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Spin-off « les mystères de l’asie »

Chapitre 8

L'abandon d'Eugénie

Inceste
Il y avait maintenant une semaine que la soirée de débauche chez Rémi s’était déroulée, personne n’avait oublié, mais tout le monde faisait son possible pour faire comme-ci il ne s’était rien passé. L’absence de Sidonie aida toute la famille à reprendre ses habitudes. Mais comme tous les vendredis soir, Sidonie venait passer le WE chez son petit ami, elle avait eu le temps de peaufiner son plan chez elle, malgré les coups de queue qu’elle se prenait par son frère ou par son père, elle appréciait particulièrement les coups de langue de sa belle-sœur. Et cela lui donna une idée à essayer sur sa belle-mère, vu qu’elle ne pouvait pas inviter de nouveau Matt pour ne pas éveiller ses soupçons, il allait falloir qu’elle la fasse succomber elle-même.
Quand elle arriva le vendredi soir, elle eut l’impression qu’il ne s’était rien passé la semaine précédente, elle fut même très surprise que Romain ou Régis ne tentent pas de la peloter quand elle se retrouvait seule avec eux, même si elle lisait dans leurs yeux le désir d’y succomber, ils restèrent raisonnables et ne tentèrent aucun geste déplacé. Même si Sidonie fut un peu déçue, elle se dit que si son plan se déroulait comme prévu, elle pourrait bientôt profiter de leurs queues autant qu’elle en aurait envie, alors elle se concentra sur sa proie et alla en cuisine aider Eugénie à préparer le repas. Bien qu’elle s’était fait défoncer par son fils et son mari, la semaine passée, elle tenta de renouer un semblant de complicité avec sa belle-mère, même si elle avait une idée bien précise derrière la tête. Elles préparèrent le repas ensemble et quand tout fut prêt, toute tension ou contrariété semblaient avoir complètement disparu entre elles.
Eugénie était heureuse, malgré les écarts de conduite de la semaine passée, sa famille avait réussi à surmonter l’épreuve, et tout semblait reprendre un cours normal, elle avait même réussi à renouer une certaine complicité avec sa bru, et cela la soulageait. Bien qu’elle ait couché avec son mari et son fils, elle avait réussi à lui pardonner, elle-même, avait succombé au vice, et même si, lorsqu’elle y repensait, elle sentait son entrecuisse frétiller d’envie, elle arrivait à se contrôler. Elle avait joui énormément avec la queue de Matt et celle de Rémi, mais c’était totalement immoral qu’une mère couche avec son fils, et elle pria le ciel qu’elle ne soit pas tentée de nouveau de succomber à la luxure et à l’inceste.
La soirée se passa tranquillement, aucun geste ni parole déplacée, et même si Romain et Régis rêvaient de pouvoir de nouveau fourrer leur queue entre les cuisses ou entre les superbes fesses de Sidonie, ils ne laissaient rien paraitre, tout semblait parfaitement normal. Le lendemain, ils devaient tous partir dans la maison de campagne, une grande villa avec piscine, au milieu d’une grande forêt, Sidonie était au courant et avait l’habitude de partir avec eux, elle avait pris quelques maillots de bain dont un, qu’elle venait d’acheter, qui était outrageusement sexy et ne couvrait que très peu de son anatomie. Avant de partir, Sidonie eut envie de tester la résistance de Romain et Régis, elle choisit de porter une minijupe, qui lui laissait les cuisses à l’air, et un petit top qui lui moulait parfaitement ses seins, elle avait tout de même mis des sous-vêtements, et on devinait parfaitement son soutien-gorge, sous son petit haut.
Ils prirent tous la route, Eugénie était devant avec son mari, tandis que Sidonie était entre Rémi et Régis à l’arrière. Celui-ci essayait d’être le plus discret possible, mais il ne pouvait s’empêcher de loucher sur les superbes cuisses et sur les bosses que formaient les seins de sa belle-sœur. Il commençait à être à l’étroit dans son pantalon, alors que Rémi et Sidonie semblaient s’être assoupis, sa mère était occupée à lire son livre, il tenta de poser sa main sur la cuisse de Sidonie. Celle-ci faisait semblant de dormir, et avait parfaitement senti la main de son beau-frère se poser sur sa cuisse, il y allait très doucement, d’abord un doigt, puis un deuxième...
Elle attendit qu’il ait toute sa main contre sa cuisse, et qu’il commence à la caresser pour bouger légèrement, elle s’inclina pour poser sa tête contre l’épaule de Rémi et en profita pour ouvrir un peu plus les cuisses. Elle sentit Régis retirer sa main, il devait craindre qu’elle ou son frère ne se réveillent, mais après quelques secondes, elle sentit de nouveau la main chaude de Régis contre sa cuisse, il ne fut aussi prudent que la première fois, et comme Sidonie avait légèrement ouvert ses cuisses, elle sentit sa main remonter doucement sous sa minijupe. Elle sentait sa chatte trempée, elle mourrait d’envie de sentir ses doigts au fond de son vagin, alors lorsqu’elle sentit les doigts de Régis contre son string, elle ouvrit encore un peu plus les cuisses.
Il se mit à lui caresser le clito par-dessus son string, Sidonie se retenait autant que possible de gémir de plaisir, mais elle ouvrit les yeux, et croisa le regard de Régis qui continuait de la caresser, elle regarda à l’avant de la voiture et après avoir constaté qu’Eugénie s’était, elle aussi, assoupie. Elle posa un pied sur la braguette de Régis, ce qui ouvrit ses cuisses en grand, et tandis qu’elle massait la queue de son beau-frère avec son pied, elle écarta son string d’une main et lui fit comprendre où elle voulait ses doigts. Régis succombait de nouveau à l’appel du vice, le pied de Sidonie qui lui massait la queue et sa chatte brulante si gentiment offerte vint à bout de sa volonté, il fourra deux doigts dans le vagin humide de sa belle-sœur, et l’entendit pousser un léger gémissement. Heureusement pour eux, la radio couvrit ce petit bruit, et personne ne l’entendit.
Régis continua à fouiller la chatte de Sidonie, qui avait de plus en plus de mal à se retenir de gémir, alors en bonne petite salope, elle se redressa et tout en allant rouler une pelle à son beau-frère, elle défit la fermeture éclair de son short, et finit par lui sortir sa queue bien raide. Elle le branla quelques minutes, et ni tenant plus, elle se pencha sur lui, et lui avala la queue, elle se mit à lui pomper la bite comme une affamée, et cette fois, c’était Régis qui avait un mal fou à se retenir de gémir. Mais pendant qu’elle pompait la queue de Régis, Romain, qui conduisait tranquillement, jeta un œil dans le rétroviseur, et il fut étonné de ne plus voir Sidonie à la place du milieu.
Il tourna la tête rapidement vers l’arrière, pour ne pas quitter la route des yeux, trop longtemps, et il fut partagé, entre la jalousie et l’excitation, il voyait son fils, les yeux fermés, tenant la tête de Sidonie qui montait et descendait sur sa queue, il aurait voulu être à sa place, mais il se rappela qu’il conduisait, alors il se retourna et fit pivoter le rétroviseur pour continuer à mater cette salope de Sidonie pomper la bite de son fils. Il bandait comme un fou dans son pantalon, en les regardant, et avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la route, il attendit que Régis éjacule dans la bouche de Sidonie pour dire :
— On va s’arrêter à la prochaine aire de repos pour faire une pause.
Sidonie se dépêcha de se redresser, et Régis remballa son attirail à toute vitesse. Lorsque Rémi et Eugénie émergèrent de leur petit somme, Sidonie avait encore le sperme de Régis dans la bouche, et déglutit plusieurs fois pour répondre à Rémi qui la trouvait un peu bizarre, et étrangement décoiffée, il lui demanda :
— Tout va bien ?
Après avoir avalé tout le sperme de Régis, elle lui répondit :

— Oui, mon chéri, tout va parfaitement bien.— Tes cheveux sont tous ébouriffés.— Oh j’ai dû bouger un peu trop quand je dormais.
Rémi remarqua que la minijupe de Sidonie était remontée assez haut pour qu’on puisse voir son string, et il lui dit discrètement :
— Remets ta jupe en place, on voit ton string, ma chérie, tu ne voudrais pas tenter mon frère encore une fois.
Elle lui répondit discrètement, en lui caressant la queue :
— Et pourquoi pas, ça me ferait du bien, si vous me baisiez tous les deux.
Rémi regarda son frère, son visage était étrangement rouge, il lui demanda :
— Tout va bien Régis ?
Mais la voiture venait de stationner sur le parking et Régis sortit rapidement de la voiture, en répondant :
— Oui, oui, j’ai juste besoin d’aller aux toilettes.
Sidonie remit de l’ordre dans sa tenue et suivit Rémi qui sortait de la voiture. Tout ce petit monde se dirigea vers les toilettes, Romain ne quitta pas le cul de Sidonie des yeux, qui se balançait devant lui, il n’arrivait pas à débander, et après qu’il ait vu son fils se faire sucer par cette salope, il se demandait comment il pourrait bien la baiser sans que sa femme ne s’en aperçoive. La solution se présenta à lui, lorsqu’ils arrivèrent à l’entrée des toilettes. Il y avait une file d’attente monstrueuse devant les toilettes des femmes, Rémi et Régis allèrent dans les toilettes homme pour soulager leur vessie, tandis que Romain restait avec Sidonie pour l’accompagner, et comme à chaque fois qu’elle était excitée, sa vessie ne demandait qu’à être soulagé, mais la file d’attente avançait trop lentement, Rémi et Régis étaient déjà ressortis et étaient partis rejoindre Eugénie dans la zone café. En voyant les toilettes hommes vides, il eut une idée vicieuse, et dit à Sidonie :
— Si tu veux, tu n’as qu’à aller dans les toilettes des hommes, je ferais le guet.— Oh merci, il faut vraiment que je me soulage.
Sidonie quitta la file d’attente des femmes, et accompagna Romain dans les toilettes hommes, il la fit rentrer dans une cabine, où elle put faire ses besoins, et alors qu’il faisait le guet devant la porte, il lui dit :
— Tu sais je t’ai vu sucer la bite de Régis tout à l’heure, dans la voiture.
Sidonie était encore en train d’uriner, qu’elle eut un petit sourire pervers en entendant cela, elle se pencha en avant pour déverrouiller la porte et l’ouvrir, elle dit ensuite à son beau-père :
— Allez-y, entrez, je vais vous soulager, vous aussi.
Romain était toujours très excité, mais la vision de Sidonie les cuisses grandes ouvertes, en train d’uriner, le fit plonger corps et âme dans la débauche, il entra dans la cabine, et tandis qu’il verrouillait la porte, il sentit que Sidonie sortait sa queue bien dure. Elle s’apprêtait à avaler sa queue, dont il l’attrapa par les bras et la releva, en lui disant :
— Ce n’est pas dans ta bouche que je veux te la mettre, salope.
Elle était toujours en train d’uriner, que Romain la plaquait contre le mur, elle posa ses mains dessus et tout en sentant sa grosse queue se glisser entre ses cuisses, elle sentait son urine lui couler sur les cuisses. Elle était partagée entre la honte et le plaisir, et lorsque la grosse queue de son beau-père s’enfonça dans son vagin en feu, elle ne ressentit plus que du plaisir, elle finit d’uriner sur ses cuisses en sentant la bite de Romain lui ramoner la chatte. C’était une situation tellement dégradante pour Sidonie, qu’elle jouit comme une folle sous les coups de queue de son beau-père, elle se mit à gémir de plaisir, elle sentait son urine séchée doucement sur ses cuisses, et cela lui procurait d’étranges orgasmes. Mais Romain n’avait pas baisé depuis une semaine, il avait les couilles bien pleines, il ne put tenir très longtemps dans ce fourreau si brulant, et il finit par jouir, il envoya de puissantes giclées de sperme au fond de la chatte de Sidonie.
Elle sentait le sperme de son beau-père lui cogner contre les parois de son vagin, et il lui remplit tellement la chatte, que son sperme finit par suinter, et se mit à couler sur ses cuisses, se mélangeant à son urine. Elle se sentait particulièrement sale et répugnante, mais cela lui procura un orgasme intense, et elle jouit en criant de plaisir :
— OUIIIII, REMPLISSS-MOIIII LAAAA CHAATTTEEEEE.
Romain finit de se vider les couilles dans la chatte de sa belle-fille, il remballa sa queue, en constatant les dégâts qu’il avait causés sur les cuisses de Sidonie. Mais alors qu’elle s’apprêtait à prendre du papier toilette pour s’essuyer, il lui dit :
— Reste comme ça salope, je veux que tu laisses mon sperme sécher sur tes cuisses avec ta pisse, tu n’es qu’une chienne en chaleur, et les chiennes comme toi, elles gardent le sperme de leurs amants sur elle.
Sidonie était encore sous l’effet de son dernier orgasme, et se sentir si sale et soumise à son beau-père, lui procura un étrange plaisir, alors elle lui obéit et laissa le sperme de Romain se mélanger à son urine et sécher sur ses cuisses. Romain sortit de la cabine, mais ne referma pas la porte, la laissant à la vue de tous, et certains hommes l’avaient entendu jouir comme une folle et s’étaient rapprochés. Mais avec tous ces regards pervers sur elle, Sidonie prit peur, elle se dépêcha de remettre son string trempé de sperme et d’urine mélangés, et sortit des toilettes des hommes. Elle rattrapa Romain, et ils rejoignirent le reste de la famille, Sidonie sentait toujours les traces de sa dernière dépravation sur ses cuisses, et grâce à l’odeur du café, personne ne s’en aperçut. Rémi la sentit un peu perturbée, il la prit un peu à l’écart des autres, et lui demanda :
— Tout va bien, on dirait que tu n’es pas dans ton assiette ?— SI, si, tout va bien, c’est juste que je me disais que j’aurais peut-être besoin de ton aide pour ta mère.
Rémi se rappela leur petit arrangement, il jeta un œil à sa mère, comme elle lui tournait le dos, ses yeux se fixèrent sur son cul, et il se remémora comment il l’avait enculé, la semaine dernière, il sentit sa queue se redresser, rien qu’à l’idée de pouvoir recommencer, et il dit à Sidonie :
— Si tu as besoin d’un coup de main, tu peux compter sur moi.— Merci, mon chéri.
Sidonie et Rémi rejoignirent les autres et ils reprirent tranquillement la route, Régis et Romain s’étaient déchargé les couilles et ils restèrent sages le restant du trajet. Surtout que Rémi ne s’était pas assoupi, Sidonie avait posé la tête sur son épaule et dormait profondément. Ils arrivèrent enfin à la maison de campagne, après avoir déchargé la voiture et préparé les chambres, Sidonie prit une bonne douche pour nettoyer toute trace de sa dernière incartade, elle aida ensuite Eugénie à préparer le repas. Elles devenaient de plus en plus complices, mais après ce qu’elle avait vécu dans la voiture et dans les toilettes des hommes, Sidonie se demanda si les garçons lui laisseraient assez de temps pour faire plonger sa belle-mère dans la luxure. Ils dinèrent tranquillement et même si Sidonie sentait les regards pervers de Régis et Romain sur elle, aucun d’eux ne tenta quoi que ce soit. Tout le monde était fatigué par le voyage et tout le monde partait se coucher.
Le lendemain matin, alors que Sidonie se levait pour soulager sa vessie, elle tomba nez à nez avec Romain, elle sentit sa chatte frétiller quand il lui dit :
— Tu as besoin de soulager ta vessie encore une fois ?
Elle sentait étrangement soumise à son beau-père et lui répondit presque naturellement :
— Oui, vous voulez m’accompagner encore une fois ?
Elle fut surprise de l’entendre lui dire :
— Oui, mais j’aimerais autre chose cette fois, et tu vas faire tes besoins dans la baignoire, pour éviter de salir la maison.
Elle le suivit dans la salle de bain et il lui dit :
— Déshabille-toi, je ne veux pas que tu salisses ton pyjama.
Elle lui obéit, et se déshabilla sans aucune honte devant son beau-père, il la fit ensuite entrer dans la baignoire et lui dit :
— Fais tes besoins, ici, je vais te regarder.
Elle s’accroupit et commença à relâcher sa vessie, son urine se mit à couler dans la baignoire, et elle vit Romain sortir sa queue pour se branler, sa bite était bien dure, et Sidonie avait très envie de la sucer. Mais alors qu’elle était toujours en train d’uriner, elle vit un jet doré sortir de la queue de son beau-père, et il se mit à lui pisser dessus. Elle sentit ce jet chaud venir frapper ses seins, et son beau-père s’amusa à le faire passer d’un sein à l’autre, elle trouva la sensation très excitante, son urine coulait toujours, alors qu’elle sentait celle de son beau-père remonter vers son cou. Elle ne bougea pas d’un poil, et lorsqu’il se mit à lui arroser le visage en lui disant :
— Ouvre la bouche, sale chienne, tu vas avaler ma pisse, comme une bonne petite salope.
Une nouvelle fois, Sidonie obéit et se mit à avaler l’urine de Romain, elle se dit qu’elle aurait dû trouver cela dégoutant, mais au contraire, elle prenait un étrange plaisir à être le pissoir de son beau-père. Elle le laissa lui arroser les cheveux, elle avait de la pisse partout, et comme l’évacuation de la baignoire était bouchée, elle baignait dans une marre de pisse. Elle avait fini d’uriner, mais elle continuait d’avaler celle de son beau-père, jusqu’à ce que sa vessie soit complètement vide. Sidonie était à genoux dans la baignoire et se rendit compte qu’elle avait de la pisse jusqu’au mollet, elle sentait l’urine à plein nez, elle était un peu perdue par toutes ces sensations nouvelles, et attendait docilement les consignes de son beau-père. Elle fut comblée, lorsqu’il lui dit :
— Maintenant que tu m’as bien vidé la vessie, tu vas me vider les couilles, sale pute.
Elle s’apprêtait à avaler la queue de Romain, quand il lui dit :
— Non, non, salope, pas avec ta bouche, avec ton cul, et ensuite, tu me la nettoieras avec ta langue de chienne en chaleur.
Totalement soumise aux désirs de son beau-père, Sidonie se retourna et se mit à 4 pattes dans la baignoire pour lui présenter son cul, en allant jusqu’à écarter ses fesses pour lui montrer le chemin, en lui disant :
— Allez-y, mettez-moi votre queue, au fond du cul, je suis toute à vous.
Romain fut particulièrement excité par la phrase de Sidonie, elle consentait à devenir sa propriété, et tout en lui enfonçant sa queue dans le cul, il lui dit :
— C’est ça, salope, tu es à moi, et tu feras tout ce que je te demande, sale pute.
Il se mit à se déchaîner dans le cul de Sidonie, qui se mit à crier de plaisir en lui criant :
— OUIIII, JE SUUIIIISSSS A VOUUUSSS, DEFONCEZZZZ MOIIII LLEEEEE CUUULLL, JEEEE SUIIISSS VOTREEEEE SALOOOOPPPPEEEEEE, VOOOTRRREEEEE CHHHIIIEEEENNNNNNEEEE.
A chaque coup de bite qu’elle recevait dans le cul, l’urine au fond de la baignoire l’éclaboussait, et lui procurait un plaisir incroyable, si bien que lorsque Romain poussa sa tête en avant, elle plia les bras et se retrouva la tête à moitié immergée dans leur pisse, ça lui rentrait dans le nez, et entre deux cris de jouissance, elle se mit à en avaler une partie. Lorsque Romain finit par lui jouir dans le cul, elle eut un orgasme dévastateur, elle sentait son cul se faire remplir par le sperme de son beau-père, elle jouissait sans pouvoir s’arrêter, son corps se mit à trembler, et lorsque les giclées de sperme se tarirent, et que Romain ressortit sa queue de son cul, elle s’écroula au fond dans la baignoire, baignant dans la pisse et le sperme mélangé.
Une nouvelle fois, elle se retrouvait avec de l’urine et du sperme sur elle, et une nouvelle fois, elle jouit comme une folle, et elle était à peine redescendue de son nuage de plaisir, qu’elle sentait que Romain l’attrapait par les cheveux et lui fourrait sa queue dans la bouche, en lui disant :
— Nettoie-moi ça, sale chienne, tu as mis de la merde partout sur ma bite.
Sans pouvoir se contrôler, Sidonie se mit à lécher la bite de Romain, couverte de ses propres excréments, mais elle ne s’en préoccupait pas le moins du monde, tout ce qui comptait, c’était satisfaire son beau-père, et encore plus s’il l’humiliait de la sorte. Elle ne mit pas longtemps à nettoyer la queue de Romain, retirant toute trace de sperme et de merde mélangés, il remballa ensuite sa bite dans son froc, et lui dit :
— Lave-toi, sale chienne, tu pues tellement, on dirait que tu sors d’une décharge.
Il la laissa seule dans sa marre de sperme et d’urine, et Sidonie mit de longues minutes à reprendre pied dans la réalité, elle réalisa qu’elle baignait toujours dans leur urine, et malgré une petite hésitation, elle vida la baignoire pour pouvoir se laver. Elle ressortit de la salle de bain, rafraichie, et à la fois très troublée par ce qu’elle venait de vivre. Mais elle avait un plan à accomplir avant de pouvoir se lâcher avec son beau-père et son beau-frère, et elle allait devoir se dépêcher de la mettre à exécution, si elle voulait pleinement profiter de leurs grosses queues. Elle décida de laisser passer la matinée, et d’attendre la chaleur de l’après-midi pour mettre son plan en place. Elle rejoignit Romain dans le salon, mais avant qu’ils puissent échanger le moindre mot, Rémi fit son apparition et ce fut bientôt Eugénie et Régis qui se levèrent, tout ce petit monde prit son petit-déjeuner sagement.
Même si les regards que s’échangeaient Sidonie et Romain étaient chargés d’une certaine tension sexuelle. Personne ne s’en aperçut, la matinée se passa tranquillement, chacun vaquant à ses occupations, si ce n’est que Régis, depuis que Sidonie lui avait pompé la queue dans la voiture, avait de plus en plus envie de fourrer sa bite ailleurs que dans la bouche de sa belle-sœur. Il attendit de pouvoir être seul avec elle, et profitait des quelques instants où ils étaient isolés pour lui fourrer ses doigts au fond de sa chatte ou au fond de son cul. Sidonie le laissait jouer avec son corps, offrant ses orifices sans aucune retenue, tout en restant vigilante à la présence d’Eugénie ou de Rémi, s’ils se rendaient compte qu’elle était de nouveau le jouet sexuel de Romain et de Régis, son plan allait tomber à l’eau. Malheureusement pour Régis, il n’eut jamais l’occasion de fourrer autre chose que ses doigts dans les orifices de Sidonie.
Le déjeuner se passa tout aussi tranquillement et même si Régis commençait à être frustré de ne pouvoir baiser sa belle-sœur, il ne voulait pas provoquer un scandale, alors il prit son mal en patience, et attendit sagement que l’occasion se présente. Il savait que Sidonie avait l’habitude de prendre un bain-de-soleil après le repas du midi, et il se dit que ce serait sans doute la bonne occasion, et il pourrait même peut-être la baiser dans la piscine. Comme par automatisme après le repas, Sidonie partit se changer pour enfiler un de ses bikinis pour aller bronzer sur un transat de la terrasse, mais habituellement, elle ne sentait pas les regards vicieux de Régis et de Romain sur elle, alors que cette fois-ci, lorsqu’elle s’installa dans le transat, elle sortit sa crème solaire pour ne pas attraper de coup de soleil, sa peau de rouquine étant très fragile, elle n’oubliait jamais de la protéger.
Habituellement c’était Régis qui se faisait un plaisir de lui étaler la crème, et cette fois, il était encore plus à l’affut, il savait que Rémi et ses parents étaient toujours occupés à diverses tâches ménagères, il avait Sidonie pour lui tout seul, pour au moins quelques bonnes minutes, qu’il comptait bien mettre à profit. Il prit le flacon de crème et lui dit :
— Je te mets la crème ?
Sidonie voyait dans les yeux de Régis, toute la perversion du monde, elle était certaine qu’il n’allait pas lui étaler que la crème, mais cela l’excita énormément, alors tout à son habitude, elle lui répondit :
— Oui, tu seras gentil.
Elle se mit sur le ventre et laissa Régis commencer à lui étaler la crème, il passa bien sur ses épaules et son dos, même si ses mains avaient tendance à glisser sous la culotte de Sidonie, elle ne dit rien, et le laissa glisser ses doigts dans la raie de ses fesses, et se cambra même pour qu’il lui caresse bien l’anus. Il commençait à être très à l’étroit dans son short, il reprit un peu de crème et s’attaqua ensuite aux jambes, il commença par les mollets, et remonta doucement sur les cuisses. Sidonie sentait sa chatte complètement trempée, sans que Régis ne lui demande quoi que ce soit, elle écarta les cuisses, en lui disant :
— Mets-moi-la bien entre les cuisses, stp.
Il glissa ses mains sous la culotte de Sidonie et commença à lui fouiller la chatte, elle se mit aussitôt à gémir de plaisir, elle écarta encore plus les cuisses et se cambra davantage. Si bien qu’elle avait maintenant une jambe de chaque côté du transat, et offrait sa chatte aux doigts pervers de Régis. Celui-ci n’y tenant plus, il se plaça juste derrière Sidonie, sortit sa queue bien raide et écarta la culotte pour enfoncer sa bite au fond de la chatte brulante de sa belle-sœur. Elle poussa un long gémissement de plaisir quand elle sentit cette bonne bite s’enfoncer en elle, Régis s’agrippa à ses fines hanches et commença aussitôt à la besogner. Il ne fallait pas qu’il traîne, ses parents et Rémi n’allaient pas tarder, mais les cris de jouissance de Sidonie allaient les attirer plus vite que prévu si elle ne se calmait pas, alors complètement folle d’excitation. Il poussa sa tête dans sa serviette, et lui dit en continuant de la défoncer :
— Ta gueule, salope, tu vas attirer les autres, à gueuler comme une pute.
Sidonie se soumettait une nouvelle fois et laissait Régis lui plaquer la tête dans sa serviette, quitte à ce qu’elle ne puisse plus respirer, il l’étouffait presque, mais une nouvelle fois, elle ressentit un plaisir incroyable à être soumise, à n’être qu’un jouet sexuel pour son beau-frère. Elle ne se préoccupa plus du tout de Rémi et d’Eugénie, seul comptait le désir de son amant, et elle devait tout faire pour le satisfaire. Heureusement pour eux, Régis avait les couilles bien pleines, et il ne tint pas très longtemps dans la chatte brulante de Sidonie, il lui envoya de puissantes giclées de sperme au fond de la chatte, mais avant de se vider complètement les couilles dans le vagin de Sidonie, il se retira de sa chatte, et lui dit :
— Retourne-toi, salope, je vais te mettre de la crème, par-devant.
Sidonie, en bonne soumise, se retourna et reçut les dernières giclées de sperme sur le ventre, sur les seins et sur le visage. Régis était plutôt satisfait, il avait réussi à baiser sa belle-sœur, et lui avait giclé son sperme partout sur elle. Il entendit le reste de la famille approcher, il remballa sa queue et dit à Sidonie :
— Etale mon jus sur toi, salope, ça te fera une bonne crème solaire.
Toujours soumise à son amant, elle obéit et étala le sperme de Régis sur son visage, sur son ventre et sur ses seins. Elle venait tout juste de finir et n’était pas totalement redescendue de son dernier orgasme, que Rémi s’approcha d’elle, elle sentait le foutre à plein nez, et cela lui piqua les narines, il lui demanda :
— C’est quoi qui sent comme ça ?
Encore dans les effluves du plaisir, Sidonie lui répondit :
— Ça doit être ma nouvelle crème solaire, je l’aime bien, pas toi ?— Eh bien, elle a une odeur étrange, mais si ça ne te dérange pas.
Régis s’installa dans un transat, satisfait d’avoir pu baiser sa belle-sœur. Sidonie se remit de son dernier coït, et se reposa quelques minutes, sur le transat, puis elle regarda l’heure, c’était l’heure habituelle, où Eugénie allait faire sa petite sieste dans un salon climatisé. Sachant que les garçons avaient des travaux à effectuer dans le cabanon de la piscine, elle en profita pour mettre en place son plan, mais avant de descendre rejoindre Eugénie, elle dit à Rémi :
— Essaie de me rejoindre dans 1h, je serais avec ta mère dans son petit salon de sieste.— OK, j’essaierais de trouver une excuse.— A tout à l’heure.
Sidonie se dépêcha de rejoindre Eugénie avant qu’elle ne s’assoupisse dans son petit salon, elle arriva juste à temps, et lui proposa de lui faire un petit massage pour la détendre, et la relaxer. Quand ils venaient dans la maison de campagne, elle faisait de temps à autre un petit massage à sa belle-mère, alors Eugénie ne refusa pas la proposition, même si Sidonie avait quelque chose de plus vicieux en tête. Elles installèrent la table de massage et Eugénie se prépara à aller se changer, mais Sidonie lui dit :
— Oh, belle maman, on est entre filles, vous n’avez qu’à vous mettre toute nue pour le massage.
Eugénie semblait hésitante, mais Sidonie lui dit :
— Si vous voulez, je peux me déshabiller aussi, comme ça, on sera dans la même tenue toutes les deux.
Eugénie se laissa convaincre, et dit :
— OK, toutes les deux à poil, mais verrouille la porte, je ne voudrais pas qu’un garçon nous voie comme ça.— OK, je vais m’en occuper.
Eugénie commença à se déshabiller, tandis que Sidonie faisait semblant de verrouiller la porte, elle retourna ensuite près de sa belle-mère et commença à défaire son maillot de bain, lorsqu’elle retira son bas, elle se rendit compte qu’il était maculé du sperme de Régis. Eugénie le remarqua également, et lui demanda :
— Eh bien, ma petite coquine, tu gardes les traces de Rémi en toi ?
Sidonie eut une idée vicieuse à ce moment-là, elle prit son maillot de bain plein de sperme et avec un petit air ingénu, elle l’approcha du visage d’Eugénie, elle lut le trouble que l’odeur du sperme de son fils provoquait chez Eugénie, alors elle lui dit :
— J’espère que je ne vous choque pas, mais j’adore garder son sperme en moi.
Eugénie sentait l’odeur du sperme lui traverser les narines, elle n’arrivait pas à quitter des yeux, ce liquide visqueux, et se rappelait qu’il lui avait rempli le cul avec, la semaine dernière. Sidonie devinait aisément l’agitation que cela provoquait chez sa belle-mère, elle continua d’avancer sa culotte au nez d’Eugénie, et lui dit :
— Je vais vous dire un petit secret, j’adore le goût du sperme de votre fils.
Elle passa sa langue sur le liquide visqueux et en ramassa une petite quantité, elle voulait laisser la plus grosse partie à sa belle-mère. Elles étaient maintenant pratiquement l’une contre l’autre, leurs tétons s’effleuraient, la culotte était maintenant à 5 centimètres de la bouche d’Eugénie, et Sidonie lui donna le coup de grâce en lui disant :
— Si vous voulez aussi y goûter, je n’y vois pas d’inconvénient et cela restera entre nous.
Sans pouvoir s’en empêcher, Eugénie approcha sa bouche de la culotte de sa belle-fille et commença à lécher le sperme de son fils. Sidonie abandonna sa culotte entre ses mains, Eugénie se mit à tout lécher, une envie irrépressible l’obligeait à lécher tout ce sperme, et alors qu’elle sentait les mains de sa belle-fille se poser sur ses seins, elle l’entendit lui dire :
— Il a bon goût n’est-ce pas ?
Entre deux léchages, elle lui répondit :
— Oui, tu as raison, il est fabuleux.
Tout en lui répondant, elle sentit la langue habile de Sidonie sur ses tétons, mais complètement subjuguée par le sperme qu’elle léchait, elle la laissa faire. Et Sidonie insista encore en lui disant :
— Si vous en voulez encore, j’en ai encore plein la chatte.
Eugénie sentait son cœur battre la chamade, elle continuait de lécher la culotte de sa belle-fille, tandis qu’elle sentait celle-ci, glisser sa main entre ses cuisses. Mais alors qu’elle finissait de récupérer le sperme de son fils au fond de la culotte de Sidonie, elle sentit monter en elle un désir absolu, et dit à Sidonie :
— Donne-moi ta chatte, j’ai encore envie de son sperme.
Le plan de Sidonie ne se déroulait pas comme prévu, mais ce n’était pas plus mal, elle fit allonger sa belle-mère sur la table de massage et lui monta dessus pour se mettre en 69, elles se bouffèrent la chatte toutes les deux pendant de longues minutes. Eugénie retrouvait ses plaisirs d’adolescente, lorsqu’elle se donnait du plaisir avec ses amies, mais plus que tout, elle récupérait tout le sperme de son fils au fond de la chatte de Sidonie. Elle lui aspirait littéralement la chatte, elles gémissaient toutes les deux, comme deux belles salopes en chaleur. Sidonie fouillait la chatte d’Eugénie avec deux doigts, et tout en lui léchant le clito, tenta de lui enfoncer d’autres doigts, elle en était arrivée à 4, faisant crier sa belle-mère de plaisir :
— OUIIIII, CONTINUUUEEEE, C’ESSSSTTTTT TROOOOPPPP BOOONNNNN, ENNCCCOOOORREEEEEE.
Sidonie tenta de lui enfoncer toute sa main, et heureusement pour Eugénie, sa belle-fille avait plutôt des petits doigts, mais celle-ci fut stupéfaite de voir disparaître sa main entière disparaître dans la chatte de sa belle-mère. Plus aucune des deux ne léchait l’autre, il n’y avait plus que Sidonie qui fouillait la chatte d’Eugénie avec toute sa main. Elle criait de plaisir, ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas été fouillée de la sorte, et elle eut un orgasme intense grâce à la main de Sidonie. Une fois, avoir bien fait jouir sa belle-mère, elle retira sa main de sa chatte et tandis qu’Eugénie reprenait doucement son souffle, Sidonie s’aperçut de la présence de Rémi, il avait la bite à la main et se branlait en regardant sa mère jouir intensément, Sidonie lui fit signe de se cacher, ce qu’il fit en essayant de garder un œil sur les deux salopes. Sidonie descendit de la table et une fois que sa belle-mère eut repris ses esprits lui dit :
— Et si on se le faisait ce petit massage, maintenant ?— Oh merci, ma puce, tu m’as fait jouir comme je n’avais pas joui depuis longtemps.— Ah bon, pas même lorsque vous vous êtes fait enculer par Rémi ?
Eugénie se remémora ce passage incestueux avec son fils, et elle ne put qu’avouer qu’elle avait énormément joui, à ce moment-là aussi.
— Ma chérie, tu me promets de garder le secret ?— On est entre nous, belle-maman, rien ne sortira d’ici.— Je sais que tu as couché avec Régis et mon mari, pendant que Matt et Rémi m’enculaient, mais...— Oui ?— Est-ce que tu m’en voudrais si je succombais à nouveau ?
Sidonie ne pouvait pas espérer mieux, mais elle prit son temps pour répondre, afin de ne pas éveiller les soupçons et lui dit :
— Et vous pensez que Rémi en aurait envie, lui aussi ?— Je ne sais pas, mais j’ai de plus en plus de mal à me retenir quand je suis seule avec lui.— Mais si vous couchez avec Rémi, votre mari et Régis vont vouloir coucher avec moi de nouveau.— Je sais, c’est pour cela que je te demande à toi d’abord, tu accepterais de satisfaire les avances de mon mari et de mon autre fils ?— Et si Régis voulait goûter aussi au plaisir de l’inceste ?
Eugénie se mit à s’imaginer prise par ses deux fils, et sans s’en rendre compte, se mit à se caresser la chatte, Sidonie rejoignit la main d’Eugénie et lui dit :
— Retournez-vous, je vais vous faire un petit massage et vous aurez le temps d’y réfléchir tranquillement.
Eugénie se mit sur le ventre et laissa Sidonie commencer son massage, mais alors qu’elle avait la tête dans le hublot de la table, Sidonie fit signe à Rémi, et celui-ci s’approcha, et sa petite amie lui dit à l’oreille :
— A toi de jouer, mon salaud, à mon avis, tu n’auras pas beaucoup de mal à la convaincre de t’ouvrir ses cuisses ou ses fesses.
Tandis que Sidonie sortait discrètement de la pièce, Rémi prit l’huile de massage et en fit couler dans le creux du dos de sa mère. Il venait de la voir jouir comme une belle salope, et il bandait bien dur, il commença le massage, ne sachant pas trop comment s’y prendre. Il commença par les épaules et descendit doucement sur le dos, il ne quittait pas des yeux les fesses de sa mère, et s’imaginait déjà planter sa grosse bite entre elles. Il continua à faire descendre ses mains, et commença à lui masser les fesses, il tenta de faire glisser un doigt dans la raie, sans réaction de la part de sa mère, il retenta, et toujours pas de réaction, il prit confiance, et commença à écarter les fesses de sa mère pour lui caresser l’anus. Cette fois, il l’entendit gémir doucement, et lui dire :
— Mais qu’est-ce que tu cherches, ma chérie, tu as bien fouillé ma chatte tout à l’heure, tu ne voudrais pas en faire autant avec mon cul, quand même.
Rémi n’osa pas répondre, mais alors qu’il voyait sa mère soulever son cul pour venir au-devant de ses caresses, il ne résista pas à l’envie de lui fourrer un doigt dans le cul. Lorsqu’il lui enfonça son doigt, il entendit sa mère gémir de plaisir, et lui dire :
— Oh oui, ma petite salope, tu sais que j’aime ça, tu veux me préparer à la bite de Rémi, petite cochonne.
Rémi continua de doigter le cul de sa mère, mais il était de plus en plus à l’étroit dans son short, et il vit que sa mère cherchait Sidonie avec sa main, elle voulait sans doute lui rendre le plaisir qu’elle prenait. Alors n’y tenant plus, Rémi sortit sa queue de son short et la posa sur la main de sa mère. Il la sentit refermer ses doigts dessus et se mettre à la branler automatiquement, Rémi se mit à gémir de plaisir. Eugénie était tellement excitée par la séance de fist avec Sidonie, que lorsque ses doigts se refermèrent autour d’une grosse bite, elle ne chercha même pas à qui elle pouvait appartenir. Depuis que Sidonie lui en avait parlé, elle s’imaginait se faire prendre par ses deux fils, alors elle se foutait complètement qu’elle soit en train de branler Rémi ou Régis, l’important était cette bite, et il lui fallait à tout prix qu’elle se la prenne, encore une fois, dans le cul.
Alors qu’elle se prenait maintenant 2 doigts dans le cul, et ne sachant pas à quel fils, elle s’adressait, elle dit :
— Monte sur la table, mon chéri, et encule maman, mets-moi ta bite, au fond du cul.
Rémi ne se fit pas prier, et monta sur la table avec sa mère, pour placer sa queue contre les fesses de sa mère. Eugénie ne l’avait pas lâché, alors qu’elle sentait cette grosse queue contre son cul, elle se cambra encore davantage et plaça le gland de son fils contre son anus, pour enfin lui dire :
— Vas-y, mon chéri, fourre-moi ta grosse bite dans le cul, tu sais que j’aime ça.
Rémi poussa sa bite entre les fesses de sa mère et sentit sa queue s’enfoncer doucement dans son cul, Eugénie poussa un long râle de plaisir, et lorsqu’elle sentit la bite de son fils toute entière au fond de son cul, elle reconnut la voix de Rémi qui lui dit :
— Merci, maman, ton cul est vraiment trop bon.— Continue, mon chéri, défonce-moi le cul, je suis ta salope, encule-moi bien fort.
Rémi se mit à se déchaîner dans le cul de sa mère, la faisant crier de plaisir.
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Pendant ce temps, Sidonie avait quitté le petit salon, à poil, et avait très envie de se prendre les bites de Romain et de Régis. Mais elle fut déçue, il n’y avait personne sur la terrasse, alors elle se dit qu’elle allait leur réserver une petite surprise, elle plongea dans l’eau, et les appela. Ils ne mirent pas longtemps à apparaître, mais Sidonie avait de l’eau jusqu’aux épaules et comme elle était au bord de la piscine, ils ne pouvaient pas voir qu’elle était totalement nue. Elle leur dit :
— Vous venez avec moi dans l’eau ?
Mais Romain devait régler un problème de filtre et il avait besoin de son fils, vu que l’autre avait disparu, alors il lui répondit :
— Pas maintenant, on doit réparer le filtre de la piscine, on jouera dans l’eau plus tard.
Alors pour les convaincre, Sidonie se fit glisser sur le dos et dévoila sa totale nudité à ses amants, en leur disant :
— Dommage, j’avais une petite surprise pour vous.
Romain et Régis restèrent figés, admirant le corps superbe de Sidonie, ce fut Régis qui se déshabilla en premier et plongea dans l’eau pour rejoindre sa salope de belle-sœur. Romain suivit juste après, et Sidonie se retrouva rapidement prise en sandwich entre eux, l’eau aidant, ils ne mirent pas longtemps à fourrer le cul et la chatte de cette salope, et tandis qu’elle leur roulait des pelles chacun leur tour, ils lui défoncèrent ses orifices en lui pétrissant ses superbes seins. Elle criait de plaisir, sans aucune retenue, elle savait qu’à partir de maintenant, elle pouvait se lâcher, alors Romain et Régis la baisèrent dans la piscine pendant plus d’une heure, s’échangeant les orifices de cette belle salope. Ils lui remplirent le cul et la chatte avec leurs spermes, et elle eut de nombreux orgasmes avant qu’ils soient tous à bout de souffle, et finissent par sortir de la piscine.
Ils s’allongèrent tous sur des transats pour reprendre des forces, mais alors que Sidonie s’était assoupie, Romain était en train de boire une bière pour se rafraichir, et il eut une soudaine envie de pisser. Alors il dit à son fils :
— Dis fiston, tu veux voir ce que cette salope aime vraiment ?— Eh Bien, mis à part une bite dans le cul et une autre dans la chatte, je ne vois pas.— Regarde.
Romain se leva et se plaça à côté de Sidonie qui dormait toujours, il commença à lui pisser dessus. Régis fut choqué et lui dit :
— Arrête, papa, c’est dégueulasse,— Tais-toi et regarde, elle adore ça, cette chienne.
Romain arrosa le visage de Sidonie, qui se réveilla sous une douche dorée, et odorante, elle reconnut aussitôt d’où provenait ce liquide, et totalement soumise à ses pulsions, elle se retourna et ouvrit la bouche, Romain se mit à lui pisser dans la bouche, en disant à son fils :
— Regarde, fiston, cette chienne avale ma pisse, comme avec mon sperme.
Régis n’en revenait pas, il voyait parfaitement Sidonie déglutir et boire la pisse que son père lui envoyait dans la bouche. Il le regarda finir de lui pisser sur les seins, et vit Sidonie s’étaler la pisse sur le corps. Romain, voyant son fils complètement ébahi, lui dit :
— Tu veux lui pisser dessus aussi, à cette pute ?
Régis était un peu perdu, mais en voyant que Sidonie prenait son pied à se faire pisser dessus, il se leva et s’approcha d’elle. Son père lui dit :
— Vas-y, mon garçon, pisse sur cette chienne en chaleur.
Régis se mit à envoyer son urine sur le ventre de Sidonie, il remonta le jet sur ses seins, et continua sur son cou, il la voyait se caresser la chatte pendant qu’il lui pissait dessus, alors il monta encore, son urine cogna contre le menton de sa belle-sœur, et cette salope ouvrit la bouche pour recevoir ce jet doré dans la bouche. Comme elle l’avait fait avec son père, elle se mit à déglutir et à boire sa pisse. Régis était fou d’excitation, il se mit à arroser tout le visage de Sidonie, elle eut de la pisse dans les yeux, dans le nez, dans les cheveux. Et sentant sa vessie être bientôt à court de liquide, il redescendit son jet et finit de lui pisser sur la chatte. Il la vit se branler avec sa pisse, elle s’enfonçait deux doigts couverts d’urine dans la chatte.
Il y avait une marre d’urine sur le sol, autour du transat de Sidonie, ça sentait la pisse à plein nez, et alors qu’ils venaient de se vider sur cette salope, elle hurla de plaisir, elle avait un orgasme violent sans même se faire pénétrer ou caresser. Elle n’était plus seulement leur vide couille, mais tout ce qui sortait de leur bite était pour elle, et cela la faisait jouir intensément.
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Dans le petit salon, Rémi venait de jouir, une nouvelle fois, dans le cul de sa mère, ils restèrent emboîter l’un dans l’autre, pendant une bonne heure. Et lorsque Rémi sentit sa bite ramollie sortir du cul de sa mère, il lui dit :
— Merci, maman, j’adore tes fesses.— Merci, mon garçon, tu m’as fait jouir énormément avec ta bite.— On recommencera ?— Oui je pense que l’on ne peut plus faire autrement, si tu es d’accord, ton père et ton frère s’occuperont de Sidonie.— Oui, maman, je suis d’accord, du moment qu’on peut continuer à baiser tous les deux.— Bien mon garçon, nous annoncerons cela ce soir, à ton frère et à ton père.— OK, je te laisse faire.— Euh, et Rémi ?— Oui, maman ?— Si par hasard, ton frère voulait lui aussi...— S’il voulait coucher avec toi, lui aussi ?— Oui.— Je ne suis pas ton seul fils, c’est normal qu’il désire sa mère lui aussi.— Merci mon chéri, j’aimerais beaucoup, vous sentir tous les deux en moi, j’ai très envie que vous me remplissiez avec vos queues.— D’accord maman, si tu en as tellement envie, je ferais tout pour combler tes désirs.
Eugénie était assise sur le bord de la table de massage, elle attrapa son fils par le cou, et lui roula une pelle à son fils pour le remercier. Alors qu’elle avait les cuisses grandes ouvertes, et sentait sa bite de nouveau bien raide, cogner contre son ventre, elle relâcha la bouche de son fils et lui dit :
— Baise-moi, mon chéri, fourre-moi ta queue dans la chatte.
Tout en disant cela, elle avait rapproché ses fesses du bord de la table, et avait guidé la bite de son fils à l’entrée de sa chatte trempée. Rémi n’eut plus qu’à donner un puissant coup de reins pour fourrer sa grosse bite au fond de la chatte de sa mère, elle poussa un long gémissement de plaisir et tandis que son fils lui pétrissait les seins, elle passa ses bras autour de son cou, et reprit possession de sa bouche. Rémi se mit à lui baiser la chatte, et Eugénie se mit à gémir de plaisir dans la bouche de son fils. Rémi empoigna sa mère par les fesses, et la souleva de la table, il la plaque contre un mur et continua de lui défoncer la chatte, elle relâcha sa bouche et s’agrippa à ce qu’elle trouva sur le mur et lui cria :
— OUIIIII, OUIIII, MON CHERI, DEFONCEEEEE TAAAA SALOPPPPEEEEE DEEEE MAMAAANNNN, DEFONCEEEEE MOIIIIII LLAAAAA CHAAATTTEEEE.
Rémi continua sans relâche et après de longues minutes de baise intensive, à bout de force, il finit par lui jouir dans la chatte. Ils s’écroulèrent l’un dans l’autre sur le sol, et Eugénie dans un souffle lui dit :
— Putain ce qu’elle est bonne ta bite, tu me fais jouir comme une folle.— De rien, maman, si Régis est d’accord, on s’occupera bien de toi, tous les deux.— Merci, mon chéri, j’ai hâte de vous sentir en moi, tous les deux.
A suivre
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