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Spin-off « les mystères de l’asie »

Chapitre 3

edwige 3/4

Orgie / Partouze
Spin Off 03Edwige 3e partieAprès cette soirée de débauche extrême, la nuit passa paisiblement, tout le monde dormit d’une seule traite.Ce fut Karine qui se réveilla en premier, elle sentait le sperme à plein nez, il avait séché et lui collait à la peau, elle se sentait sale, mais elle se souvint pourquoi elle était couverte de sperme, et sentait encore son cul très sensible par la visite des queues des invités de la soirée.Elle ouvrit les yeux et vit Maurice dormir à côté d’elle, elle fut étrangement très heureuse de trouver son Maître à ses côtés.
Elle regarda sa queue raide par l’érection matinale, et entreprit de lui prodiguer une fellation, que tout esclave se devait de faire à son Maître.Elle se mit donc à genoux, et commença à lui lécher les couilles et la hampe, elle l’entendit grogner de plaisir, elle avala alors sa bite, et le vit ouvrir les yeux.Il se frotta les yeux et la regarda lui sucer la bite, en lui disant :
— Tu n’en as jamais assez, ma belle salope, tu t’es fait défoncer le cul hier, mais il t’en faut encore.
Elle recracha la bite de son Maître pour lui dire :
— Je suis votre esclave, Maître, je suis à votre service et à celui de vos amis.
Elle passa sa langue le long de la queue de Maurice, mais celui-ci sentait sa vessie bien pleine, et malgré la fellation délicieuse de Karine, il allait falloir qu’il aille pisser.Il voulut la prévenir d’un besoin pressant en lui disant :
— Il faut que j’aille faire mes besoins, ma petite pute, tu t’occuperas de ma queue, après.
Mais Karine avait déjà eu une expérience de douche dorée avec une cliente, et elle en gardait un agréable souvenir, alors en bonne petite salope, elle dit à son Maître :
— Je suis là pour soulager vos moindres besoins, vous pouvez vous servir de moi.
Maurice crut ne pas bien comprendre la proposition de son esclave, mais lorsqu’elle lui titilla le frein de son gland avec sa langue, tout en gardant la bouche ouverte, il comprit où elle voulait en venir.
Il avait du mal à y croire, mais sa vessie commençait à lui faire mal, et il se dit pourquoi ne pas satisfaire cette salope, en lui pissant dessus.Mais il ne voulait pas salir les draps, alors il l’emmena dans la douche attenante à la chambre, Karine s’agenouilla devant lui, la bouche grande ouverte, et Maurice commença à se soulager.Il envoya son jet doré sur ses seins, remonta doucement vers son cou, puis continua de remonter et lui envoya sa pisse dans la bouche, il la vit déglutir et avaler son urine, il n’en revenait pas, il continua de remonter et lui arrosa les cheveux, nettoyant en même temps les traces de sperme de la veille.
Il redescendit le jet et finit de pisser dans la bouche de Karine, il la vit se rapprocher pour récupérer les dernières gouttes de pisse, et tout avaler, elle lui pompa ensuite la queue, et lui nettoya parfaitement la bite.
Il n’avait pas débandé, sous les coups de langue habiles de cette salope, mais il se rappelait ce que Michel lui avait demandé, la vielle, il devait la laisser se reposer, afin qu’elle soit en forme pour reprendre le boulot et accomplir son travail de pute de service.Alors Maurice se retint de la mettre à 4 pattes sur le lit et de la défoncer comme elle le méritait.Il la laissa le sucer et lui dit :
— Ton patron t’a donné ta journée, mais il faut que tu te reposes aujourd’hui, il veut que tu sois en forme quand tu retourneras au boulot, donc aucune bite dans ton cul pour la journée.— Bien Maître, je serais sage.
Sous ses coups de langue habiles, Maurice lui éjacula dans la bouche, et la laissa se doucher pour éliminer toute trace de sperme et de pisse, mais en voyant l’heure, Maurice se dépêcha de se rhabiller avant que sa femme ne s’inquiète.Il dit à Karine avant de la quitter :
— Pas d’excès aujourd’hui, ma petite pute.— Bien Maître.
Elle raccompagna Maurice à l’entrée et se retrouva seule chez elle, elle fut un peu perdue sans son Maître.Elle partit s’habiller et tout en choisissant une tenue sage de femme au foyer, elle se remémora ce qu’il s’était passé la veille et tout en en enfilant son string, elle se demanda où pouvait bien être son mari et sa fille.
Elle avait choisi une tenue très sage, ce qui contrastait totalement avec sa tenue de la veille, elle portait une robe d’été jaune, qui lui arrivait jusqu’au genou, et lui faisait un léger décolleté, avec bien sûr, un petit string en dessous et le soutien-gorge assorti, elle partit ensuite à la recherche de sa fille et de son mari.
Elle entendit des gémissements provenant de la chambre de sa fille, et sentit aussitôt sa chatte frétiller, elle se rappela leur relation incestueuse de la veille avec son gendre qui l’avait enculée, bien profond.
Même si elle mourait d’envie de sentir encore une fois la jeune bite de JL au fond de son cul, celui-ci était encore trop sensible et son Maître lui avait défendu de se faire enculer pour la journée.
Mais lorsqu’elle arriva à l’entrée de la chambre de sa fille, elle vit celle-ci à 4 pattes sur son lit, en train de pomper la belle bite de JL, tandis que son père l’enculait bien profond.Elle entendait son mari crier à sa fille :
— Tu aimes ça salope, les bites dans le cul, petite pute.
Lorsque sa bouche n’était pas pleine, elle lui répondait :
— Oui, papa, continue, défonce-moi le cul, encule-moi bien fort, j’adore ça.
Karine ne put se retenir de glisser une main sous sa robe et de se caresser la chatte, elle croisa le regard de JL, et ne put s’empêcher de rentrer dans la chambre.Elle s’approcha du trio incestueux, et lorsque son mari la vit s’agenouiller à côté de sa fille pour sucer la bite de son gendre avec elle, il ne trouva rien à dire.Depuis hier soir, sa famille avait plongé corps et âme dans l’inceste et la luxure, et il ne pouvait ni ne voulait plus rien faire contre ça.Il continua d’enculer sauvagement sa fille, tandis qu’il vit son gendre se placer derrière sa femme, lui soulever sa robe, et lui retirer son string, il entendit Karine lui dire :
— Mets-la-moi dans la chatte, mon cul est encore très sensible de la soirée d’hier.
JL obéit et enfonça sa bite au fond de la chatte trempée de sa belle-mère.Ils baisèrent tous les 4, un bon moment, JM finit par se vider les couilles dans le cul de sa fille, tandis que JL remplissait la chatte de sa belle-mère avec son sperme.Karine ne remit pas son string, se disant qu’elle aurait sans doute encore l’occasion de se faire fourrer la chatte par son gendre.JM partit s’habiller dans sa chambre, avant de partir pour la mairie, il était en retard, mais il s’en moquait, sa fille lui roula une pelle passionnée pour lui souhaiter bonne journée.JL devait rentrer chez lui, pour avoir des affaires propres, et rassurez ses parents.
Karine et Edwige se retrouvèrent donc seules, et elles discutèrent de ce qu’il s’était passé la veille.Mais Edwige qui se rappelait parfaitement ce que lui avait dit sa mère la veille alors qu’elle venait de se faire enculer par JL, alors profitant qu’elles soient seules, elle lui demanda :
— Dis maman, c’est vrai que tu t’es fait dépuceler par papy ?— Euh, oui ma chérie, j’ai couché avec mon père, jusqu’à mon mariage, d’ailleurs, je vais te raconter une petite anecdote.— -------------------
Ton grand-père et moi baisions ensemble pratiquement tous les jours à cette époque, même après avoir rencontré ton père, je n’arrivais pas dire non au mien, et il me fourrait sa queue par tous les trous, c’est lui qui m’a dépucelé aussi le cul.On faisait cela en cachette, en hiver, il m’emmenait dans la grange, il me retournait contre une balle de paille pour soulever ma jupe et baisser ma petite culotte, et enfin m’enfoncer sa grosse bite.J’aimais beaucoup ça, et même après avoir rencontré ton père, nous avons continué à baiser ensemble.Il n’était pas rare que lorsque je couchais avec ton père, il y avait encore le sperme du mien au fond de ma chatte, j’adorais ça, et même s’il n’était pas au courant de mes écarts incestueux, je soupçonne encore ton père d’aimer me baiser en sentant ma chatte particulièrement humide.Il y avait même des fois où je ne mettais pas de petite culotte pour que mon père puisse me fourrer avec sa grosse bite plus rapidement.
Je me souviens encore d’un jour, où ma mère était en train de cuisiner, mon père était assis sur le banc de la table de la cuisine, en train de remplir des papiers, lorsqu’il m’a vue arriver, il a sorti sa grosse bite, et m’a fait signe de m’asseoir dessus.J’avais un peu peur que ma mère ne se retourne et ne découvre la queue bien raide de mon père, alors je me suis glissé entre lui et la table, il a soulevé ma jupe, et baissé ma culotte.Je l’ai senti écarter mes fesses et placer sa bite contre mon cul, il m’a chuchoté :
— Vas-y, assois-toi dessus, ma chérie.
J’ai obéi, et tout en regardant ma mère cuisiner, j’ai senti la bite de mon père s’enfoncer dans mon cul. C’était tellement excitant, qu’on a recommencé très souvent.On a même failli se faire surprendre une fois, j’avais la bite de ton grand-père dans le cul, et il avait commencé à prendre confiance depuis qu’on le faisait, alors il avait glissé ses mains sous mon corsage, et me pelotait les seins, j’avais un mal fou à ne pas gémir de plaisir dans le dos de ma mère.Mais cette fois, elle s’était tournée pour chercher un ingrédient dans un placard, mon père et moi sommes restés complètement immobiles, ses mains sur mes seins et sa bite bien au fond de mon cul.Puis ma mère est retournée cuisiner, on a eu une peur bleue ce jour-là, mais qu’est-ce que j’ai joui après.Mais tu sais, je baisais avec ton grand-père depuis plusieurs années lorsque j’ai rencontré ton père, donc ça n’a pas été simple de mettre un terme à cette relation incestueuse, mais j’avoue que ma sœur m’a un peu aidée.
Ta tante, Angélique, nous avait surpris, un jour où ton grand-père m’avait ...
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Edwige l’interrompit :
— Dis donc, maman, ce n’est plus une anecdote que tu me racontes là.— Ben, il faut bien que tu connaisses toute l’histoire.
La mère et la fille avaient rapidement écarté leurs cuisses au fil du récit de l’histoire érotique de Karine, elles se branlaient la chatte l’une l’autre, en essayant de ne pas perdre le fil.
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Karine reprit son récit :
— Où en étais-je ?
Ah oui, donc l’été, ton grand-père aimait bien m’emmener au potager, je le soupçonne d’être exhibitionniste, car il adorait me baiser en plein jour, au milieu des légumes, il y a même un jour, où il était en train de me baiser la chatte, il avait déterré une carotte et s’était amusé à me titiller le cul avec.
Après l’avoir bien nettoyée avec son arrosoir, il me l’a enfoncé dans le cul, j’ai joui comme une petite folle, et à partir de ce jour-là, je te dis que les 5 fruits et légumes, j’y goûtais, mais pas que dans la bouche.
Il y a même un jour, alors qu’il m’enculait au milieu des concombres, il m’a demandé de m’en mettre un dans la chatte, j’ai crié de plaisir, tellement c’était bon, et alors que je jouissais à me faire remplir le cul et la chatte par deux beaux morceaux, j’ai vu notre voisin Roger, approcher de la clôture.
J’ai eu peur, mais ton grand-père continuait de me défoncer le cul, et je ne pouvais m’empêcher de gémir comme une folle, j’ai vu Roger sortir sa queue et se branler devant nous, il a dit à mon père :
— Elle a l’air d’aimer les gros concombres, la petite.— Putain, oui, la petite garce, elle adore se faire bien remplir.— Je peux donner un coup de main, si besoin.
Et je le vis passer sa belle bite, à travers le grillage, juste à hauteur de ma bouche, ton grand-père me dit alors :
— Allez, ne laisse pas notre voisin dans cet état, je sais que tu es douée avec ta petite langue.
J’avançai donc comme je pouvais vers la bite de Roger, en conservant le concombre dans la chatte et la bite de mon père dans le cul, dès que la bite de Roger fut à portée, je me mis à le sucer avec envie, j’avais pour la première fois de ma vie, tous les orifices occupés, et c’était le paradis.
Je pompais la queue de Roger tellement fort, qu’il ne résista pas longtemps et m’envoya des giclées de sperme bien épais dans la bouche, j’ai tout avalé comme me l’avait appris mon père.Depuis ce jour, Roger nous rejoignait souvent au fond du jardin pour se faire vider les couilles par sa jeune suceuse de voisine.Mais ton grand-père m’a fait faire des trucs incroyables avec les légumes, un jour, après m’avoir bien défoncé le cul avec sa grosse bite, il m’a fait rentrer à la maison avec une grosse carotte plantée dans le cul, la fane de la carotte me pendait entre les cuisses, lorsqu’on est rentré à la maison, j’étais à la fois, mal à l’aise et excitée comme une folle, en sentant cette chose au fond de mon cul, quand j’ai donné le panier de légumes à ma mère.
Quand je suis retourné vers mon père, il m’a dit :
— Tu as oublié quelque chose.
Je n’osais pas retirer la carotte de mon cul devant ma mère, mais j’ai senti la main de mon père se glisser entre mes cuisses et attraper la fane de la carotte et tout en retirant la carotte de mon cul, il me dit discrètement :
— Je sais que tu aimes avoir le cul bien rempli, ma chérie, mais il faut que ta mère fasse la soupe.
Lorsque la carotte est sortie de mon cul, je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un cri de jouissance, ma mère s’est retournée, mon père avait la carotte à la main, et lui tendit afin qu’elle fasse de la soupe avec ce légume qui sortait de mon cul.
C’est à ce moment-là que je l’ai soupçonné de laisser son mari, abuser de sa fille, elle ne m’a même pas demandé si j’allais bien, alors que j’avais les mains posées sur la table, les cuisses entrouvertes, et je bavais de plaisir, mon cri de jouissance avait été facilement identifiable, vu mon état.
Elle a simplement pris le légume et l’a épluché avec les autres.J’ai vite remarqué, qu’à partir de ce jour, ton grand-père était de moins en moins vigilant, à la présence de sa femme, surtout quand il me fouillait la chatte ou le cul devant elle.Un dimanche, il est même venu me baiser dans ma chambre, juste avant de partir à la messe, ma mère nous attendait en bas avec ma sœur, alors qu’il était en train de me défoncer la chatte en levrette, je criais comme une chienne dans mon oreiller pour ne pas qu’elles m’entendent jouir comme une folle, mais ce salaud m’a tirée par les cheveux pour que je me redresse et qu’il puisse bien me défoncer.
Je me suis mise alors à hurler de plaisir, il me défonçait avec une force incroyable, j’ai eu plusieurs orgasmes à ce moment-là, ma mère et ma sœur m’entendaient forcément jouir comme une chienne en chaleur, au rez-de-chaussée.Il a fini par jouir au fond de ma chatte, et tout en remballant sa grosse queue encore bien dure, il m’a dit :
— Dépêche-toi de descendre, ta mère et ta sœur nous attendent.
Je me suis dépêché d’enfiler ma culotte, et en descendant l’escalier, je sentais son sperme imbiber rapidement ma culotte, quand je suis arrivée en bas, ma sœur me fit remarquer que j’avais un sein de sorti de ma robe, j’eus un peu honte et me dépêcha de ranger mon nichon. Ma mère ne me regarda même pas.
Mais mon père m’avait joui une telle dose au fond de la chatte, que son sperme finit par couler sur mes cuisses, et en arrivant à l’église, je sentais son sperme sur mes mollets.Pourtant au lieu d’en avoir honte, en répétant les prières du curé, j’étais étrangement fière d’être le vide-couille de mon père.A la sortie de l’église, nous avons croisé Roger, mon père m’attrapa par le bras, et m’entraîna avec lui derrière l’église, alors qu’il posait sa main sur mon cul, je vérifiai derrière nous, et vit Roger nous suivre de près.
Nous étions à peine hors de vue des fidèles de la paroisse, que mon père me plaquait les mains contre le mur de l’église et baissait ma petite culotte jusqu’à mi-cuisse, il constata les dégâts de son sperme avant la messe et me dit :
— Eh bien, ma puce, tu as encore la chatte bien pleine.— Tu m’as mis une sacrée dose, papa.
Il sortit sa queue encore raide et me fit me cambrer pour enfoncer sa grosse bite dans ma chatte encore pleine de son sperme.Roger arriva au moment où je poussai un long gémissement de plaisir, il sortit sa belle queue.Mon père me fit me pencher vers lui et je lui avalai sa queue, j’adorais me faire prendre par deux bites en même temps, et ils m’ont baisée un bon moment derrière l’église, Roger finissait de m’éjaculer dans la bouche quand on entendit sa femme le chercher.J’avalais tout son sperme et mon père me fit me relever et me dit :
— Allez, on rentre.
Ma mère ne nous avait pas attendus, et était rentrée avec ma sœur.Tous les dimanches, mon père avait pris l’habitude de m’entraîner derrière l’église pour me faire sucer la bite de Roger, quand il était de bonne humeur, il lui permettait même de m’enfoncer sa bite dans la chatte, j’étais contente d’aller à la messe, je savais que j’allais avoir ma dose de sperme.
Un jour, nous avons été surpris par le curé, qui m’avait entendu jouir sous les coups de queue de Roger, il était sorti par la porte de derrière pour voir qui s’adonnait à des activités lubriques, et il fut surpris par ce qu’il vit, j’avais les mains contre le mur de l’église, le cul bien cambré, ma jupe était retroussée sur mes hanches et Roger me besognait la chatte comme un forcené, mon père était occupé avec la femme de Roger et l’occupait pendant que son mari me défonçait.
Le curé était tellement surpris, qu’il ne trouva rien à dire, et alors que Roger se vidait les couilles au fond de ma chatte, se dépêchant de ranger sa bite pour rejoindre sa femme, il ne vit pas le curé qui nous regardait avec un air complètement ahuri.
Je le vis regarder mon cul nu, avec ma chatte qui suintait le sperme de Roger, alors prise par un étrange vice, je restai dans la même position, offerte à n’importe quel homme, prête à se faire fourrer à nouveau, le curé me matait toujours le cul.
Je le vis s’approcher, en s’astiquant la queue sous sa soutane, il se plaça derrière moi, il souleva sa robe, et sortit sa bite pour me l’enfoncer dans la chatte en me disant :
— Tu es une gentille fille, ma petite Karine, tu sais ce qui fait plaisir à Mr le curé.
Il s’agrippa à mes fines hanches et me baisa comme Roger venait de le faire, me faisant de nouveau gémir de plaisir, mais alors que mon père approchait, il me vit me faire défoncer par le curé, alors il dit au curé :
— Allez-y, Mr le curé, c’est une vilaine fille, il faut bien la punir.
Celui-ci, voyant qu’il avait l’approbation de mon père, se mit à me gifler mes jeunes fesses, tout en me défonçant la chatte, cela me fit jouir intensément et je me mis à crier de plaisir.Mais mon père entendit ma mère l’appeler, ce qui était plutôt étrange, on l’entendit approcher et avant qu’elle ne me surprenne en train de me faire défoncer par le curé, celui-ci sortit sa queue de ma chatte et m’attrapa par le bras pour me faire agenouiller à côté d’une barrière, il me passa sa soutane par-dessus et alors que ma mère découvrit mon père discutant tranquillement avec le curé, je lui avalais la bite sous sa robe.J’entendis ma mère dire à mon père :
— Angélique s’est tordu la cheville, tu vas devoir la porter jusqu’à la maison.
Elle allait partir quand le curé lui dit :
— Dites Mme X, votre grande fille a bien grandi, je me demandais s’il ne serait pas temps de me l’envoyer en confession.
Alors que je pompais copieusement la bite du curé, j’entendis ma mère lui dire :
— Ça ne pourra pas lui faire du mal, elle a le vice dans la peau.
Elle lui chuchota :
— Mr le curé, je crois que ma fille couche avec son père, comme je ne veux plus coucher avec lui, il s’est rabattu sur cette pauvre fille.— Très bien, envoyez-la-moi le dimanche après la messe, je lui inculquerais un peu de morale.— Merci Mr le curé,
alors que ce salaud se vidait les couilles dans ma bouche, il jouit en criant :
— Aaahhh ouiii,— Oui Mr le curé ?— Euh oui, surtout ne dites rien, si vous surprenez votre mari et votre fille, il faut que cela vienne d’elle, qu’elle trouve le chemin de la vertu, elle-même.— Très bien, Mr le curé, j’essaierai.
Lorsque ma mère fut éloignée, il me fit sortir de sous sa soutane et me dit :
— Très bien, ma petite salope, si tu veux continuer à baiser avec ton père, il va falloir venir me vider les couilles tous les dimanches, comme une bonne petite salope.— Bien Mr le curé, je serais là tous les dimanches.
Je rentrai chez moi avec la bouche pâteuse, et la chatte pleine du sperme de Roger.
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Alors que Karine et Edwige se fouillaient mutuellement la chatte, celle-ci interrompit encore une fois sa mère :
— Euh tu disais que tata angel, t’avais surprise ?— Oui, deux minutes, laisse-moi le temps d’y venir.— -----------------
Donc tous les dimanches, après la messe, je rejoignais le curé dans son office, pour qu’il m’introduise sa « morale », et il me l’a profondément introduite dans la chatte et dans le cul, le salaud.Ma mère était enchantée de me voir rejoindre le curé tous les dimanches, et comme le lui avait demandé le curé, elle prit sur elle, quand elle m’entendait me faire défoncer par mon père.Celui-ci m’a même prise un jour juste à côté de ma mère, il m’avait mis à plat ventre sur la table de la cuisine, il avait soulevé ma jupe et me besognait la chatte juste derrière elle, je me retenais autant que je pouvais de gémir de plaisir.Mais lorsqu’il m’a joui dans la chatte, je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un léger :
— Ouiiiiiii.
Je pense que ma mère a dû faire un effort énorme pour ne pas nous mettre à la porte.Néanmoins, elle avait son autre fille pour se consoler, et elle se promit de la protéger de son pervers de père, mais un jour, alors que ton grand-père me défonçait dans le potager avec Roger.Ma mère, ignorant toute ou partie de ce qui se passait dans le potager, demanda à ta tante Angélique de dire à son père de ramener plus de poireaux.Angélique, toute innocente à l’époque, courut vers le potager, quand elle me vit à 4 pattes avec la bite de papy dans le cul et celle de Roger dans la bouche, elle hurla de peur, et s’enfuit en courant.Mon père sortit de mon cul, et remballa sa grosse queue en la poursuivant, Roger fut ravi de prendre sa place, et continua de m’enculer bien profond.
Mon père me raconta plus tard ce qui s’était passé, il avait eu un mal fou à remettre son pantalon en place, et elle en avait profité pour le distancer, mais il avait fini par la rattraper au milieu des bois qui bordaient notre maison. Nous avions fêté son 18e anniversaire, quelques jours plus tôt et j’avais bien remarqué l’intérêt grandissant de mon père pour ma sœur, il faut dire qu’elle était très jolie, une ravissante brune, les cheveux longs ondulés, d’1.65m pour 56 kilos, elle était toute fine et nous avions hérité toutes les deux de la belle poitrine de notre mère, un joli 90 D, ma sœur avait aussi un joli petit cul qui attirait beaucoup les yeux de notre père.Donc quand il la rattrapa dans les bois, il la plaqua contre un arbre et après avoir repris son souffle, il lui dit :
— Calme-toi ma chérie, n’aie pas peur, il n’y a pas de mal, personne ne souffre dans ce que tu viens de voir.— Mais, mais papa, Karine et vos sexes en elle, c’est horrible.— Ne crois pas tout ce que peut raconter ta pauvre mère, le sexe, c’est quelque chose de naturel, tout le monde le fait.— Ah bon, mais pourquoi maman me dit que ça fait mal et que c’est sale.— Ta mère n’a jamais aimé ça, mais ta sœur adore ça, tu l’as bien vue dans le jardin, elle n’avait pas mal, et je t’assure qu’elle prenait beaucoup de plaisir avec nos bites.— Euh..., Karine rougit en entendant ce mot.
Mais mon père tenta sa chance, il la fit s’asseoir sur de la mousse avec lui, il posa sa main sur sa cuisse en lui disant :
— Si tu veux ma chérie, je peux t’aider à faire découvrir si tu es comme ta sœur et que tu aimes le sexe.
Mais Angélique n’avait pas eu le temps de répondre que la main de notre père était déjà sous sa jupe et s’insinuait entre ses cuisses.Elle lui dit :
— Qu’est-ce que tu fais, papa ?— Détends-toi ma chérie, laisse-toi faire, je vais te faire découvrir des choses toutes nouvelles pour toi.
Angélique obéit et laissa notre père glisser sa main entre ses cuisses et venir frotter sa petite culotte, elle ressentit rapidement une chaleur douce lui envahir l’entrecuisse, et une étrange moiteur.Ton grand-père lui demanda :
— Ça te plaît ?— C’est étrange, mais très agréable, continue stp.— Tu vois que ça ne fait pas mal.
Il lui ouvrit un peu plus les cuisses et glissa sa main dans sa culotte, Angélique sentit des ondes de plaisir lui traverser tout le corps, lorsque la main de son père lui caressa le clitoris.Lorsqu’elle sentit qu’il tirait sur les bords de sa culotte pour lui retirer, elle leva les fesses et le laissa la mettre cul nu, il lui ouvrit ensuite les cuisses et vint lui lécher la chatte.Elle ne put s’empêcher de gémir de plaisir, sa mère n’avait pas arrêté de lui rabâcher que le sexe était sale et douloureux, mais avec la langue de son père entre les cuisses, elle prenait tellement de plaisir, qu’elle s’allongea sur le sol et se cramponna aux cheveux de son père pour plaquer sa bouche contre son sexe, en poussant des petits gémissements de pucelle.
En continuant à lui bouffer la chatte, mon père lui avait dégrafé le haut de sa robe et lui pelotait ses jeunes seins, elle l’aida en dégrafant son soutien-gorge et se retrouva rapidement à moitié à poil au milieu de la forêt.
Lorsqu’il sentit qu’il l’avait bien fait jouir, mon père remonta sa langue sur son ventre et alla lui bouffer les tétons, elle gémissait toujours comme une petite folle, et il en mourrait d’envie depuis quelques jours, alors il se redressa pour lui dire :
— Tu veux que je fasse de toi une femme, ma chérie ?— Oui, papa, vas-y, je suis prête,
Elle sentait la queue de son père cogner contre son clitoris, et ça l’excitait comme une folle, mais lorsqu’elle sentit son père glisser son gros gland dans sa chatte, elle sentit une légère douleur et lui dit :
— Attends, papa, ça fait mal.— Ça va vite passer, ma chérie, ne t’inquiète pas.
Il enfonça sa queue dans la chatte d’Angélique d’un puissant coup de reins, lui déchirant son hymen et la fit crier de douleur.Elle avait les larmes aux yeux, elle se dit que sa mère avait raison, c’était affreusement douloureux, mais elle sentait le sexe de son père dans son ventre, il ne bougeait pas, mais elle le sentait vibrer en elle, c’était une sensation très étrange.Elle entendit son père lui dire :
— Ne bouge pas ma chérie, ça va passer, détends-toi.
Elle essaya de suivre les conseils de son père, et il n’avait pas tort, la douleur s’estompa doucement, laissant place à une sensation nouvelle, elle sentait une chose chaude et vivante entre ses cuisses, dans son ventre, et à mesure que la douleur disparaissait, un plaisir nouveau s’emparait d’elle.Lorsque son père se mit à bouger, elle se raidit, craignant d’avoir de nouveau très mal, mais ce fut tout l’inverse, elle fut parcourue de nouveau par un intense plaisir, et lorsqu’elle sentit que son père lui avait enfoncé tout son sexe dans le ventre, elle gémit de plaisir.Il commença par y aller doucement, et voyant qu’elle prenait son pied, il ne résista pas à l’envie d’accélérer, la faisant gémir de plus en plus fort.Elle lui disait :
— Ouiii, papaaa, c’est boonnn, continuueeee.
Alors il se mit à la besogner de plus en plus fort et de plus en plus vite, si bien que lorsque les couilles de son père se mirent à cogner contre sa chatte, Angélique ressentit son premier orgasme de sa vie, elle ouvrit grand les yeux et cria de plaisir :
— OUIIIIII, ENCOREEEE, C’EST BOOONNNNNN.
Notre père la baisait comme ça, sur la mousse pendant un bon moment, mais il aimait la levrette, alors il quitta sa chatte, et la fit se relever.Angélique était un peu perdue par toutes ses émotions, mais elle obéit à son père, elle se mit debout, faisant tomber sa robe au sol, et se retrouvant complètement nue dans les bois, mais elle s’en moquait complètement.Son père la fit poser les mains contre un arbre et se pencher en avant, elle sentit qu’il plaçait son gros engin contre son sexe, lorsqu’il s’enfonça de nouveau dans son ventre, elle poussa un long gémissement de plaisir.Elle sentait encore mieux la bite de son père dans cette position, et elle comprit pourquoi sa grande sœur prenait son pied avec la bite de son père et celle de Roger.Elle se fit baiser comme ça contre l’arbre pendant un bon moment, elle jouit plusieurs fois, avant qu’elle sente son père se cramponner à ses fines hanches et lui remplir le ventre avec un étrange liquide chaud.
Cela lui procura une surprenante jouissance, elle le laissa finir de lui remplir la chatte et sortir sa bite, elle se redressa ensuite et regarda entre ses cuisses, elle eut un peu peur, elle voyait des traces de sang se mélanger au liquide de son père qui s’écoulait doucement de son sexe.Il lui dit :
— Nettoie-toi avant de rentrer, et pas un mot à ta mère sinon tu auras droit à un violent sermon.— D’accord papa, mais comment je peux me nettoyer ?— Suis-moi, on va faire ça avec l’eau du potager.
Angélique remit sa robe, mais garda son soutien-gorge et sa petite culotte à la main, elle suivit son père jusqu’au potager, et alors que Roger m’avait joui dans le cul, et était rentré chez lui, j’étais restée seule dans le potager, n’osant rentrer à la maison.Je les vis revenir et en voyant Angélique tenir ses sous-vêtements à la main, je me doutai de ce qu’il s’était passé, alors je me rapprochai d’elle et lui dis :
— Alors, ça y est, tu es une vraie femme, ça t’a plu ?— Oui, mais je sais pourquoi maman m’a dit que ça faisait mal et que c’était sale.— Ça ne fait mal que la première fois, et je ne sais pas pour toi, mais j’adore sentir le sperme de papa me remplir la chatte.
Angélique apprenait de nouveaux mots, et n’allait pas tarder à en apprendre encore d’autres.Son père prit un chiffon propre dans son petit atelier, et le trempa avec l’eau de pluie qu’il récupérait, il lui tendit et lui dit :
— Nettoie-toi avec ça.
Mais je pris le chiffon et souleva la robe de ma sœur, je lui passais sur les cuisses et lui retira toute trace de sang et de sperme, mais sa petite chatte suintait encore le sperme de notre père, je ne résistai pas à l’envie d’y goûter, alors je posai ma langue sur la chatte de ma sœur, et commençai à lui bouffer la chatte.Angélique fut surprise, elle tenait sa robe bien en l’air pour me regarder lui lécher la chatte, elle prit appui contre l’établi de notre père, et écarta les cuisses pour me faciliter l’accès à sa chatte.Notre père me regardait lécher la chatte de ma sœur et nous dit :
— Eh bien, il semblerait que j’ai deux petites salopes à la maison, c’est votre mère qui va faire la tronche.
Ni Angélique ni moi ne pûmes répondre, l’une gémissait de plaisir, et l’autre avait la langue enfoncée dans la chatte de l’autre.Quand sa petite chatte fut bien propre, je me relevai et allai rouler une pelle à ma sœur, elle ne comprit pas tout de suite, ce qu’il fallait faire, mais elle me laissa lui enfoncer ma langue pleine de sperme dans la bouche et enfonça bientôt la sienne dans ma bouche.Apparemment, elle aimait autant que moi le goût du sperme, on se partagea le sperme de notre père et on rentra doucement à la maison.Mais en arrivant devant la maison, je dis à ma sœur :
— Tu ferais mieux de remettre ta culotte et ton soutif, sinon maman va vite deviner ce qu’il s’est passé.— Oui, tu as raison.
Angélique remit donc ses sous-vêtements et rentra avant nous, pour ne pas éveiller les soupçons de notre mère.Mais notre père n’allait pas tenir longtemps pour garder le secret, il avait pris l’habitude de me baiser, même avec la présence de ma mère, donc il ne résista pas à l’envie de fouiller la chatte d’Angélique sous la table pendant le dîner.Celle-ci avait vite pris goût à la queue de notre père, et ouvrait ses cuisses dès qu’elle sentait ses mains se poser sur elle.Elle eut droit, elle aussi, à son dépucelage anal, auquel je participai activement en bouffant le cul de ma sœur.Ma sœur et moi dormions dans la même chambre, et depuis que notre père nous avait à sa botte toutes les deux, il n’était pas rare qu’il vienne nous baiser et enculer le matin de bonne heure, pendant que notre mère dormait encore.
Mais Roger eut également l’occasion de profiter de la chatte et du cul d’Angélique, elle avait vite appris à sucer les queues, et était plutôt douée avec sa petite langue agile.Ce fut bientôt elle, que notre père emmenait derrière l’église, ma sœur disant à ma mère qu’elle allait rejoindre des copines.Mon père et Roger l’attendaient, leur bite bien raide, et la prenaient souvent tous les deux en même temps, l’un dans la chatte et l’autre dans le cul.Je l’entendais crier de plaisir, pendant que le curé et l’homme qui jouait de l’orgue me prenaient aussi par tous les trous.On était devenue deux belles petites salopes, lorsque notre mère nous surprit en 69 dans notre chambre, elle sut que sa deuxième fille avait, elle aussi, succombé à la tentation.On se donnait du plaisir, tous les soirs avant de dormir, et ce soir-là, ma mère nous avait entendues gémir de plaisir.
Elle n’en croyait pas ses yeux, ses deux filles étaient deux grosses salopes, il allait falloir qu’elle prenne les choses en main, si le curé n’arrivait pas à remettre de la morale dans cette famille de dépravés.
Mon père avait même commencé à jouer avec le cul de ma sœur, en lui enfonçant divers légumes à l’intérieur, il nous avait même enfoncé une grosse courgette dans le cul à toutes les deux, chacune avait une extrémité du légume au fond du cul. On s’enculait mutuellement, pendant que Roger se faisait pomper par Angélique et ton grand-père par moi.
Ma mère se rendit vite compte que notre père abusait de ses deux filles, elle nous entendait souvent crier de plaisir sous les coups de bite de notre père. Elle chercha un moyen d’arrêter tout ça.Elle le trouva un jour, alors qu’elle était partie en course, mais ce qu’elle ne savait pas, c’est que nous avions un petit rituel quand elle partait en voiture, Roger surveillait le départ de la voiture, et nous rejoignait chez nous.
En général, ma sœur et moi étions à poil, et on s’occupait de la bite de notre père, dans le salon, Roger se foutait à poil et nous enfilait sa queue à moi ou à Angélique, pendant que notre père s’occupait de la salope libre.
Ce jour-là, nous étions encore en train de nous faire défoncer le cul par papy et Roger, quand notre mère rentra avec un invité.
Roger et papy venaient tout juste de nous remplir le cul avec leur sperme quand on l’entendit nous appeler.Roger se dépêcha de se rhabiller, et profita que notre mère soit montée nous chercher à l’étage, pour filer chez lui, moi et ma sœur avons réussi à nous faufiler dans la salle de bains, et nous nous sommes habillées en vitesse pour apparaître devant ma mère et son invité, avec le cul plein de sperme.
Nous avons fait la bise à l’invité de notre mère, en sentant le sperme de papy ou de Roger suinter de nos culs.Elle nous le présenta comme le fils d’un notable de la région, et c’est ce jour-là, avec le cul plein de sperme de papy que j’ai rencontré ton père.Ma mère eut vite fait d’organiser notre mariage, et elle n’arrêtait pas de me rabâcher qu’il fallait que je sois fidèle à mon mari, alors qu’elle nous entendait toujours nous faire défoncer le cul et la chatte par notre père.
Mais le jour du mariage, je pris une importante décision, je venais à peine de finir d’enfiler ma longue robe blanche avec tout l’attirail, je portais de superbes sous-vêtements en dentelle, avec le porte-jarretelles assorti, j’étais prête à me marier, lorsque je vis mon père entrer dans la chambre, il devait m’emmener à l’autel.
Mais je le vis sortir sa queue, en me disant :
— Tu es trop belle, suce-moi la bite.
Je ne pus résister et avala la queue de mon père, il glissa sa main dans mon décolleté et me pelota les seins, je sentais ma chatte mouiller rapidement.J’étais en train de pomper la bite de mon père, lorsque le curé rentra dans la chambre et en me voyant la queue de mon père en bouche, il dit :
— J’en étais sûr, une salope comme elle, ça ne peut pas résister à l’appel de la bite.
Ils m’ont alors emmenée sur le lit, le curé a enlevé sa soutane, comme d’habitude, il était à poil en dessous, prêt à fourrer une jeune salope, ou une vieille chaudasse.Mon père a retroussé ma robe de mariée, et j’ai chevauché le curé, pendant que mon père me fourrait sa bite dans le cul, ils m’ont défoncée tous les deux, me faisant jouir comme une bonne putain.Je gueulais comme une folle avec leurs bites en moi, je me faisais défoncer comme une belle salope, le jour de mon mariage, ils m’ont joui dans la chatte et dans le cul, et ils sont partis, j’ai remis ma culotte en place et je suis descendu pour me marier.
Je sentais leur sperme couler dans ma culotte pendant que je marchais vers l’autel au bras de mon père, et pendant le sermon du curé, leur sperme coulait le long de mes cuisses et imbibait mes bas, ça m’excitait, et lorsque le curé me l’a demandé, j’ai dit oui à mon mari, alors que mon cul et ma chatte étaient encore pleins de sperme.
Après la cérémonie, je pris mon père à parti, et lui dis :
— Papa, c’était la dernière fois, je vais essayer d’être une femme fidèle.— Très bien, ma chérie, mais si tu le souhaites un jour, sache que ma queue sera toujours prête à te remplir le cul.— Je m’en doutais.— -----------------------------
Alors qu’Edwige s’était glissée entre les cuisses de sa mère et lui bouffait la chatte, en écoutant son récit, elle se redressa et lui demanda :
— Tu as tenu combien de temps ?— Eh bien, j’ai été fidèle à ton père pendant un peu plus de 3 ans.— -----------------------------
Je faisais tout pour être une femme modèle et même si je me branlais la chatte tous les jours, je n’ai pas touché une autre queue que celle de mon mari, pendant plus de 3 ans.Mais tout a basculé de nouveau, lorsque j’étais enceinte de toi depuis 5 mois, ton père ne voulait plus me toucher, il avait peur de te faire mal alors que tu étais dans mon ventre.Les hormones et le fait que ton père ne me baise plus, j’étais en manque de bite, et je m’ennuyais toute la journée, alors je pris la décision de chercher du travail, même si nous n’en avions pas besoin financièrement, il fallait que je m’occupe et que je pense à autre chose qu’à une bite.Alors j’ai commencé à passer des entretiens, mais le fait que je sois enceinte et que je n’ai aucune réelle qualification ne m’aidait pas.Et puis un jour, alors que je sentais des bouffées de chaleur me faire bouillir les sens, je décidai de m’habiller sexy, du moins autant que me le permettait mon ventre rond.
Je devais passer un entretien dans la matinée, je partis habillée d’un tailleur assez court qui moulait parfaitement mes fesses, et d’un corsage déformé par mes seins qui étaient passés du 90D, au 100E, j’avais des seins énormes.
J’arrivais encore à fermer mon corsage sur mon ventre, mais je laissais les boutons du haut détachés, ce qui me faisait un décolleté très profond, surtout qu’à cette époque, j’avais les tétons très sensibles, et je ne supportais plus les soutiens-gorges, je me maquillai et enfilai tout de même un petit string, des talons hauts, et partis pour mon entretien.
Je sentais les regards des hommes sur mes seins et sur mes fesses dans la rue, ce qui faisait mouiller ma chatte en manque, j’arrivai à mon entretien dans un état d’excitation très avancé et je pense que Michel l’avait bien remarqué.
Il me posa pas mal de questions, sans lâcher mes gros nichons des yeux, j’avais chaud, je n’en pouvais plus de ces bouffées de chaleur, sans m’en rendre compte, je secouai mon corsage pour faire entrer un peu d’air entre mes gros seins, un bouton lâcha et agrandit mon décolleté, qui s’ouvrit jusque sous mes seins.
Michel pouvait maintenant voir quasiment mes seins tout entiers, seuls mes tétons restaient encore cachés par mon corsage, je le voyais baver d’envie.Ma chatte réclamait une bonne queue pour se faire fourrer, alors lorsqu’il se plaça derrière moi et posa ses mains sur mes épaules me disant :
— A la vue de vos qualifications, j’ai peut-être un poste pour vous.— Ah oui ?
Je sentais ses mains glisser vers l’avant de mes épaules, et frôler mes gros seins, sans m’en rendre compte, j’avais bombé la poitrine et mes tétons étaient maintenant à moitié visibles.Michel continua à me masser les épaules et descendait doucement ses mains en me disant :
— Oui, je pense avoir un poste pour vous, mais il faut que je vérifie vos aptitudes.— Très bien.
Il avait maintenant les mains sur le dessus de mes gros nichons, je me reculai contre le dossier du fauteuil, et ses mains prirent possession de mes seins, ses doigts s’enroulèrent autour de mes tétons qui pointaient fièrement.Je finis de défaire le reste des boutons de mon corsage et me retrouva à moitié à poil dans son bureau.Je sentais sa bite bien raide dans son pantalon, contre ma tête, je ne pensais qu’à cette bite, je le laissais me peloter en gémissant de plaisir.Il fallait que je me fasse fourrer par cette bite, j’étais trop en manque.Alors je le vis partir vers la porte de son bureau et la verrouiller, il sortit ensuite sa bite et me dit :
— Monte sur mon bureau, salope, je vais m’occuper de toi.
J’obéis, et m’assis sur son bureau, en soulevant mon tailleur et en retirant mon string, pour l’attendre les cuisses grandes ouvertes sur son bureau.J’étais tellement trempée, qu’il enfonça sa belle bite au fond de ma chatte, d’une seule poussée, me faisant gémir de plaisir.Il empoigna mes gros nichons, et me besogna sur son bureau, comme une bonne salope, que je redevenais à chacun de ses coups de bite.Je lui gémissais :
— Ouiii, encoooreee, plus fooorttt, défoncez-moiiii, c’est booonnnn.
Après m’avoir bien défoncé la chatte, il voulut vérifier mes compétences anales, alors il me retourna sur son bureau, je plaquais mes avant-bras dessus, en le sentant m’écarter les fesses, il m’enfonça sa bite dans le cul, sans aucune préparation, cela faisait 3 ans que je n’avais pas prise de bite dans le cul, et pourtant il planta sa bite entre mes fesses, sans que je ne ressente aucune douleur.Il en fut presque surpris, et me dit :
— Eh bien, salope, tu as le cul souple, ça ne doit pas être la première bite que tu te prends entre les fesses.
A chacun de ses coups de queue dans mon cul, je gémissais comme une folle.J’étais tellement en manque, que j’eus plusieurs orgasmes en me faisant enculer comme une grosse pute, dans son bureau.Il finit par me jouir au fond du cul, et me dit :
— Bon, tu as le poste, tu commences demain,
Je me redressai et voulus remettre mon string, mais il me le prit des mains et me dit :
— Non, reste les fesses à l’air, salope comme tu es, tu trouveras bien une bite sur le retour pour te fourrer encore une fois.
Je baissai alors mon tailleur et restai les fesses à l’air avec son sperme qui suintait de mon cul, et coulait doucement sur mes cuisses.Je rentrai à la maison, avec les sens un peu apaisés, mais le sperme qui coulait sur mes cuisses, continuait à m’exciter, ça faisait longtemps que je n’avais pas ressenti cette sensation.Je me sentais sale, mais ma chatte à l’air et les regards des hommes sur mes gros nichons, m’excitaient tellement, que je pris une décision insensée, plutôt de reprendre un taxi comme à l’allée, je pris les transports en commun.
Je sentais les yeux des hommes sur moi, en attendant le bus, lorsqu’il arriva enfin, je mouillais comme une petite folle. En grimpant dans le bus, je sentis mon petit tailleur remonter sur mes cuisses, je me demandais si les hommes avaient deviné que j’étais nue en dessous.
Mais le bus était tellement bondé, que je dus rester debout, je m’agrippai à une poignée suspendue, et le bus se mit en route, mon décolleté laissait mes seins à l’affût de tous les regards. Enfin surtout à celui du jeune homme qui était juste devant moi, je sentais le trouble que je suscitais chez lui, et ça m’excitait encore plus.
Je le voyais me manger les seins des yeux, je me mis à bomber le torse, pour lui offrir encore plus de ma grosse poitrine, je le vis déglutir d’envie, il avait mes gros nichons sous les yeux, et j’étais certaine qu’il mourait d’envie de passer sa langue sur mes tétons bien durs.
Alors pour essayer de le motiver un peu, je fis comme pendant l’entretien, je secouai un peu mon corsage, et défit le premier bouton, comme dans le bureau de Michel, mes tétons furent à moitié visibles.
Le jeune homme avait les yeux exorbités, et moi la chatte complètement trempée, avec le sperme qui continuait de s’écouler de mon cul, j’étais tellement excitée que je m’apprêtais à lui attraper la tête pour la coller entre mes gros nichons, mais je le vis bouger sa main pour chercher quelque chose dans sa veste.
Ce petit salaud en profita pour glisser son petit doigt sous mon corsage et me titiller un téton, je le laissai faire et poussai un léger gémissement pour lui montrer que j’aimais ça.Il glissa un autre doigt sur mon téton et bientôt il avait toute la main sur mon nichon, et me pelotait au milieu du bus.Je sentis qu’il glissait son autre main sur mon cul, et se mit à me pétrir les fesses, nos yeux se croisèrent, et bientôt nos bouches se sont rencontrées et nos langues se sont caressées
Je mouillais comme une bonne petite salope, il avait défait un autre bouton de mon corsage et j’avais maintenant les seins à l’air, il me pelotait fermement, quand je m’aperçus que j’étais arrivé à mon arrêt, alors en refermant mon corsage, je lui ai dit :
— Suis-moi si tu veux me fourrer ta queue.
Je suis descendue du bus, et j’ai vu que le jeune homme me suivait à quelques mètres derrière moi, je sentais ma chatte frétiller d’impatience, quand je suis rentrée dans la maison, j’ai laissé la porte d’entrée ouverte, afin qu’il comprenne bien que je l’attendais.J’ai attendu de voir la porte s’ouvrir pour aller dans la cuisine et préparer quelques rafraîchissements, il m’a suivie dans la cuisine et alors que je préparais la citronnade, il a glissé ses mains sous mes bras, et m’a empoigné mes gros nichons.Je sentais sa bite bien dure contre mes fesses et je mourrais d’envie de me faire culbuter par ce jeune homme, alors j’ai défait complètement mon corsage, et l’ai laissé pétrir mes seins, je lui ai dit :
— Tu peux me la mettre où tu veux, j’adore me la prendre dans le cul aussi.
Il m’a retroussé le tailleur jusqu’à la taille et il m’a dit en sortant sa bite :
— Ça tombe bien, vu que tu es enceinte, je vais te la mettre dans le cul, je ne voudrais pas déranger ton enfant.
Je me suis penchée en avant et il m’a fourré sa queue au fond de mon cul encore plein de sperme, quand il s’est aperçu que j’avais déjà eu de la visite par ce trou, il me dit :
— Mais tu t’es déjà fait enculer, combien de bites tu te prends dans le cul, salope ?— Autant qu’on veut bien m’en mettre, vas-y, maintenant, défonce-moi le cul.
Et il m’a bien défoncée, j’ai joui comme une folle avec sa jeune bite dans le cul, il a fini par jouir entre mes fesses, et j’ai reçu une nouvelle dose de sperme dans mes intestins.Ça faisait longtemps que je n’avais pas été baisée comme ça, la même journée, il est resté avec moi, une bonne partie de l’après-midi, on s’est foutu à poil, et malgré mon ventre rond, et toi à l’intérieur, il m’a quand même fourré sa bite dans la chatte, et m’a mis une bonne dose de sperme à l’intérieur.Depuis ce jour, il m’a baisée tous les jours, jusqu’à mon accouchement, tu le connais d’ailleurs, c’est Julien notre jardinier, j’ai réussi à le faire embaucher par ton père pour s’occuper de notre jardin, enfin même si c’était plutôt pour ma chatte et mon cul.
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Edwige qui avait bien fait jouir sa mère avec sa langue sur sa chatte avait fini par se relever, et attendait la fin du récit pour que sa mère s’occupe de sa chatte à son tour, mais elle lui posa une question :
— Dis, maman, depuis que tu couches avec Julien et ton patron, tu as baisé de nouveau avec papy ?— Non, j’ai toujours voulu éviter de replonger dans l’inceste avec lui, même si c’était très tentant parfois, et qu’il ne se gênait pas de me caresser le cul, pour m’exciter.
Mais Karine se posa une question et demanda à sa fille :
— Au fait, je me demandais, il n’a jamais rien tenté sur toi ?
Edwige réfléchit un peu, et se remémora les fois où elle voyait son grand-père, et maintenant qu’elle y pensait, elle se souvenait que depuis qu’elle avait développé des formes généreuses qui attiraient beaucoup les garçons, son grand-père avait commencé à lui faire des compliments sur son physique, et elle n’y avait jamais prêté très attention, prenant ça pour un jeu de sa part, mais lorsqu’elle chahutait avec lui dans la piscine, elle se souvint qu’elle sentait souvent ses mains sur ses seins ou sur ses fesses.Elle répondit à sa mère :
— Eh bien, c’est vrai que maintenant que j’y pense, il me pelote souvent les seins et les fesses quand on joue dans la piscine.— Ça ne m’étonne pas de lui, toujours les mains baladeuses.
Mais Edwige fut un peu troublée par ce qu’elle venait de découvrir et demanda à sa mère :
— Tu crois que papy voudrait me baiser ?— Alors là, c’est sûr et certain, je me demande même s’il ne baise pas encore avec Angélique.— Mais elle est mariée, elle aussi.— Oui, et vu la tête qu’elle avait à son mariage, je suis sûre qu’elle a eu droit à la même chose que moi, elle devait avoir le cul et la chatte bien remplie quand elle est passée devant l’autel.— Dis, papy et mamie doivent venir bientôt ?— Euh, oui je crois qu’ils viennent ici ce WE, pourquoi, tu comptes baiser avec ton grand-père ?— Ben, euh, pourquoi pas ?— Alors si tu tiens à ta grand-mère, attends qu’elle fasse la sieste, parce que si elle voit son mari baiser sa petite-fille, elle va avoir une attaque.— OK, je ferais attention.
Karine avait cherché un de ses sex-toys, un double gode avec une bite à chaque extrémité, elles se mirent toutes les deux à 4 pattes et s’enfoncèrent chacune, le gode dans la chatte, elles se faisaient jouir mutuellement et tout en baisant la chatte de sa mère, Edwige s’imaginait déjà se prendre la bite de son grand-père, dans la chatte et dans le cul.A suivre ...
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