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Souvenirs de vacances

Chapitre 2

Tabou ébranlé

Inceste
TOUS LES PROTAGONISTES ETAIENT MAJEURS AU MOMENT DES FAITS
Pour trois ou quatre jours nous nous apprêtions, ma sœur Johanna* et moi à séjourner chez notre tante Anna*. Pas enthousiastes de quitter l’ambiance chaleureuse et décontractée de la famille paternelle, pour faire plaisir à l’unique sœur de maman. Elle n’a eu qu’un enfant, ne vivant plus avec elle, que nous n’avions jamais rencontré. Il poursuivait ses études en aéronautique à Toulouse et ce n’était pas cette année que nous ferions sa connaissance, puisqu’il n’était pas venu pour les vacances. Anna vivait seule dans une grande demeure créole, depuis le décès de son mari. Comment allions-nous occuper nos journées auprès d’elle, femme pieuse mais tellement gentille? Nous avions la sensation de gaspiller notre temps et déjà hâte de retrouver nos cousins et cousines de « l’autre côté ».
Aussi bien Jo’ que moi étions un peu impressionnés par cette grande maison. Trop grande pour nous, citadins élevés en appartement. Et une vieille bâtisse chargée d’histoire fait toujours beaucoup de bruits, d’autant plus perceptibles la nuit. La première fut très angoissante pour l’un et l’autre. Le lendemain nous nous sommes confiés sur nos peurs infondées. Ma sœur étant plus loquace, alors que moi je restais un peu sur ma réserve, par fierté masculine. Elle me dit qu’il était hors de question pour elle de revivre une nuit comme cette dernière, et qu’au pire elle viendrait dans ma chambre le soir même pour ne pas rester seule.
La journée passe assez vite, malgré l’ennui et les discussions partagées avec notre tante pendant le repas, qui semble interminable. Sortir de table à 16h n’était pas du tout commun pour nous. Elle devait profiter de notre compagnie puisqu’elle n’en avait pas énormément.
Anna était une couche-tôt, et ce deuxième soir c’est après le journal d’information qu’elle nous embrasse avant de se retirer dans sa chambre, située à l’opposé des nôtres. Ma sœur et moi avons veillé tard malgré le peu de choix au programme. Il n’y avait que trois chaînes accessibles en ce temps-là, si je me souviens bien.
Arrive donc le moment d’aller nous coucher nous aussi, et comme elle me l’avait annoncé le matin Johanna me rappelle qu’elle me rejoint, le temps pour elle de récupérer ses affaires de toilette et son pyjama. Pyjama qui soit dit en passant correspondait à un petit short bleu très léger et un débardeur blanc un peu évasé. Bien que nous disposons chacun d’une salle de bain dans nos chambres, il n’est pas question pour elle de rester seule trop longtemps.
A peine ai-je le temps de retirer mon tee-shirt et préparer le lit que Johanna arrive sur la pointe des pieds.
— « Tu vas te doucher la première ? »— « J’aimerais bien, si ça te dérange pas. Je fais vite de toute façon ! »
Sur ces mots, je la regarde se diriger vers la salle de bain et repense instantanément aux discussions avec nos cousins à son sujet. Je l’observe en train de fouler ce parquet ancien de ses pieds nus, habillée d’un short jean court et d’un haut sans manches. L’image d’une sensualité innocente qui ravive en moi les fantasmes de nos soirées, et en particulier celui qui implique ma sœur.
Je sens une chaleur se réveiller en moi, alors que j’entends à présent l’eau de la douche qui s’écoule. J’imagine le flot ruisselant sur son corps, le savon glissant sur sa peau bronzée. Mon sexe se dresse rapidement alors qu’une excitation incontrôlable me submerge. Tout se bouscule dans ma tête, j’ai l’idée pendant un bref instant, d’entrer dans la salle de bain sans frapper, sans réfléchir pour autant à ce que je pourrais bien lui servir comme prétexte. Mais pour faire quoi en plus ?! C’est ma sœur. D’un autre côté, je vivrai ainsi véritablement l’histoire que j’avais inventée pour Olivier et compagnie.
Mais je parviens tant bien que mal à revenir à la raison, en feuilletant un bouquin. J’entends le jet de la douche qui s’arrête maintenant. J’ai hâte de prendre sa place, pour me refroidir davantage, parce que la nuit risque d’être longue à nouveau sinon, mais plus pour la même raison que la précédente.
Elle finit par sortir, je la regarde à peine. Mais assez pour voir ses belles jambes ambrées, contrastant avec le bleu ciel et blanc de sa tenue fine et légère. Je me précipite dans la salle de bain, referme la porte derrière moi, me déshabille et saute dans la douche. Je bande encore un peu, et à nouveau je vois Johanna en fermant les yeux. Je la vois à cette même place quelques instants auparavant. Je suis incapable de sortir son image de ma tête. Je l’imagine toujours se savonnant les seins, le ventre, le sexe ; et la perspective de partager mon lit avec elle tout à l’heure me fait perdre pied. Je bande encore plus, et me résous à me soulager ici même. C’est le moment ou jamais. Je commence à me caresser, mais sa présence dans la chambre à proximité me met mal à l’aise. J’ai le sentiment qu’elle pourrait m’entendre et préfère stopper mon entreprise, sans pour autant être rassuré quant à la nuit de tentation qui m’attend, allongé près d’elle.
Je sors de la douche, la tête à l’envers, avec une demie-molle qu’un rien pourrait faire reprendre vigueur. Je me sèche et m’efforce à penser à autre chose. J’enfile un caleçon, par chance il est plutôt ample et dissimule un peu mon émoi. Pourvu que je reste calme et Jo’ ne remarquera rien, pensais-je.
Je retourne à la chambre, une faible lumière est restée allumée sur le chevet opposé à celui de Johanna. Ouf !!! Elle m’a l’air déjà endormie. Je m’avance doucement, me penchant au passage au-dessus de mon sac afin d’enfiler un tee-shirt. Je m’apprête à entrer dans le lit, et me sens moins stressé tout à coup. Je me glisse doucement sous le drap, pour ne pas la réveiller, mais à peine ai-je éteint la lumière que Jo’ se retourne vers moi, me demandant de rallumer.— «Pourquoi ? Je pensais que tu dormais déjà. »— « Non, mais laisse allumer un instant ! » me dit-elle,— « T’as pas sommeil ? »— « Si, mais on parle un instant. OK ? »
J’étais surpris qu’elle puisse se sentir angoissée au point de me faire rallumer la lampe. Elle se trouvait sur le dos, presque au milieu du lit, quant à moi je n’avais plus de place sur ma droite.— « Tu prends un peu toute la place ?! Tu trouves pas ? »— « Arrête, ça va ! »
Je me redresse, m’appuyant sur mon coude afin de constater l’étendue du côté qu’elle délaisse pour empiéter sur le mien. Je lui dis en souriant :— « Regarde toute la place que tu as là-bas ! Je peux même plus bouger. »
Elle souffle de dépit tout en se décalant d’à peine quelques centimètres. — « Voilà, t’es content ? C’est bon ? » me dit-elle, en gardant les yeux fermés.
Les miens restent braqués sur ses épaules dénudées, le drap étant remonté jusque sous ses aisselles. Et d’un seul coup, mon cœur s’emballe à nouveau, mais je ne peux décrocher mon regard d’elle, passant de ses épaules à ses mains posées sur son ventre par-dessus le drap blanc. Je contemple sa bouche, son nez, ses yeux toujours fermés. Cela me paraît durer un long moment. Je recommence à bander, et lui tourne le dos pour me dissimuler.— « T’es pas en colère j’espère? » me demande-t-elle, en se relevant à son tour.— « Mais non ! »
Elle me secoue par le bras en me demandant si tout va bien, pensant surement que je boude. Ma réponse est brève :— « Non, je t’ai dit ! »— « Ben parle-moi alors ! Je vois bien que tu fais la gueule, je suis pas conne. »— « Vraiment, y a rien, je t’assure... » lui dis-je, en tournant légèrement la tête vers elle.— « Aller ! Regarde-moi ! On parle jusqu’à ce qu’on s’endorme… »
Je me retourne en soupirant, le drap bien sur moi pour ne pas exposer mon érection naissante.— Tourne-toi bien ! me dit-elle, me ramenant face à elle.
Nous sommes allongés l’un en face de l’autre, mon visage à une trentaine de centimètres du sien. J’ai les fesses en arrière, pour éloigner d’elle mon sexe durcissant de plus en plus.— « On parle ! » répète-t-elle.— « De quoi tu veux parler ? »— « N’importe quoi, ce qui te vient en tête. » — « J’en sais rien ! »— « Fais un effort, t’es pas marrant ! »— « T’es chiante ! »— « Je sais !... Vas-y ! »— « Où ça ? » lui dis-je, en riant,— « Moi je suis chiante, mais toi t’es con pour le coup ! »
Je lève un peu les yeux en haussant les épaules, la tête toujours sur l’oreiller, tandis que ma sœur s’assoit face à moi en position tailleur.— « J’ai même plus sommeil » dit-elle.
Je peux deviner ses pieds, ses jambes et son shorty, mais je garde mes yeux à hauteur des siens de peur qu’elle ne remarque mon voyeurisme immoral. Et là, sans réfléchir je lui dis :— «Ils m’ont parlé de toi tu sais ! Ils m’ont posé des questions sur toi. »— « Qui ça ‘’ils’’ ? » me demande-t-elle, l’air surprise, — « Eric*, Damien*, Olivier, tous ! »— « Comment ça ?! » enchaine-t-elle un peu hébétée, — « Ben tu sais, ils parlent, me demandent des trucs quoi ! Ils te trouvent pas mal ! »— « Hein ??!... »
Elle esquisse un sourire mêlé à une grimace qui semble signifier de l’amusement et du dégoût à la fois.— « Ils me trouvent pas mal ? Tu veux dire qu’ils me matent, qu’ils se font des films sur moi ?! »— « Un peu oui » lui dis-je, alors que je sens ma bite qui gonfle encore, sachant tout ce que ces fantasmes avaient pu entrainer lors de nos soirées ‘’dépravées’’.
Elle met son visage entre ses mains et pousse un petit cri hystérique, et moi je ris en lui disant :— « Tu voulais que je te dise quelque chose ? Ben voilà ! »
Et je laisse encore échapper un rire, qu’elle étouffe immédiatement à l’aide de son oreiller. Puis elle me frappe avec en me signifiant d’arrêter de me moquer d’elle. Elle revient au calme et me demande ensuite des précisions sur le type de questions qu’ils pouvaient bien poser.— « Je sais pas… »— « Recommence pas avec tes ‘’je sais pas’’ ! Dis-moi !»— « Ben des questions de gars… »— « Mais quoi putain ?! » s’agace-t-elle, avec un sourire ravi en coin,— « Comment tu es physiquement, et tout et tout... »— « C’est-à-dire ? A poil tu veux dire ? …Qu’est-ce que t‘en saurais toi ? C’est débile comme question ! »
Je reste sans réponse, tandis qu’elle me fixe, l’air d’attendre une suite.— « Hein ?! Tu leur as dit quoi ? » me relance-t-elle— « Rien… » lui dis-je, le regard fuyant, allant jusqu’à enfoncer mon visage dans mon oreiller,— « Tu leur as dit quoi putain ?! Tu déconnes ? »
Johanna parait outrée, ou du moins essaie de me le faire croire, mais au fond je commence à percevoir un plaisir sincère se dessiné sur son visage.
— « Ils voulaient savoir si je t’avais déjà vu nue… »
Elle reste bouche-bée, puis son visage devient grave. Elle me demande d’abord ce que je leur ai répondu, en enchainant :— « Tu m’as jamais vu !... »— « En fait je leur ai dit que je t’avais vu… »— « QUOI ?!? Tu m’as vu quand ? » dit-elle effarée,— « …mais attend c’est pas vrai, je t’ai jamais vu nue, je leur ai dit ça comme ça, pour les intéressés ! »— « Pour qu’ils s’intéressent ? Mais en fait quand vous faites votre bordel tous les soirs, vous parlez de ça ? »— « Entre autres, on parle pas que de toi… »
L’expression de son visage ne se détend pas vraiment, mais elle passe tout de même de l’inquiétude à l’amusement toutes les dix secondes.
— « Vous parlez pas que de moi ? Vous parlez de toutes sortes de nanas en fait, c’est ça, j’ai compris !» dit-elle en rigolant franchement cette fois.
Moi, je suis toujours excité, et ce soir je ne pense qu’à Jo’ qui est là, à quelques centimètres de moi. Par instant mes yeux s’égarent sur ses jambes, sa poitrine ou son cou. L’excitation monte encore d’un cran à cet instant, la voyant plutôt rire de tout ça finalement.— « Et ils ont dit quoi ? » me relance-t-elle,— « Quand on parlait de toi ? Ils étaient plutôt excités, très même… »
Elle semble séduite par l’idée d’avoir était l’objet d’un fantasme collectif, même si celui-ci appartient à ses propres cousins.— « Plutôt excités ? C’est ce qu’ils t’ont dit ? »— « C’était évident… C’est pas tellement qu’ils disaient quoi que ce soit.» — « Nooon !?... Ils étaient en… ? Ils se… ?»
Relevant les sourcils, je lui fais comprendre qu’effectivement cela se remarquait à leur érection. Et qu’en plus ils se masturbaient en m’écoutant. Elle n’en revient pas, et ne dit plus rien pendant un instant.
— « Et toi tu leur as raconté tout ça, et ça t’as pas gêné ? » me dit-elle,— « Pas tellement, parce que c’est faux de toute façon, donc ça va… Bon si, un peu au début quand même.»— « Et le fait qu’ils se touchaient en parlant de ta sœur ça te faisait rien à toi ? »
Un long silence de ma part lui fait office de réponse. Elle est d’autant plus surprise, un peu comme moi la première fois quand j’ai découvert qu’elle faisait bander toute la chambrée, ainsi que moi-même.— « Hein ? T’étais pas mal à l’aise ? C’est bizarre tu trouves pas ? »— « Si, mais bon, ça m’a pas gêné plus que ça. Au contraire…»
‘’Au contraire’’… Je n’en revenais pas d’avoir lâché ça. Comme si ma bouche avait fait à sa guise l’espace d’une demi-seconde.
— « Au contraire !? Tu peux répéter !? »— « … »— « Tu veux dire quoi par-là ?! »— « … »— « Waouh… Je sais pas quoi dire là ! »— « C’est bon, oubli ! »— « … »— « Vraiment, désolé si je t’ai choquée… »— « Non, ça me fait drôle c’est tout. »— « On arrête d’en parler, c’est mieux ! »— « Oui, on dort il est tard. » dit-elle. « Laisse la lumière ! » rajoute-t-elle, avant de me tourner le dos.
On se couche comme ça, sans plus un mot. J’ai du mal à me calmer après cette discussion surréaliste, mais fini par plonger dans une sorte de demi-sommeil. Tandis que Johanna s’est endormie, toujours plus ou moins au milieu du lit.
Quelques instants plus tard, sans parvenir à bien déterminer le temps qui s’est écoulé, j’émerge un peu et en ouvrant les yeux je vois ma sœur sur le dos, le drap baissé jusqu’à sa taille. Moi je suis sur le flanc, regardant vers elle donc. Je vois que son tee-shirt est légèrement remonté, et laisse apparaître son nombril. J’hésite mais n’ai qu’une envie c’est de relever un peu plus son tee-shirt. Mon cœur bat la chamade. Je cède à cette tentation de trop…
Je pose délicatement la main sur son ventre et glisse mes doigts lentement sous son tee-shirt. Elle bouge, ce qui me fait retirer ma main illico. J’attends quelques secondes, la tension toujours au plafond dans mes artères. Je bande comme une bête, j’en ai mal à la bite tellement je bande dure !
Elle s’est légèrement retournée à l’opposé de moi, ce qui ne m’empêche pas pour autant de refaire une tentative. Je me souviens de ma pensée à ce moment précis : ‘’Je suis fou !!!’’
Je pose à nouveau ma main subtilement sur son ventre, sans bouger dans un premier temps, jusqu’à ce que je remarque une inspiration plus grande de sa part. Je remonte encore son tee-shirt, et arrive sous son sein droit. Elle ne bouge pas, sa respiration est clairement plus longue et profonde, j’ai le sentiment qu’elle ne dort plus tout à fait. A mon tour je ne bouge plus, paralysé par la peur, mais cette excitation devenue incontrôlable m’empêche de revenir en arrière.
Le temps est comme suspendu, quand sa main droite passe sous le drap et se dirige vers mon sexe raide à n’en plus pouvoir. Hallucinant ! Je rapproche alors un peu plus mon torse en le collant presque à son dos et me fais un plus précis dans mes caresses, puisque Johanna me cajole franchement la bite à travers mon caleçon maintenant.
On respire tous les deux plus fort. Je suis sûr à présent qu’elle est bien réveillée, même si elle a toujours les yeux fermés. Elle gémit discrètement dans une douce respiration, et me branle très lentement à travers le tissu de mon caleçon, tandis qu’elle me tourne toujours le dos.
A présent j’ai son sein dans ma main, et elle ne s’en offusque pas. Je le lui masse langoureusement sous son tee-shirt, puis les deux de façon plus appuyée ; elle ne bronche toujours pas. Elle soupire même de plaisir, il n’y a plus de doute, alors que je relève son tee-shirt pour dégager ses seins que j’aurais finalement touchés avant de les avoir vus.
Ma sœur s’est lentement rallongée sur le dos. Ses seins sont beaux, mon imagination était loin du compte. De taille moyenne, disons un 85B, des mamelons plats, sombres et légèrement gonflés. Oui, de magnifiques seins en forme de poire.
Puis ma main glisse subtilement vers son sexe, caressant son ventre charmant au passage. Je la pose sur la fine toile de son shorty, alors qu’elle entrouvre peu à peu les cuisses. Dans le même temps j’approche ma bouche de son oreille ; je respire fort à mesure que l’excitation me submerge.
Son autre main a remplacé la mienne sur sa poitrine, qu’elle masse et effleure tout en continuant à me branler légèrement. Je ressens la chaleur de sa chatte à travers le tissu, ma main y imprime un mouvement tantôt circulaire, tantôt vertical. Je me souviens de cette chaleur que ma paume pouvait capter quand je la posais bien à plat sur sa vulve. C’était incroyablement émouvant !
J’embrasse son lobe un instant, puis m’égare sur sa joue, alors qu’elle incline lentement sa tête comme pour venir à la rencontre de mes lèvres. Elle soupire de plus en plus ! Je suis tout près de l’embrasser, quand elle tourne la tête subitement en murmurant un ‘’non !’’.
Mais elle ne s’arrête pas de me masturber, tandis que je dirige ma bouche vers son sein à défaut d’avoir pu goûter à ses lèvres. Je quitte un instant sa petite chatte humide pour empoigner le galbe de son mamelon, et l’aspire tout entier. Je tète littéralement ma grande sœur et elle apprécie, gémissant de manière plus franche encore, la bouche entre-ouverte.
Ma main redescend déjà vers son sexe, mais cette fois je glisse mes doigts sous l’élastique de son short et de sa culotte. Quelle sensation indescriptible à ce moment-là ! Je devine un minou soyeux recouvert d’un duvet soigné au niveau du pubis. Mon majeur se présente à son orifice vaginal trempé. Je caresse ses grandes lèvres ; inoubliable sensation de douceur, alors que ma bouche suce toujours ses jolis seins. Johanna a ouvert les yeux à présent, mais elle fuit mon regard…
Je me surprends par mon côté entreprenant et pas maladroit du tout, d’après ses gémissements. Je n’étais jamais allé aussi loin avec une fille.Elle soupire le plus discrètement possible, pour ne pas alerter notre tante, sait-on jamais. Je fais glisser la pulpe de mes doigts toujours très lentement entre ses grandes lèvres, ce jus d’amour qu’elle libère m’excite à un point ! Elle s’arrête de me branler en serrant très fort ma queue un court instant. Elle ferme encore les yeux alors que je colle à nouveau ma bouche à son oreille. Sa main s’active en enserrant un peu plus mon membre durci près à exploser.
Je pose un timide baisé sur sa pommette en la masturbant sans aucune gêne. J’ai la main dans la culotte de ma sœur, elle me recouvre les doigts de sécrétions vaginales et je suis complètement désinhibé, bien qu’un peu stressé tout même du fait que c’est la première fois que je touche le sexe d’une fille.
Jo’ passe sa langue sur ses lèvres, elle respire fort, se contorsionne. Sa chatte est douce et chaude, j’ai envie d’elle, mais pas sûr qu’elle soit d’accord pour aller jusque-là. Pour en avoir le cœur net, je m’aventure à la pénétrée d’un doigt… Que c’est bon ! L’excitation est à son comble. Elle n’a rien dit, sa chatte m’accueille sans obstacle, je vais et viens dans son con et voyant son enthousiasme grandissant, je chemine de plus en plus vite. Elle sert une nouvelle fois très fort mon sexe en inclinant sa tête vers l’arrière. J’en profite pour l’embrasser dans le cou furtivement, puis me redresse pour voir ma main qui la baise avec vigueur.
Elle pose sa main gauche sur mon bras comme pour me dire de continuer. Elle me caresse de temps à autre jusqu’à hauteur de l’épaule, puis redescend vers ma main. Elle effleure même un instant ma nuque avant de retourner à ses seins. D’emblée je repousse le drap à l’aide de mon pied, ma sœur m’accompagne dans ce geste avec le sien, signe peut-être qu’elle serait prête à franchir une autre limite…
Mes doigts quittent un instant son vagin si avenant. Je retire mon tee-shirt et baisse mon short et mon boxer à mi-cuisse, pendant qu’elle pose une main sur son shorty en me regardant faire. Je lui présente ma queue toute raide sans aucune gêne. Elle se tourne vers moi, on se retrouve donc face à face ; ma main a déjà retrouvé sa place, bien au chaud dans la culotte ma sœur.
Jo’ dirige sa main vers mon sexe et me masturbe comme tout à l’heure, mais sans entrave. Le contact de sa main est divin. On reste un moment comme ça à se masturber mutuellement. Elle ne me regarde jamais vraiment dans les yeux, mais préfère se délecter de la vue de ma bite tendue dans sa main. Ma bite qui ne m’est jamais apparue aussi impérieuse avant ce soir. L’excitation extrême certainement.
Tandis que moi je l’observe dans les moindres détails. Elle ferme les yeux par moment, et se mord les lèvres. Elle me fait allonger ensuite sur le dos et se met à genoux à côté de moi, telle une geisha. Sans jamais avoir lâché ma bite, elle continue sa branlette mémorable. De son autre main, elle se caresse à travers son short.
Je ramène mes bras haut dessus de ma tête, afin de me tenir aux barreaux du lit. Je ferme les yeux tellement cet instant est torride. Je suis totalement nu allongé devant ma sœur qui me masturbe, alors que rien ne semble pouvoir l’arrêter. Je geins de bien-être, elle pose alors sa main sur ma bouche tout en continuant à me branler avec appétit. Elle aime faire ça, et elle sait y faire. Je ne tiens plus tant sa main imprime le rythme idéal, ni trop rapide, ni trop lent. Je me souviens aussi parfaitement de la pression de ses doigts autour de ma verge.
Elle chevauche ma jambe gauche tout en achevant d’abaisser mon short et mon caleçon, et frotte à présent son sexe sur ma cuisse. A cet instant, je ne peux même pas regretter qu’elle ne soit pas nue, Jo’ me sidère carrément par son engouement. C’est d’ailleurs sur ce chevauchement de sa part que je sens cette douceur violente et inarrêtable qui monte de mes couilles. Elle aussi a compris et ralenti son mouvement. Elle stoppe même et serre mon sexe à sa base. Je relève la tête pour la regarder, elle a les yeux fixés sur ma queue qui se tend à chacun des jets de sperme s’étalant sur mon ventre et sur mon torse.
Comment décrire cette sensation? Impossible, si ce n’est de vous redire ’’DOUCEUR VIOLENTE’’.
Ma sœur s’éclipse dans la salle de bain presque immédiatement, alors que je suis incapable de dire quoi que ce soit. J’entends l’eau de la douche qui s’écoule. Elle y reste longtemps ! Je reprends mes esprits et réalise peu à peu ce qu’il vient de se passer entre nous. Je ne ressens pas d’embarras, mais je redoute que ça ne soit pas la même chose pour Johanna, qui met un temps infini à sortir de cette douche.
L’eau s’est arrêtée de couler maintenant, je feins de m’être endormi ne sachant pas à quoi m’attendre quand elle sortira. J’espère qu’elle me parlera la première, mais quand elle sort enfin de la salle de bain, elle se recouche sans un mot en me tournant le dos. Léger malaise, mais je ne peux rien y faire dans l’immédiat.
Demain est un autre jour ! Je m’endors comme ça, lumière allumée, près de ma sœur, ma semence asséchée sur l’abdomen…
*=prénoms remplacés
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