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Spin-off « les mystères de l’asie »

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Spin off 05Le retour de Gwendoline 1ere partie (Camille et Pascal apparaissent dans cet épisode, ce sont des personnages de la série : le fabuleux destin de Benjamin, chapitre 13) Après ce WE de débauche, Gwendoline et Nicolas retournèrent chez les parents de celui-ci, sur la route, il se posa beaucoup de questions sur l’avenir de leur couple, alors, il osa demanda à Gwendoline :
— Tu m’en veux tant que ça de t’avoir laissée baiser avec Matt ?— Il est trop tard pour revenir en arrière, maintenant le mal est fait.— Oui, je sais, mais est-ce que tu veux qu’on reste ensemble ou qu’on se sépare ?— Comme tu veux, mais ne t’attends pas à avoir la petite amie la plus fidèle qui soit, tu risques d’être plutôt le gars le plus cocu de la région.— Je sais, mais je t’aime, et je ne veux pas te perdre.
Gwendoline le regarda dans les yeux, et eut les larmes aux yeux en constatant les sentiments que Nicolas avait pour elle, malgré ce qu’elle avait fait ce WE, elle s’en voulait d’être redevenue une grosse salope, mais elle ne pourrait plus revenir en arrière, Nicolas avait découvert son secret, et sa libido débridée était de nouveau libérée.Alors, elle lui répondit :
— Je t’aime aussi, et je ferais ce que je peux pour ne pas te blesser, mais c’est plus fort que moi, c’est dans ma nature, je ne peux pas lutter contre ça.— Je sais, et je t’aime comme tu es, alors, si tu dois te faire baiser par toutes les queues qui passent, je t’aimerais comme ça.— Merci, mon chéri, mais au fait, tu as eu droit à ton lot de découverte, ce WE, toi aussi.
Nicolas se remémora les fois où il s’était fait enculer par Marc et les fois où les filles l’avaient habillé en petite salope, il avait adoré se travestir et se faire enculer par Brice.Il lui répondit :
— Oui, on peut dire que je suis aussi devenue une salope.— Ça t’a plu, mon salaud ? Regarde, tu bandes rien que d’y repenser.
Gwendoline posa sa main sur la queue de Nicolas, et lui caressa la bite par-dessus son short.
Sans attendre qu’il lui demande quoi que ce soit, elle glissa sa main dans son short, et lui sortit la bite pour le branler, et juste avant de se pencher pour lui sucer la queue, elle lui dit :
— Je sais que tu t’es fait sucer plus souvent par des hommes ce WE, alors, il faut que tu retrouves goût à une bouche féminine.
Nicolas eut un mal fou à conduire correctement sous les succions intenses de la bouche de Gwendoline, sur sa queue.Il ne résista pas longtemps à la langue agile de cette salope, et lorsqu’il lui éjacula dans sa bouche, elle avala tout, et se redressa pour lui dire :
— Merci, mon chéri, apparemment, ça te plaît toujours autant qu’une fille te suce la bite.— Tu es folle, on aurait pu avoir un accident, t’imagines les pompiers qui t’auraient retrouvé avec ma bite dans la bouche.— A mon avis, ça ne doit pas leur arriver souvent.— C’est sûr.
Ils rentrèrent tranquillement, amoureux et heureux, même si Nicolas savait qu’il allait être le plus cocu de la région, il savait aussi qu’il pourrait vivre sa bisexualité sans se cacher et sans peur.Ils arrivèrent chez les parents de Nicolas; Joseph et Germaine, ce n’étaient pas à proprement parler des rois et reines de beauté, ils devaient faire à peu près la même taille, pour le même poids, 1.65m pour 90-95 kilos, tous les deux bedonnants, mais très joviaux et très amicaux.
Ils leur firent la bise, et Gwendoline avait souvent senti le regard de Joseph sur ses gros seins et sur son petit cul, mais n’y avait pas prêté très attention jusqu’à aujourd’hui.Depuis ce WE, beaucoup de choses s’étaient réveillées en elle, alors lorsqu’elle fit la bise à son beau-père, elle fit exprès se coller à lui, pour bien plaquer ses gros nichons contre lui.Joseph fut un peu surpris par l’attitude de sa belle-fille, mais ne fit rien pour la repousser, et profitant du fait que sa femme, Germaine, soit repartie en cuisine, pour poser ses mains sur les hanches fines de Gwendoline et lui faire la bise, en sentant ses gros seins fermes se frotter contre lui.
Il commença même à bander lorsqu’elle s’écarta de lui, et partit ranger ses affaires, il la suivit du regard, enfin, surtout son superbe petit cul qui était si bien moulé dans sa minijupe qui lui arrivait tout juste sous les fesses.
Il avait souvent espéré voir ce qu’il y avait entre ses deux ravissantes cuisses, et lorsque Gwendoline prit son sac pour l’emmener dans la chambre de Nicolas, elle se pencha en avant sans plier les jambes, contrairement à ce qu’elle faisait habituellement, si bien que sa minijupe remonta sur son cul, et dévoila à son beau-père, son charmant petit string.
Joseph commençait à être très à l’étroit dans son pantalon, et alors que Gwendoline partit ranger ses affaires, il sortit prendre l’air pour essayer de calmer ses émotions, avant que sa femme ne s’aperçoive de son état.
Gwendoline croisa Sidonie, la sœur de Nicolas, dans le couloir qui menait à la chambre, elles s’entendaient bien toutes les deux, elles se firent la bise, et Sidonie la détailla des pieds à la tête, et lui dit :
— Eh bien, tu es drôlement sexy aujourd’hui, c’est Nicolas qui doit être content.
Gwendoline pensa pour elle :
— Et ton père aussi.
Mais lui répondit :
— Merci, mais je vais me changer, on a fait pas mal de route et j’ai besoin d’une bonne douche.— OK, je te laisse.
Sidonie était une jeune fille de 20 ans, très mignonne, de longs cheveux roux, la peau très pâle avec quelques taches de rousseur sur le visage, une paire de lunettes qui lui faisait un petit air intello, une poitrine de 90C, des hanches fines, et un joli petit cul bien rond; elle avait tout pour plaire, et elle avait un nouveau petit ami depuis quelques mois maintenant, un certain Rémi de 25 ans, blond, plutôt mignon, assez grand, 1.90m pour 95 kilos et disons au-dessus de la moyenne en ce qui concerne son équipement reproducteur, Sidonie devait le présenter à ses parents le soir même.
Ils avaient déjà couché ensemble la plupart du temps, ils faisaient cela dans la voiture de Rémi au milieu d’un bois, Sidonie aimait particulièrement le sexe en pleine nature, elle avait d’ailleurs été dépucelée par son ex petit ami au milieu des bois, et en avait gardé un superbe souvenir.
Depuis qu’elle avait rencontré Rémi, elle l’avait rapidement initié aux joies du coït en forêt, ils recommençaient très souvent, et lorsque Sidonie croyait apercevoir une silhouette entre les arbres, elle se mettait à jouir comme une petite folle.
Rémi s’était rendu compte qu’elle prenait moins de plaisir lorsqu’ils baisaient dans sa chambre, alors, ils avaient pris l’habitude de faire une petite virée nocturne au moins deux fois par semaine.Le jour où Gwendoline et Nicolas revenaient de leur fameux WE de débauche, Sidonie et Rémi avaient tenté l’expérience de baiser sur leur petit parking forestier en plein jour, et là, ce fut l’extase totale pour Sidonie.
Ils s’étaient garés dans un coin isolé du parking, et malgré les voitures déjà présentes, ils s’étaient installés à l’arrière et avaient commencé leurs petites activités.Quand Rémi enfouit sa main dans le string de Sidonie, il remarqua tout de suite que sa chatte était excessivement trempée, il enfonça ses doigts à l’intérieur, et la fit gémir de plaisir.Tout en gémissant, il la vit guetter à l’extérieur, au début, il ne savait pas trop si elle avait peur ou si elle espérait se faire surprendre, les cuisses grandes ouvertes en train de se faire fouiller la chatte.
Lorsqu’un coureur passa à côté de leur voiture, il l’entendit pousser un cri de jouissance plus fort qu’habituellement, l’homme tourna le visage vers eux, et fut surpris d’apercevoir un jeune couple en pleins ébats, à l’arrière d’une voiture.
Mais lorsque Sidonie le vit continuer sa course, elle fut presque frustrée et ses cris de jouissance s’atténuèrent.Elle avait sorti la bite de Rémi, et s’apprêtait à l’enfourcher, quand elle revit le coureur à travers la vitre arrière de la voiture, et tout en commençant à chevaucher la queue de Rémi, elle se déshabilla complètement pour offrir à son voyeur, la vision de ses superbes seins.
Elle le regardait se branler en se caressant les seins et en tirant sur ses tétons durcis, elle eut un puissant orgasme en regardant l’homme éjaculer sur le coffre de la voiture tandis que Rémi lui remplissait la chatte avec son sperme.Elle s’écroula sur Rémi et lui roula une pelle passionnée, quand elle se redressa, l’homme avait disparu, et Sidonie avait longtemps été partagée entre le soulagement et la déception.Mais elle ne raconta rien à Rémi de crainte qu’il la trouve complètement folle, lorsqu’ils se rhabillèrent pour rentrer, elle lui demanda avec un ton qui ne laissait aucun doute sur son désir :
— On recommencera ?— Tu n’as pas peur qu’on nous surprenne ?
Elle hésita à répondre honnêtement à Rémi et préféra retourner la question en lui disant :
— Et toi ?— Un peu; mais ça avait l’air de bien t’exciter, tu avais la chatte complètement trempée tout à l’heure.— Oui, j’avoue, le risque m’excite beaucoup.— Et si quelqu’un nous surprend ?
Sidonie n’avait jamais osé avouer à son petit copain qu’elle fantasmait souvent sur le fait qu’un inconnu les surprenne en pleins ébats et qu’il se joigne à eux pour qu’elle le suce ou qu’il la baise devant Rémi.Alors, en finissant de se rhabiller, elle lui demanda :
— Tu aurais fait quoi si quelqu’un nous avait surpris tout à l’heure ?— Je ne sais pas, je n’y ai jamais pensé, faudra voir sur le moment.
Mais Rémi y pensa tout le long de la route qui ramenait Sidonie chez elle, et il n’arrivait pas à savoir s’il laisserait un homme les mater en train de baiser, quitte à le laisser voir sa petite amie complètement nue ou s’il s’enfuirait.
Ce qu’il était sûr, c’est que cela excitait énormément Sidonie, elle le lui avait même avoué, et il avait parfaitement senti sa chatte complètement trempée sous ses doigts.Mais lorsqu’elle l’invita pour dîner avec sa famille le soir, il cessa de s’imaginer en train de baiser avec Sidonie dans la voiture alors qu’un homme était en train de les mater.C’était la première fois qu’il allait rencontrer sa famille, alors, il allait falloir être correct et faire bonne impression, il déposa Sidonie chez elle, et ils se roulèrent une pelle avant de se donner rendez-vous pour le dîner.
Sidonie avait prévenu toute sa famille qu’elle allait leur présenter son petit ami au dîner, Gwendoline leur proposa d’en profiter pour leur présenter ses parents, afin de faire d’une pierre deux coups.
Joseph et Germaine acceptèrent et furent ravis de rencontrer enfin les parents de la petite amie de Nicolas et le petit ami de leur fille.Gwendoline avait été prendre une douche avant de dîner, et ne voulant pas être trop salope pour la rencontre officielle de ses parents, elle avait choisi de porter une robe d’été légère qui lui arrivait jusqu’au genou, soutenue par de fines bretelles, comme elle ne portait pas de soutien-gorge, le haut de la robe laissait apparaître le dessus de ses gros nichons et lui faisait un décolleté très appétissant, elle avait tout de même mis un petit string noir qu’on pouvait apercevoir au travers de sa fine robe lorsqu’elle passait devant une lumière.
Lorsqu’elle apparut devant Joseph avec sa nouvelle tenue, il fut un peu soulagé de ne plus être tenté de regarder sous sa jupe, mais il avait un mal fou à quitter des yeux la superbe vallée que formait sa grosse poitrine.
Alors, il s’occupa de préparer l’apéro pour éviter d’avoir en permanence les seins de sa belle-fille sous les yeux.Sidonie partit se changer pour le dîner et était réapparue d’une longue jupe qui lui arrivait jusqu’à la cheville, un peu du genre flamenco; et pour le haut, elle avait choisi un tout petit haut qui était uniquement composé d’une bande de tissu ondulé qui couvrait uniquement ses seins, laissant son ventre et son dos nus; comme Gwendoline, elle n’avait pas mis de soutien-gorge, et ne portait qu’un tout petit string sous sa longue jupe.
Elle était superbe, ses parents n’eurent pas le temps de critiquer sa tenue qu’ils jugeaient un peu trop découvert que la sonnette retentit.
Sidonie se dépêcha d’aller ouvrir et fut à la fois heureuse et très troublée, Rémi était là, mais également les parents de Gwendoline dont le père n’était autre que l’homme qui l’avait matée dans la voiture quand elle se faisait baiser par Rémi et qui l’avait fait tant jouir.Elle essaya de se ressaisir pour les accueillir convenablement, mais elle sentit sa chatte frétiller lorsque Pascal profita de lui faire la bise, pour lui dire discrètement à l’oreille :
— Ravi de vous revoir, vous avez des seins magnifiques.
Elle fit rentrer tout le monde, et lorsque Gwendoline vit ses parents, elle fit les présentations, Nicolas voulut débarrasser ses beaux-parents de leurs manteaux, mais lorsque Camille retira son long manteau de fourrure, il y eut un long silence.
Il faut dire que Camille aimait se sentir sexy depuis qu’elle s’était laissée dévergonder par Benji, et elle fit un effet fou sur les hommes de la soirée, elle était habillée d’une superbe robe rouge, le haut était composé de deux bandes de tissu souple qui étaient reliées par un petit lien dans le cou, ils lui couvraient tout juste ses superbes seins, lui faisaient un décolleté très attirant et lui laissaient le dos nu, les hommes devinant aisément qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Le bas de la robe accentuait encore le côté sexy, le tissu lui arrivait à mi-cuisse, mais la robe était fendue sur le côté droit jusqu’à sa hanche, laissant apparaître un bout de son string rouge en haut de la fente.
Gwendoline avait l’habitude de voir sa mère ainsi habillée, et même de la voir dans des tenues encore moins habillées, alors sentant un certain malaise s’installer, elle dit :
— Eh bien, maman, tu as sorti ta robe de soirée.— Je viens de l’acheter, j’espère ne choquer personne.
Germaine n’était pas choquée par la tenue de Camille, mais plutôt irritée par l’état d’ahuri qu’avait son mari, et lorsqu’elle était énervée, elle avait tendance à picoler plus que de raison.Tout ce petit monde prit l’apéro dans le salon, les yeux de Joseph allaient des seins de sa belle-fille à ceux de Camille, ne sachant plus trop où donner de la tête.Pascal ne lâchait pas des yeux Sidonie qui sentait son entrecuisse s’humidifier de plus en plus dès qu’elle croisait le regard lourd de sens de celui-ci.Rémi s’était installé face à Camille, et commençait à être, lui aussi, très à l’étroit dans son pantalon; il faut dire que celle-ci s’amusait à se pencher longuement sur les gâteaux apéro, pour permettre à ce charmant jeune homme de bien mater ses superbes nichons.
Nicolas sentait une atmosphère étrange s’installer dans le salon, et il commençait à bien connaître cette ambiance, alors il regarda sa mère, elle était déjà à son 5e verre de whisky, elle regardait son père avec des yeux rouges de colère.
Tout ce petit monde discutait de chose et d’autre, mais Nicolas était de plus en plus persuadé que s’il pouvait lire leurs pensées, il verrait des choses très obscènes.Lorsque Germaine se leva pour aller à la cuisine, elle tenait à peine debout, Nicolas et Sidonie l’aidèrent à se stabiliser et lui dire :
— Tu ferais mieux d’aller au lit, maman, on va s’occuper des invités, va te reposer.
Germaine était complètement saoule, et n’était plus en état de s’opposer à ses enfants; alors, elle se laissa guider jusqu’à sa chambre et s’effondra sur son lit.Nicolas laissa Sidonie déshabiller leur mère et la couvrir d’un drap, il fut surpris de croiser Pascal dans le couloir qui lui demanda où se trouvaient les toilettes.Il lui indiqua, et celui-ci suivit les directives de Nicolas, une chance pour lui, les toilettes étaient justes à côté de la chambre des parents dont la porte était entrouverte.Pascal attendit de ne plus voir Nicolas, il se faufila discrètement dans la chambre, et surprit Sidonie qui s’apprêtait à sortir.Avant qu’elle ne pousse un cri, il lui posa sa main sur la bouche et lui dit :
— Chut ! Ma belle, ne crie pas, montre-moi tes seins plutôt.
Sidonie était tellement excitée de se retrouver seule dans la chambre de ses parents avec l’homme qui l’avait matée en train de baiser avec Rémi et qui l’avait tellement fait jouir, qu’elle ne réagit pas lorsque Pascal souleva son petit haut pour dévoiler sa ravissante poitrine.Elle le laissa poser ses lèvres sur ses tétons qui pointaient, et lorsqu’elle sentit sa langue jouer avec ceux-ci, elle passa ses mains dans ses cheveux et lui plaqua la bouche contre ses seins, en gémissant doucement de plaisir.Elle sentit qu’il soulevait sa longue jupe pour glisser sa main entre ses cuisses, et lui caresser la chatte, elle écarta les cuisses et le laissa glisser sa main sous son string pour qu’il lui enfonce 2 doigts dans sa chatte complètement trempée.Elle se mit à gémir de plaisir, elle s’offrait sans retenue, et malgré la présence de sa mère endormie sur le lit, elle se sentait prête à se faire baiser par cet homme qu’elle connaissait à peine.
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Dans le salon, tout s’était accéléré dès que Nicolas et Sidonie étaient partis coucher leur mère, suivie de près par Pascal.Camille s’était levée en prétextant vouloir pour prendre l’air, mais elle fit un signe discret à Rémi pour qu’il la suive.Il avait attendu à peine quelques secondes pour se lever à son tour et la suivre dehors.Elle était appuyée sur la rambarde de la terrasse et lorsqu’elle le vit derrière elle, elle lui fit un sourire charmeur en lui disant :
— Tu es très mignon, je comprends pourquoi tu plais tellement à Sidonie.
Rémi repensa soudainement à sa petite amie, alors, il n’osa pas approcher davantage de peur de faire une grosse bêtise, mais Camile avait bien l’intention de profiter de sa jeune bite, alors elle lui dit :
— J’ai un peu mal au bas du dos, tu serais un amour, si tu voulais bien me masser.
Camille tira l’arrière de sa robe vers le bas, dévoilant le haut de ses fesses et son string à Rémi, l’excitation reprit de nouveau le dessus sur la raison, et il s’approcha de Camille pour poser ses mains sur ses superbes hanches et commencer à la masserIl bandait comme un fou en matant son string et le haut de ses fesses.En bonne salope, elle se pencha en avant, posant ses coudes sur la rambarde, et colla son cul contre la bite de Rémi; elle fut tout excitée de sentir cette jeune queue bien raide contre ses fesses.Elle lui dit :
— Remonte tes mains, la douleur est remontée.
Il obéit et glissa ses mains sur le dos nu de Camille, il avait l’impression qu’elle bougeait son cul contre sa bite, et cela l’excitait à mort.Elle lui dit :
— Glisse tes mains sur le côté, la douleur est en train de passer devant.
Excité comme un fou, Rémi n’était plus en état de réfléchir et obéit aux désirs de Camille en glissant ses mains sur ses cotes, il avait maintenant le bout des doigts qui frôlaient le galbe de la poitrine de celle-ci. Il sentait son cul qui montait et descendait sur sa queue, il était complètement fou.Lorsqu’elle lui dit en gémissant doucement :
— Mmmm, ouiii, avance encore tes mains, la douleur est devant maintenant.
Il obéit et posa ses mains sur les superbes seins qu’il avait matés dans le salon, il se mit à les peloter fermement, provoquant des gémissements de plaisir chez Camille.
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Pendant ce temps, dans le salon, Gwendoline et Joseph étaient seuls, et celle-ci était venue s’installer à côté de son beau-père, en lui disant :
— Alors, Joseph, comment trouvez-vous ma mère ?
Il était à la fois très gêné et très excité par la situation, il avait les gros seins de sa belle-fille juste sous les yeux, et il réussit à lui répondre :
— Très jolie, tu as une maman ravissante.
Gwendoline enfonça le clou en lui demandant :
— Vous les trouvez comment ses seins ?
Joseph était pris au dépourvu, et ne sut quoi répondre, mais Gwendoline insista en tirant sur le haut de sa robe pour dévoiler ses énormes nichons nus à son beau-père, et lui demanda :
— Vous les trouvez mieux que les miens ou pas ?
Joseph était complètement abasourdi; mais lorsque Gwendoline lui prit la main et la posa sur un de ses gros seins en lui disant :
— Vous pouvez toucher pour vous faire une idée.
A partir de ce moment-là, une petite partie du cerveau de Joseph prit le dessus sur tout le reste, plus aucune morale ne comptait, il se mit à peloter les gros seins de Gwendoline avec envie.Sans qu’elle ait besoin de lui dire, il se pencha sur elle et se mit à lui bouffer les tétons, la faisant gémir de plaisir.Lorsqu’il glissa une main entre ses cuisses, elle les écarta, et lui offrit un libre accès à sa jeune chatte de salope pour qu’il enfonce ses doigts dans son vagin brûlant.
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Lorsque Nicolas passa devant la porte-fenêtre de la salle à manger, il vit Rémi et Camille sur la terrasse; celle-ci était penchée en avant, en train de se faire peloter les seins par le petit copain de sa sœur tout en frottant son cul contre la bite de ce dernier.Il ne sut quoi faire, il continua d’avancer vers le salon, et lorsqu’il vit son père pencher sur Gwendoline, les cuisses grandes ouvertes, en train de se faire bouffer ses gros seins et fouiller la chatte.Il eut une révélation, il avait plongé dans la luxure et la débauche, ce WE avec Gwendoline et toute la petite bande, et maintenant c’était au tour de sa famille de suivre le même chemin.Il regarda un moment sa petite amie se faire fouiller la chatte par son père, et d’un seul coup, il pensa à sa sœur, si elle découvrait ce qui était en train de se passer, elle serait traumatisée à vie.Alors, il laissa son père profiter des charmes de sa petite amie pour essayer de retenir sa sœur le temps qu’ils aient tous fini de baiser.
Mais lorsqu’il arriva devant la porte de la chambre de ses parents, il entendit des gémissements de plaisir, il ouvrit doucement la porte, et malgré ce qu’il avait vécu ce WE, il fut bouleversé par ce qu’il vit.Sa petite sœur était assise sur le lit de ses parents où leur mère dormait profondément, elle était à moitié nue, les seins à l’air; mais le pire c’était sa longue jupe retroussée qui couvrait à peine la tête de Pascal, agenouillé, entre les cuisses grandes ouvertes de Sidonie, et qui lui bouffait la chatte.Nicolas l’entendait gémir de plaisir et la voyait jouir comme une belle salope, il vit son string encore accroché à l’une de ses chevilles, et il ne put s’empêcher de bander devant ce spectacle particulièrement excitant.
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Sidonie s’était complètement abandonnée aux caresses de Pascal, et l’avait laissé l’emmener sur le lit de ses parents, où il s’était glissé sous sa jupe pour lui retirer son string et lui bouffer la chatte, elle sentait sa langue gourmande parcourir chaque recoin de sa chatte en feu, et elle gémissait de plaisir en se cramponnant aux cheveux de son amant.
Mais elle vit la lumière du couloir éclairer la chambre, elle découvrit son frère en train de la mater pendant qu’elle se faisait bouffer la chatte, leurs regards se croisèrent, et sans pouvoir s’en empêcher, elle se mit à se caresser les seins en regardant Nicolas dans les yeux, comme elle l’avait fait devant Pascal lorsqu’elle se faisait baiser par Rémi dans la voiture.
Elle vit son frère se caresser la queue à travers son pantalon, elle remarqua la bosse que provoquait l’érection de sa bite.N’y tenant plus, Nicolas avait fini par défaire son pantalon et sortir sa queue pour se branler devant sa sœur qui gémissait de plaisir en se faisant bouffer la chatte et en triturant ses tétons.Sidonie ne lâchait pas la bite de son frère des yeux; elle avait envie de la toucher et de la sucer, elle avait complètement oublié tout sens moral, et lorsque Pascal sortit de sous sa jupe pour pouvoir la baiser, il aperçut la lumière du couloir, il se retourna et vit Nicolas, la bite à la main en train de se branler devant sa sœur.
Alors, il caressa la chatte de Sidonie avec ses doigts et lui dit assez fort pour que Nicolas entende :
— Tu as envie de goûter à la bite de ton frère ?
L’esprit de Sidonie avait totalement occulté son lien de parenté avec celui qu’elle voyait se branler pendant qu’elle se faisait bouffer la chatte, et même lorsque Pascal lui proposa de sucer son frère, elle n’entendit pas le mot frère, et elle lui répondit comme une belle salope :
— Oui, je veux vos bites en moi, baisez-moi tous les deux.
Alors, malgré la présence de Germaine endormie, Pascal fit mettre Sidonie à 4 pattes sur le lit, et lui retira complètement sa robe, la mettant complètement nue sur le lit de ses parents, avec sa mère juste à côté, et son frère se branlant devant elle.Alors qu’il enfonçait sa bite dans la chatte brûlante de Sidonie, il dit à Nicolas :
— Allez ! Approche, cette salope veut te sucer la bite.
Nicolas hésita, même s’il avait très envie de donner sa queue à sucer à sa sœur, il avait encore du mal à se libérer du tabou de l’inceste, ce n’est que lorsque Sidonie lui dit :
— Allez ! Te fais pas prier, donne-moi ta queue, je veux sentir vos deux bites en moi.
Alors, il craqua et s’approcha de sa sœur, la bite à la main; dès qu’elle fut à sa portée, Sidonie lui attrapa la bite et passa sa langue le long de sa hampe.Nicolas fut parcouru de frisson en sentant la langue de sa sœur jouer avec son gland, elle fit rouler sa langue tout autour avant de lui avaler la queue.Nicolas mit ses mains dans les cheveux roux de sa sœur et accompagna ses mouvements de succion sur sa queue.Sidonie était complètement ivre de plaisir, elle suçait une bite tandis qu’elle en avait une autre qui lui ramonait la chatte de plus en plus vite, tout cela, juste à côté de sa mère qui dormait profondément.Pascal continua d’accélérer les pénétrations jusqu’à ce que les superbes fesses de Sidonie se mettent à claquer à chacun de ses coups de bite; elle criait de plaisir sur la bite de son frère.
Celui-ci était au bord de la jouissance, lorsque Pascal lui dit :
— Tu veux baiser ta sœur ? Elle a la chatte en feu cette salope.
Nicolas n’hésita pas une seule seconde, ils échangèrent de place, et alors que Nicolas prenait place derrière sa sœur, elle lui dit :
— Tu peux me la mettre dans le cul, si tu veux, j’aime ça aussi.
Nicolas était complètement déconcerté par le souhait de sa sœur, mais celle-ci avait connu sa première sodomie avec son ex petit copain, il lui avait dépucelé le cul contre un arbre dans les bois, et alors qu’elle grimaçait de douleur en sentant sa queue s’enfoncer dans son cul, elle avait vu un homme en train de les mater, cela avait déclenché un étrange phénomène en elle, elle s’était complètement détendue, et elle avait senti la bite de son ex s’enfoncer entièrement dans son cul.
Elle regardait l’homme se branler en la voyant se faire enculer, et sans pouvoir se contrôler, elle cria à son ex de lui défoncer le cul, ce qu’il fit, et Sidonie jouit intensément en se faisant enculer devant un inconnu.
Ils avaient souvent recommencé ensuite, mais aucun homme n’était revenu les mater, et Sidonie avait beaucoup moins joui, mais elle laissait son ex l’enculer dès qu’il l’emmenait en forêt pour baiser.
Elle n’avait jamais raconté cette histoire à Rémi, et celui-ci n’avait même jamais tenté de lui mettre sa bite dans le cul.Mais ce soir-là, nue, à 4 pattes sur le lit de ses parents avec 2 bites rien que pour elle, elle avait envie d’en prendre une dans le cul, alors devant l’hésitation de Nicolas, elle lui dit de nouveau :
— Vas-y, je me suis déjà fait enculer, tu peux y aller.
Elle avala ensuite la bite de Pascal, et lorsqu’elle sentit le gland de Nicolas contre son anus, elle ferma les yeux pour mieux apprécier cette bite qui lui ouvrait doucement le cul,Nicolas s’enfonça doucement dans le cul de sa sœur qui, vu le plaisir qu’elle prenait à se faire enculer, ne devait sûrement pas être à sa première sodomie.Il s’agrippa à ses fines hanches, et enfonça toute sa bite entre les fesses de Sidonie, il prenait un plaisir formidable à sentir sa queue si serrée entre les fesses de sa sœur. Il resta un moment immobile pour apprécier la chaleur accueillante du cul de Sidonie.Celle-ci prenait un plaisir inouï à sentir une queue bien plantée dans son cul et une autre palpiter sur sa langue.Quand elle sentit la queue qu’elle avait dans le cul commencer à coulisser, elle se sentit partir au septième ciel.
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Dans le salon, Gwendoline et Joseph entendirent des gémissements venir de la terrasse.Rémi avait fini par planter sa queue dans la chatte de Camille, et avait commencé à la besogner sauvagement la faisant jouir de plaisir.Mais Gwendoline, se doutant bien de ce qu’il se passait sur la terrasse, eut une idée vicieuse, et dit à Joseph qui lui bouffait toujours ses gros seins :
— Et si on allait voir ce qu’il se passe dehors ?
Joseph était un peu abasourdi, il avait encore du mal à réaliser que sa belle-fille lui offre ses seins et sa chatte sans aucune réserve.Il ne put que la suivre, lorsqu’elle le tira à l’extérieur, les seins et le cul à l’air.Le spectacle qu’il vit, ne fit qu’accentuer son excitation, le copain de sa fille était en train de défoncer la chatte de la mère de sa belle-fille, et à l’entendre crier de plaisir, elle avait l’air d’apprécier.Lorsqu’il vit Gwendoline s’installer à côté de sa mère et lui dire :
— Allez, viens me la mettre, vous allez pouvoir nous baiser toutes les deux.
Le cerveau de Joseph était descendu en dessous de sa ceinture depuis un moment, alors n’écoutant que sa bite, il se plaça derrière le superbe cul de Gwendoline et lui enfonça sa queue dans la chatte.La mère et la fille se mirent à gémir de concert, se faisant défoncer la chatte toutes les deux.En regardant Joseph défoncer la chatte de Gwendoline, Rémi eut très envie de changer de partenaire, il proposa donc à son beau-père de changer de salope.Ils changèrent ainsi de partenaire, plusieurs fois, et à un moment, lors d’un changement de chatte, Camille leur dit dans un râle de plaisir :
— Mettez-la-nous dans le cul, on adore se faire enculer toutes les deux.
Rémi et Joseph ne se le firent pas répéter et enfonçaient leurs queues dans le cul de ces deux salopes en chaleur.Celles-ci se mirent à se rouler une pelle totalement incestueuse en se faisant défoncer le cul par ces deux bonnes bites.Jusqu’à ce qu’ils leur jouissent dans le cul, leur remplissant les intestins avec leur sperme bien chaud.Ils finirent de se déshabiller complètement, et retournèrent dans le salon, pour reprendre des forces et attaquer un deuxième round de baise intensive.
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Pendant ce temps, dans la chambre parentale, Sidonie pompait la bite de Pascal avec un appétit féroce tandis que son frère lui défonçait le cul, la faisant gémir sur la queue de Pascal.Mais celui-ci avait une petite idée derrière la tête, alors il descendit du lit et s’approcha du visage de Sidonie qui gémissait à chaque coup de queue qu’elle recevait dans le cul, il lui dit :
— Dis-moi, petite salope, ça te dirait de te faire prendre par nos deux bites en même temps ?
Sidonie était encore sur son petit nuage de jouissance, alors sans vraiment savoir ce qu’il lui réservait, elle lui répondit :
— Oui, allez-y, baisez-moi, défoncez-moi, je veux vos biiiiiites.
Alors Pascal dit à Nicolas :
— Cette salope a envie de se faire prendre en double, ça te dit ?
Nicolas accepta, mais se dit qu’avec sa mère à côté, c’était un peu dangereux, alors ils emmenèrent Sidonie dans sa chambre qui redescendit doucement de son petit nuage, mais pas suffisamment, pour se rendre compte de ce qu’elle faisait avec son frère.Alors Pascal s’allongea sur le sol et comme il lui avait indiqué, elle s’empala la chatte sur sa queue et tendit ses fesses à son frère afin qu’il lui remette sa bite dans le cul.Lorsqu’elle sentit les deux bites bien enfoncées dans son cul et dans sa chatte, elle repartit aussitôt sur son petit nuage, jamais elle n’avait été aussi bien remplie, et quand ces bites se mirent en mouvement, elle se mit à crier de plaisir :
— OUIIIII, ENCOOORREEEE, DEONFCEZZZZZZ-MOIIIII, OUIIIII, C’ESSSTTTT TRROOOPPPPP BOOONNN.
Pascal et Nicolas se déchaînaient dans ses orifices, la faisant jouir intensément, elle eut plusieurs orgasmes avec ces deux bites qui la défonçaient comme une bonne pute, elle gueulait de plaisir.Et alors que Camille et Gwendoline se faisaient, toutes les deux, remplir le cul par Joseph et Rémi, Sidonie sentit son cul et sa chatte se faire fourrer par le sperme chaud de ses amants.Elle eut un orgasme incroyable en sentant les giclées de ses deux bites bien plantées en elle lui inonder le vagin et les intestins; elle leur cria :
— OUIII, ENCOOOOREEEEEE, REMPLISSEZZZZ-MOIII COOMMMMMEEEEE UNNEEEE PUUUUTTTEEEEEEE.
Nicolas et Pascal se vidèrent complètement les couilles et lorsqu’elle sentit les giclées de sperme se tarirent dans ses orifices, Sidonie s’écroula et s’assoupit sur Pascal.Nicolas l’aida à la soulever, il vit leur sperme qui suintait du cul et de la chatte de sa sœur, il trouva cela à la fois excitant et troublant. Ils déposèrent Sidonie sur son lit, et alors que Pascal se rhabillait, Nicolas préféra s’allonger à côté de sa sœur afin d’avoir une explication avec elle, dès qu’elle se réveillerait.Lorsque Pascal rejoignit sa femme et Gwendoline dans le salon, ces deux salopes étaient de nouveau en train de chevaucher leurs amants.Remi et Joseph crurent qu’il allait mettre fin à leur partie de jambe en l’air, mais il sortit sa queue, et alors que Rémi fourrait la chatte de Gwendoline, il s’approcha d’elle, et dit :
— Ça fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion d’enculer cette petite salope, ça ne te dirait pas de prendre le cul de ma femme, elle adore se faire prendre en double.— Moi aussi papa, lui dit Gwendoline, en gémissant.— OK, petite pute, on va te prendre à deux.— Mmmm, ouiiii, allezzzz-yyyy.
Gwendoline se pencha en avant et dit à son père :
— Vas-y, papa, mets-la-moi dans le cul.
Elle poussa un long gémissement de plaisir en sentant la bite de son père s’enfoncer dans son cul, ce fut plus troublant pour Rémi; sentir une autre bite contre la sienne était étrange, même si elles étaient séparées par une fine paroi, il la sentait glisser doucement dans le cul de Gwendoline, et quand sa bite fut complètement enfoncée, elle leur dit :
— Allez-y, mes salauds, je sens bien vos bites, défoncez-moi par tous les trous, comme une grosse salope.
Ils se mirent en mouvement, et firent jouir Gwendoline comme une folle.Sa mère qui chevauchait Joseph réclama aussi sa part, et après avoir bien défoncé le cul et la chatte de Gwendoline, ils changèrent de place, et ce fut Rémi qui s’enfonça dans le cul de Camille, pendant que Joseph restait dans sa chatte.C’était une première pour lui aussi, et il trouva très excitant que cette superbe salope se fasse prendre par ses deux orifices, en jouissant comme une chienne en chaleur.Ils finirent par jouir de nouveau, remplissant la chatte ou le cul de la salope dans lequel se trouvait leur bite.Ils reprirent leur souffle, Camille et Pascal se rhabillèrent tranquillement pour rentrer chez eux, Joseph les raccompagna et lorsqu’il revint, Gwendoline était à 4 pattes, sur le canapé, en train de se faire de nouveau fourrer la chatte par Rémi.
Il leur dit :
— Tu n’en as jamais assez, ma petite salope.— Donne-moi ta bite à sucer au lieu de mater.
Il obéit et se fit avaler la queue par Gwendoline; ils baisèrent pendant une bonne partie de la nuit, finissant par s’écrouler de fatigue, tous les trois, complètement nus, sur le canapé.
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Dans la chambre de Sidonie, Nicolas avait du mal à s’endormir, il était perturbé par le fait d’avoir enculé sa propre sœur, il hésitait à rester avec elle, dans son lit, tous les deux complètement nus, il sentait ses superbes fesses contre sa bite, et ne put s’empêcher de bander de nouveau.Sans pouvoir s’en empêcher, il se mit à faire coulisser sa bite dans la raie des fesses de Sidonie, pensant qu’elle dormait profondément, il glissa ses mains sur ses superbes seins et se mit à la peloter, se disant que ce serait peut-être la dernière fois qu’il pourrait caresser les seins de sa sœur.Mais Sidonie s’était légèrement réveillée, elle sentit une queue contre son cul, pensant que c’était celle de Rémi, elle lui dit, en venant écarter ses fesses :
— Vas-y mon chéri, mets-la-moi dans le cul, Nicolas était pris à son propre piège, ne pouvant plus reculer, il plaça sa queue contre l’anus de sa sœur, et s’enfonça doucement au fond de son cul, l’entendant pousser un long râle de plaisir.Lorsqu’il eut enfoncé toute sa queue dans le cul de sa sœur, elle lui dit :
— Mmmm, ouuiii, elle est bonne ta bite, encule-moi, défonce-moi le cul.
Nicolas se mit à faire coulisser sa bite dans le cul de sa sœur, tout en pétrissant ses superbes seins, il l’entendait de nouveau gémir de plaisir.Il prenait un pied formidable à sentir sa bite bien serrée coulisser dans le petit cul de sa sœur, il se dit qu’il aurait un mal fou à s’en passer.Alors, se disant que c’était peut-être la dernière fois qu’il pouvait enculer sa sœur, il se déchaîna dans son cul, la faisant crier de plaisir.Il lui défonça le cul comme elle lui hurlait de le faire, ils étaient, tous les deux, en sueur, lorsqu’il jouit une nouvelle fois dans le cul de Sidonie.Ils s’endormirent profondément tous les deux, la bite de Nicolas toujours plantée dans le cul de sa sœur.
La nuit de Sidonie fut peuplée de rêves érotiques où elle se faisait prendre par deux hommes à côté de sa mère, et ils l’avaient ensuite emmenée dans sa chambre pour l’enculer et la baiser en même temps. Lorsqu’elle se réveilla au petit matin, elle sentit sa chatte complètement trempée et son cul encore occupé par une bite, pensant trouver Rémi derrière-elle, elle voulut profiter de son érection matinale pour enfoncer de nouveau sa bite au fond du cul, elle voulut se retourner pour l’embrasser et le remercier pour le plaisir qu’il lui avait donné la veille.Lorsqu’elle découvrit son frère endormi derrière elle, elle fut sidérée, mais elle sentait toujours sa queue bien dure dans son cul, et une petite voix lui dit :
— Profites-en, il dort, il n’en saura rien.
Alors, sans même se demander comment la queue de son frère avait pu se retrouver plantée dans son cul, elle se mit à faire coulisser son cul le long de sa bite, elle le regardait pour voir s’il se réveillait, et elle se rappelait maintenant ce qu’elle avait vécu la veille, comment Pascal lui avait bouffé la chatte à côté de sa mère, comment elle avait excité son frère, et lui avait sucé la bite, comment ils l’avaient prise à 4 pattes sur le lit de ses parents.Lorsqu’elle se rappela comment ils l’avaient prise en double dans sa chambre, elle se mit à gémir et se pétrit les seins en continuant de faire coulisser la bite de son frère dans son cul.
Elle avait honte d’elle, mais le plaisir était trop fort, la bite de son frère la faisait jouir comme une folle, elle était au bord de l’orgasme quand elle sentit une main glisser sur son sein et commencer à la peloter, elle le laissa peloter ses seins, en continuant de le regarder, mais lorsqu’elle vit ses yeux s’ouvrir.Elle prit peur, et malgré le plaisir qu’elle prenait, elle sauta de son lit et enfila un peignoir.Nicolas ne sut quoi dire; il était un peu perdu; pas encore bien réveillé; la seule chose qu’il était sûr, c’était qu’il était très excité et que sa bite était bien raide.Mais lorsqu’il entendit Sidonie dire :
— Qu’est-ce qu’on a fait ? On n’aurait jamais dû, et Rémi, qu’est-ce qu’il va dire ? Jamais il ne me pardonnerait.
Nicolas la laissa désapprouver leurs ébats, et quand elle se fut un peu calmée, il tenta de lui dire :
— On n’est pas obligé de lui dire.
Sidonie regarda son frère, et ses yeux étaient rivés sur sa bite, toujours bien dure, qui l’avait fait tant jouir la veille et encore ce matin.Même si elle mourait d’envie de recommencer, dans un sursaut de moralité, elle lui dit :
— Non, il ne faut pas, on ne doit pas faire ça.
Elle prit ses affaires de sport, elle s’habilla pour aller courir et se vider la tête de tous ses désirs incestueux.Mais lorsqu’elle passa dans le salon, elle vit Rémi, en train de baiser Gwendoline, à 4 pattes, sur le canapé, tandis que cette salope pompait la bite de son père.Elle fut de nouveau très troublée; son petit copain baisait sa belle-sœur avec son père; et toute sa culpabilité d’avoir baisé avec son frère faisant cocu Rémi avait disparue.Ses sens ne s’étaient pas encore tout à fait apaisés, elle était partagée entre la colère contre Rémi et l’envie de retourner se faire enculer par son frère.Mais sa petite voix lui conseilla de s’enfuir et de partir courir pour se vider la tête.
A suivre.
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