Je reste accroupie au sol, la chemise ouverte et maculée de salive, les seins offerts. Ma minijupe est remontée sur mes hanches, dévoilant mes fesses, j’ai les jambes ouvertes et on peut clairement voir mon excitation tant l’intérieur de mes cuisses est mouillé. Je suis sur le point de réaliser un de mes plus gros fantasmes et rien qu’à cette idée, mes mains repartent à l’aventure sur mon corps.Dans l’entrée de notre maison, j’entends la voix de Fred accueillant ses confrères et les retenant pour leur expliquer la situation. Il doit y avoir quelques invités de plus car je l’entends s’étonner de la présence de certains, la pression monte et j’ai l’impression que ma chatte devient inondée. Mon homme leur explique que je suis affamée de sperme et que je suis à moitié nue dans le salon. Fred finit ses explications en leur disant qu’avant de travailler, ils allaient se vider les couilles. J’entends clairement les commentaires salaces des gens dans l’entrée de la maison et cela m’excite davantage encore quand je vois des ombres se préciser dans l’entrée du salon.Un premier mec arrive, je suis en train de me caresser la chatte des deux mains, écartant mes lèvres et tirant sur mon clitoris. Mes bras plaqués sur mon corps font bomber ma poitrine. Il n’a pas les yeux assez grands, il marque un temps d’arrêt mais il est, finalement, obligé d’avancer vers moi car derrière les autres arrivent. C’est un véritable défilé de jeunes hommes aux yeux écarquillés que je vois envahir le salon. Finalement, fermant la marche, mon homme arrive, ils sont arrivés à huit, plus ou moins beaux et bien faits mais ce n’est pas ce que je recherche. Fred s’approche de moi et dégrafe son bermuda qui tombe au milieu de la pièce. Au passage, un mec s’est emparé de mon string qui dépassait de la poche et il le renifle. Le minuscule bout de tissu fait le tour de la pièce en quelques secondes tandis que mon homme me présente son sexe à lécher. Sans retirer les mains qui me caressent, je commence à lécher les couilles de mon chéri, je les gobe puis je remonte sur sa tige. Les spectateurs se rapprochent, je crache sur le membre dressé de mon homme et lui, m’attrape les couettes pour recommencer à me limer la gorge. Les commentaires vont bon train, mon homme les encourage à se mettre à l’aise. Ma salive monte de nouveau et ma vue se trouble par les larmes qui envahissent mes yeux mais je suis bien, offerte à une meute de loups enragés. Autour de moi, j’entends des boucles de ceinture, des fermetures éclairs, des bruits de tissu. Une boule explose dans mon ventre, j’ai de nouveau un orgasme mais il est étouffé par la bite de mon homme qui, au même moment, me rempli la bouche de sa semence. Il vient d’éjaculer cinq gros jets de sperme dans ma bouche, le dernier ayant dérapé légèrement sur ma joue. Il a lâché mes cheveux et, en ouvrant les yeux, je vois qu’il s’est reculé pour m’admirer, tout comme les autres que je découvre bites en mains. Je suis toute tremblante et surexcitée, j’ai la bouche remplie de sperme et suis offerte en pâture à 9 hommes en chaleur qui se branlent devant la petite cochonne que je suis. Mon homme a tenu sa promesse, ma bouche a reçu une bonne quantité de sperme. Pour exciter l’assistance, je décide de jouer avec ce jus. J’ouvre la bouche et le fait rouler plusieurs fois en veillant à croiser tous les regards pervers de ces inconnus. J’avale d’une gorgée l’éjaculation de Fred puis ouvre de nouveau la bouche pour faire constater mon exploit. De son doigt, mon homme, vient essuyer la coulée de sperme qui perle sur ma joue et me le donne à sucer. Une fois son index nettoyé, il me tend la main pour que je me lève et me fait traversé la pièce pour m’allonger sur la table de salon. C’est une table basse, mais pas trop, en chêne, assez large et nous y avons souvent fait l’amour. Dans un premier temps, j’en profite pour déboutonner ma minijupe et m’en sers pour m’essuyer les yeux puis il me vient une idée. Je me redresse, je roule ma jupe pour m’en faire un bandeau et m’en couvre les yeux. Ensuite, je décide de retirer ma chemisette et je tends mon vêtement à quelqu’un puis je me retourne en croisant mes mains dans le dos. Je me penche en avant pour accentuer ma cambrure et faciliter la vision à tous. Mes mains se retrouvent nouées par ma chemisette. Sans un mot, je m’allonge sur la table en écartant mes cuisses au maximum. Mes mains prisonnières sont plaquées sous mes fesses. J’ouvre ma bouche et m’amuse à passer ma langue sur mes lèvres en gémissant. L’invitation est lancée.Très vite, je sens des mains se promener sur mon corps, cela m’électrise, je suis envahie de frissons. Je sens mes tétons pointer, ma chatte devenir brûlante. Ce sont maintenant des langues qui viennent se poser sur chacun de mes seins. Le plaisir monte et me fait soulever le bassin malgré moi. Je sens des mains se poser sous mes fesses et une bouche vient se poser sur ma chatte. C’est sans doute ce petit mec avec le bouc qui est déjà venu plusieurs fois chez nous. J’ai souvent été gênée par son regard quand il passait prendre l’apéro avec Fred mais sans lui en tenir rigueur car je sais que mon homme aime qu’on me regarde. Je sens les poils de sa barbe sur ma chatte mais surtout, je sens sa langue qui s’introduit en moi. Il me soulève les fesses pour mieux me pénétrer de sa langue. Ses doigts se baladent dans ma raie et frôlent mon anus. Je gémis par l’action simultanée de toutes ces langues et mains mais mes gémissements sont vite assourdis par une bite qui se présente à l’entrée de ma bouche. Sans hésiter, je la suce et l’avale autant que je peux malgré qu’elle ne sente pas très bon. Son goût trop salé est vite oublié au bout de quelques succions dont je suis experte. C’est une nouvelle bouche qui se présente sur ma chatte, plus audacieuse. La langue de ce mâle se promène de mon clitoris jusqu’à mon anus et tente systématiquement de s’introduire dans le moindre orifice. Je me sens très humide et un courant d’air frais me parcoure l’entre jambe quand cette bouche s’éloigne de moi. La bite qui m’envahit la bouche est prise de sursauts significatifs d’une proche jouissance. J’accélère mon mouvement sur cette tige et de longs filets de sperme m’arrivent par saccade. Il y en a tellement que je suis obligé d’avaler au fur et à mesure qu’il se vide en moi. Une main s’active sur mon clitoris et un orgasme bien plus puissant que les deux précédents me parcoure le corps. Je sens une flaque humide sous mes fesses, mes mains baignent dans un liquide chaud, je crois que ma chatte vient d’éjaculer. C’est la première fois que cela m’arrive et j’ai hâte de pouvoir recommencer. Une nouvelle bite investit ma bouche, plus grosse et celle-ci sent bon. J’ai un peu de mal à la prendre entière, je ne suis pas habituée à ce calibre là. L’homme se positionne différemment, il tire mon corps vers le haut de la table et je me retrouve avec la tête dans le vide. Ma bouche n’est plus qu’un trou qu’il baise de plus en plus profondément. Des bruits de succions sortent de ma bouche. Des flots de salive m’envahissent le visage. J’ai son gland dans le fond de la gorge. Une autre sexe se présente à l’entrée de ma chatte et parcoure mon sillon de bas en en haut. Je ne connais ni sa grosseur, ni sa longueur, ni même son propriétaire mais j’ai une folle envie qu’il me prenne. Le gland entre et ressort timidement de ma chatte sans la pénétrer totalement et cela me frustre, tellement j’ai envie de le sentir en moi, tout entier. Mon entrecuisse est inondé et ce gland joueur n’arrange rien. J’aimerai donner un coup de bassin pour qu’il me pénètre mais ma position ne me le permet pas. Des mains me parcourent le corps, le plaquant sur la table et l’homme qui me pilonne la bouche me tient la tête fermement. Je sens maintenant ses couilles qui tapent sur mon front. Je les imagine bien remplies. Cette pensée me fait oublier, une fraction de seconde, la bite qui se frottait contre ma chatte et qui, je le sens, tente maintenant de forcer mon petit trou. Avec mon homme, nous pratiquons souvent la sodomie, il me l’a fait découvrir et j’adore ça. Son gland et mon anus sont tellement lubrifiés qu’il n’a pas de mal à s’introduire en moi, d’un seul coup. Je me sens embrochée de part en part. Je sens un filet de sperme chaud atterrir sur ma poitrine mais j’oublie vite ce « gâchis » en sentant cette grosse bite se vider en sortant de ma gorge. J’ai l’impression qu’il a joui directement dans mon estomac tellement il m’a prise profondément. Plusieurs jets de semence arrivent, tout de même, dans ma bouche quand il se retire. Son jus est épais comme j’aime. Le type secoue sa bite en la tapant sur mon visage, il continue à jouir. J’ai la sensation d’avoir le visage recouvert de sperme (chose que je n’apprécie pas forcement). L’homme qui me sodomise s’active depuis quelques minutes. Il a pris mes jambes et m’a soulevé le bassin pour faciliter sa pénétration. J’ai la bouche libre et j’en profite pour demander à Fred de détacher mes mains. Je meurs d’envie de récupérer ce sperme sur mes seins et mon visage. Quelqu’un tire sur ma chemise, je ne sais pas si c’est mon homme mais mes mains sont libérées. Aussitôt, je m’applique à récupérer tout ce sperme et le porte à ma bouche. Jusqu’ici, tout s’est déroulé sans un mot mais les hommes redoublent de commentaires en me voyant sucer mes doigts. Je les entends me traiter de cochonne, salope, garage à bite. Cela m’excite, je ne peux pas m’empêcher de me caresser. J’ai introduit quatre de mes doigts dans ma chatte. Je sens le sexe inconnu qui coulisse dans mon cul à travers la fine paroi. Je jouis très vite et l’homme qui me sodomise se vide dans mes intestins.A partir de cet instant, tout s’accélère. Je me met à genou sur la table et plein de bites se présentent à moi. Je branle, je suce autant que je peux. Quand un homme est prêt à jouir, on me tire par les cheveux par m’attirer à lui. J’ai la mâchoire qui me fait mal mais je continue. J’avale quatre ou cinq éjaculations en moins d’une minute. Je sens que mon visage et mes seins ont encore été arrosés donc je m’applique à tout nettoyer. Un homme fait remarquer aux autres que du sperme sort de mon cul. Je pousse un peu pour en faire ressortir un maximum et porte le tout à ma bouche. Une fois toute cette semence engloutie, on m’attrape et on me fait descendre de la table. Je marche quelques pas puis je suis arrêtée par un obstacle, sans doute la table en verre de la salle à manger. Je suis poussée en avant et n’ai d’autre choix que de me pencher mais je suis pleinement consentante. Ma poitrine est plaquée contre ce verre froid, on m’attache, de nouveau, les mains dans le dos et le défilé infernal commence.Tour à tour, les hommes viennent me baiser ou me sodomiser sans aucune douceur. Ils jouissent chacun leur tour dans mes orifices. On me claque les fesses en m’insultant. On me tire les cheveux. Je suis complètement soumise à ces inconnus. Je suis remplie de sperme mais ma jouissance ne se manifeste plus. C’est seulement quand on me détache que je suis autorisée à me caresser. J’imagine que tous les hommes sont disposés en cercle autour de moi. Moi, je suis à genou, par terre. Je me caresse en alternance le cul et la chatte. Je suce mes doigts sous les commentaires dégradants mais j’adore ça. Je sens monter un terrible orgasme, mes doigts que je lèche deviennent de plus en plus humides. Une bouffée de chaleur m’envahit et je sens ce même flot humide et chaud couler le long de mes cuisses. J’ai l’impression d’uriner mais en fait, je jouis. Je ne peux retenir un râle de plaisir qui sort de ma bouche. Ma petite chatte vient d’éjaculer pour la deuxième fois. Je m’effondre au sol dans ma flaque de mouille.Un homme me soulève et me porte. Il est guidé par mon chéri, je suis emmené dans la salle de bain et déposée dans la baignoire. Un mince filet d’eau coule sur moi. Je reprends mes esprits. Je suis seule. Je n’entends que l’eau couler puis des claquements de portières et des voitures qui démarrent. Quelques secondes après, Fred entre dans la salle de bains. — Ça t’a plu ma chérie ? — Ho oui mon amour, ils m’ont tuée. C’était trop bon. — Nous avons fini nos échanges de musiques pendant que tu dormais. Ils viennent de partir. Merci mon amour pour ce cadeau et tous les autres, j’ai hâte que tu me lises sur ce site.Je t’aime.Adeline
