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Souvenis d'un passé luxurieux

Chapitre 1

Tribulations canines

Zoophilie
Comment vous conter cette aventure ? Je dirais tout d’abord qu’il faut se replonger dans le passé, à une époque à laquelle la plupart de vous n’étaient même pas encore dans les couilles de leur père. Les années 80. Alors que beaucoup la connaissent pour ses classiques du cinéma ou ses chansons cultes, il y avait une certaine liberté sexuelle, liberté qu’il n’est pas possible de retrouver en ces temps modernes, une liberté couplée avec une certaine folie, un certain détachement – une excitation croustillante. Les hommes montés sous l’afflux de testostérone à la Rambo fourraient les femmes dont la plupart fantasmaient sur les mecs virils, regardant Magnum pour d’autres raisons que les tirs de revolver. Un monde dans lequel une paire de seins n’était pas censurée dans un film et dans lequel la pornographie était à chaque coin de rue. Un monde dans lequel les premières fois ne se faisaient pas par écrans interposés.
Et c’est avec ce contexte que cette histoire commence une douce nuit de printemps, avec mon fiancé, simplement vêtue d’une nuisette blanche dont le décolleté laissait apercevoir ma poitrine sans aucune pudeur...
Je devais approcher la trentaine. Je ne sais pas comment nous en étions arrivés là, mais nous avions envie de plus. Nous avions tenté quelques années auparavant l’échangisme qui – quoiqu’agréable – ne nous correspondait pas. Peut-être était-ce l’esprit festif de nos vacances, couplé avec les quelques verres de vin que nous avions bus dans la soirée, qui nous avaient poussés dans les méandres de ce fantasme. Nous avions un berger allemand que nous avions emmené. Rocky. La référence nous faisait toujours rire tant de par son évidence. Mon fiancé étant un grand fan de Sylvester Stallone. Il devait être minuit passé, peut-être même près d’une heure du matin lorsqu’en regardant Rocky, cette étrange idée nous prit.
Il était allongé sur le parquet du bungalow que nous louions à l’époque. Un grand berger allemand de cinq ans. Je me mis à genoux près de lui, écartant légèrement les cuisses, sentant déjà une drôle d’excitation humidifier mon antre. Je regardais Laurent, mon fiancé, avec un petit air de défi et un grand air dépravé, avant de commencer à caresser Rocky sur son flanc. J’étais à la fois gênée et excitée. Ma main descendit doucement vers son sexe, l’effleurant dans un premier temps, avant de rapidement le prendre bien en main, le branlant dans quelques mouvements habiles de poignet. L’excitation prit le pas sur la gêne. Je sortis son sexe rose de son fourreau et me penchait pour le prendre en bouche, la fraîcheur de la soirée caressant mes cuisses humides alors que je découvrais le goût assez prononcé, presque métallique, du chibre canin. Un goût assez fort qui me fit me redresser après quelques coups de langue. Rocky, pantois, pendant ce temps, se mit à lécher son entrejambe.
Il suffit d’un coup d’œil à Laurent pour voir qu’il appréciait le spectacle.
Je fis donc le tour du chien pour me retrouver face à son flanc découvert et entrepris à nouveau de le branler, le goût ferreux encore en bouche. Une main à la base de son sexe, l’autre le branlant. Je fis sortir son sexe de son fourreau, à plusieurs reprises, le prenant entre mes lèvres à chaque fois, tantôt lui donnant un coup de langue, tantôt l’aspirant goulûment. Je sentais mes seins durcis face à l’excitation alors que Rocky se relevait, sa queue rose bien apparente et dure. Mon fiancé lui donna quelques caresses alors que j’entrepris de me glisser sous la bête, une main caressant ma chatte trempée de désir, mes lèvres suçant ce sexe avec appétit. Son goût était plus prononcé, me laissant avec une substance visqueuse dans la bouche que j’avalais, je sentais des gouttes de son sperme me parsemer le visage. Je me sentais tellement salope à ce moment et plus je ressentais cela, plus cela m’excitait, mes doigts fourrageant entre mes cuisses, exposée à la vue de mon fiancé.
Le chien tremblait de plaisir, sa queue frétillant lorsque je la prenais entre mes lèvres.
Au bout de quelques minutes, je m’extirpais et me remis assise, les cuisses bien écartées, offrant une vue sans pudeur sur ma vulve gonflée de désir, ma nuisette lâche laissant apparaître un de mes seins au téton durci alors que Rocky se léchait avidement le sexe. Je me sentais salope et me mis à quatre pattes. Je le sentis venir derrière moi, ses pattes ayant enserré ma taille, son sexe essayant de trouver un passage entre mes cuisses jusqu’à ce que Laurent l’aide en glissant son chibre entre mes cuisses poisseuses. Je tendis bien le cul pour faciliter cette pénétration et me laissais faire, telle une chienne. Le sexe avec un chien est assez différent. Pas de mouvements de va-et-vient, juste cette sensation d’être prise, sentant la base de son sexe se gonfler, dilatant peu à peu mon sexe et cette première sensation était assez déroutante et plaisante. Je sentais Laurent légèrement pousser le bassin de Rocky contre mon cul, accentuant la sensation de cette pénétration si taboue.
Après deux minutes, je me sentis vide, Rocky s’étant retiré d’un coup, laissant ma chatte béante et avec une excitation sans égale. Je fis volte-face, un sourire coquin et affamé sur les lèvres, une main attrapant la base de son sexe, ma langue venant en lécher le bout. Sous les soubresauts de plaisir, sa queue giclait par petites saccades et je sentais le sperme s’écouler dans ma gorge, barbouiller mon visage, faisant vibrer ma chatte d’un désir plus ardent. Je regardais Laurent avec un air suppliant. J’avais besoin d’être baisée. J’avais besoin d’avoir cette queue autre part qu’entre mes lèvres. Un hochement de tête me fit comprendre qu’il comprenait ce dont j’avais besoin.
Je me mis à nouveau à quatre pattes, ma chatte béante. Il guida le chien à l’opposé de moi. J’en frétillais d’impatience, d’envie. Je sentis ce sexe glisser à nouveau dans ma chatte trempée, les doigts de Laurent contre ma chair sensible me firent comprendre qu’il guidait le chien en moi. Je sentis mes cuisses bouger avant de réaliser que je me laissais aller, allant et venant le long de cette queue sortie de son fourreau, je sentais cette muqueuse canine se mélanger avec ma propre mouille. Je sentais ce nœud canin m’aspirer, me dilater alors que mes cuisses brûlantes de désir continuaient leur ballet infernal. Le temps n’était plus qu’une notion vague. Cela aurait pu durer une minute ou une heure, j’étais prise dans une spirale unique, sortant de cette dernière lorsque je sentis Rocky se retirer de moi, le voyant se glisser dans son panier, me laissant comme une femelle qu’on vient de fourrer, le cul penché, la chatte dégoulinante.
Mon regard glissa vers Laurent, un sourire apparut sur son visage ... ce n’était que le début d’expériences insolites.
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