Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 44 J'aime
  • 5 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Du sperme dans les écailles

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Me voilà encore une fois enfermé dans cette hutte, la hutte dans laquelle les Lamias m’enferment quand elles n’ont pas besoin d’assouvir leurs pulsions avec mon corps. Les Lamias ? C’est un genre de jeunes femmes, avec un massif corps de serpent commençant au bas du torse.
Je suis arrivé ici, dans les entrailles de la terre, à l’époque où j’étais réparateur dans le domaine des brise-glace au nord de la Russie.J’avais commencé ce job à 18 ans, espérant me faire un maximum d’argent avant de rentrer en France, mais finalement je ne suis pas parti car je me suis vraiment attaché au métier et aux collègues. J’ai travaillé ainsi durant trois années consécutives.
Je devais rendre visite à ma famille en France pour les vacances de Noël, un seul dernier trajet était à assurer avant mon départ pour le pays.Ce trajet était assez banal ; un bateau partait de Mourmansk en Laponie et nous devions réparer touts les potentiels dégâts jusqu’à son arrivée à Kharasavey en Sibérie. Ce navire transportait des matières premières en direction d’une usine, mais également un puissant générateur électrique dont avait besoin la ville pour pallier les nombreuses coupures de courant auxquelles elle est très fréquemment exposée.
J’embarquai donc un beau jour de décembre sur ce brise-glace, au beau milieu de la nuit polaire.Le trajet s’avéra être une catastrophe : la coque fut d’abord endommagée par des rochers, puis elle céda le lendemain face à un iceberg dissimulé. Seul survivant du naufrage, je me suis enfui dans la nuit polaire mais je suis malencontreusement tombé dans une crevasse et je me suis évanoui.
Quand je me suis réveillé, j’étais ici, sous terre, assujetti aux Femmes-Serpents.
Les Lamias se nourrissent de semence humaine, et en tant que seul producteur en ce lieu, je leur sers de sac à sperme. Elles prennent également beaucoup de plaisir à me malmener et se servir de moi comme d’un véritable esclave. Ce sont de très vicieuses créatures.
Je fus alors coupé dans mes réflexions par l’arrivée dans la hutte de Lacerta, une belle jeune Lamia aux écailles vert pomme.Elle ne dit rien et commença directement à s’enrouler autour de moi avec son bas de serpent.
— J’ai faim, sale mammifère.— Tout ce que vous voudrez, puissante Lamia.
Sans attendre, elle saisit fermement mon sexe d’une main et commença à me masturber de façon lente et ferme.Ses anneaux m’étouffait légèrement, elle me tenait fort ; plus aucun moyen de bouger dans cette position. Elle me léchait doucement le visage de sa langue très longue, visqueuse et bifide. Elle accéléra un peu la masturbation manuelle et mit le bout de sa queue dans sa bouche, salivant dessus.Je savais ce qu’elle faisait : elle la lubrifiait...
Sans surprise, je sentis le bout de sa queue s’introduire dans mon anus, ce qui me fit légèrement gémir.
— T’aimes ça, hein ? T’es vraiment un dégueulasse, me dit elle en commençant à faite des va-et-vient avec sa queue tout en me masturbant plus rapidement.
Cela me fit encore gémir, plus fort, ce qui poussa Lacerta à utiliser sa dernière main pour me faire taire en me la collant sur la bouche.
Je bandais dur sous sa main délicate, et mon anus se dilatait sous les va-et-vient toujours plus violents de sa queue.Je sentais que j’allais bientôt jouir.
— Je... je vais jouir, puissante Lamia Lacerta.— Déjà ? Il t’en faut toujours aussi peu...
A ces mots beaucoup de sperme jaillit de mon gland, se déversant sur le sol. Quand elle le vit, elle me jeta violemment contre le mur, tel un objet ; c’était d’ailleurs comme ça qu’elle me considérait. Elle but la semence écoulée sur le sol, et avant de partir elle lâcha :
— Mammifère dégueulasse, tu n’es qu’un sac de sperme. Tu resteras un sac de sperme !
Puis elle quitta la hutte.J’avais à peine le temps de reprendre mes esprits que déjà deux Lamias entraient dans la pièce et me traînaient par les pieds.
— Guttura veut te voir, mammifère.— Guttura ?— Oui, Guttura. Quel sourd, ce stupide mammifère !
Guttura était en quelque sorte la "reine" de cette tribu de Lamias. Elle était plus grande que les autres et avait des cheveux d’une étrange couleur vert fluorescent.
Les deux Lamias me traînèrent dans la grotte où résidait Guttura, puis elles me jetèrent au bord d’un genre de "piscine" ou de "bain" verdâtre de vase et plein de vapeur ou était plongée à moitié Guttura, telle une jeune femme dans un jacuzzi.
— Te voilà, esclave... dit elle en me regardant.— Oui, glorieuse et puissante Lamia Guttura.— Viens donc prendre le bain avec moi, dit elle d’un ton narquois
Sur ces mots, un bout de queue me saisit les pieds et m’emporta dans l’eau. Je ne vis rien sous la surface, si on excepte le vert de la vase.La queue me traîna alors jusque devant Guttura.
— Vois-tu cette divine poitrine, mammifère ? me demanda-t-elle en me tenant fermement avec sa queue.
Ça oui, je la voyais, cette poitrine nue divinement ronde et ferme, et ce tatouage de dragon sur un de ses seins.
— Oui je la vois, glorieuse et puissante Lamia Guttura.— Eh bien prends-en, mammifère.
En l’espace d’une seconde sa queue m’avait soulevé et je me retrouvai la tête noyée dans sa poitrine.Je ne pouvais rien faire d’autre que me laisser faire, alors c’est ce que je fis. Je restai la tête plongée dans sa poitrine durant plusieurs minutes. J’en profitai pour humer sa peau, frotter la mienne contre la sienne, puis j’ai donné un petit coup de langue entre ses seins.Lorsque le coup de langue est advenu, elle m’a retiré la tête de sa poitrine et m’a soulevé devant elle.
— Tapette, c’est comme ça que tu lèches ? Pfff...
Elle sortit sa longue langue de serpent et me donna un petit coup sur mon gland, déjà débordant de liquide séminal. Cela me fit bander dur. Elle avait l’air amusé par mon érection. Sans prévenir, elle me rapprocha du bas de son torse ; je vis alors son vagin s’ouvrir de façon béante, et en quelques secondes elle me précipita à l’intérieur par le bas de mon corps. Mes pieds, mes jambes, mon sexe puis mon torse furent enfoncés dans un énorme vagin ; seule ma tête resta à l’extérieur.
Je me retrouvai prisonnier du sexe de Guttura, les coudes appuyés sur le bord du bassin.Je me débattais un peu, mais elle contractait son sexe à chaque mouvements de ma part.

A suivre (la suite arrive bientôt).
Diffuse en direct !
Regarder son live