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Spectateur d'une expérience cougar qui dérape

Chapitre 1

Hétéro
L’épisode qui est ici raconté provoque à la fois pour moi la plus grande répulsion et en même temps la plus grande excitation et sa seule pensée suffit à me provoquer une érection très puissante accompagnée d’une sensation de malaise.Ce jour là, j’ai vu ma mère se faire baiser.
J’avais alors 23 ans et je devais passer chez un ami de mon petit frère, plus jeune de trois ans, pour récupérer du matériel qu’il lui avait été prêté. Ma mère m’avait proposé de m‘y déposer vu que je n’avais pas à y rester longtemps. L’ami de mon frère avait à peu près le même âge que lui, 19-20 ans, et se trouvait seul chez lui à ce moment-là. Il nous invita diligemment à entrer et nous proposa à boire, prétextant que ces parents allaient bientôt rentrer et qu’ils seraient ravis de voir ma mère qui était de leurs connaissances.Je participais peu à la conversation mais je vis le ton de celle-ci changer très vite, passant d’aimables banalités auxquelles ma mère donnait un ton plutôt maternel à une conversation avec davantage de tension puisque le jeune ami de mon frère commença à draguer effrontément ma mère par des phrases pleines de sous-entendus. Cela me sidéra d’abord de l’entendre, et encore plus de voir ma mère entrer dans son jeu. Il faut dire que ma mère vit seule depuis un moment après avoir quitté mon père et ne semble pas forcément pressé de retrouver quelqu’un, elle ne fait pas spécialement d’effort sur ses tenues ou son apparence pour le faire penser en tout cas. Aujourd’hui encore je ne m’explique pas le coup de folie qu’elle a eu de se laisser draguer ainsi par un garçon de l’âge de son fils, peut être a-t-elle voulu donner la sensation d’être dans le coup et de donner dans « l’expérience cougar »? A-t-elle cédé à une impulsion qu’elle a tout de suite regrettée ?La conversation pris un tour très précis, l’ami de mon frère se montrant de plus en plus à l’aise dans sa position de dragueur, parlant à ma mère comme il draguerait une jeunette en boite de nuit. Je me sentais mal à l’aise d’être spectateur de ça et j’interrompais leur jeu de séduction pour demander où étaient les toilettes. Le jeune mec m’indiqua le fond du couloir, après les chambres, en me disant que je pouvais regarder au passage dans la salle de jeux si des jeux-vidéos de sa collection m’intéressaient. Je passais un long moment aux toilettes, espérant que ma mère aurait enfin coupé court à la conversation à pentes glissantes sur laquelle elle s’était engagée. Quand je ressortis des toilettes, je t’entendais plus rien et fut rassuré un moment, pensant que ma mère m’attendait à l’extérieur. Je passais rapidement dans la salle de jeu, laissant son regard trainer sur la pile de jeux de console et en pris un presque au hasard, histoire de montrer un intérêt alors que mon esprit était encore troublé par le comportement de ma mère. Je regagnais le salon et n’y trouvais personne, je jetais un coup d’œil dehors sans obtenir plus d’information. Je retournais dans le couloir et en passant devant la porte entrouverte d’une chambre, un bruit d’étoffe qui glisse attira mon attention. Jetant un œil dans l’entrebâillement je me figeais sur place devant un spectacle inattendu : assis au bord de son lit, le jean descendu à mi-cuisse, l’ami de mon frère était en train d’astiquer une verge en érection de belle taille face à ma mère à demi-nue, en train de retirer gauchement ses derniers vêtements, rougissante et gênée comme une petite fille prise en faute.Je reculai précipitamment pour me dérober à leur vue, la bouche sèche soudainement remplie d’un goût amer et l’estomac tordu. J’entendis alors la voix de l’ami de mon frère, son ton n’était plus gouailleur ou charmeur, il était dur et ne semblait pas accepter les protestations.« Viens là ! »Quelques bruits de pas et les lattes du lit qui craquèrent légèrement me firent comprendre que ma mère avait du monter sur lui pour s’empaler sur sa verge. Je reculai encore et me cachait dans la salle de jeu. Mon cœur battait à cent à l’heure, renforçant l’impression de nausée et les pensées se bousculaient dans ma tête : « comment ça a pu arriver, » « mais que fait ce mec à ma mère ? » « Pourquoi il fait ça ? » « …et il n’a pas mis de capote ! »Je restais bras ballant, sous le choc, pendant un moment, prenant conscience assez tardivement de l’érection qui me tordait le sexe, coincé dans mon jean fermé. J’entendis un petit couinement étouffé en provenance de la chambre. Je résistais quelques secondes à la tentation puis je retournais à pas de loup dans le couloir. Et je jetais un bref coup d’œil dans la chambre, renforçant à la fois ma nausée et mon érection face au spectacle encore une fois sous mes yeux : le mec avait placé ma mère à quatre pattes sur le lit et la chevauchait dans une levrette profonde sans la ménager. Ma mère poussa un autre couinement ridicule et je ne reconnu par sa voix. L’ami de on frère lui asséna une grande claque sur les fesses puis tourna les yeux vers la porte d’un air de connivence. Il savait que j’étais là et que je regardais ! Je repris la fuite vers la salle de jeu.Arrivé dans la pièce, je me sentais toujours aussi nauséeux et excité mais aussi au bord des larmes. Je devais trouvais quelque chose à faire pour détourner mon attention de ce qui se passait dans la pièce à coté ! J’appuyais en désespoir de cause sur le bouton d’allumage de la télé, espérant couvrir par le son d’une émission quelconque les gémissements de ma mère. Mais la télé m’afficha un écran noir, jouant avec la télécommande, j’essayais de mettre une chaine sans résultat, je zappais sur les différents canaux mais la télé ne semblait pas relié à une antenne, elle ne devait servir que pour les jeux-vidéos me suis-je alors dit. Je zappais machinalement quand je tombais sur une chaine m’affichant quelque chose. Et je fus plus que surpris encore une fois ! L’image diffusait ce qu’il se passait dans la chambre à coté grâce à une webcam reliée. Je voyais le lit et ma mère avait le visage tournée vers moi, une grimace torturée barrant son visage.Ce salaud était en train de s’enregistrer en train de baiser ma mère. La rage me saisit un instant mais ne sachant que faire, je restais face à la scène répugnante se passant sous mon regard excité. Toujours en levrette, il s’arrêta soudainement d’aller et venir pour viser un autre orifice si j’en crois le sursaut et la surprise horrifiée que je vis se peindre sur le visage de ma mère. Elle tenta un instant de se dégager, je l’entendis alors parler :« Oh laisse toi faire ou tu auras encore plus mal. »La seule réponse de ma mère fut encore un petit couinement d’animal effrayé et terriblement soumis. L’introduction de cette queue dans le cul de ma mère ne sembla pas être une mince affaire, les larmes aux yeux et l’érection dure comme du fer, je regardais ma mère souffrir pour finalement accepter la grosse bite en elle.Il commença à aller et venir reprenant vite le chevauchement violent que j’avais vu auparavant, attrapant ma mère par les épaules pour bien lui enfoncer son sexe jusqu’à la garde dans ses entrailles. Elle émettait parfois un petit râle de vaincue, le laissant disposer de son cul comme d’un morceau de viande. Tout en continuant son va-et-vient, il lui demanda sur un ton de conversation :« Tu es ménopausée ? »Elle eut l’air surpris et un peu hagard et ne répondit pas. Il lui donna un grand coup de rein, ajoutant :« Alors, réponds ! « « …Oui. » lui répondit tête d’une voix sourde, comme chargée de sanglots.« Cool je peux juter tranquillement dans ta chatte alors. »Joignant le geste à la parole, il sortit sa bite de l’anus pour la glisser dans son vagin. Très vite il prit un rythme effréné, la défonçant sans ménagement jusqu’à jouir dans sa chatte avec un grognement satisfait tandis que ma mère semblait subir les choses, totalement hagarde et dépassée.Comme foudroyé, je regardais les yeux légèrement exorbités, ce mec souiller ma mère de sa semence. J’étais presque aussi hagard qu’elle. C’est alors seulement que je remarquais un petit sigle en bas de l’écran indiquant une « diffusion vers l’extérieur », la vidéo était retransmise sur internet ! Des gens étaient en train de mater ma mère se faire tringler comme une pute !Quand il eut fini de vider ses testicules dans le vagin de ma mère, il descendit du lit en poussant un soupir de contentement. Ma mère resta à quatre pattes, comme sonnée par l’expérience qu’elle venait de vivre. Il se plaça alors devant elle, la bite au niveau son visage.« Nettoie-moi un peu maintenant. »Elle eut un geste de recul encore une fois, tentant de se dérober, mais il l’attrapa par la nuque et approcha son sexe de ses lèvres.« Avec ce que tu viens de prendre, tu vas pas faire ta mijaurée ! »Elle prit le gland encore dur dans sa bouche et le lécha timidement avec difficulté. Plaçant ses deux mains de chaque coté de la tête il lui enfonça d’autorité le sexe en bouche, rapprochant le nez de ma mère de son pubis pour qu’elle le prenne en bouche, le plus profondément possible.« Voilà, nettoie bien avec ta langue et suce-moi mieux que ça. »J’entendis alors des bruits de déglutition difficile et d’étouffement et au bout d’un moment qui me sembla une éternité, il lâcha finalement la tête de ma mère.« Rhabille toi, je dis à ton fiston que tu arrives. » lui dit il en repassant un boxer puis son pantalon.J’éteignis précipitamment la télé alors que ma mère sur l’écran cherchait des yeux ses affaires éparpillées sur le sol. Je me plaçais face à la pile de jeux, essayant de donner l’air de m’intéresser à ça en étant étranger au reste. L’ami de mon frère rentra dans la pièce, je surpris sur son visage un sourire goguenard et son regard glissa sur l’érection qui déformait encore mon jean.« Ta mère arrive » me dit –il sobrement sans ajouter de commentaires.Ravalant les larmes et la nausée que je sentais dans ma gorge, je me dirigeais vers la porte d’entrée pour finalement sortir, en me disant que l’air frais me ferait du bien. Ma mère arriva au bout de cinq minutes, les yeux rouges et l’air perdu. Je ne dis rien et elle non plus et nous regagnâmes la voiture.
Nous n’avons jamais parlé de cet épisode, même s’il doit rester présent dans nos esprits à tous deux. Je ne pense pas qu’elle sait qu’elle a été filmée, et que j’ai tout vu via un écran. Elle ne sait pas non plus que ce petit salaud ne l’a pas seulement baisé comme une trainée mais partagé avec des milliers de gens sur le web.
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