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Spin-off « les mystères de l’asie »

Chapitre 2

Edwige 2/4

Orgie / Partouze
Spin Off 02Edwige 2eme partieAlors que Karine, Edwige et JL baisaient tous les trois dans la chambre, JM ruminait sa vengeance, il essayait de mettre en place un plan qui lui permettrait à la fois de se venger de sa salope de femme et à la fois d’abuser de sa fille.Pourquoi sa salope de femme serait la seule à pouvoir baiser avec leur fille ?Et c’est plongé dans l’élaboration d’un plan totalement incestueux et immoral qu’il se fit surprendre par Maurice, celui-ci surveillait souvent le salon du maire, la nuit, depuis son jardin, surtout depuis qu’il savait que la jeune Edwige était une belle salope, accroc à sa vieille bite.
Depuis son observatoire, il avait pu épier tout ce qui s’était passé dans le salon, surtout depuis que cette belle salope d’Edwige était revenue en petite nuisette transparente, il avait su à ce moment-là, que ça allait dégénérer.
Lorsque Karine réapparut, il sut que la mère allait suivre son instinct de salope, il connaissait bien Karine et sa réputation de chienne en chaleur, le maire avait, sans doute, les plus grosses cornes de cocu de toute la ville, tellement elle avait reçu de bites entre les cuisses, il l’avait souvent épiée en train de se faire baiser par le jardinier, mais il était trop loin pour prendre des photos compromettantes et lui faire du chantage, alors il se contentait de se branler en observant.
Malgré sa réputation de grosse salope, Karine avait toujours refusé ses avances, mais depuis qu’il avait baisé sa fille, il espérait bien que ça lui permettrait de fourrer sa vieille bite au fond de la chatte de la mère.
Alors lorsqu’il vit la scène avec la mère et la fille qui se roulaient une pelle, en se déshabillant sur le canapé, il sortit sa queue pour se branler, il vit JL enfoncer sa queue dans la chatte de sa belle-mère, et commencer à la baiser, il se demanda si JM les surprenait, comment ça allait se finir.
Mais lorsque ce petit trio quitta le salon, il rangea sa queue, quitta son observatoire et pénétra sur la propriété du maire, espérant trouver où ce trio continuait ses activités incestueuses.Il était à quelques mètres de la terrasse lorsque JM s’installa sur le canapé, Maurice le vit trouver le string de sa femme, et commencer à se branler avec, il trouva cela étrange, mais il le soupçonna, à juste titre, de penser que c’était le string de sa fille, il découvrit ainsi que les deux parents rêvaient de baiser leur salope de fille.
La mère était déjà en pleine action, mais Maurice se demanda : comment le père allait se débrouiller ?Il resta caché dans l’ombre, jusqu’à ce qu’il le voit s’éloigner, Maurice essaya de prendre la même direction que lui, et fit le tour de la maison, il tomba sur la fenêtre de la chambre d’Edwige, dont les stores n’étaient pas encore baissés, il put ainsi découvrir Edwige et Karine en plein 69, tandis que JL enculait sa belle-mère avec vigueur.
Maurice ressortit sa queue et se branla devant ce spectacle des plus excitants, d’où il était, il put également voir la porte de la chambre s’ouvrir, et constater la stupeur de JM en découvrant sa salope de femme baiser avec sa fille et son gendre.
Il pouvait lire de la colère dans ses yeux, il pensa que JM allait mettre un terme à ce coït immoral, mais il fut surpris de le voir s’éloigner, Maurice resta à se branler devant la fenêtre, jusqu’à ce qu’il entende la porte coulissante de la terrasse s’ouvrir.
Il remballa son attirail et se rapprocha discrètement de la terrasse.
Il vit JM assis sur son canapé d’extérieur, en train de ruminer tout seul, il l’entendit maudire sa femme :
— Mais quelle salope ! Elle baise avec Edwige et JL, comme la reine de putes !
Maurice se dit que c’était peut-être le moment de tenter sa chance et il surprit JM en lui disant :
— Vous savez, votre femme est une belle salope, son patron, qui est un de mes amis, la baise tous les jours.
JM fut surpris de la présence de Maurice, il ne sut quoi dire, ni comment réagir, il laissa Maurice continuer et l’entendit dire :
— Apparemment, Michel, son patron, se sert même d’elle pour conclure des contrats un peu difficiles, elle écarte les cuisses et ses clients signent tout de suite les contrats, c’est une belle salope.
JM savait que sa femme baisait à droite et à gauche, mais il s’en foutait, ils ne baisaient plus ensemble, alors elle pouvait se faire fourrer par n’importe qui, ce qui l’énervait, c’est qu’elle baise avec leur fille, alors il dit à Maurice :
— Je m’en tape qu’elle baise avec son patron ou ses clients ou encore le jardinier, là, elle couche avec sa propre fille et son gendre, je n’aurais jamais cru ça possible, même venant d’elle.— Quand on est une grosse salope, comme votre femme, rien n’arrête l’appel du vice.— Quelle pute, il faudrait que je lui donne une bonne leçon à cette chienne en chaleur !— Si je peux vous aider, je suis disponible.
Tandis qu’Edwige, Karine et JL continuaient à baiser comme des bêtes en rut, JM et Maurice discutèrent un petit moment ensemble et mirent en place un plan permettant à JM de se venger de sa femme, mais Maurice comptait bien profiter de l’occasion pour baiser la femme du maire.Quand ils eurent tout mis en place, JM attendit dans la suite parentale que le trio incestueux ait terminé leur affaire, et que sa femme retourne dans leur chambre.Lorsqu’il entendit les gémissements de sa femme et de sa fille se calmer, il sut qu’ils avaient terminé, JL avait joui dans le cul de sa belle-mère, et il avait laissé la mère et la fille continuer à se bouffer la chatte, et se fourrer des doigts dans tous leurs orifices.Elles avaient joui comme deux belles salopes, et une fois qu’elles eurent repris leur souffle, Karine roula une pelle à sa fille et lui dit :
— Merci, ma chérie, tu m’as fait jouir comme une folle.— Toi aussi, maman, j’ai adoré ça, tu crois que papa pourra me baiser bientôt ?— Doucement ma chérie, ne va pas trop vite, je ne pense pas que ton père soit prêt à plonger dans l’inceste, il est plus coincé que moi, mais il faut dire que je me suis fait dépuceler par mon père quand j’avais ton âge, donc je suis peut-être plus disposée à avoir des relations incestueuses.— Tu pourras m’aider à coucher avec lui, stp ?— Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne peux rien te garantir, il va falloir être prudent si on ne veut pas le choquer.— Merci maman.— De rien, ma chérie.
Karine se tourna vers son gendre, et lui dit :
— Merci à toi aussi, tu m’as bien défoncé le cul avec ta bite, ma fille a bien choisi son petit copain.— De rien, Mme.— Tu peux m’appeler Karine, maintenant que tu m’as enculée.
Elle lui roula une pelle et leur dit :
— Bonne nuit, mes chéris, vous pouvez dormir ensemble, je m’occupe de votre père, mais soyez prudents demain matin.— Merci maman, lui dit Edwige.
Karine les quitta et se dirigea discrètement vers sa chambre, elle sentait le sperme de JL s’écouler doucement de son cul, il fallait qu’elle prenne une douche avant d’aller dormir.Elle n’avait pas pris le temps de se rhabiller, et espérait que son mari soit parti dormir sans chercher ce que pouvait faire sa femme.Elle traversa toute la maison, complètement nue, et arriva devant la porte de sa chambre, elle ouvrit doucement et vit JM dans leur lit, qui semblait dormir.Elle fut rassurée, elle posa ses affaires, au pied du lit, mais au moment où elle allait entrer dans leur salle de bain, elle entendit JM lui dire :
— Alors salope, comme ça, tu baises avec ta propre fille et tu te fais enculer par ton gendre.
Karine fut paralysée, il l’avait vue, comment allait-il réagir, elle aurait voulu être une petite souris et se cacher dans un trou.Mais elle ne put faire aucun mouvement, elle entendit JM se lever du lit et lui dire :
— Tu es vraiment une belle pute, j’accepte que tu te fasses sauter par le jardinier, par tes collègues, par ton patron, je dois être le plus gros cocu de toute la ville, t’imagines, GROSSE PUTE, LE MAIRE, LE PLUS GROS COCU DE TOUTE LA VILLE !!!
Karine tremblait comme une feuille, elle avait l’impression que la terre s’ouvrait sous ses pieds, comment son mari pouvait-il au courant de toutes ses infidélités, elle ne trouvait rien à répondre.Elle sentit sa main lui agripper les cheveux à lui en faire mal, il la projeta contre le lit, elle s’attendait à être brutalisée, il revint vers elle, et en la tirant par les cheveux, la fit monter sur le lit.Karine lui obéissait, elle avait peur, elle ne voulait surtout pas le contrarier, elle se retrouva allongée à plat ventre sur leur lit, il lui monta dessus, et en lui attachant les poignets à la tête du lit, lui dit :
— Tu vas voir salope, comment on traite une pute comme toi, tu veux de la bite, tu vas en avoir.
Elle avait maintenant les bras bien attachés, elle vit son mari descendre à ses pieds et lui attacher les chevilles au pied du lit.Elle eut rapidement les bras et les jambes écartés et fermement attachés, elle ne savait pas ce que son mari lui réservait, mais elle s’attendait au pire.Il s’assit à côté d’elle, et lui envoya une violente gifle sur la fesse droite, la faisant crier de douleur, sa fesse se mit aussitôt à rougir, il lui dit :
— Je vais te laisser, entre de bonnes mains, salope, je te conseille de satisfaire ses moindres désirs, sale pute.
Elle vit JM sortir de la chambre, et la laisser seule dans le noir.Maurice avait tout vu, il était caché dans un coin sombre de la chambre, une fois JM parti, il laissa se passer quelques secondes avant de dire :
— Bonsoir, salope, je vais bien m’occuper de toi.
Karine ne voyait pas son tortionnaire, elle connaissait cette voix, mais elle n’arrivait pas à mettre un visage dessus.Ce n’est que lorsque Maurice sortit de l’obscurité qu’elle le reconnut, elle voulut crier, mais c’était son mari qui l’avait laissée là, seule, totalement nue sur son lit, attachée sans la moindre possibilité de s’enfuir, alors elle se tut.Elle vit Maurice s’asseoir à côté d’elle, elle remarqua qu’il était totalement nu, lui aussi, il bandait comme un taureau, et les mensurations de sa bite auraient pu faire saliver Karine dans une autre situation.Mais là, il n’y avait que la peur qui s’imposait à elle, et lorsqu’il lui mit une violente gifle sur la fesse gauche, elle eut le cul bien rougi.Elle cria de douleur, mais ne pouvait pas s’échapper, Maurice lui dit :
— Tu sais, salope, ça fait longtemps que je rêve de pouvoir te baiser, et aujourd’hui, c’est ton mari qui me demande de m’occuper de ton cas, alors je vais bien m’amuser.
Karine prit une profonde inspiration et osa lui dire :
— Baise-moi, vieux porc, vide-toi les couilles et casse-toi.— Oh non, salope, ce serait trop simple, trop rapide, si tu savais le nombre de fois où je t’ai vue te dandiner sur tes talons hauts, dans ton tailleur moulant ton cul de salope, m’imaginant fourrer ma bite entre tes fesses.— Mets-la-moi dans le cul, si tu veux, et barre-toi.— Ce serait trop facile, non, je vais m’amuser avec toi et faire durer le plaisir.
Il lui envoya une nouvelle gifle sur les fesses, la faisant de nouveau crier de douleur et il lui dit :
— Tu sais, les femmes adultères comme toi, il faut leur donner une bonne leçon.
Il se plaça entre ses cuisses et lui envoya une série de claques de plus en plus violentes, sur ses fesses, celles-ci rougirent à vue d’œil.Karine criait, pleurait de douleur, au fil des claques qu’elle recevait sur le cul, elle sentait ses fesses rougir et s’échauffer, mais cet échauffement se propagea doucement dans la raie de son cul, et bientôt à son anus, mais également à sa chatte.Sans comprendre ce qui se passait, elle sentit un plaisir nouveau lui remonter le long de l’échine, et avant qu’elle n’ait le temps de s’en rendre compte, elle avait cessé de pleurer, et s’était mise à gémir à chaque claque que Maurice lui envoyait sur ses fesses rougies, complètement soumise à ce nouveau plaisir, elle se mit à relever ses fesses pour aller au-devant des claques de son bourreau.Entre deux gémissements, elle lui dit :
— Mmmm, ouiii, continue, claque-moi les fesses, je suis une salope, punis-moi.— Je savais que tu aimerais ça, grosse pute, tu aimes être une bonne soumise, alors maintenant tu vas me demander gentiment de te fourrer ma queue.— Ouiiii, baise-moi, enfonce-moi ta bite.— Maître, tu m’appelleras Maître, à partir de maintenant.— Oui, Maître, baisez-moi, svp.
Maurice était aux anges, cette belle salope qui l’avait envoyé si souvent boulé, réclamait sa vieille bite, il lui enfonça sa queue dans sa chatte trempée et continua de lui claquer les fesses, en lui disant :
— Bouge ton cul, sale pute.— Ouiii, Maître, elle est trop bonne votre bite,
Karine, en bonne soumise, se mit à faire coulisser sa chatte le long de la vieille bite de Maurice, les claques pleuvaient toujours sur ses fesses et cela lui procurait un plaisir inouï, elle accéléra rapidement les va-et-vient de sa chatte le long de cette vieille bite, et elle eut bientôt un orgasme incroyable avec ce vieux porc de Maurice.Mais, à ce moment précis, il n’était plus son vieux pervers de voisin, il était son maître et elle était son esclave, et cela la faisait jouir fabuleusement.Maurice retira sa bite de la chatte brûlante de Karine, qui lui dit :
— Remettez la-moi, Maître, baisez-moi encore,— T’inquiète, salope, je vais m’occuper de ton cul de grosse pute, maintenant.
Karine ne bougea pas, elle était toujours attachée au lit, le cul en l’air, et attendait avec une étrange impatience que son Maître l’encule avec sa vieille bite.Quand elle sentit la vielle bite de Maurice lui ouvrir le cul, elle poussa un long râle de plaisir, il avait arrêté de lui claquer le cul, mais Karine avait totalement accepté son rôle d’esclave, alors elle laissa son maître lui fourrer sa bite au fond du cul, sans broncher.Maurice s’agrippa à ses hanches et commença à lui défoncer son cul de salope, la faisant crier de plaisir.
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Pendant ce temps, JM, qui avait laissé sa femme entre les mains de Maurice, se dirigea vers la chambre de sa fille, mais contrairement à la première fois, il ouvrit la porte brusquement, surprenant Edwige et JL, complètement nus, qui baisaient doucement en discutant de leur récente aventure avec Karine.Edwige lui demanda :
— Tu as aimé enculer ma mère ?— Oui, elle est aussi chaude que toi, ma petite salope.— J’ai aimé baiser avec elle, j’espère que mon père acceptera de me baiser lui aussi.— Ne soit pas trop pressée, ton père est sans doute plus coincé que ta mère.
Edwige n’eut pas le temps de répondre que son père surgissait en furie dans sa chambre, la surprenant à poil, et JL qui s’activait entre ses cuisses avec sa bite au fond de sa chatte.JM hurla :
— J’EN ETAIS SUR, ESPECE DE PETIT SALAUD, TU BAISES MA FILLE.
JL sauta du lit, il s’enfuit comme un gros lâche dans la chambre d’amis, laissant Edwige seule ; complètement nue, les cuisses grandes ouvertes, avec son père.Celle-ci avait été tellement surprise qu’elle n’avait pas eu le réflexe de réagir, et se retrouva dans une position des plus obscènes devant son père.Son désir de se faire baiser par lui n’avait pas disparu, alors elle resta ainsi totalement offerte, s’il voulait la baiser à son tour, elle était prête.Mais JM lui cria :
— LEVE-TOI, SALOPE, TU MERITES UNE BONNE PUNITION.
Malgré son excitation, Edwige commença à avoir peur, elle obéit à son père, tout désir pour lui avait complètement disparu.Il la fit se mettre à plat ventre sur son bureau, et s’assit sur la chaise du bureau, et alors que dans la chambre parentale, sa mère se prenait une volée de claque sur les fesses par Maurice.Edwige reçut la première gifle de son père sur le cul, elle cria de surprise mêlée de douleur, puis une autre suivit, et encore une autre, et ainsi de suite...Son père lui donnait la fessée, elle se mit à pleurer comme une petite fille, elle sentait ses fesses rougir.JM lui disait en lui claquant les fesses :
— Tu es une vilaine fille, et on donne des fessées aux vilaines filles.
Edwige se mit à sangloter, son père avait raison, elle était devenue une salope, elle s’en voulait, elle méritait cette fessée, alors elle lui dit :
— Oui, papa, tu as raison, je suis une vilaine fille, je suis abjecte, j’ai honte, papa.
JM arrêta les claques, et lui dit :
— C’est bien ma fille, de te rendre compte de tes erreurs, tu ne recommenceras plus, n’est-ce pas ?— Non, papa, je serais une fille sage et vertueuse, promis.— C’est bien, ma fille, papa va s’occuper de toi.
JM sortit un tube de sa poche et mit un peu de crème apaisante au creux de sa main.Il commença ensuite à étaler la crème sur les fesses rougies de sa fille, Edwige sentit tout de suite un soulagement, la brûlure des claques disparaissait doucement.JM continua d’étaler la crème, il caressait le joli petit cul de sa fille, et il sentit sa bite bien dure dans son pyjama.Il remit de la crème dans sa main, et se mit à faire glisser sa main dans la raie du cul d’Edwige, celle-ci ne bougea pas, laissant les doigts de son père venir lui caresser l’anus, sans pouvoir se contrôler, elle sentit des fourmillements s’agiter dans sa chatte.Elle n’osa rien dire à son père, surtout qu’il descendait encore ses doigts, pour les glisser entre ses cuisses, et lui caressait maintenant le clito.
Cette fois, elle sentait sa chatte commencer à mouiller abondamment, elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir de plaisir, elle se dit qu’elle était vraiment une mauvaise fille.Mais alors que les doigts de son père venaient emprisonner son clitoris, elle sentit son autre main venir lui peloter un sein et faire rouler son téton durci entre ses doigts.Elle ne put retenir un long gémissement de plaisir, elle entendit son père lui demander :
— Ça te plaît, ma chérie ?
Elle n’osa pas répondre de peur que son père la traite encore de vilaine fille et lui remette une violente fessée.Mais lorsqu’il lui enfonça deux doigts dans sa chatte trempée, elle ne put s’empêcher de lui dire :
— Mmmmm, ouiiii, papa, c’est bon, continue, stp, fouille-moi la chatte.
JM pelotait fermement le sein de sa fille, lui pinçait son téton dur d’excitation, et maintenant faisait coulisser ses doigts au fond de sa chatte brûlante, il bandait comme un fou dans son pyjama.Il ne résista pas très longtemps à l’envie d’en avoir encore plus, il laissa ses doigts dans la chatte d’Edwige, et avec son autre main, il sortit sa bite bien dure de son pyjama, et dit à sa fille :
— Tu veux bien t’occuper de la bite à ton papa chéri ?
Edwige avait vu son père sortir sa queue, alors lorsqu’il lui demanda de s’occuper de sa bite, elle ne se préoccupa plus si elle était une vilaine fille ou non, elle s’agenouilla entre ses cuisses, et se mit à lui lécher la queue comme une bonne petite salope.Lorsqu’elle lui avala la bite, il lui dit :
— Oui, vas-y, ma chérie, tu suces merveilleusement bien, pompe bien la bite à papa, c’est si bon, continue, ma puce.
Elle se mit à enfoncer de plus en plus loin la queue de son père au fond de sa bouche, JM regardait sa fille lui pomper la bite, comme une affamée, chaque fois qu’Edwige enfonçait sa queue dans sa bouche, il voyait sa bite disparaître de plus en plus, il sentit bientôt que son gland cognait contre ses amygdales, mais Edwige continua toujours plus loin.JM prenait un plaisir fou à sentir sa bite s’enfoncer si loin dans la bouche de sa fille, et il ne put s’en empêcher, il attrapa sa fille par les cheveux, et se mit à lui baiser la bouche, il sentait maintenant son gland s’enfoncer jusque dans la gorge d’Edwige.Il n’en pouvait plus, et il lui dit :
— Vas-y, ma puce, avale la bite à papa, ma petite salope, oui c’est trop bon, continue ma chérie, bouffe-moi la queue, ma belle petite pute, oui c’est ça, tu es la bonne petite pute à papa, qui avale des bites tout entières.
Il ne tint plus et lui éjacula au fond de la gorge, lui gicla une quantité impressionnante de sperme directement dans la gorge.Edwige ne put qu’avaler le sperme de son père, et en voyant cela, JM lui dit :
— Oui, c’est bien, ma petite salope, avale le sperme de papa, n’en perds pas une goutte, ma petite pute, avale tout.
Edwige déglutissait, et à chaque gorgée qu’elle avalait, elle devenait un peu plus sa salope et sa pute, comme il l’appelait.Quand elle eut avalé tout le sperme de son père, elle ressortit sa bite de sa bouche et lui dit :
— Ça t’a plu, papa, j’ai été une bonne salope comme tu les aimes ?
JM était encore sur son petit nuage, après cette pipe phénoménale, et il lui répondit :
— Oui, ma chérie, tu suces les bites, comme une bonne petite pute, tu m’as bien fait jouir, ma puce.
Edwige prit ça pour un compliment et conclut que son père préférait les bonnes petites putes aux filles sages, alors pour lui faire plaisir, elle resterait la salope qu’elle était devenue.Contrairement à ce qui se passait lorsqu’un garçon éjaculait en elle, la bite de son père resta bien dure, et bien raide, ce qui donna des idées complètement immorales à Edwige.Maurice avait fourni un de ses petits cachets bleus à JM, et lui avait dit qu’avec ça, il baiserait sa salope de fille toute la nuit, celui-ci n’avait pas hésité et l’avait avalé, s’imaginant déjà besogner la chatte de sa fille.Mais après la pipe fabuleuse qu’elle lui avait faite, il lui fallait tout de même reprendre son souffle.
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Dans la chambre parentale, Maurice continuait de défoncer le cul de Karine, qui criait de plaisir, sous ses coups de bites de plus en plus violents.Il lui gueulait :
— Tu aimes te faire défoncer le cul, salope.— Ouiii, encoreeee, continuez, Maître, défoncez-moi le cul avec votre grosse bite, j’aooodreeee.
çaaaaa.Karine avait complètement consenti à devenir l’esclave sexuelle de Maurice, et il la faisait tellement jouir avec sa bite qui lui ramonait le trou de bal, qu’elle eut plusieurs orgasmes avant qu’il ne finisse par lui remplir le cul avec son sperme.
Lorsqu’elle sentit le sperme de son Maître lui remplir le cul, ce fut pour elle, un pur moment d’extase, elle était son esclave et son Maître lui faisait l’honneur de lui fourrer sa semence au fond du cul, elle se mit à convulser tellement elle jouissait.
Maurice retira sa queue couverte de sperme du cul de Karine, celle-ci resta les fesses en l’air, complètement anéantie par son dernier orgasme, du sperme s’écoulait doucement de son cul pour glisser jusqu’à sa chatte et continuer le long de ses cuisses.
Mais elle s’en moquait éperdument, elle était encore sur son petit nuage de plaisir, elle reprenait son souffle doucement, tandis que Maurice, la bite toujours bien raide (grâce à ses petites pilules bleues), se plaça à genoux devant sa tête et en la tirant par les cheveux, lui dit :
— Nettoie-moi ça, sale pute, tu as mis ta merde sur ma bite.
Karine n’eut pas le temps de constater qu’effectivement, des taches brunâtres maculaient, ici et là, la vieille bite de Maurice. Sans qu’elle eût le temps de refuser d’avaler cette bite couverte de merde, et en tant que bonne soumise à son Maître, elle n’en avait pas l’intention, elle avala la bite de Maurice, elle sentit un goût écœurant sur sa langue, mais elle pompa la vieille bite avec un étrange appétit.Cela l’excitait fabuleusement d’être avilie de la sorte, elle se mit à passer sa langue tout le long de la bite de Maurice afin de parfaitement nettoyer la queue de son Maître, il n’y eut bientôt plus une seule trace de merde sur sa vieille bite, et il lui dit :
— C’est bien, ma belle pute, si tu obéis bien, tu auras une récompense.— Merci Maître.
Maurice supposa qu’il pouvait détacher Karine du lit, qu’elle lui obéirait parfaitement, et il avait raison, même quand elle fut libre de partir, elle resta avec Maurice sur son lit, attendant les ordres de son Maître.Il lui dit :
— A partir d’aujourd’hui, tu seras mon esclave, je te ferais baiser par n’importe qui et n’importe où et jamais tu ne devras refuser mes ordres.— Je ferais tout ce que vous me demandez, Maître.— Très bien, je vais appeler quelques amis, et en pleine nuit, ils viendront te fourrer leurs bites par tous les trous.— D’accord, Maître.
Karine avait déjà participé à des partouzes, et certaines même à son boulot, elle servait de pute de service à son patron, qui la faisait baiser avec tous ses clients difficiles, elle avait toujours aimé être soumise, et avec Maurice, elle avait trouvé le Maître qu’il lui fallait.Il passa un premier coup de fil, qui sembla curieux à Karine, elle entendit :
— Salut Michel, désolé de te réveiller à cette heure, mais je voulais te prévenir que j’ai ta salope de service sous mes ordres, maintenant.— ...— Si, si je t’assure, je viens de lui fourrer le cul avec mon sperme et elle m’a bien nettoyé la bite avec sa langue juste après, et malgré la merde qu’elle avait mise dessus.— ...— Eh bien si tu veux vérifier, tu n’as qu’à venir chez le maire, c’est lui qui m’a confié sa salope de femme, et maintenant elle m’obéit au doigt et à la bite, dit-il en riant grassement.— ...— OK à tout de suite, j’appelle quelques potes, tu sais qu’il lui faut plusieurs bites pour la satisfaire cette belle pute, n’est-ce pas salope, dit-il en s’adressant à Karine.
Et alors qu’il tendait le téléphone vers elle, elle lui répondit :
— Oui, Maître, j’adore avoir plusieurs queues en moi.
Maurice reprit le téléphone et dit :
— Alors tu vois, allez, ramène-toi chez le maire, on va la défoncer avec son mari à côté.
Il raccrocha et passa un autre coup de fil, et puis encore un autre, Karine avait arrêté de compter, car Maurice lui avait demandé d’aller s’habiller en pute pendant qu’il était au téléphone.Elle tira sa boîte secrète de sous son lit, et choisit une tenue adéquate à son nouveau statut de putain.Elle ne mit aucun sous-vêtement, elle s’habilla uniquement d’un micro minijupe qui lui couvrait à peine les fesses et d’un tout petit haut avec de fines bretelles et une petite bande de tissu qui lui couvrait tout juste les tétons, elle se maquilla de façon à faire le plus pute possible, elle enfila des talons vertigineux, et se regarda dans le miroir de la salle de bain, elle était ravie du résultat, elle faisait vraiment la prostituée parfaite.
En retournant dans la chambre pour voir si son Maître était satisfait, elle se dit que s’il voulait la mettre sur le trottoir pour qu’elle fasse le tapin pour lui, elle le ferait, et se ferait baiser par n’importe quelle bite.
Mais Maurice avait un autre programme pour elle, il avait fini de passer des coups de fil quand elle réapparut devant lui, Karine fut comblée quand elle vit les yeux de son Maître pétiller, comme s’il venait de découvrir son cadeau d’anniversaire.
Il lui dit :
— Parfaite, tu es parfaite, ma belle salope, avec ça, ils vont te remplir ton cul et ta chatte en 5 min.— Merci Maître, dit Karine toute soumise aux caprices de son vieux Maître.
Il l’emmena dans le salon, où ils entendirent des gémissements de plaisir provenant de la chambre d’Edwige, Maurice dit à Karine :
— Je crois que ton mari s’occupe bien de ta salope de fille, vous êtes toutes les deux, de sacrées chiennes en chaleur.— Merci Maître, il suffit de savoir nous dresser et on sait être très obéissante.
Maurice qui imaginait déjà avoir la mère et la fille sous sa coupe lui dit :
— On s’occupera du cas de ta fille, demain, quand ton mari se sera bien vidé les couilles avec elle.— Bien, Maître.
Il s’assit sur le canapé, complètement à poil et lui demanda de le sucer en attendant ses invités, Karine se mit à genoux et reprit la vieille bite de Maurice en bouche, elle n’avait toujours pas ramollie même après qu’il lui ait joui dans le cul, et Karine se dit qu’elle avait trouvé un Maître exceptionnel, il ne fallait pas qu’elle le déçoive, alors elle pompa sa vieille bite avec un certain enthousiasme.
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Du côté de la chambre d’Edwige, au même moment où Maurice passait ses coups de fil, JM qui n’avait toujours pas débandé, finit par se mettre complètement nu, en demandant à sa fille :
— Dis-moi, ma puce, il te l’a mise où, sa queue, ton petit copain.— Euh et bien, on a couché ensemble la première fois, il y a 2 mois, quand vous étiez partis, et ce WE, au camping, je me suis fait dépuceler le cul par un de ses amis, qui avait une bite énorme, et hier, JL m’a enculée pendant que le jardinier nous matait, avant de nous rejoindre, et je me suis fait prendre en double par JL et Julien pendant que je suçais Maurice.— Eh bien, tu as le feu au cul, tu es aussi salope que ta mère.— Désolée, papa, mais pendant ce WE, j’ai l’impression que quelque chose a changé en moi, depuis que j’ai rencontré Matt, il a révélé une nouvelle personnalité en moi.— Oui je vois ça, il a fait ressortir la salope qui était en toi, tu es devenue une chienne en chaleur comme ta putain de mère.— Ça ne te plaît pas, papa ? demanda Edwige avec une voix de petite salope, en branlant sa bite toujours bien raide.
JM ne put qu’admettre que d’avoir une fille aussi salope, lui plaisait énormément, ça faisait des mois qu’il se branlait dans son bureau, en s’imaginant fourrer sa queue dans la chatte de sa fille.Alors il ne tint plus, il la fit se relever, et lui demanda de l’enjamber pour s’empaler la chatte sur sa queue bien raide. Edwige obéit, elle monta sur le fauteuil avec son père, posa une jambe sur chaque accoudoir, et s’accrocha au cou de son père, pour descendre sa chatte sur la bite bien dure de son père.
Celui-ci tint sa queue pour la placer à l’entrée de la chatte brûlante de sa fille, et ils poussèrent ensemble un long râle de plaisir, quand la bite de JM s’enfonça au fond de la chatte d’Edwige.Ils attendaient, tous les deux, ce moment depuis si longtemps, qu’ils restèrent un bon moment sans bouger, emboîter l’un dans l’autre.Edwige posa ses lèvres sur celles de son père, et enfonça sa langue dans sa bouche, celui-ci en fit autant, et ils se roulèrent une pelle passionnée, alors qu’Edwige sentait la bite de son père palpiter dans son vagin en feu.
Edwige commença à monter et descendre sa chatte le long de la bite de père, elle avait dû lâcher la bouche de son père pour gémir de plaisir, celui-ci s’était mis à lui bouffer les seins, et passait d’un téton à un autre, complètement fou de plaisir.
Aucun d’eux ne remarqua la présence de JL, qui s’était enfui dans la chambre d’amis, s’attendant à se faire mettre à la porte d’une minute à l’autre par JM, il avait eu peur de son état de furie, il s’était vite rhabillé et préparer ses affaires, prêt à partir, mais après avoir attendu plusieurs minutes, personne ne vint le mettre à la porte.
Il tenta d’abord une oreille dans le couloir, il entendit des gémissements de plaisir provenant de la chambre des parents, il fut surpris que Karine se fasse baiser par son mari, il s’approcha discrètement et découvrit Maurice en train de lui défoncer le cul, et apparemment elle prenait son pied.
En voyant cela, il se demanda ce qu’il pouvait bien se passer dans la chambre d’Edwige, alors il se dirigea doucement vers la chambre de sa petite amie, et plus il se rapprochait, plus il l’entendait gémir de plaisir.
Il arriva au moment où Edwige se défonçait la chatte sur la bite de son père, pendant que celui-ci lui bouffait les seins, il la voyait jouir comme une folle, et il sentit aussitôt sa queue se raidir dans son pantalon.
JM était dos à la porte, donc il ne pouvait pas voir JL, mais lorsqu’Edwige ouvrit les yeux et que leurs regards se croisèrent, elle eut un orgasme, elle sentit sa chatte se contracter autour de la bite de son père, et elle se déchaîna de plus belle sur la queue de celui-ci.
Elle vit JL commencer à se caresser la queue à travers son pantalon, et en bonne salope, elle plaqua la tête de son père contre ses seins, et fit signe à JL d’approcher, elle mourrait d’envie de se faire prendre par leurs deux bites en même temps, mais elle allait devoir convaincre son père.JL approcha en sortant sa bite de son pantalon, et dès qu’il fut à portée, Edwige lui avala aussitôt la bite. Elle prenait un plaisir formidable à se faire baiser par son père pendant qu’elle suçait la bite de JL.JM remarqua que les gémissements de sa fille étaient plus sourds qu’avant, il écarta son visage de ses superbes seins, et découvrit sa salope de fille en train de pomper la bite de JL.Il lui dit :
— Ma parole, petite pute, tu n’en as jamais assez.
Elle continuait de chevaucher la bite de son père et de sucer celle de JL, JM se mit à lui pétrir ses superbes seins, en lui bouffant ses tétons durs comme la pierre.Il prenait un pied extraordinaire à sentir la jeune chatte de sa fille se contracter autour de sa queue bien dure, et ses superbes seins si fermes l’excitaient au plus haut point.Mais Edwige en voulait encore plus, alors après avoir déjà eu plusieurs orgasmes sur la bite de son père, elle arrêta de sucer la queue de JL, pour demander à son père :
— Mon papa chéri, j’ai envie de sentir vos deux bites en moi, tu veux bien m’enculer pendant que JL me baise la chatte ? lui demanda-t-elle avec un air de petite ingénue qui contrastait outrageusement avec le fait qu’elle demande à se faire prendre en sandwich par deux bites.— OK, ma petite salope, je ne peux rien te refuser.— Merci mon papa chéri, dit Edwige.
Elle lui roula une pelle pour le remercier, en enfonçant sa langue dans la bouche de sa fille, JM se rendit compte que la langue d’Edwige venait tout juste de lécher la bite de JL, après un petit moment d’hésitation, il se dit :
— Après tout, pourquoi pas ?
Et il continua de faire tourbillonner sa langue dans la bouche d’Edwige, avec un plaisir étrange.Edwige se redressa, faisant sortir la bite de son père de sa chatte, leurs langues et leurs bouches se séparèrent et elle dit à JL :
— Allonge-toi, vous allez me baiser tous les deux.
Un peu abasourdi, JL obéit, il s’allongea en finissant de se déshabiller, Edwige l’enjamba et lui tint la queue bien droite pour se l’enfoncer dans sa chatte, une fois la bite de JL bien au chaud au fond de sa chatte, elle dit à son père :
— Allez, papa, à ton tour, viens me la mettre dans le cul.
Mais lorsqu’elle sentit la bite bien dure de son père glisser dans la raie de ses fesses, elle se rappela une de ses intenses expériences qu’elle avait vécue avec Matt, pendant le WE, et elle se tourna vers son père pour lui dire :
— Attends, papa, j’ai une autre idée, mets-moi ta bite dans la chatte avec celle de JL, je veux vous sentir tous les deux dans ma chatte.
Un peu surpris, JM lui demanda :
— Tu es sûre, ma chérie, ta chatte a déjà la queue de JL à l’intérieur.— Oui, vas-y, papa, j’ai déjà fait ça ce WE, avec la grosse bite de Matt et une autre, et j’ai joui comme une folle, alors je suis sûre que ma chatte est capable de vous recevoir en même temps.
Un peu troublé par l’expérience sexuelle de sa fille, qui avait apparemment vécu pas mal de choses, JM glissa sa queue, un peu plus bas, et rencontra la bite de JL, bien enfoncée dans la chatte d’Edwige. Etonnamment, il trouva le contact de sa queue contre celle de son gendre, plutôt excitant, et comme lui demandait sa fille, il poussa sa queue contre celle de JL, pour forcer l’entrée de sa jeune chatte.Il fut surpris de voir à quel point la chatte de sa fille était souple, il réussit à faire glisser sa queue contre celle de JL, jusqu’au fond du vagin d’Edwige, qui poussa un long gémissement de plaisir en sentant sa chatte se faire remplir par deux bites bien raides.Une fois que son père lui eut enfoncé sa bite toute entière, elle leur dit :
— Putain, c’est trop bon vos deux queues en moi, ne bougez pas encore, laissez ma chatte s’habituer à vous.
Pour JM et JL, c’était la première fois que leur bite en rencontrait une autre, surtout au fond d’une même chatte de salope. Ils n’osèrent pas le dire, mais ils trouvèrent cela très excitant, et alors qu’Edwige avait fermé les yeux pour apprécier pleinement le plaisir de sentir ces deux queues en elle, les regards de JL et JM se croisèrent, ils lurent dans les yeux de l’autre, le plaisir que ça leur procurait.
Ce fut JM qui commença à bouger sa queue, et alors que sa fille poussa un gémissement de plaisir, il vit dans les yeux de JL, que le contact de leurs bites l’excitait énormément. Alors ce dernier se mit à son tour à bouger, envoyant des ondes de plaisir dans le corps d’Edwige, mais également le long de la bite de son beau-père.
Ils se mirent à baiser la chatte d’Edwige en se regardant dans les yeux pour voir le plaisir qu’ils procuraient à l’autre.Edwige gémissait comme une folle, sous les coups de queue de son père et de JL, mais ces derniers n’étaient pas en reste.Alors qu’Edwige s’affalait sur l’épaule de JL, cambrant ses reins pour mieux se faire défoncer la chatte par leurs queues, son père se pencha vers son gendre, et sans réfléchir posa ses lèvres sur les siennes, et tout en baisant cette belle salope, ils se roulèrent une pelle en sentant leurs queues frotter l’une contre l’autre.
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Pendant ce temps-là, dans le salon, Karine suçait toujours la bite de Maurice quand la sonnette retentit, il lui dit :
— Allez, va accueillir tes invités, comme il se doit, ma grosse salope.
Karine obéit et se releva pour aller ouvrir la porte, elle avait une démarche chaloupée avec ses hauts talons, et sa tenue faisait d’elle une véritable putain.Elle ouvrit la porte et vit un vieux bedonnant à l’entrée, Georges, 65 ans, un ami de Maurice qui jouait avec lui à son club de bridge, il fut totalement stupéfait de voir la femme du maire l’accueillir de la sorte. Il avait du mal à la reconnaître, mais Maurice, qui avait changé de place pour s’asseoir sur un fauteuil qui donnait sur l’entrée, et toujours complètement nu, lui cria :
— Allez, rentre, mon salaud, et tu peux toucher la marchandise, Mme est très docile.
Georges était un peu intimidé, mais la tenue de Karine, avait déjà mis sa vieille bite au garde à vous, tandis que Karine refermait la porte derrière lui, il chercha si le maire était dans le coin.Maurice devina ce que cherchait son ami, et lui cria :
— T’inquiète, le maire est occupé ailleurs, sa femme est ma propriété maintenant.
Georges avait encore du mal à y croire, pourtant quand Karine passa devant lui, il ne put quitter des yeux sa croupe si appétissante.Maurice rit du trouble que provoquait son esclave sur son ami, et cria à Karine :
— Ma salope, montre un peu tes belles fesses à ton invité.
Sans hésiter une seule seconde, Karine prit appui sur le meuble de l’entrée, elle se cambra et souleva le ridicule bout de tissu qui cachait à peine ses superbes fesses.Georges n’en revenait toujours pas, la femme du maire, lui offrait son superbe cul, et avant même que Maurice ne dise quoi que ce soit, Karine lui dit :
— Vous pouvez toucher si vous voulez, mon Maître m’a demandé d’être une parfaite maîtresse de maison.
Georges tendit une main et toucha une fesse chaude de Karine, elle ne broncha pas, alors il prit confiance, et posa une deuxième main, il se mit ensuite à lui pétrir le cul, la faisant gémir doucement, il glissa ses doigts entre ses cuisses et les enfonça dans sa chatte trempée.Il ne put s’empêcher d’exprimer son excitation en disant :
— Putain, mais quelle salope, celle-là, si j’avais su ça plus tôt.
Maurice rit à plein poumon et lui dit :
— Allez, approche, viens t’installer, la dame va s’occuper de ta bite en attendant les autres.
Georges suivit Karine jusqu’au salon, sans lui lâcher le cul, il s’assit sur le canapé, et Karine s’agenouilla devant lui, elle entreprit aussitôt de sortir la queue de son invité, Georges la laissa faire, et l’aida à lui retirer son pantalon et son vieux caleçon.Lorsque Karine vit la bite dure de Georges, elle la trouva répugnante, toute fripée, des poils gris un peu partout, pourtant elle se pencha dessus, et l’avala toute entière, la bite de Georges était tellement petite, qu’elle n’eut aucun mal à la prendre entièrement dans sa bouche.Elle la suça comme une bonne putain, et au moment où la sonnette retentit une deuxième fois, Georges fut surpris, et lui éjacula dans la bouche.Elle avala tout son vieux sperme et se releva pour aller ouvrir à son nouvel invité, mais Maurice lui tendit son rouge à lèvres et lui dit :
— Remaquille-toi, tu as tout laissé sur la bite de Georges.
Elle prit le rouge à lèvres et se remaquilla devant le miroir de l’entrée, elle ouvrit ensuite la porte, et découvrit un autre vieux, beaucoup moins bedonnant que Georges, il était même plutôt sportif, c’était André, 68 ans, un ami de chasse de Maurice, malgré son âge, il avait réussi à garder un corps assez svelte et il en était assez fier.Il fut moins stupéfait que Georges, il rentra à l’intérieur de la maison en disant à Karine :
— Eh bien, ma salope, Maurice a trouvé un sacré morceau là.
Karine avait à peine refermé la porte qu’elle sentait déjà les mains d’André lui pétrir le cul, en bonne salope, elle prit appui sur la porte, elle se cambra et écarta les cuisses pour offrir à son invité un accès total à son intimité.Maurice rit de nouveau, en voyant André sortir sa grosse queue déjà bien dure et la glisser entre les cuisses de Karine, qui lui dit :
— Allez-y, enfoncez-moi votre bite, vous pouvez me la mettre où vous voulez, je suis une bonne pute.
Ravi de la proposition, André voulut vérifier les aptitudes de la femme du maire, il écarta les fesses de Karine et plaça son gland contre son anus, il avait à peine poussé sa bite, qu’elle fut pratiquement avalée par le cul de Karine, et tout en enfonçant sa queue au fond du cul de cette salope, il lui cria à ses amis :
— La salope, je n’ai jamais vu un cul aussi souple, on va bien s’amuser avec cette pute.
André se mit à enculer sauvagement Karine contre la porte d’entrée, elle sentait la grosse bite d’André dans son cul, elle était beaucoup plus imposante que celle de Georges, et elle se mit à gémir de plaisir à chaque coup de queue qu’elle recevait au fond de son cul.
D’un seul coup, alors qu’André continuait de lui défoncer le cul, la sonnette retentit encore une fois, Karine ne put faire autrement que d’ouvrir en continuant de se faire enculer par André.Secouée par les coups de queue d’André qu’elle recevait dans le cul, elle découvrit 2 jeunes dans l’entrée, c’était les petits-fils de Maurice, Sebastien et Benoit, ils avaient hérité de la queue de leur grand-père et avaient appris très tôt à s’en servir.
Ils rentèrent dans la maison et ne furent pas surpris de trouver André en train de besogner la salope qui les accueillait, ils avaient l’habitude de participer aux plans cul de leur grand-père, et ils n’hésitaient pas à le faire participer aux leurs.
Alors une fois rentrés, ils refermèrent la porte, Karine étant un peu occupée, et tout en glissant leurs mains entre les cuisses de celle-ci, dirent à André :
— Eh bien, elle a l’air sacrément chaude la femme du maire.— Et elle a un cul hypersouple, vous allez voir, elle doit se prendre un paquet de bites dans le cul, cette pute.
Sebastien et Benoit soulevèrent son petit top, pour dévoiler ses superbes seins et se mirent à lui bouffer les tétons tout en lui fouillant la chatte avec leurs doigts.Karine leur maintenait la tête contre ses tétons, autant que le lui permettaient les coups de bite qu’elle prenait dans le cul.Elle s’était mise à crier de plaisir :
— Ouiiii, Allez-yyy, bouffezzzz-moiiii les seins, je suis votre PUUUTTEEEEEE.
Sebastien fut le premier à sortir sa queue et se plaça entre les cuisses de Karine, il aida André à la soulever du sol, en l’attrapant par les cuisses, et il lui enfonça sa queue au fond de la chatte.Elle se faisait maintenant prendre par le cul et par la chatte sans toucher le sol, elle criait de plaisir de plus en plus fort :
— OUIIII, ENCOORREEEE, DEFONCEZZZZ MOIIIII, PLUUSSSS FOOOORRTTTTT, OUUIIIIII.
D’un seul coup, la sonnette retentit de nouveau, Karine était dans l’impossibilité d’ouvrir, trop occupée avec les bites qui lui ramonaient le cul et la chatte.Alors ce fut Benoit qui ouvrit la porte, c’était Michel, son patron que Maurice connaissait très bien. Le patron de Karine la baisait depuis maintenant plusieurs mois, il se servait même d’elle pour conclure des contrats un peu difficiles, elle se prenait les bites des clients dans le cul ou la chatte, et l’affaire était conclue.Il ne fut pas surpris de la voir se faire prendre par Sebastien et André, qu’il connaissait bien également, il rentra et leur dit :
— Ne l’abîmez pas trop, j’ai besoin d’elle demain pour un contrat.
André qui se déchaînait dans le cul de Karine lui répondit :
— A mon avis, quand elle nous aura tous vidé les couilles, il ne restera plus grand-chose à tirer de cette pute.
Benoit demanda à son grand-père :
— Papi, il reste du monde à venir ou on peut installer cette pute ailleurs ?— C’est tout mon garçon, tout le monde est là, répondit Maurice.
André dit à Sebastien :
— On l’emmène comme ça, avec nos queues ?— OK, ça me va.
Karine fut amenée au salon, d’une façon plutôt invraisemblable, elle ne touchait pas terre, elle avait toujours les bites d’André et de Sebastien en elle, et ils se mirent à marcher vers le salon en continuant à la défoncer.Elle trouva cette façon de se déplacer extrêmement jouissive, mais alors qu’ils étaient arrivés dans le salon, lui provoquant quelques orgasmes sur le chemin, ils ne surent où la déposer, ils continuèrent de la défoncer en cherchant l’endroit idéal.Karine était devenue un simple jouet sexuel, qu’on déplace à sa guise et cela la faisait jouir fabuleusement.D’un seul coup, Benoit trouva l’endroit idéal, il y avait un fauteuil suspendu au plafond dans un coin du salon, il dit :
— Là, on détache le fauteuil et on attache cette pute, au plafond.— Oui, pas bête, mon garçon, déclara Maurice.
Lui, Georges et Benoit s’occupèrent de décrocher le fauteuil et de passer une corde dans l’anneau accroché au plafond pendant qu’André et Sebastien continuaient de s’activer dans les orifices de Karine, la faisant crier de plaisir.Elle jouit comme une folle avec leurs bites, en regardant les autres, préparer son perchoir, ou plutôt son pendoir.Dès que tout fut prêt, André et Sebastien la déplacèrent encore, sans quitter pour autant son cul et sa chatte, les autres lui attachèrent les poignets avec la corde, et ils la suspendirent en l’air.Elle avait maintenant les bras en l’air, André et Benoit lui tenaient les cuisses grandes ouvertes, et lui défonçaient le cul et la chatte, la faisant hurler de plaisir.Benoit se mit à poil et rejoignit le trio infernal, il dit à son frère :
— Laisse-moi la place, j’ai envie de goûter à sa chatte de salope, moi aussi.
Les deux frères étaient plutôt bien équipés, et lorsque Karine sentit la bite de Benoit s’enfoncer dans sa chatte, elle jouit intensément, elle avait toujours la queue d’André dans le cul, et elle prenait un plaisir incroyable à être suspendu comme un simple morceau de viande, qu’on pouvait baiser par tous les trous.
Elle vit Sebastien passer derrière elle, et elle se dit que si elle se prenait les deux bites des jeunes en même temps, elle allait les sentir passer, mais elle prendrait un pied formidable.Maurice, Michel et Georges la regardaient se faire défoncer comme une grosse pute, la présence de son patron ne la dérangeait pas le moins du monde, elle se faisait baiser ou enculer par lui, quasiment tous les jours, les seuls jours où il ne lui passait pas dessus, c’est parce qu’il voulait la faire baiser avec ses clients.
Elle avait pris l’habitude d’être la pute de service, et elle aimait ça, elle était parfois obligée de baiser avec des vieux grisonnants, mais parfois c’était des forces de la nature qui lui démontaient le cul et la chatte, et dans ces moments-là, elle prévenait son mari, qu’elle ne rentrerait pas de la nuit.
JM en avait pris l’habitude, et en profitait pour rester tard à la mairie avec une petite stagiaire.
En voyant Karine suspendue au plafond, entourée de Benoit, Sebastien et André, Michel se dit qu’elle ne serait pas en état de travailler le lendemain, surtout qu’il était déjà 2h du matin, il allait devoir repousser le rendez-vous avec ses clients, s’il voulait que Karine les convainque de signer le contrat.Mais il voyait Sebastien passer derrière Karine, et il eut une idée perverse, il la savait capable de prouesses sexuelles incroyables, mais il avait toujours rêvé de tenter quelque chose d’extrême avec elle.Alors il se leva et se rapprocha de la zone de baise, il dit aux garçons et surtout à Karine :
— Dites les amis, je connais bien cette salope, et je l’ai déjà vue se prendre deux bites au fond de sa chatte en même temps, mais je me suis demandé si son cul en serait aussi capable.
Karine ouvrit en grand les yeux, sachant ce qui l’attendait, avec les bites qui l’entouraient, elle tenta de protester :
— Non...— Tais-toi, sale pute, mes amis utiliseront ton cul et ta chatte comme ils le veulent, lui dit Maurice qui avait tout entendu.
Karine se tut et se prépara au pire, elle sentit André et Sebastien lui ouvrir encore plus les fesses, mais alors qu’elle pensait que Benoit libérerait sa chatte, celui-ci resta bien planté au fond, elle allait devoir se prendre deux bites dans le cul, et une autre dans la chatte.Elle sentait déjà le gros gland de Sebastien se placer contre son anus, déjà occupé par la bite d’André, elle le sentit forcer l’entrée de son cul, mais même si elle avait le cul particulièrement souple depuis qu’elle se faisait enculer tous les jours, celui-ci n’était pas prêt à recevoir deux bites en même temps.Mais Michel tendit un tube de lubrifiant à Sebastien, et lui dit :
— Essaie avec ça, ça va passer sans problème.
Karine le vit enduire sa grosse bite, et retenter sa chance dans son cul, cette fois, elle sentait son anus s’ouvrir doucement sous la pression, lui provoquant une douleur intense, mais il ne parvint pas à enfoncer sa queue.Karine avait les larmes aux yeux, quand Sebastien arrêta de forcer l’entrée de son cul, elle crut qu’il laissait tomber, mais André lui dit :
— Attends, je vais lubrifier ma queue et son cul aussi, ça devrait passer.
Elle les vit se badigeonner leurs queues et son cul avec le lubrifiant, elle ne ressentait plus que de la peur, même la bite de Benoit dans sa chatte ne la faisait pas jouir, elle appréhendait de recevoir ces deux queues au fond de son cul.
Mais elle ne pouvait pas s’enfuir, elle était à leur merci.Elle les vit rapprocher ensemble leurs bites de son cul, ils lui tenaient les fesses bien écartées, et elle sentit leurs glands se poser sur son anus, ils ne devaient pas être à leur première double sodomie, ils étaient parfaitement synchronisés et ils poussèrent leurs queues dans le cul de Karine en même temps, et au même rythme.
Elle sentit son anus s’ouvrir de plus en plus sous la pression de ces deux grosses queues, et d’un seul coup, elle sut que leurs glands avaient réussi à s’engouffrer dans son cul, elle fut même surprise de ne ressentir qu’une légère douleur, elle sentait maintenant leurs queues s’enfoncer en même temps dans son cul, et faisait monter en elle un plaisir impossible.
Elle eut bientôt 3 bites en elle, dont deux, bien plantées au fond de son cul, quand ils commencèrent à faire coulisser leurs bites en elle, elle se sentit partir dans une série d’orgasmes extrêmes.
Elle se mit à hurler de plaisir, elle n’arrivait plus à articuler des mots compréhensibles, les trois bites en elle, la faisaient monter au septième ciel et au-delà.Même si Michel avait souvent vu le cul et la chatte de Karine capable de prouesses exceptionnelles, lorsqu’elle baisait avec ses clients, il fut, tout de même, impressionné de voir les trois queues s’enfoncer en elle, et la faire jouir d’une puissance ahurissante.Maurice et Georges avaient laissé la petite bande se déchaîner sur Karine et étaient partis faire le tour du propriétaire, ils tombèrent rapidement sur le trio dans la chambre d’Edwige, Georges fut surpris et dit :
— La vache, le père baise sa propre fille, le salaud.
Alors que Maurice sortait son téléphone pour les prendre en photo, le maire en train de baiser sa fille et de rouler une pelle à son gendre, il dit à Georges :
— Tu veux bien me tenir l’appareil, on va voir si la fille est aussi salope que la mère.
Tandis que Georges continuait de prendre des photos du trio incestueux, Maurice se rapprocha d’eux, ni JL, ni JM trop occupés à se rouler une pelle ne le virent approcher, mais lorsqu’Edwige vit Maurice et sa vieille bite, elle se redressa aussitôt, elle ouvrit la bouche et tira la langue comme une grosse pute en manque de bite.Il lui enfonça sa queue dans la bouche en lui disant :
— Tu es bien comme ta mère, une grosse salope.
Elle se mit à pomper la bite de Maurice, tandis que JM se redressa, un peu surpris d’entendre une nouvelle voix.Il était un peu déconcerté par ce qu’il venait de vivre avec JL, alors lorsqu’il vit sa fille en train de pomper la vieille queue de Maurice, il ne sut quoi dire.Il entendit Maurice lui dire :
— Tu aimes ça, salope, les vieilles bites, hein ma petite chienne.
Edwige ne lâcha pas sa queue et lui fit oui de la tête, elle gémissait comme une folle avec trois bites rien que pour elle.Elle s’enfonçait la queue de Maurice, de plus en plus loin au fond de la bouche, et il lui dit :
— Oui, c’est ça, sale pute, avale-moi toute la bite.
Edwige lui obéit et avala sa queue toute entière, enfonçant le gland de Maurice jusque dans sa gorge, elle commençait à avoir une certaine expérience des gorges profondes, et elle adorait sentir une bite toute entière dans sa bouche.Maurice lui maintint sa queue bien enfoncée dans sa bouche et lui dit :
— Voilà, c’est bien, salope, maintenant, sors ta langue et lèche-moi les couilles, petite pute.
Encore une fois, Edwige obéit, et malgré la présence de la vieille queue de Maurice au fond de sa gorge, elle tira la langue et alla lui lécher les couilles.JM était perdu dans un brouillard de plaisir, il voyait sa fille sucer la vieille bite de son voisin, il sentait la queue de son gendre contre la sienne, et il ressentait un plaisir incroyable.Il ne put résister plus longtemps et bien qu’il ait déjà joui dans la bouche de sa fille quelques minutes auparavant, il lui éjacula une nouvelle fois au fond de la chatte.JL, en sentant la bite de son beau-père palpiter contre sa queue et gicler son sperme, ne put se retenir également, ils remplirent simultanément le vagin d’Edwige avec leur sperme, provoquant chez elle, un orgasme intense.Elle avait le nez dans les poils gris du pubis de Maurice, et si elle avait pu hurler son plaisir, elle l’aurait fait.
Sa chatte se mit à déborder de sperme, quand JM se fut bien vidé les couilles dans la chatte de sa fille, il s’écroula sur le cul, complètement désemparé par ce qu’il voyait et par ce qu’il venait de vivre.Il vit JL se dégager difficilement de sous Edwige, sortant, à son tour, sa bite de la chatte dégoulinante de sperme de sa fille.Ils reprenaient, tous les deux, leurs souffles au pied du lit, en regardant Edwige pomper la bite de Maurice, comme une affamée, quand ils le virent faire signe à quelqu’un à l’entrée de la chambre.Ils furent surpris de voir arriver un vieux bedonnant avec sa petite bite, à l’air, Maurice lui dit :
— Mets-lui dans le cul, elle est comme sa salope de mère, elle adore se faire enculer.
Et s’adressant à Edwige,
— hein, ma petite salope, tu aimes te prendre des bites dans le cul ?
Elle lui fit oui de nouveau avec la tête, continuant de lécher les couilles de Maurice qui maintenait sa queue bien enfoncée dans sa gorge.Georges donna le téléphone à Maurice qui continua de filmer la scène, Edwige sentit qu’on lui écartait les fesses, mais elle sentit à peine la bite de Georges s’enfoncer dans son cul, elle avait déjà pris de beaux morceaux entre ses fesses, alors la petite bite de Georges, ne lui fit presque rien.
Elle sentait surtout son gros ventre cogner contre ses fesses, sans lâcher la bite de Maurice, elle regarda son reflet dans le miroir de son placard, et vit Georges en train de l’enculer.Elle se voyait se faire prendre par deux vieillards, et ce n’est pas grâce à la petite bite qu’elle sentait à peine coulisser dans son cul, mais elle jouit en se regardant dans le miroir, elle voyait cette jeune fille, qu’elle reconnaissait à peine, à 4 pattes entre deux vieillards qui usaient et abusaient de ce corps si jeune et si pur, elle voyait son visage enfoui dans les poils grisonnants de Maurice, sa langue en train de lui lécher les couilles, tandis qu’un autre vieux se démenait dans son cul.
Maurice commença à faire ressortir sa queue, pour l’enfoncer de nouveau jusque dans sa gorge, elle se faisait baiser la bouche, et elle se mit à sortir sa langue pour lécher les couilles de Maurice quand elles étaient à portée.
Ils mirent un bon moment avant de se vider les couilles dans son cul et dans sa gorge, en bonne petite salope, elle avala tout de sperme de Maurice, JM et JL regardaient les deux vieux se servir du jeune corps d’Edwige comme d’un simple vide-couille, et ne trouvèrent rien à y redire.Une fois leurs forfaits accomplis, ils s’en allèrent, Edwige, complètement épuisée, s’effondra sur le sol.Maurice leur dit avant de partir :
— La mère et la fille sont vraiment de bonnes salopes, je viendrais plus souvent m’occuper de leurs culs, en attendant, occupez-vous d’elle, elle a besoin de repos.
JL et JM s’occupèrent d’Edwige et l’installèrent dans son lit, ils étaient tous les deux épuisés également, alors ils s’installèrent de chaque côté d’Edwige et s’endormirent, tous les trois complètement nus.Lorsque Georges et Maurice revinrent dans le salon, c’était beaucoup plus silencieux, Karine avait été détachée, elle était assoupie sur la table basse, son visage était couvert de sperme, elle en avait partout dans les cheveux, ça suintait de sa chatte et de son cul encore grand ouvert, par la visite des deux bites qu’il avait réussi à héberger.Benoit, Sebastien et André étaient repartis, il ne restait que Michel qui leur dit, en les voyant :
— Bon, et bien, je crois qu’elle ne sera pas en état de venir bosser demain et vu l’heure, je crois que je ne vais pas être en forme non plus.— En tout cas, elle a eu sa dose, la salope, elle va s’en souvenir.— Surtout que son cul va être impraticable pendant un moment avec ce qu’ils lui ont mis, ça n’arrange pas mes affaires, dit Michel.— T’inquiète, on va la laisser tranquille quelques jours, et elle sera en pleine forme quand elle reviendra au boulot.— Je compte sur vous, je n’ai pas 50 salopes sous la main au bureau.— Vous m’aidez à la porter jusqu’à sa chambre, elle va dormir couverte de sperme, quand elle se réveillera demain, ça lui fera des souvenirs.
Ils emmenèrent Karine dans sa chambre et la laissèrent dormir paisiblement, Maurice raccompagna ses amis, et hésita à rentrer chez lui.Sa femme dormait, et elle avait l’habitude qu’il se lève tôt, elle ne s’en rendrait sans doute pas compte s’il restait dormir ici, alors il retourna dans la chambre avec Karine et s’endormit avec elle.A suivre ...
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