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Spectacle érotique à domicile

Chapitre unique

Voyeur / Exhibition
Intermittents du spectacle, Marc et Karine en eurent un jour assez de vivre de cachetons minables en alternance avec des périodes de chômage. Il fallait sortir de cette vie de précarité. Oui mais quoi faire ? Ils n’avaient jamais fait que jouer la comédie. Alors, Karine eut une idée. Après avoir lu un livre d’un romancier américain, qui l’avait inspirée, elle fit à Marc cette proposition :
— Et si on proposait des spectacles érotiques à domicile ?Marc, d’abord interloqué, demanda des précisions :— Au lieu d’inciter les gens à se rendre dans des boîtes plus ou moins bien fréquentées pour voir des scène de cul, on proposerait de le faire nous-même chez eux, sans témoins.
Marc devint pensif. Qu’il y ait un marché pour ce genre de happening, ça restait à démontrer mais c’était jouable. Le problème est que tout reposait sur lui, sur sa faculté à bander et à honorer sa compagne devant des inconnus. Karine admit l’objection mais rétorqua :— Tu as déjà joué des scènes de nu dans des films, et moi aussi. Certes, c’était soft mais on a passé le stade de la pudeur. En outre, je te rappelle que nous avons déjà fréquenté des boites libertines et même participé parfois à des partouzes. Ni toi ni moi ne sommes des oies blanches. Enfin, je suis payée pour savoir que tu es un as du plumard. Tu avais déjà la plus belle bite du cours d’art dramatique où on s’est connu. Toutes les filles voulaient baiser avec toi et d’ailleurs, tu ne t’en es pas privé, mon salaud. Mais il faut croire que j’étais la plus salope de toutes...
Marc ne put s’empêcher de rire. Effectivement, Karine n’avait jamais été un modèle de vertu dans sa jeunesse. Et lui non plus. Mais voilà, le temps passait à toute vitesse et le couple approchait maintenant de la quarantaine. Karine, prototype de la brune pulpeuse aux seins lourds et aux hanches bien marquées, irradiait de féminité, ce qui lui permettait de temps à autre d’obtenir des rôles disons "légers". Elle était en outre très "branchée cul" comme elle disait elle-même et la libido extrêmement riche du couple avait contribué à la durabilité de leur union. L’un comme l’autre savaient qu’ils avaient peu de chance de trouver le ou la partenaire à la hauteur de leurs besoins de manière durable.— On n’a rien à perdre, conclut Marc. On a vraiment besoin de fric. On peut au moins faire l’expérience, mais si on doit être filmé, ce sera masqué. Je ne veux pas qu’on grille le peu de chances qu’on a encore de sortir de l’anonymat au cinéma ou au théâtre.— Banco. Je m’occupe de trouver le client, répondit Karine.
*********
Quinze jours plus tard, après avoir surfé sur les sites coquins, Karine trouva son premier client. Anonyme bien sûr mais avec une adresse. Après quelques échanges par mail, il fut convenu que le couple se rendrait au domicile du demandeur pour jouer un rôle de composition : une infirmière et son malade.— Du classique, commenta Karine.— Ouais, on a joué plus difficile, mais bon, si ça peut contenter le monsieur... répondit Marc.— J’ai négocié pour cent euros la soirée. J’aurais pu demander plus mais pour la première fois...Le soir venu, le couple se retrouva dans une maison bourgeoise nantie d’une plaque au nom d’un notaire.— J’aurais dû mettre une cravate, rigola Marc.— Tu me donnes une idée, pouffa Karine.
Le personnage était à la hauteur de la fonction : élégant, volumineux, pas très jeune et onctueux. Le couple fut accueilli comme s’il devait visiter une maison pour l’acheter. Le notaire vivait seul. Il proposa un apéritif, qui fut refusé. Il s’agissait d’être au top de ses moyens physiques...Puis le couple fut conduit dans un salon comprenant deux fauteuils et un divan.
— Voilà, c’est ici que ça va se passer, commenta l’hôte. Veuillez vous mettre en tenue dans la pièce d’à côté et jouez. Faites comme si je n’existais pas.
Le couple s’exécuta et dans la pièce voisine, sortit d’un sac ses affaires de "scène", à savoir un pyjama et une véritable tenue d’infirmière : pantalon blanc et blouse de même couleur. Puis il réapparut dans le salon où le notaire attendait. Marc s’allongea sur le divan et feignit d’être malade, en proie à la douleur. Karine virevoltait, sortit du sac quelques fioles et commença à discourir, comme si elle prodiguait un soin réel. Ses seins en obus, son pubis abondant de brune et ses fesses copieuses n’étaient guère dissimulés par la blouse légère. Avec un rien de perversité, le couple fit durer les préliminaires. Mais alors que Karine se retournait, Marc l’attrapa par la cuisse. Elle lui mit une petite tape sur la main mais sans se débattre et la main de Marc prit possession de son entre-jambes. Karine protesta mais sans le moins du monde se dégager et Marc entreprit de la masturber à travers le léger pantalon, face au fauteuil où le notaire ne perdait pas une miette de la scène. Très vite, le pantalon glissa et la main de Marc s’insinua dans la fente de Karine qui ouvrit sa blouse pour se caresser les seins. Légèrement penchée en avant, elle offrait au notaire la vision de sa lourde poitrine aux trois quart découverte. Puis d’un mouvement gracieux, elle se débarrassa de sa blouse et apparut dans sa totale nudité. Un léger grognement sortit de la bouche du notaire. Quel corps ! Puis Karine se retourna, exposant son fessier généreux au regard du client, et lâcha un "oh !" de stupéfaction feinte. Marc avait retiré son pantalon de pyjama et exhibait un chibre monumental. Il ordonna :— Maintenant, suce-moi, salope !
Bien entendu, la pseudo infirmière s’exécuta, penchée en avant, la croupe et la vulve bien en vue du notaire, lequel se déplaça pour observer la succion. Puis Karine s’allongea en position de 69 sur le non moins pseudo malade, jusqu’au moment tant attendu de la pénétration. Chevauchant Marc à l’envers, face au notaire, et le regardant droit dans les yeux, Karine s’empala lentement en gémissant de plaisir. Elle entreprit de profonds mouvements de bassin avant de se mettre sur ses pieds et de s’infliger un pal vaginal qui la fit couiner. Puis elle inversa la position afin d’exposer au notaire la danse de sa croupe. Le client avait ouvert son pantalon et se masturbait maintenant ouvertement. Marc quitta son rôle passif pour devenir franchement actif, exposant son glorieux pénis à la vue du notaire et le fourrant en levrette dans la vulve trempée de sa compagne. Il cogna dur, pétrissant et claquant les hanches de Karine qui accompagnait chaque coup de bite d’un commentaire sonore et particulièrement cru.
 Le couple baisait depuis une bonne demi-heure et il était temps de passer au bouquet final. Karine s’allongea, leva haut ses pieds et Marc l’enfila bras tendus, faisant battre ses couilles contre le giron de sa compagne qui l’encourageait de la voix et du ventre. Karine jouait de ses jambes avec habileté, tantôt pressant le dos de son partenaire, tantôt lui mettant ses chevilles contre ses oreilles, laissant ainsi totalement à découvert la jonction de leurs sexes en fusion pour le regard du voyeur. Il était temps pour Marc d’éjaculer et il se retira vivement pour arroser d’un sperme abondant le visage et les seins de sa compagne, laquelle s’en barbouilla avec volupté. Quand le couple se retourna vers le notaire, il était avachi dans son fauteuil, le visage cramoisi, le souffle haletant, le pantalon ouvert sur un sexe flapi. Son seul commentaire fut : "merci".Le couple s’échappa dans la pièce voisine pour s’essuyer et se rhabiller. Le client avait repris contenance.— Vous m’avez beaucoup plu. Je double votre prix. Mais il faudra revenir.C’est ainsi que Marc et Karine s’en revinrent avec 200 euros en poche pour avoir fait devant un tiers ce qu’ils faisaient habituellement dans l’intimité.— Voilà de l’agent facilement gagné, conclut Karine.— Oui, bon, d’accord, mais reconnais que j’ai assuré, répartit Marc dans un sourire.— C’est vrai et je dois te faire un aveu : j’ai joui, vraiment joui.— Alors, continuons...
*********
Une semaine plus tard, le notaire sollicitait à nouveau le couple. Cette fois, l’exigence était différente. Marc était censé rentrer du travail et Karine s’affairer dans la cuisine. A eux ensuite d’improviser dans cette pièce et uniquement celle-là. Ils arrivèrent donc séparément. Karine avait apporté un tablier dont elle avait couvert sa tenue de ville et faisait mine de laver la vaisselle quand Marc entra dans la cuisine en costume et cravate. Le notaire observait dans un coin. Karine interrogea Marc sur sa journée pendant qu’elle nettoyait des assiettes devant l’évier et il lui répondit en défaisant sa cravate. Puis il l’enlaça par derrière, empauma ses seins sous le tablier et lui embrassa le creux du cou.— Qu’est-ce que tu veux, mon chéri, tu vois bien que je suis occupée.— J’ai envie de te baiser, là, tout de suite...— Tu es fou ! Tu vois bien que je ne suis pas prête. Allez, arrête !
Mais Marc poursuivait son pelotage d’une main tout en défaisant la ceinture de son pantalon de l’autre et son dard surgit, turgescent, prêt à l’emploi, plaqué contre les fesses de Karine qui continuait de protester, mais de manière de moins en moins ferme. Elle lâcha un "oh !" quand Marc frotta son pénis contre ses fesses. Elle ne lavait plus la vaisselle. Cramponnée à l’évier, elle laissait son compagnon opérer ses approches. Celui-ci releva sa robe et insinua sa queue entre ses cuisses. Cette fois, Karine remuait franchement sa croupe tout en se débarrassant de son tablier et laissa Marc lui ôter robe, soutif et slip. Toujours penchée sur l’évier, la croupe tendue, les jambes légèrement écartées, elle attendait le mâle pendant que celui-ci se libérait de son pantalon et de son sweat. Au lieu de la pénétrer, Marc s’assit par terre et insinua son mufle entre ses cuisses, dos à l’évier. Le souffle rauque du notaire se fit entendre dans la pièce. Marc léchait la vulve de Karine à grands coups de langue tout en se masturbant tandis qu’elle se caressait les seins. La tension érotique était à son comble dans la pièce. Puis Karine se retourna et souffla, tout en s’asseyant sur la table, cuisses grandes ouvertes :— J’en peux plus, baise-moi !
Alors, Marc la prit par les pieds et s’enfonça en elle d’une seule poussée, lui arrachant un cri guttural. Le couple se mit à forniquer avec ardeur sous l’oeil du notaire qui avait quitté sa chaise et tournait maintenant autour de la table sans mot dire, la main sur la braguette. Marc dut se concentrer sur son ouvrage afin de ne pas être perturbé pas cette présence d’un tiers, mais Karine, à grands coups de hanches et de mots crus, sut le stimuler suffisamment pour maintenir une érection optimale. Puis elle quitta la table pour l’entrainer sur une chaise où il s’assit, queue en l’air. Là, elle se mit à califourchon et s’empala sur lui en lui tenant à peu près ce langage, tout en virevoltant de sa croupe :— Ah, si je m’attendais à ça ! Tu es vraiment un gros cochon. Dans la cuisine ! Jamais tu m’avais fait ça ! Ah mais c’est bon, oui, oui, j’aime ça, je la sens bien ta grosse bite, surtout reste en moi, oui comme ça, écarte-moi les fesses, mets ton doigt dans mon petit trou, prépare-moi, j’ai envie que tu m’encules ici.Puis elle se leva, attrapa une bouteille d’huile, s’en versa quelques gouttes sur le doigt, graissa son anus et se mit à quatre pattes sur le carrelage, ordonnant à son mâle de venir la sodomiser. Ravi par l’audace de sa compagne, Marc retrouva une nouvelle vigueur, se mit accroupi derrière elle et entra en elle par petits coups avant de s’enfoncer franchement et de faire claquer sa peau contre les fesses de Karine.— Vas-y, encore, jouis dans mon cul ! ordonna-t-elle.
Ce qui fut fait après quelques coups de bite frénétiques. Du moins partiellement car Marc prit soin de garder des gouttes de sperme bien visibles sur le dos de sa compagne afin que le notaire puisse bien juger de son efficience. Celui-ci, pantalon aux chevilles, frottait frénétiquement sa petite queue, les yeux dans le vague et le souffle court. Une fois que chacun eut repris ses esprits, le notaire allongea 300 euros en liquide, remerciant le couple pour sa prestation "exceptionnelle". Il leur offrit même l’apéritif mais Marc et Karine déclinèrent. Ils n’avaient guère envie de s’attarder dans ces lieux et de nouer une relation particulière avec leur client.
********
Plusieurs jours se passèrent, durant lesquels le couple n’eut plus de contact avec leur premier client. " Je me demande s’il n’est pas mort à cause de nous", se demanda même Karine. Pendant ce temps, elle démarcha d’autres voyeurs et obtint quelques contrats, si l’on peut dire puisqu’il s’agissait d’engagements formels. C’est ainsi que le couple se produisit devant un handicapé moteur, devant deux vieux célibataires, devant un couple de quinquagénaires qui les regarda baiser cinq minutes avant de passer lui aussi à l’action sur le canapé voisin et plus brièvement devant une riche rombière qui voulait en fait forniquer avec eux deux, ce qu’ils refusèrent et leur coûta une belle enveloppe de 500 euros chacun. Mais c’étaient des coups ponctuels, si l’on peut dire, et le couple se demandait comment il pouvait développer sa petite entreprise sans pour autant tomber dans le spectacle érotique.
Il en était là de ses réflexions quand le notaire rappela un jour pour demander une nouvelle "prestation" qu’il qualifia de "spéciale". Karine voulait en savoir plus long avant de s’engager. Il expliqua :— Voilà, ma femme de ménage, une brave Portugaise, est trompée par son mari et elle en nourrit du chagrin et du ressentiment. Elle est loin d’être vilaine et je lui ai suggéré de le tromper elle aussi, mais elle n’arrive pas à passer à l’acte. Je voudrais que vous fassiez l’amour devant nous deux pour stimuler sa libido. Que vous lui donniez vraiment envie de sexe.La demande était surprenante. Devant l’hésitation de Karine, le notaire proposa 500 euros. Elle accepta.
Le jour J, une femme brune d’une quarantaine d’années, au visage plutôt austère avec une chevelure de jais ramenée en chignon et des formes abondantes, leur ouvrit la porte. A l’évidence, le notaire avait expliqué ce qui allait se passer et la femme de ménage, prénommée Amalia, les guida sans mot dire dans le salon habituel. Le notaire les attendait et chercha à détendre une atmosphère plutôt crispée en proposant un porto. Exceptionnellement, le couple accepta de partager la boisson avec ses hôtes tout en discutant de banalités. Amalia siffla deux ou trois verres et son visage parut se détendre. 
Marc la détaillait du coin de l’oeil. Il la jugea finalement assez belle femme, pas mal proportionnée avec des jambes fortes et musclées, un buste étonnamment volumineux, des hanches accueillantes. Il enlaça Karine sur le canapé en la regardant droit dans les yeux et entreprit de dévêtir sa compagne. Pendant ce temps, Karine ouvrait la braguette de Marc, libérait son pénis et entreprenait de le sucer. Amalia avait posé son verre et regardait le couple, comme fascinée. Légèrement en retrait, le notaire observait les jeux de regards. Karine et Marc faisaient durer les préliminaires, se caressaient, se branlaient, se suçaient. La poitrine d’Amalia se soulevait de plus en plus vite. Ils choisirent de s’unir devant son fauteuil, sur le tapis, en levrette : face à elle d’abord afin qu’elle lise le plaisir dans leur regard, puis de profil pour qu’elle mesure bien le travail de la bite et enfin de dos afin de voir le cul et les couilles de Marc en mouvement. Quand ils reprirent leur position initiale, Amalia avait dégrafé son corsage et libéré ses gros seins qu’elle caressait en les regardant. Karine et Marc la fixaient tout en s’activant. C’est alors que la voix du notaire éclata :— Baisez-la !
Karine et Marc se regardèrent, un peu interdits. Ils étaient censés se produire devant des voyeurs, pas des acteurs. Mais la situation n’était plus la même qu’avec la rombière friquée. Cette femme portugaise, modeste, ne demandait rien. Du moins en apparence. Mais le regard qu’elle portait sur le majestueux pénis de Marc était éloquent. Celui-ci prit la décision de se relever et de lui brandir son engin devant son visage, pour voir comment elle réagirait. Karine l’approuva du regard (il est vrai qu’elle avait déjà frotté le pénis du handicapé tout en se faisant prendre par Marc en levrette). 
Avec précaution, la Portugaise prit le pénis dans ses doigts et le porta à sa bouche. Sa langue fit d’abord le tour du gland puis, résolument, elle l’engloutit, pompant avec ardeur. Marc pétrissait ses seins gros comme des coussins. Pendant ce temps, Karine la déshabillait entièrement et vint glisser son mufle entre ses cuisses. Léchée en bas, suçant en haut, calée dans son fauteuil club, très ouverte, la femme de ménage, absolument nue, connaissait pour la première fois de sa vie le plaisir du trio, dont elle était le centre. Puis Marc la prit par la main et la dirigea vers le canapé où il la fit mettre à genoux. Son vaste postérieur, avec une raie longue et profonde, s’offrait à sa bite. Il réfréna son envie de la sodomiser, jugeant l’acte prématuré, et se contenta de la pénétrer vaginalement en la tenant par les hanches. La Portugaise se mit à roucouler en proférant des mots inintelligibles mais le balancement de ses hanches généreuses parlait pour elle. Encouragé, Marc martelait le plaisir dans la vulve trempée de la femme de ménage. Le clapot des deux sexes joints et le claquement des peaux se conjuguaient avec les râles de la Portugaise, dont les gros seins ballants jouaient une samba effrénée sous les assauts. Karine prit l’initiative de lui caresser le clitoris pendant que son compagnon limait et les vocalises de la récipiendaire se haussèrent d’un ton très net. Le notaire, la braguette ouverte et le sexe dans une main, s’approcha et fit face à son employée :— Regarde moi. Tu baises, hein, ma petite Amalia ?— Oh oui, oh oui !— Dis que tu baises !— Oui oui je baise !— Tu es vengée de ton mari, hein— Oui oui !— Tu l’aimes sa bite ?— Oui oui !— Dis que tu aimes sa bite— J’aime sa bite, j’aime sa bite !— Venez la terminer au lit, ordonna le notaire à Marc.
Suivant leur hôte, le couple provisoire déambula nu jusqu’à une chambre dont le lit avait été ouvert. Karine suivait, observant l’attitude de la Portugaise, son regard luisant de désir, son épaisse chevelure noire qu’elle avait libérée de son chignon, sa démarche un peu lourde, ses fesses en mouvement, ses seins en suspension, son abondant système pileux frétillant lorsqu’elle s’allongea en écartant les jambes, en attente, ses longs cheveux noirs étalés sur l’oreiller. Marc la pénétra sans transition sous le regard conjoint du notaire et de Karine et la Portugaise croisa ses chevilles sur ses reins, manifestant ainsi sa totale adhésion à l’accouplement. Les rotations savantes de Marc lui arrachèrent une nouvelle fois un flot de paroles incompréhensibles à des oreilles non portugaises, à l’exception d’une phrase qu’elle répétait : "tu es dur... tu es dur..." Et quand il fut évident qu’elle connaissait l’orgasme, Marc la percuta virilement avant de se détacher et d’éjaculer contre ses lourdes mamelles qu’elle frotta avec énergie. Des applaudissements éclatèrent : ceux du notaire débraguetté."Bravo ! bravo !" s’exclama-t-il. Si Amalia en avait eu pour son plaisir, son employeur en avait eu pour son argent. Et c’est ainsi que Marc et Karine s’en revinrent chez eux avec 500 euros en poche.
**************Les plus étonnés de la nouvelle prospérité des deux comédiens étaient leurs propres collègues. Mais leur curiosité se heurtait à un mur. Certains suspectèrent de la prostitution mais ne pouvaient évidemment pas le prouver, d’autant que c’en était pas vraiment. Marc et Karine jugèrent néanmoins prudent de ralentir leurs activités annexes, jusqu’au jour où le couple qui les avait déjà sollicité et qui avait fait l’amour à côté d’eux les appela pour une nouvelle séance, avec à la clé la somme rondelette de 1000 euros. Toujours en dette de cachets, les deux comédiens n’hésitèrent pas longtemps.
L’homme était anesthésiste, la femme cadre, tous deux âgés d’une cinquantaine d’années et vivant dans une maison bourgeoise cossue. Visiblement très portés sur le sexe, ils disaient avoir beaucoup apprécié la "prestation" de Marc et Karine et envisageaient "d’aller plus loin". Il s’agissait d’inverser les rôles. Michel et Mylène (leurs prénoms) feraient l’amour devant eux. Les voyeurs devenaient acteurs et les acteurs devenaient voyeurs. Dans un premier temps, les comédiens jugèrent qu’il s’agissait d’argent facilement gagné, même si le voyeurisme passif n’était pas trop leur tasse de thé. Ils acceptèrent et s’installèrent dans les fauteuils du salon face à une banquette en angle censée accueillir les ébats du couple hôte.
L’homme était du genre sportif, mince, le crâne dégarni. La femme, mince aussi avec des jambes fines, des seins ronds en pomme et une peau constellée de taches de rousseur, faisait plus jeune que son âge malgré quelques rides de visage dues sans doute à une exposition exagérée au soleil. Sans la moindre gêne, ils se mirent à se faire des mamours sur la banquette, ôtant leurs vêtements un à un jusqu’à se retrouver entièrement nus. Ils entamèrent alors un 69, la femme sur l’homme dont le visage disparaissait dans son entrecuisses. De temps à autre, Mylène, tout en pompant, levait les yeux pour attraper le couple de comédien du regard, comme si elle les défiait. Puis elle se détacha et vint d’un même mouvement s’empaler sur le dard de son mari, toujours en regardant le couple.
Entre deux soupirs, elle lâcha :— Alors, ça vous fait quoi de nous voir baiser, petits voyeurs ?— C’est sympa, répondit simplement Karine.En fait, elle commençait à ressentir dans son bas-ventre une sensation qu’elle connaissait bien. Elle tendit la main vers le fauteuil voisin où siégeait Marc et tâta sa braguette. Elle en était sûre : il bandait. Face à eux, le couple multipliait les positions les plus érotiques. Karine ne pouvait plus tenir. Elle reconnaissait dans ce couple de vrais baiseurs. La femme aux taches de rousseur allait chercher la bite de son mari avec une souplesse de hanches et un vice qui faisaient vraiment envie. Elle quitta son fauteuil pour aller ouvrir la braguette de Marc et le sucer. En attendant mieux. C’est alors que Mylène, qui se faisait prendre en levrette, intervint :— Stop ! On ne vous paye pas pour baiser mais pour regarder.Devant le regard dépité de Karine, l’hôtesse ajouta, entre deux coups de bite de son mari :— Mais si vous avez envie de baiser, baisez avec nous.
Les comédiens comprirent qu’ils étaient piégés. Mais primo, ils avaient besoin de fric et deuxio, l’idée de participer à un plan à quatre avec ce couple déluré n’avait rien pour les dissuader. Karine trouvait Michel plutôt séduisant et bien armé tandis que Marc se voyait bien écarteler cette rouquine au tempérament aussi incendiaire que sa chevelure. Voyant l’assentiment des deux comédiens, celle-ci indiqua :— On échange nos partenaires et on fait exactement la même chose. C’est le but du jeu. Pour commencer, les hommes, asseyez-vous sur le canapé et on va vous sucer.Aussitôt dit, aussitôt fait. Assis à côté de Michel, Marc vit Mylène fondre sur sa bite bouche ouverte et Karine faire de même avec Michel. Ce n’était certes pas la première fois qu’il voyait sa compagne baiser avec un autre homme que lui mais cela remontait déjà à un bout de temps, à l’époque de leur vie libertine et partouzarde. Il constata qu’elle avait gardé la main. Au bout d’une longue séance de succion, Mylène attrapa deux préservatifs et les deux hommes se retrouvèrent coiffés en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Du côté féminin, il y avait visiblement urgence. Surtout du côté de la quinquagénaire qui avait visiblement très envie de se "taper" Marc. A peine avait-elle enfilé le préservatif sur la queue de celui-ci qu’elle s’empalait sur lui, tout en invitant Karine à faire de même sur Michel. Et c’est ainsi que les deux femmes se mirent à chevaucher de conserve. Karine, moins enthousiaste que Mylène, prit le parti de prendre son plaisir à la satisfaction de son partenaire, trop heureux d’être honoré par un corps de déesse et fourrant son nez entre ses deux obus. Les deux femmes dansaient sur les bites avec conviction, satisfaisant un besoin autant qu’un plaisir. A la consigne de Mylène, elles changèrent de sens et offrirent leur croupe mouvante à la vue de leur baiseur. On aurait presque dit un ballet. Puis elles se mirent à genoux sur le canapé et invitèrent leur mâle à venir les posséder en levrette :— C’est bon, hein ? souffla Mylène à l’intention de Karine. Il te baise bien, mon Michel ?— Oui, oui, et toi ?— Super ! J’en veux encore, encore, encore...
Et les deux hommes de limer, les mains pétrissant les hanches de leur partenaire tout en regardant baiser leur épouse ou compagne, lesquelles les suivaient aussi des yeux, comme pour vérifier qu’ils étaient à la hauteur. Puis Mylène avertit :— Allez, maintenant, au lit !Les deux couples s’en furent dans la chambre où les attendaient un lit king size. Mylène invita Karine à s’allonger en travers du matelas, à côté d’elle.— Et maintenant, faites-nous jouir ! ordonna-t-elle aux deux hommes, en attrapant Marc par la main, manière de renvoyer Michel à Karine.Marc prit la rousse par les pieds et posa son gland à l’entrée de sa vulve avec facilité : le lit était juste à bonne hauteur. Puis il la plia en porte-feuille et s’enfonça en elle recta en matant ses seins ronds couverts de taches de rousseur. Mylène manifesta verbalement son contentement tandis que son mari pénétrait Karine. Celle-ci avait pris une résolution : se livrer à fond pour hâter l’éjaculation de Michel, qu’elle sentait mollir. Alors que Mylène célébrait la raideur du pénis de Marc, Karine stimulait Michel à coups de "vas-y, viens, jouis en moi..." en roulant les hanches et en pressant le dos de son amant de ses talons. Au fond d’elle-même, Karine était un peu agacée de voir Marc pilonner Mylène avec autant d’ardeur et d’entendre celle-ci louer sa virilité alors que Michel était de plus en plus dans l’incapacité de la faire jouir. 
Autant alors en finir le plus vite possible et elle le bombarda de mots crus qui finirent par le frapper au cervelet et le faire éjaculer dans sa capote, sans même qu’il ait eu le temps de la retirer pour lui faire profiter de son sperme. Il s’allongea, épuisé et en sueur, regardant son épouse prendre son pied, et même un énorme pied. Elle bredouillait des mots incompréhensibles pendant que son amant la fouillait inlassablement, dur, pointu, virevoltant du bassin. Quand il fut évident qu’elle connaissait un orgasme ravageur, Marc se retira, arracha sa capote et l’arrosa d’un sperme épais et copieux dont elle se badigeonna les seins et le visage. Une vraie crème de beauté...
*******
Après avoir pris une douche, bu un coup et empoché ses 1000 euros, le couple s’en retourna chez lui dans une atmosphère légèrement tendue. Karine reprochait à Marc de l’avoir laissée en plan et d’avoir réservé son sperme à leur cliente.— Je lui devais bien ça, non ? On a quand même été bien payés. Et puis, bon, c’est une vraie cochonne, comme on les aime tous les deux et ce n’est pas de ma faute si son mari n’a pas totalement assuré.— N’empêche que je ne sens plus trop ce petit jeu. Je n’ai pas envie que tu deviennes gigolo et moi de faire la pute. Un jour ou l’autre, on va avoir des ennuis.
Marc reconnut le bien fondé de l’argumentation. Mais il y avait la question de l’argent. Heureusement, les événements permirent à sortir le couple du dilemme. Au cours d’un énième casting, Karine fut choisie pour incarner au cinéma une femme qui abandonnait provisoirement le domicile familial pour vivre une aventure sexuelle. Elle avait obtenu le rôle parce qu’elle acceptait de se montrer nue sans doublage et de simuler un coït assez réaliste avec l’acteur principal. Le film obtint un réel succès et Karine se vit proposer d’autres rôles de premier plan, avec la complicité de l’acteur principal, très influent chez les producteurs. Ce que personne ne savait, c’est qu’au cours de la fameuse scène de l’acte sexuel simulé, répété à plusieurs reprises, l’acteur avait fini par pénétrer réellement Karine laquelle n’attendait plus que ça, tant elle était échauffée. L’acteur avait même éjaculé en elle et Karine n’avait eu aucun mal à jouer l’orgasme, et pour cause. La couette avait heureusement dissimulé la réalité de la pénétration. Bien entendu, les deux acteurs n’en avaient soufflé mot et on en était resté là mais ce genre de situation crée des liens... Marc devint l’agent de Karine, et le couple n’eut plus de problème de trésorerie ni la tentation de créer un spectacle propice aux dérapages.
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