Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 4 Commentaires

Souvenirs de vacances

Chapitre 1

Plaisir partagé cousins!

Inceste
— I-— TOUS LES PROTAGONISTES DE CE RECIT ETAIENT MAJEURS AU MOMENT DES FAITS-Nous étions, ma sœur et moi, très opposés en toute chose. Depuis l’enfance nous ne nous entendions, pour ainsi dire, sur rien. Tellement d’ailleurs, que je ne comprenais pas comment il pouvait en être différemment dans d’autres fratries. Nous sommes tous deux nés en France métropolitaine, elle étant mon aînée de deux ans.Nos parents sont originaires d’un Département d’Outre-Mer, pour rester vague tout en vous dressant le décor du lieu où se sont déroulés les événements qui m’amènent à vous partager ce récit.C’est un peu avant les vacances de juillet, il y a une vingtaine d’années, que nos parents ont pris la décision de nous envoyer là-bas. Ils ne pouvaient se permettre de nous accompagner pour des raisons financières. Nos oncles, tantes, cousins, cousines et surtout nos grands-parents compenseraient leur absence durant un peu plus d’un mois. C’est d’ailleurs plus pour ces derniers qu’ils avaient fait cet effort de nous faire partir. Pensant peut-être qu’ils étaient plus proches de la fin de leur vie que jamais. Je me souviens que ma sœur Johanna* et moi-même n’étions pas très enthousiastes à l’idée de « manquer » les vacances d’été avec nos amis. Et c’est à contrecœur que nous sommes donc partis. Pour la première fois, nous nous retrouvions elle et moi pour ainsi dire, dans le même bateau. A notre arrivée, nous sommes accueillis chaleureusement par la famille de papa et celle de maman. Pour la plupart ce sont des étrangers, que nous reconnaissons plus ou moins grâce aux photos et aussi du fait que certains d’entre eux nous avaient déjà rendu visite. Nos grands-parents entre autres. Nous passons de bras en bras, pour ma part c’est une sensation bizarre que d’être l’objet de toutes les attentions. Et puis nous sommes fatigués par ce long voyage, presque en Terre inconnue, tellement nous sommes loin de nos repères. «Vite que ce tourbillon d’embrassades cesse enfin !» J’espère même, à ce moment-là, être déjà à la porte d’embarquement pour le retour. Mais pour ça il va falloir attendre 33 jours exactement.Les premiers jours étaient vraiment perturbants pour tous les deux, nous nous parlions beaucoup plus qu’à l’accoutumée, de chez nous surtout, et ce malgré le fait que nous étions très entourés. Nos cousins et cousines étaient sans exception tous très gentils. Nous nous amusions beaucoup, et profitions de la plage essentiellement.Mais c’est après un peu plus d’une semaine que ces vacances sont devenues des plus enthousiasmantes. Mes cousins et moi dormions dans la même chambre. Est-il utile de préciser que nous ne dormions pas beaucoup ?! Les discussions tournaient souvent autour du sexe dans ces moments-là. Et même si nous commencions par nous raconter des ‘’histoires à faire peur’’, je ne sais par quel procédé, nous finissions toujours par en arriver au-dessous de la ceinture, ou plutôt de nos élastiques. Et les questions étaient la plupart du temps orientées vers moi. Peut-être pensaient-ils à cet instant que venant de la métropole, je devais être plutôt dégourdi à ce niveau.Mais ils se trompaient car j’étais encore puceau. J’étais sorti avec une seule fille jusque-là, pendant deux mois tout au plus.Leurs questions étaient du genre : « est-ce que tu as déjà peloté les seins d’une fille ? », ou alors plus directement, « est-ce que tu as déjà couché avec ? » Nous nous racontions nos petites expériences, tout en nous astiquant.Mais ce soir-là, nos échanges allaient franchir une ligne que je n’aurais même jamais pensé approcher. Un d’entre eux me demande si j’avais déjà vu Johanna nue. Il ne me serait jamais venu à l’idée qu’on prononcerait le prénom de ma sœur pendant nos confidences. Nous fantasmions sur bon nombre de femmes, que nous avions vu la journée à la plage par exemple, mais nous n’avions pas encore évoqué le prénom d’une de nos cousines jusque-là. Après tout, au fond de moi à cet instant je relativisais en me rappelant que depuis mon arrivée j’étais secrètement obsédé par ma tante Alice*, la sœur de papa, qui était une belle brune métissée d’une quarantaine d’années à cette époque. Mais je m’étais gardé de le dire jusqu’ici puisque son fils partageait nos soirées. A la question sur Johanna, je n’ai su répondre autre chose que ‘’oui’’. Bien qu’il n’en était rien. Je ne l’avais jamais envisagé de ce point de vue, étant son petit frère...Mais nous étions lancés, les cousins et moi, nos queues raides à la main, et je me disais qu’en en rajoutant un peu, je pourrais sans complexe par la suite, parler de tatie Alice*, pourquoi pas. Et puis je pouvais bien les comprendre puisque voir ma sœur la plupart de ses journées en maillot deux pièces, faut dire qu’ils avaient de quoi alimenté leurs fantasmes.Johanna est un peu plus grande que moi, d’à peine une demi-tête, elle fait presque 1m80. Elle est brune, très mate de peau, comme papa. Elle avait les cheveux mi-longs et bouclés. Plutôt fine, elle avait je me rappelle une allure sportive, grâce à la natation que nos parents nous ont encouragés à pratiquer depuis tous-petits. Dans mes souvenirs, elle avait les mêmes fesses et cuisses qu’aujourd’hui, de très belles jambes et de jolies hanches.Moi, je tiens plus de maman, la peau et les yeux un peu plus clairs, j’ai pris un peu de coffre avec les années, mais je suis mieux comme ça selon ma femme. Plus jeune j’étais un peu trop maigre. Donc pour en revenir à cette soirée, je continue à satisfaire la curiosité de mes cousins, en parlant de la fois où j’étais sensé avoir vu ma grande sœur dans le plus simple appareil. Presque naturellement je leur raconte que c’était arrivé une fois alors que j’étais entré dans la salle de bain à la maison, et qu’elle s’y trouvait.A mesure que j’avance dans mon mensonge, je sens leur excitation grandir. Cela s’entendait à leur voix qui tremblait et au bruit de frottements que leurs mains faisaient sous les draps. Les questions sont de plus en plus désinhibées, du genre « est- ce qu’elle a beaucoup de poils ? », ou encore « la couleur de la pointe de ses seins ? ».Je leur dis que j’avais à peine vu ses seins ainsi que sa chatte, qu’elle s’était cachée en hurlant. Bien sûr j’inventais... Je suis partagé entre abréger, afin de passer rapidement à autre chose, et continuer. Parce que mine de rien, je commence à visualiser mentalement le corps nu de Jo’ sans jamais l’avoir vu... Et je constate que ça m’excite beaucoup moi aussi ! Je me masturbe maintenant avec un supplément de chaleur, qui rend l’acte troublant.Nous nous masturbons à un rythme effréné, et le premier qui ouvre le feu ne se prive pas de le dire aux autres. Chacun son tour nous vidons nos couilles dans un murmure pour ne pas alerter le reste de la maison. Un autre soir nous étions dans le noir complet, et toujours aussi attentifs les uns aux histoires des autres. L’ainé de mes cousins, Olivier* avait pris la parole, nous étions comme d’habitude tous en train de nous masturber en l’écoutant nous raconter sa première fois. C’était avec une prostituée, disait-il. Je ne me rappelle plus des détails, mais c’est notre oncle, le beau-frère de papa qui lui avait offert son dépucelage. Ce dont je me souviens par contre, c’est de la chaleur moite qui régnait dans cette chambre. Nos parties de branlettes devenaient systématiques, nous étions de plus en plus à l’aise à ce petit jeu pervers.Tellement à l’aise, que quand Olivier nous a dit qu’il en avait une ‘’grosse’’, et que la nana avait aimé, l’un de nous lui a demandé si nous pouvions voir. Nous étions dans le noir, à vrai dire je ne me souviens plus vraiment si c’est Olivier ou un des autres qui avait franchi le pas. Possible que ce soit lui qui nous ait proposé de toucher son sexe en érection. Finalement en tâtonnant jusqu’à ce que nos mains respectives se posent à tour de rôle sur son membre dur, nous avons effectivement constaté qu’il était de taille plutôt impressionnante. Je ne pouvais voir ce que les autres faisaient quand ils posaient la main dessus, mais moi je sais que le premier contact fut bref, avec une certaine appréhension, mêlée à de l’excitation. Ça a duré comme ça un bon moment, et même si on ne voyait pas ce que l’on faisait chacun notre tour, on devinait bien que les effleurements étaient devenus de plus en plus insistants. Des rires étouffés dus à l’amusement, mais aussi à la tension sexuelle dans cette chambre, se faisaient entendre. Quelques fois ma main en croisait une autre, qui soit semblait caresser le sexe d’Olivier, soit le branlait littéralement. C’est comme ça que je me suis laissé aller à le masturber moi aussi. Lui ne rigolait plus depuis un moment, mais il donnait l’impression d’apprécier pleinement cet instant. De temps à autre il nous rappelait juste de ne pas faire trop de bruit...Je ne pouvais fermer complètement ma main sur son sexe, et en y mettant mon autre main je pouvais me rendre compte que son gland dominait encore aisément les débats. Il respirait fort, et faisait des mouvements de bassin de plus en plus appuyés. Lui ne devait surement pas savoir qui le masturbait exactement. Il se rendait tout juste compte des changements de mains. Puis après un long moment où nous pouvions l’entendre murmurer des : ’’Put... !, c’est bon !,..., comme ça, oui ! Là, oui !!!’’, le tout dans un rythme respiratoire complètement désordonné, il a fini par éjaculer, sur son ventre surement, vue la position dorsale dans laquelle il était. Ce n’est pas moi qui le branlais à ce moment précis, et je n’ai jamais su qui avait sa grosse queue en main quand il s’est vidé les couilles, se raidissant de tout son corps.Nous l’avons rejoint de suite après, en nous branlant chacun pour soi frénétiquement. J’ai été le dernier à venir, alors qu’Olivier s’était presque endormi.Le lendemain matin, personne n’en reparlait, nous nous comportions comme s’il ne s’était rien passé, ce qui instaurait une légère gêne tout de même, mais qui s’estompait à mesure que la journée avançait. Une chose était certaine, nous attendions tout de même la prochaine ‘’branlette party’’ avec impatience... ... Tandis que ma sœur s’immisçait lentement dans mes fantasmes. * = Prénoms remplacés
Diffuse en direct !
Regarder son live