Pourquoi ne suis-je pas parti ? J’aurais pu aisément rejoindre Anne-Marie, la rejoindre et lui faire l’amour. Au lieu de cela j’ai pris mon pied avec cette femme qui va se donner à ce type. Je deviens très nerveux. Ce Sylvain ! D’où sort-il d’abord, qu’est-ce qu’il lui fait ? Et je fais ce que je ne devrais pas oser. Lentement je dégringole les escaliers et viens me poster dans la cuisine, mais cette fois de manière à voir sans être vu. Le soir est tombé et la lumière est moins intense. Maman a laissé la porte juste un peu entrouverte. Suffisamment cependant pour que je les aperçoive tous les deux. Et ce salaud est en train de lui rouler un patin. Il la tripote sans vergogne, me rendant dingue et hargneux.
Je fais un effort surhumain pour contenir cette haine qui déboule dans mon crâne. Je ne perds pas une miette de ce spectacle, et pourtant je voudrais ne jamais être rentré. Je sais ce que ce gaillard va avoir, je sais ce qu’elle va lui donner. Les jeux de mains, de langues durent une éternité, mais c’est surement toujours plus long lorsque l’on est spectateur. Petit à petit ils sont de plus en plus dénudés. Les seins sont magnifiques et cette façon de tourner autour, d’appuyer dessus pour revenir en plus tendre sur leurs pointes… il sait bougrement y faire ce… « Du con la joie ». Elle ne rechigne pas à le caresser, et dire que quelques heures plus tôt, c’était à moi tout cela ! Je reluque ces pattes qui vont et viennent, qui se frottent à tous ces endroits merveilleux que j’ai pu aussi explorer précédemment. Ils vont baiser, c’est sûr, et ça va me faire mal !
Pourvu que je sache garder mon calme. Ça y est ! Elle le suce comme elle l’a fait pour moi tout à l’heure. Je vois cette tige qu’elle prend plaisir à léchouiller. Elle lui remonte les burnes et j’assiste à cela sans rien faire ! Le gland c’est bien moi. Il est maintenant entre ses cuisses à fourrager de sa bouche. Absorbés par leur tâche, ils ne m’entendent pas, ils ne savent pas que je suis là à les regarder ! J’en prends plein les yeux et ça continue. C’est elle qui enjambe ce type alors qu’il est simplement assis sur le fauteuil. Je la vois qui se laisse descendre su la queue tendue et celle-ci disparaît entre les jambes de maman. Il l’a fait monter doucement et elle s’affaisse de nouveau. Ils répètent leur geste à l’infini, elle râle, il insiste.
Sylvain est tendre ! Câlin, paternel, envers cette femme qu’est ma mère ! Je suis ébahi par les scènes qui se déroulent juste devant moi, et la porte entrebâillée n’est pas un rempart contre les sons. Les odeurs non plus ! Il me semble qu’une senteur de sexe flotte partout du salon à la cuisine. Ma quéquette dans mon caleçon n’a plus besoin d’aide ou de soutien pour se redresser. Elle est en état de marche sans rien pour la calmer. Une goutte de liquide perle déjà sur le méat et mouille mon slip. De l’autre côté, dans le salon, il la chevauche toujours, lui roulant des pelles sans arrêt ! Elle le tient par le cou, se laisse butiner, se laisse prendre sans savoir que je les suis du regard.
Mais dans ma tête une autre image s’impose. Celle de mon Anne-Marie qui sourit. Et me voilà qui recule d’un pas alors que maman râle de plus en plus fort. Ils ont tous les deux, roulé sur le côté. Elle se retourne encore une fois. L’homme est sur elle et il continue sa baise, à la missionnaire. Je les entends et je pense que la fin arrive. Elle a relevé ses jambes ! Lui s’est mis à genoux et il a laissé poser ses talons sur ses épaules. Je le vois qui la prend tout en force, entrant et sortant en soufflant comme un soufflet de forge. Pourquoi est-ce que je me dis que c’est dégueulasse de les regarder maintenant ? Pourquoi est-ce que je joue au voyeur ? Je n’ai plus aucune espèce de jalousie en moi ! Seule la frimousse hilare de ma petite amie reste accrochée au fond de moi.
Je me retire dans ma chambre, allume mon ordinateur et mets mes écouteurs. C’est là que ma mère me retrouve deux heures plus tard. Son visage porte les stigmates des parties fines qu’elle vient de subir.
— Ah mon chéri ! Tu es là ? Mon ami Sylvain est parti ! Tu peux venir un peu près de moi ! Tu n’as plus besoin de te cacher, tu sais ! — De me cacher ?— Oui ! Tu sais j’ai des yeux et un sixième sens et je t’ai vu derrière la porte ! Je sais que ce que nous avons fait n’est pas bien. Mais j’ai apprécié de faire l’amour avec toi ! Cependant, nous ne recommencerons plus ! Alors si tu veux, cette nuit sera à nous deux et pour la dernière fois… — Tu veux dire que… tu veux encore… cette nuit ?— Oui ! Mais ensuite… ! Jamais… plus jamais ! Donc, tu peux si tu le veux me rejoindre dans mon lit… tu as le choix, c’est à toi de décider…
Il me faut de longues minutes pour réaliser que ma mère a fait l’amour une première fois avec moi dans l’après-midi, une seconde avec son amant en soirée et qu’implicitement elle réclame encore du sexe pour la nuit. Je n’en reviens pas ! Elle est donc insatiable ? Je ne sais pas si je dois quitter la maison de suite pour rejoindre Anne-Marie ou si… j’hésite entre ces deux hypothèses. Mais dans mon esprit, je crois que la décision ne m’appartient pas tout à fait, que c’est ma conscience qui se bagarre avec la morale. Et qui croyez-vous qui en fin de compte gagne cette partie ? Quelle heure est-il quand j’ouvre cette foutue porte derrière laquelle se cachent tous les interdits ? Et je retrouve avec un plaisir malin, ces bras qui m’ont tant bercé, mais ces retrouvailles sont pour des raisons bien moins angéliques.
C’est encore elle qui dans la nuit noire qui nous entoure, prend les devants et masse tous les endroits qui adorent les caresses. Elle connaît tous mes points faibles, elle sait toutes mes faiblesses. Et je suis submergé par ces envies qu’elle provoque si bien. Quand enfin moi aussi j’use de cette position du missionnaire, c’est pour sentir cette conque si féminine lubrifiée au possible, distendue par les pénétrations précédentes et mon vit vibre contre les parois de cette belle chatte humide. Elle avale mon sperme aussi dans cette alcôve où je ne reviendrai jamais. Elle crie, et sa voix, celle de la femme qui m’a bercé, la voix de maman finit par me faire éjaculer à maintes reprises. Ce n’est qu’aux premières lueurs de l’aube que je rejoins ma chambre. Je tire derrière moi la porte sur la femme endormie.
La salope est redevenue… ma mère. Je ne ressens aucune honte d’avoir ainsi couché avec elle. Je n’ai plus non plus ce sentiment d’être jaloux de son Sylvain. Le visage souriant d’Anne-Marie est là qui flotte derrière ces paupières que je ferme en me glissant dans mon lit. Et les coups frappés dans ma porte me sortent de ce sommeil qui m’a amené au milieu de cette nouvelle journée. Je prends un café et un quignon de pain que je grignote sur la terrasse. Elle, Maryse, ma mère, maman est sur sa balancelle et le soleil annonce une fin de journée délicieuse.
— Alors mon chéri ! Où en es-tu avec ton amie Anne-Marie ?
Je tourne la tête vers elle…
— Tout va bien maman ! Elle va m’accompagner dans la tournée que je vais faire cet été…— Elle a bien de la chance cette petite !— Je crois que j’ai eu aussi beaucoup de chance, j’ai toujours trouvé sur mon chemin de bons professeurs…
Elle sourit, ne répond pas se contentant de hocher la tête, perdue dans ses souvenirs. Ses longues jambes sont au soleil, elle est belle. Sa vie continue et je souhaite mentalement à son amant… tout le bonheur du monde. Elle le mérite et qui sait… peut-être qu’un jour, elle reviendra sur une décision prise hier. En tous cas, je ne forcerai rien, je saurai rester à ma place et attendre qu’elle décide à nouveau… Anne-Marie danse dans mon crâne et je suis heureux. Sur la radio qu’elle a mise en marche, Johnny Halliday entonne… « Que je t’aime… » !

— oooOOooo —
Diffuse en direct !
Regarder son live