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Je me souviendrai longtemps de ma dernière séance chez le kiné'....

Chapitre 1

Hétéro
Lors des vacances de printemps, j’ai fait une mauvaise chute à ski et je me suis cassé la jambe droite un peu en dessous du genou... Traitée sur place à Megève, j’ai été rapatriée sur mon domicile à Paris puis c’est le chirurgien d’un grand hôpital qui m’a opérée, placé une broche dans le tibia afin de faciliter la stabilisation de la fracture. Quelques semaines plus tard, ma jambe a été déplâtrée et des soins de kinésithérapie m’ont été prescrits pour retrouver la souplesse de mon genou qui avait été immobilisé plusieurs semaines.
A un peu plus de 40 ans, je ne devais pas prendre cela à la légère et sur les conseils de mon ostéopathe, je me suis adressée à un cabinet où beaucoup de sportifs se rendent quand ils ont des problèmes articulaires ou autres.Les installations sont au Top, avec de nombreux agrès, tables de massage, d’élongation, tapis de marche, etc. même des piscines avec des bains à remous... Je me moquais un peu du prix que cela allait me coûter, mais je voulais absolument retrouver rapidement mon autonomie totale... J’avais été assez longtemps à la remorque des bonnes volontés de mes ami (e)s qui m’avaient aidée à surmonter cette mauvaise passe.En fonction de mes progrès, je passais dans les mains de plusieurs praticiens et au bout de quelques séances, je pouvais conduire à nouveau.
Mais ce n’est pas de cela que je veux vous parler...Il me restait cinq séances à faire et cette fois, le praticien était un super Antillais, un peu plus jeune que moi avec lequel je me suis sentie bien, plaisantant en disant que le ski, ce ne serait plus pour moi pendant quelque temps... mais qu’il y avait d’autres sports !Bruno était un homme charmant, à la faconde prononcée, parfois à la limite de la grivoiserie quand il me racontait, avec force détails, ses frasques de jeune homme avec ses copines de lycée... Nous étions devenus très libres dans nos propos dès la troisième séance et je ne manquais pas de répondre sur le même ton... Chose que je n’aurais jamais dû faire... mais quand je me sens bien et en confiance, j’ai tendance à me laisser aller...
A 40 ans, je même une vie paisible et je travaille à domicile comme blogueuse culinaire... tout en allant faire les photos auprès des chefs et autres participant (e)s... Je mets en ligne ses photos et les recettes « pas à pas » et j’avoue que cela me plaît bien... D’ailleurs, le nombre d’abonné(e)s assez conséquent dans cette catégorie me ravit.
Physiquement, je me trouve assez banale... je suis une femme grande, le visage trop rond à mon goût, mais on me dit que j’ai de magnifiques yeux gris qui vont bien avec mes cheveux blonds cendrés. Ma bouche est pulpeuse avec des lèvres bien dessinées. Ma poitrine est petite à mon grand désespoir... au lieu de mon 90 B, j’aurais voulu avoir la poitrine de ma mère qui au même âge que le mien, avait une paire de seins de folie... 95 D et qui, malgré les années passées, se tient toujours fermement ! Elle se promène encore les seins nus sur les plages et je sais que beaucoup de femmes l’envient... Ma taille étroite s’évase sur des hanches rondes et des fesses bien pommées...
Côté sentimental, je suis satisfaire de ma situation... Je ne peux pas dire que je sois une célibataire endurcie puisque quand le démon de midi est plus fort, je me rends dans un club érotique et je me fais copieusement sauter parfois même en gang bang avec une demi-douzaine de mâles en rut, bien contents de trouver une fille qui soit aussi coopérative. Donc je suis libre et libérée !
J’avoue que j’étais assez fière pour une fois en entendant les compliments de Bruno, mon masseur... Il me disait que trop souvent il voyait des sportives à la poitrine encore plus menue que la mienne... Il me confiait même qu’une athlète bien connue avait fait réduire la taille de sa poitrine et que désormais, elle n’avait presque plus besoin de soutien sauf en compétition.
La dernière séance de Kiné’ était pour ce soir... Lors de la précédente, j’avais été surprise de l’horaire qui en fait, correspondait au dernier créneau de la journée, mais la secrétaire me précisa que Bruno ne serait disponible qu’à cette heure...Lorsque je suis passée dans la salle de massage, j’ai été accueillie chaleureusement par Bruno :
— Ah... Enfin une jolie fille à masser... J’ai remplacé un collègue pour des massages après match d’une équipe de volley... Te voir me fait plaisir !— Merci... c’est agréable à entendre...
Je n’ai pas relevé immédiatement le tutoiement, mais lorsque Bruno a commencé son travail, j’y ai repensé... Nous étions devenus bien familiers et j’ai opté également pour le tutoiement dans nos échanges.

— Aujourd’hui, c’est notre dernière séance... si tu veux, je peux te faire un massage complet... Ton genou n’a plus besoin de moi... Il te faudra quand même y faire attention... Pas trop de stations debout et tout ira bien pour toi.— Qu’entends-tu par massage complet ?— Le dos, les reins, les épaules, partout où tu peux avoir des points de fatigue !— OK... je veux bien, car parfois lorsque je passe beaucoup de temps devant mon ordinateur, j’ai un point entre les deux épaules... ça ne peut que me faire du bien... tu sauras dénouer les muscles qui me font mal...— Oui, mais pour cela, il faut que tu enlèves quelques vêtements... Pour faire travailler ton genou, la jupe ou le bas de la robe ne gênaient pas... il te suffisait de le remonter un peu.— OK... mais je garde quand même mon soutif et mon string ?— Si tu veux !
Le massage entre les épaules a commencé en position assise... Je sentais les mains de Bruno descendre depuis la base de mon cou, aller sous mes aisselles, revenir sur la colonne vertébrale qu’il massait de ses pouces... Je le sentais très proche de moi... et tout en parlant de futilités, il me conseillait des mouvements pour me soulager lorsque je sentirais le point de fatigue entre mes épaules...
— Pour t’en convaincre, regarde-toi dans le miroir en rejetant les pointes des épaules en arrière... cela soulagera ton dos en faisant travailler des muscles qui maintiennent tes omoplates... et... fera ressortir ta poitrine !— Comment ça ?— Ôte ton soutien-gorge et tu vas voir !— Fais-le toi-même... s’il te plaît !
Moins de 30 secondes plus tard, mon soutien-gorge avait rejoint mes autres vêtements sur le dossier d’un fauteuil !
— Mais dis donc, tu as une bien jolie poitrine... à 40 ans, beaucoup de femmes ont des seins un peu avachis et toi, ta poitrine pointe fièrement !— Si tu voyais ma mère... à plus de 60 piges, sa poitrine se tient aussi bien que lorsqu’elle était jeune femme... Je ne sais pas comment elle fait !
Désormais, Bruno était collé contre mon dos et lorsqu’il a passé ses mains sous mes aisselles pour empaumer mes seins, je me suis laissé faire... Si j’avais protesté, il se serait certainement arrêté. Mais qui ne dit mot... consent !Je sentais la présence du corps de Bruno contre le mien... J’étais bien... je le laissais caresser ma poitrine comme bon lui semblait, parfois il pinçait un téton entre ses doigts musclés et le faisait rouler... Peu à pe,u ma libido s’éveillait, je sentais une boule dans mon ventre, j’ouvrais imperceptiblement mes cuisses comme pour donner de l’air à ma chatte qui, je le sentais, commençait à mouiller... d’autant que maintenant, je sentais contre le bas de mes fesses une protubérance dont je connaissais l’origine : Bruno bandait pour moi !Je me suis échappée de son étreinte et en me retournant, je lui ai tendu mes lèvres en pressant mon pubis contre le sien :
— Baise-moi si tu veux... je suis à toi... il y a trop longtemps qu’on ne m’a pas fait l’amour !— Oui... je te veux... mais pas ici... Viens chez moi, j’habite à cinq minutes... Habille-toi pendant que je règle les formalités et attends-moi sur le trottoir.
J’aurais pu fuir... mais j’ai attendu que Bruno sorte et me prenant par le bras, il m’a emmenée chez lui... un peu comme un ravisseur avec sa proie... J’oubliais complètement mon genou et lui aussi...Dès que nous sommes entrés dans son appartement, nous avons été pris comme de folie, nous avons enlevé nos vêtements... plutôt arrachés tant nous étions pressés de nous retrouver nus sur un lit providentiel... Mon masseur avait un sexe de belle taille et il était à moitié bandé sur le devant de son pubis...
— Waouh... quel engin !— Eh oui... je ne fais pas mentir la réputation des noirs même si j’ai du sang asiatique dans les veines !— Laisse-moi le regarder et le sucer... Je ne vais pas laisser passer un tel sexe sans le cajoler !
J’ai plaqué Bruno sur le dos et je me suis agenouillée entre ses cuisses et embouché son sexe qui avait bien du mal à entrer dans ma bouche tant il était volumineux après quelques succions.J’en avais vu lors de mes soirées coquines, mais aucun sexe n’arrivait à la taille de celui de Bruno... Il devait faire plus de 20 centimètres et son diamètre était sensiblement de celui de mon poignet... Son gland rose dépourvu de prépuce tranchait sur sa peau noire... ce qui était encore plus érotique...Je me suis relevée, contente du résultat... Ma fellation faisait bander Bruno, mais je savais ce qui allait se passer.
— T’es clean... moi aussi... je ne suis pas dans la mauvaise période... alors, baisons sans capote !— OK... pas de soucis... je suis clean aussi !— Alors... baise-moi ! J’en ai envie ! Au diable les godemichets avec lesquels je passe mes envies depuis bientôt deux mois et demi !

Je ne vous dis pas quelle soirée j’ai passée.Bruno était particulièrement endurant et patient...Lors de la première saillie, il m’a fait jouir deux fois avant de se lâcher et d’inonder mon vagin de son sperme...Puis il m’a baisée en levrette, et là, je ne vous dis pas quel pied j’ai pris... je sentais son pieu de chair frapper le fond de mon vagin, je passais par des moments de chaleur et des frissons jusqu’à ce qu’il sorte et décharge son foutre sur mes reins !Nous avons passé la nuit ensemble et au réveil, nous avons remis le couvert... et là, c’est moi qui l’ai chevauché. Ma poitrine pressée contre la sienne, son sexe enfoncé dans le mien qui ne demandait qu’à être foré, je montais et descendais sur ce pieu qui me fouillait au plus profond et je me sentais bien... si bien que j’ai joui la première entraînant la jouissance de Bruno...
A aucun moment, il n’y a eu des mots tendres entre nous... Nous savions ce dont nous avions envie : DU SEXE POUR LE PLAISIR DU SEXE !
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