Spin off 10Ce spin-of Numéro 10 sera essentiellement centré sur Laurent et se déroule à la suite du chapitre 15 des mystères de l’Asie.Laurent avait donc abusé de sa sœur, grâce à une pilule fournie par Matt, une sorte de viagra féminin, qui exacerbait la libido féminine.Ils avaient donc couché ensemble, et même Marc, son meilleur ami, avait pu profiter des charmes de sa sœur, Camille.Depuis ce fameux jour, ils baisaient souvent ensemble, la plupart du temps, en l’absence des parents, où Camille laissait son grand frère, lui fourrer sa queue par tous les trous. Elle était devenue très friande de la sodomie, c’était Laurent qui lui avait dépucelé le cul, mais depuis, elle se prenait une bite dans le cul, au moins une fois par jour, et si ce n’était pas son frère, ou même Marc, superbe comme elle était, elle n’avait jamais aucun mal à trouver une bite pour lui fourrer le cul. Mais Laurent avait une autre cible en vue, sa mère, Nadège.Nadège était une très belle femme de 45 ans, cheveux mi-longs, châtains, bouclés, des yeux bleus captivants, elle mesurait 1,55m pour 50 kilos, une belle poitrine de 90D, un ravissant postérieur, qui grâce à ses séances de sport régulières, restait bien ferme, elle plaisait beaucoup aux hommes, mais même si elle avait été tentée quelques fois, elle était toujours restée fidèle à son mari, Stéphane. Stéphane, plutôt bel homme, 50ans, grand, 1,85m pour 86 kilos, très sportif, cheveux grisonnants, très courts, car il commençait à avoir une petite calvitie, il était d’un tempérament très jovial et très sympathique, le contact facile, il passait beaucoup de temps au terrain de rugby où il entraînait une petite équipe de juniors, dont Laurent et Marc faisaient partie. Nadège et Camille venaient souvent les encourager, et depuis la fameuse journée où elle avait baisé avec son frère et Marc, Camille allait très souvent les rejoindre dans les vestiaires, après le match, où elle se faisait baiser par tous les trous, et bientôt par toute l’équipe. Elle attendait toujours que son père quitte les vestiaires, pour rejoindre les garçons, et les laisser abuser d’elle. Plus Laurent voyait sa sœur devenir une grosse salope en chaleur, se faisant défoncer par toute une équipe de rugby, plus il fantasmait sur sa mère, et l’imaginait dans la même situation, avec une bite dans chacun de ses orifices. Depuis leur plus tendre enfance, il était très complice avec Marc, et après ce qu’ils avaient vécu ensemble avec Camille, il lui parla de son fantasme envers sa mère, et celui-ci, en toute confiance, lui avoua que depuis qu’il avait découvert que les relations incestueuses étaient possibles entre frère et sœur, il se caressait souvent en matant le petit cul et les seins de sa propre sœur, Stéphanie Stéphanie, une superbe jeune fille de 26 ans, cheveux longs, châtains, des yeux d’un vert envoutant, 1,68m pour 54 kilos, une petite poitrine de 80B, mais ce qui attirait surtout les hommes autour d’elle, c’était son tout petit cul, bien bombé et bien rond, qui aurait fait bander un mort. Depuis son adolescence, elle avait vite remarqué l’intérêt que portait la gent masculine sur ses fesses, elle aimait beaucoup sentir leurs regards sur son postérieur, et s’habillait très fréquemment avec un pantalon ou une jupe très moulante, pour bien mettre en valeur ses superbes fesses, elle portait la plupart du temps un petit string afin d’éviter les marques disgracieuses sur ses rondeurs si parfaites. Laurent avait souvent fantasmé sur la sœur de Marc, alors lorsque son pote lui proposa de monter un plan pour baiser Nadège et Stéphanie en même temps, il en fut encore plus motivé, espérant pouvoir abuser de ces deux superbes femelles.
Ils prirent leur temps pour mettre en place leur plan incestueux et lubrique, mais après quelques semaines de discussions plus obscènes les unes que les autres, ils contactèrent Matt.Laurent l’appela et lui demanda s’il pouvait lui fournir encore quelques pilules spéciales, en lui racontant ce qu’il comptait en faire, celui-ci lui demanda un petit délai pour qu’il contacte son fournisseur et qu’il lui fournisse les fameuses pilules. Laurent et Marc attendirent impatiemment le coup de fil de Matt pour récupérer les pilules, et pouvoir commencer à mettre en place leur plan lubrique.Une fois tout en place, voici comment se déroula la fameuse journée de perversion deNadège et Stéphanie.Comme Laurent et Marc se connaissaient depuis tout petit, Nadège connaissait très bien la famille de Marc, elle avait vu grandir Stéphanie, passer de la petite fille ingénue à une ravissante jeune femme, et elle était un peu jalouse de son physique envoutant.Laurent et Marc avaient réussi à organiser, tous les samedis matin, un petit match de tennis amical, où Marc jouait avec sa sœur contre Laurent et sa mère.Ils attendirent quelques semaines pour glisser la fameuse pilule dans les boissons des filles, et ce jour-là, ce fut comme une bombe dans leur petite vie paisible. C’était une belle journée de printemps, tout le monde arriva au cours de tennis, qu’ils avaient réservé, et malgré le beau soleil, ils étaient les seuls à jouer.Laurent et Marc ayant pris la précaution de réserver tous les cours pour toute la journée, afin de ne pas être dérangés par des voisins trop voyeurs.Le match commença tranquillement, Marc et Laurent faisaient tout pour faire durer les échanges et faire courir un peu les filles, afin qu’elles aient rapidement soif.Au bout de trois jeux, ils firent une pause, et les filles prirent les premières gorgées de leur boisson un peu « spéciale », ils changèrent de côté, et reprirent le match.Laurent et Marc continuaient leur petit manège en surveillant la moindre réaction des filles.Nadège et Stéphanie ressentirent un léger trouble à la fin du 4eme jeu, même si elles couraient pas mal, elles sentirent leur cœur se mettre à battre la chamade, sans raison particulière. Elles ne laissèrent rien transparaitre, mais à la fin du 5eme jeu, Nadège demanda à faire une petite pause, les deux filles étaient en sueur, et prirent plusieurs gorgées de leur boisson.Elles reprirent le match et là tout s’accéléra, elles eurent de plus en plus de mal à se concentrer sur la balle, et rataient la plupart des coups, ce n’était plus seulement leurs cœurs qui s’emballaient, mais leurs entrecuisses qui s’échauffaient, et leurs chattes qui se mettaient à fourmiller et à mouiller sans raison particulière. Elles étaient en sueur, mais pas uniquement à cause du soleil ou du sport, elles sentaient monter en elle, une fabuleuse envie de sexe, aucun élément extérieur ne leur permettait de justifier un tel désir, et pourtant, plus le match avançait et plus elles avaient envie de bite. Laurent et Marc les épiaient discrètement, et les virent commencer à se caresser le clito avec le manche de la raquette, par-dessus leurs jupes.Leurs tétons se mirent à pointer outrageusement à travers leur T-shirt moulant, et malgré leurs soutiens-gorges, les garçons purent aisément les distinguer sous le tissu.Ils les laissèrent encore mariner dans leur état d’excitation avancé, pendant quelques points, mais Laurent et Marc n’étaient pas mieux, ils sentaient approcher le moment, où ils pourraient bientôt les baiser toutes les deux, et leurs bites commençaient à être à l’étroit. Ils passèrent donc à la phase 2 de leur plan, Laurent profita que Stéphanie soit au filet pour envoyer la balle sur sa cuisse, il essaya de ne pas y aller trop fort, mais Stéphanie s’écroula par terre, en se tenant la cuisse.Certes, elle avait un peu mal à la cuisse, mais elle était tellement excitée, qu’elle voulut profiter de cette occasion pour prendre une pause et essayer de calmer ses pulsions.Marc fit semblant de réprimander Laurent, en lui disant : — Mais tu pourrais faire attention. Laurent se confondit en plate excuse, et demanda à sa mère, qui était infirmière : — Tu peux voir si ce n’est pas grave, maman ? Nadège était ravie de pouvoir penser à autre chose qu’à son entrecuisse qui coulait à flots, elle fit le tour du filet et se rapprocha de Stéphanie.Marc aida sa sœur à marcher et à s’assoir sur le banc, Stéphanie exagéra un peu la douleur, en boitillant, et Nadège s’agenouilla à ses pieds.Lorsqu’elle posa sa main sur sa cuisse, Stéphanie fut parcourue de frisson de plaisir, et sans prêter attention à la présence des garçons, elle attrapa le poignet de Nadège et le guida plus haut sur sa cuisse, en lui disant : — Ouiiii, Nadège, mais la douleur est plus haute. La chaleur et la douceur de sa main ne faisaient qu’augmenter son excitation, elle sentit ses doigts effleurer sa culotte.Alors que Nadège, tout aussi excitée que Stéphanie, s’apprêtait à glisser ses doigts sous la culotte de sa patiente, oubliant complètement qu’elles n’étaient pas seules.Stéphanie avait les yeux rivés sur les belles bosses que formaient les bites des garçons dans leurs shorts, alors n’y tenant plus, elle ouvrit doucement les cuisses et se retrouva dans une posture des plus obscènes.Nadège prit cela pour une invitation et glissa ses doigts dans sa culotte sous les regards pervers des garçons, et commença à caresser le clitoris de Stéphanie.Laurent et Marc bandaient comme des fous, ils pouvaient facilement deviner les tétons durs de celle-ci, qui ne demandaient qu’à transpercer le fin tissu de son T-shirt. Alors oubliant tout sens moral, elle souleva son T-shirt et dégrafa son soutien-gorge, pour offrir la vue de ses superbes seins aux garçons.Les doigts de Nadège la faisaient tellement jouir, et elle gémissait de plus en plus de plaisir, alors après ses seins, c’est sa chatte qu’elle voulait offrir aux garçons, alors elle souleva ses fesses et dit à sa doigteuse : — Enlève ma culotte, je veux tes doigts et ta langue dans ma chatte. Nadège obéit et retira la culotte de Stéphanie et qui, une fois débarrassée de ce sous-vêtement gênant, posa les pieds sur le banc, ouvrant complètement les cuisses, et offrant la vue de sa chatte à tout le monde.Nadège enfonça deux doigts dans la chatte trempée et commença à lécher le clitoris de Stéphanie, qui se mit de nouveau à gémir de plaisir, elle se mit à se caresser les seins, et alors que les garçons se branlaient par-dessus leurs shorts, elle leur dit : — Allez, mes salauds, à vous de nous montrer ce que vous cachez. Cette phrase fit reprendre pied dans la réalité à Nadège, et se rappela qu’elles n’étaient pas seules, il y avait son fils et le frère de Stéphanie avec elles.Elle tourna le visage pour voir les deux garçons commencer à baisser leurs shorts et leurs slips pour libérer deux belles queues, celle de Marc, longue et fine et celle de Laurent, d’un calibre très alléchant.Contrairement à Stéphanie, il restait à Nadège un soupçon de moralité, elle voulut retirer ses doigts de la chatte brulante de celle-ci, mais elle l’en empêcha en lui retenant la main.Elle ne put que regarder les garçons se branler à quelques cms d’elle, à chaque va-et-vient des mains des garçons sur leurs bites, sa moralité disparaissait doucement, elle finit par saliver d’envie en s’imaginant sucer leur deux belles bites.Stéphanie brulait de désir pour celle de Laurent, alors elle leur dit : — Allez, salauds, donnez-nous vos queues. Elles furent toutes les deux assez surprises, quand Marc se dirigea vers sa sœur et que Laurent approcha sa queue de la bouche de sa mère.Mais elles étaient tellement excitées, qu’elles oublièrent tout l’aspect incestueux de ce qu’elles s’apprêtaient à faire, et dès que les bites furent à portée de leur bouche, elles ouvrirent les lèvres et se mirent à sucer avec envie, les bites qu’on leur offrait.Marc remplaça Nadège pour fouiller la chatte de sa sœur, et celle-ci reporta toute son attention sur la bite de son fils.Et même s’il lui disait des : — Oh ouiiii, mamannn, tu sucesss troooopp biennnn. Elle ne pouvait s’empêcher de passer sa langue sur chaque recoin de cette belle bite, et lorsqu’il lui dit : — A moi de te faire du bien, maman. Elle ne fit que suivre ses indications, s’asseyant à côté de Stéphanie, laissant son fils lui retirer sa culotte, lui écarter ensuite les cuisses et le regarda fourrer sa langue dans sa chatte.Tout comme sa voisine, elle se mit à gémir de plaisir, sous les coups de langue vicieux de son fils, elle vit Marc en faire autant avec sa sœur.Lorsque Stéphanie voulut lui retirer son T-shirt, elle l’aida, et elles se retrouvèrent toutes les deux, les seins à l’air et les cuisses grandes ouvertes, en train de faire bouffer la chatte trempée par un membre de leur propre famille.Elles se roulaient une pelle en se caressant les seins, toutes les deux, gémissant de plaisir sous les coups de langue de Laurent et Marc.Après avoir joui plusieurs fois dans leurs bouches, elles les virent se redresser, et placer leurs queues contre leurs chattes en feu. Contrairement à ce que la morale aurait dû leur dicter de faire, elles leur dirent en chœur : — Oui, vas-y, fourre ta bite au fond de ma chatte. Elles poussèrent, toutes les deux, un long râle de plaisir en sentant leurs bites s’enfoncer dans leurs ventres, elles se faisaient baiser par leur fils ou leur frère, mais elles prenaient tellement de plaisir, que plus rien ne comptait pour elles, à part ces bonnes bites qui commencèrent à leur ramoner le vagin.Elles refermèrent leurs jambes autour des hanches de leurs amants incestueux, et les encourageaient à bien les défoncer, en leur disant : — Ouiii, vas-yyy, mon chériii, défonce bien, ta salope de mamannn, elle estttt trooopp boooonnnnee ta biiitteeee. Ou bien : — Oh, oui, petit frère, continuuueeeee, défonceeee moiiii, laaaaa chaatttteeeee, pluuusssss foooorrttttt, ouuiiiii, jjeeeee jouiiisss. Ils les baisèrent toutes les deux pendant une bonne heure, variant les positions, les prenant en levrette, en missionnaire, en amazone ...Nadège et Stéphanie finirent complètement nues à se faire fourrer la chatte au milieu du terrain de tennis, en plein soleil.Heureusement pour elles, personne ne les dérangea pendant leurs activités des plus incestueuses, elles purent s’abandonner complètement à leurs plus viles pulsions.Elles avaient déjà eu de nombreux orgasmes, lorsque les garçons, à bout de force, finirent par envoyer de puissantes giclées de sperme au fond de leur chatte brulante.Elles jouirent une dernière fois, en sentant le sperme chaud de leur fils ou de leur frère, leur remplir la chatte, ce fut pour elles, un ultime orgasme d’une puissance incroyable. Quand elles sentirent les giclées se tarirent, elles s’effondrèrent sur leurs amants respectifs, et leur roulèrent une pelle des plus passionnées, pour les remercier de leur avoir donné tant de plaisir.Nadège dit à son fils : — Merci, mon chéri, tu as fait jouir ta maman, comme jamais elle n’avait joui. Et pour Stéphanie : — Merci, petit frère, tu sais sacrément y faire avec ta bite, j’espère qu’on recommencera. Se rendant compte qu’elle souhaitait entretenir une relation incestueuse avec son frère, alors qu’elle avait encore sa bite et son sperme dans la chatte, elle fut prise d’une étrange hésitation.Mais Nadège, qui sentait encore la bite de son fils vibrer dans son ventre, porta le coup final, en leur disant : — Ce sera notre petit secret, on ne dit rien à personne et on garde cela pour nous, et si tout le monde est d’accord, on recommencera tous les samedis. Stéphanie, heureuse d’avoir trouvé une complice pouvant couvrir ses méfaits incestueux, demanda aux garçons : — Ça vous va les garçons ? Ils répondirent en chœur : — OK pour nous. Laurent rajouta : — Mais pas sûr qu’on puisse tenir jusque samedi prochain. Stéphanie et Nadège se regardèrent dans les yeux et sans parler, conclurent un pacte des plus immoraux, alors Nadège dit à Laurent : — OK, mais attention aux autres, je ne veux pas que ton père ou ta sœur, apprend ce qu’on fait tous les deux. Et Stéphanie à son frère : — Pareil, si maman et papa apprennent ce qu’on fait ensemble, ils vont faire une attaque. Les garçons trop contents d’avoir parfaitement réussi leur plan incestueux roulèrent une pelle à leurs maîtresses, en leur pelotant les seins.Les bites de leurs amants finirent par sortir toutes seules de leur chatte pleine de sperme, et elles se relevèrent, récupérant leurs affaires, pour retrouver une tenue plus correcte.Mais lorsqu’elles voulurent remettre leurs culottes, les garçons les gardèrent en trophée, et leur dirent : — Ce sera notre petit souvenir de cette première baise incestueuse. Les filles restèrent donc la chatte à l’air et abandonnèrent leur culotte trempée à leurs amants.Ils repartirent tous, et pendant qu’elles conduisaient, les garçons profitèrent de leur nudité pour aller leur fouiller la chatte, elles étaient devenues leurs petites salopes, alors sans ressentir la moindre honte, elles leur ouvrirent les cuisses et les laissèrent fourrer leurs doigts au plus profond de leur chatte.Elles eurent un peu de mal à se concentrer sur la route, et leur demandèrent de se calmer, une fois arrivés en ville.Laurent, sans doute, trop content, d’avoir réussi à faire plonger sa mère dans l’inceste, lui dit : — Tu sais, maman, tu n’as rien à craindre de Camile, Marc et moi, on la baise souvent quand vous n’êtes pas là. Nadège fut étrangement jalouse par cette révélation, elle n’était pas la première que son fils avait baisée dans la famille, mais elle se remémora les derniers jours, où elle avait surpris ses enfants dans d’étranges postures et lui dit : — C’est donc pour ça que je vous retrouvais souvent collés l’un à l’autre, ces derniers jours. Laurent lui avoua : — Oui, et la plupart du temps, j’avais ma bite au fond du cul de Camille.— Ah bon, tu encules ta sœur ?— Euh, oui, elle adore la sodomie, tu aimes ça aussi ?— Eh bien, je n’ai jamais essayé, ton père est plutôt très classique.— Si tu veux essayer, je suis à ta disposition.— Merci, mon chéri, mais même si ta sœur et toi couchez ensemble, il va quand même falloir faire attention à ton père.— Est-ce que tu penses que si Camille tente de le faire craquer, il pourrait succomber à ses charmes ?— Tu voudrais qu’on baise tous ensemble, ou quoi ?— Ben ça permettrait d’être plus tranquille et de pouvoir baiser où on veut et quand on veut.— Pas faux. Nadège réfléchit un moment à l’idée complètement immorale de son fils, elle avait souvent remarqué que son mari reluquait les fesses ou les seins de leur fille, mais elle n’y avait pas tellement porté attention.Mais depuis qu’elle avait, elle-même, couché avec son fils, elle se dit que tout était possible, alors elle dit à Laurent : — C’est peut-être possible que ton père succombe aux charmes de Camille, mais il faut vraiment y aller en douceur, et voir comment il réagit.— Très bien. Nadège et Laurent rentrèrent chez eux, Stéphane leur demanda si leur match s’était bien passé, ils avaient complètement oublié le match, alors ils s’embrouillèrent un peu, Laurent, répondant qu’ils avaient gagné, et Nadège, qu’ils avaient perdu Ils se confondirent en explication incompréhensible, et Stéphane trouva leur comportement un peu bizarre, mais il était occupé, alors il ne prêta pas tellement attention à leur débat nébuleux.Laurent laissa sa mère ranger les affaires, et trop content d’annoncer la nouvelle à sa sœur, il se dépêcha de monter dans sa chambre, il ouvrit sans frapper, et ne fut pas du tout surpris de retrouver Camille, à 4 pattes par terre, les fesses à l’air, avec un de ses plugs anaux dans le cul. C’était un plug de taille moyenne avec une longue queue faite de faux crin, Camille adorait se les fourrer dans le cul pour exciter son frère, quand elle voulait qu’il l’encule, elle l’attendait dans sa chambre à 4 pattes, comme une bonne petite pouliche qui attendait son étalon pour se faire fourrer. Même s’il s’était bien vidé les couilles dans la chatte de sa mère, devant le ravissant petit cul de sa sœur, avec un plug planté dedans, il ne résista pas longtemps, il baissa son short et son slip, pour sortir sa queue qu’il branla un peu en caressant la chatte trempée de sa sœur. Et dès que sa bite fut de nouveau bien dure, il retira le plug du cul de sa sœur, qui poussa un gémissement de plaisir, sachant parfaitement ce qu’elle allait se prendre dans le cul, et lui dit : — Mmmm, ouiii, grand frère, mets-moi ta grosse bite, mon cul est en manque de ta queue. Laurent planta sa bite entre les fesses de Camille, qui poussa un long gémissement en sentant cette bonne bite lui remplir les intestins, elle gémit à son frère : — Ouiiii, vas-y, encule-moi, bien profond, salaud. Laurent enfonça sa bite toute entière, il s’agrippa à ses fines hanches et commença à faire coulisser sa queue dans ce si ravissant petit cul.Sachant que ses parents étaient présents, Camille fourra sa tête dans un oreiller afin d’atténuer ses cris de jouissance, qu’elle poussait à chaque fois que son frère enfonçait sa grosse bite au fond de son cul. La chambre était remplie des grognements de Laurent et des claquements des fesses de Camille.Mais tandis que Laurent défonçait le cul de sa sœur, Nadège sentait encore le sperme de son fils s’écouler doucement de sa chatte, et après avoir rangé ses affaires, elle vérifia que son mari était toujours occupé au garage, et se dit qu’elle pourrait peut-être se prendre un petit coup de queue avant le déjeuner. Alors elle monta à l’étage, pensant retrouver son fils dans sa chambre, mais lorsqu’elle passa devant la porte de la chambre de Camille, elle entendit de bruit de claquement régulier, elle s’arrêta et ouvrit doucement la porte de la chambre, elle sentit sa chatte frétiller devant ce spectacle particulièrement lubrique et totalement incestueux, elle ne put s’empêcher de rentrer dans la chambre, elle verrouilla doucement derrière elle En s’approchant de ses enfants en pleine fornication, elle retira son T-shirt, et sa jupe, pour se retrouver complètement nue à côté de Laurent.Il fut ravi de voir que sa mère les ait rejoints, et tout en continuant d’enculer sauvagement sa sœur, il fourra ses doigts dans la chatte de sa mère.Nadège ne put se retenir de gémir de plaisir, Camille entendit un gémissement féminin, et se redressa pour voir qui pouvait bien être avec eux.Elle fut ravie de voir que leur mère partageait leur secret, et qu’elle laissait ses enfants s’adonner au plus pervers des actes sexuels.Alors voulant elle aussi, donner du plaisir à sa mère, et tout en continuant de se faire enculer par son frère, elle dit à sa mère : — Viens ici, maman, je vais m’occuper de toi. Totalement soumise à ses pulsions, Nadège abandonna les doigts de son fils, et se rapprocha de sa fille.Camille la fit s’allonger devant elle, les cuisses grandes ouvertes, et fourra sa langue dans la chatte qui l’avait fait naitre.Les deux salopes en chaleur se mirent à gémir de plaisir, l’une sous les coups de langue de sa fille sur sa chatte et son clito, l’autre sous les coups de queue de son frère dans son cul.Laurent ne voulait pas faire durer trop longtemps ce trio incestueux, alors il se mit à accélérer les va-et-vient de sa bite dans le cul de Camille, la faisant crier de plaisir, heureusement pour elle, Nadège écrasa la bouche de sa fille contre sa chatte afin d’étouffer ses cris de jouissance.Laurent finit par envoyer de puissantes giclées de sperme dans le cul de sa sœur, et s’écroula ensuite sur le sol, complètement épuisé. Camille s’écroula à son tour, exténuée par ses multiples orgasmes.Nadège avait bien joui avec la langue de sa fille, mais elle voulait un coup de bite, et après avoir vu sa fille jouir si fort en se prenant la queue de son frère dans le cul, elle se dit qu’elle tenterait bien l’expérience. Mais Laurent était à bout de force, alors elle se dit qu’il y avait une autre bite dans la maison, et celle-là, elle avait tout à fait le droit de l’utiliser.Elle laissa ses enfants se reposer, se rhabilla et partit à la recherche de son mari.Elle se dirigea vers le garage dont la porte était ouverte, et trouva son mari en train de bricoler sous la voiture, elle eut une idée vicieuse, elle souleva sa jupe pour découvrir sa chatte toute nue et fraichement épilée, et s’apprêtait à dire à son mari qu’elle avait une petite surprise pour lui. Elle avait totalement oublié que la porte du garage était ouverte et qu’elle donnait sur la rue, si bien qu’avant d’avoir pu informer son mari de la surprise qui l’attendait, elle vit apparaître le fils de leur voisin dans l’allée du garage. Elle avait la jupe suffisamment relevée pour qu’il voit parfaitement sa chatte et ses fesses nues, et sans comprendre ce qu’il lui prenait, Nadège continua de tenir sa jupe en l’air, laissant à son jeune voisin, tout le loisir d’admirer sa chatte en chaleur.Elle lut dans ses yeux, un profond désir pervers, et sans comprendre ce qui lui prenait, elle ne bougea pas d’un pouce, elle le vit s’approcher d’elle, tout en disant à son mari : — Bonjour Stéphane, c’est Greg, ne bougez pas, je ne veux pas vous déranger, je viens juste abuser un peu de votre femme. Stéphane lui répondit sans sortir de sous la voiture : — OK, elle doit être à l’intérieur, tu connais la maison. Greg, le fils du voisin, était un habitué de la maison, il venait assez souvent demander des explications administratives à Nadège, qui le trouvait très gentil, et l’aidait volontiers.Mais ce jour-là, il oublia complètement pourquoi il était venu, et lorsqu’il posa sa main sur la chatte nue de Nadège, il lui chuchota : — Ton mari est d’accord, pour que j’abuse de toi. Alors que son mari était à quelques mètres d’eux, mais sans pouvoir s’en empêcher, elle écarta les cuisses et sentit les doigts de Greg glisser doucement sur sa chatte trempée.Il lui murmura : — Eh bien, ma salope, tu es toute trempée, on dirait que tu as besoin d’une bonne queue. Il lui prit la main et la posa sur la bosse que formait sa queue bien dure.Nadège se mit à la branler comme par automatisme.Elle ne comprenait pas ce qui lui prenait, depuis ce matin, elle se comportait comme la dernière des traînées, elle se faisait baiser par son fils, bouffer la chatte par sa fille, et maintenant, elle s’apprêtait à laisser le fils de leur voisin abuser d’elle, mais c’était plus fort qu’elle, son corps réclamait ce plaisir lubrique. Lorsqu’elle sentit Greg lui enfoncer un doigt dans la chatte, elle dut se mordre les lèvres pour se retenir de gémir de plaisir.Alors il lui dit à l’oreille : — Allez, viens salope, je vais m’occuper de toi à l’intérieur. Il la fit se tourner et la poussa en avant en lui pelotant le cul, pour la faire rentrer dans la maison.Il l’emmena jusque dans le salon, où il s’assit sur le canapé, en baissant son short et son slip, libérant une belle bite, de 20 centimètres de long sur 5 centimètres de diamètre.En la voyant, Nadège oublia complètement que son mari était juste à côté, et ne pensait plus qu’à se faire fourrer la chatte par cette queue magnifique.Mais Greg avait une autre envie, une fois assis sur le canapé, la bite à l’air, il lui dit : — Allez, salope, à genoux et suce-moi la bite. Encore une fois, Nadège ne fit qu’obéir à son nouvel amant, elle se mit à genoux et attrapa la bite de Greg pour commencer à la sucer, comme le ferait une bonne salope.Elle lui lécha la bite, la suça, la pompa, il tenta même de lui enfoncer dans la gorge, mais même si étrangement, elle avait très envie, elle aussi, de se faire baiser la bouche, les haut-le-cœur l’empêchèrent de se l’enfoncer entièrement dans la bouche.Elle réussit tout de même à en prendre une bonne partie dans la bouche, faisant tournoyer sa langue autour du gland de Greg, le faisant grogner de plaisir.Il lui retira sa bite de sa bouche vorace juste avant de lui jouir dedans, en lui disant : — Putain, salope, qu’est-ce que tu suces bien, je suis sûr que la prochaine fois, tu me l’avaleras en entier. Acceptant implicitement qu’il y ait une autre fois, Nadège lui répondit : — Oui, je ferais de mon mieux pour m’améliorer. Greg fantasmait depuis tout petit sur Nadège, et en particulier sur ses seins qu’il trouvait très excitants, alors il lui dit : — Fous-toi à poil, salope et monte-moi sur la queue. Totalement soumise à son amant, Nadège se déshabilla complètement et vint se placer à califourchon au-dessus de la queue de Greg.Tandis qu’il lui pétrissait les seins, elle tenait sa queue à l’entrée de sa chatte et s’empala dessus, poussant un long râle de plaisir en sentant cette bonne bite lui remplir le vagin.Elle se mit aussitôt à faire monter et descendre sa chatte sur cette bite qui la faisait jouir intensément, tandis que Greg jouait avec ses tétons durs, en les faisant rouler entre ses doigts.Nadège se mit à pousser des cris de plaisirs, en se déchaînant sur la bonne queue qu’elle avait dans la chatte.Ses cris s’entendirent de la chambre de Camille et attirèrent l’attention de Laurent. Il se rhabilla, et se dirigea discrètement vers le salon, pensant trouver ses parents en plein coït, mais il fut surpris de voir sa mère chevaucher la bite de Greg, il voyait son voisin bouffer les seins de sa mère, tout en la faisant crier de plaisir. Mais si ce n’était pas son père qui la baisait, il n’allait pas tarder à l’entendre crier de jouissance, sous les coups de queue de Greg.Alors Laurent ne vit qu’une seule solution pour étouffer les cris de sa mère.Il les rejoignit dans le salon, et lorsque Greg vit Laurent, il crut que tout était fini, mais Nadège continuait sa chevauchée sur sa queue, il fut surpris de voir Laurent sortir sa queue et la donner à sucer à sa mère. Il la vit pomper la queue de son fils, pendant qu’elle se défonçait la chatte sur sa bite, il se dit qu’il était tombé sur une sacrée salope, et devant ce spectacle particulièrement obscène, il se mit à éjaculer. Envoyant d’épaisses giclées de sperme, au fond de la chatte de Nadège, lui procurant un orgasme à chacune de ses giclées. Nadège était ivre de plaisir, elle se faisait remplir la chatte par le sperme du fils du voisin, elle se sentait tellement salope, tellement pute, et portant elle adorait ça.Elle s’évanouit quand Greg eut fini de se vider les couilles en elle.Laurent aida Greg à la soulever et ils l’emmenèrent jusque dans sa chambre, et celui-ci lui demanda : — Ça fait longtemps que ta mère te suce la queue ?— Eh bien, depuis ce matin, à peu près.— Qu’est-ce qu’il lui prend, je ne l’aurais jamais cru si salope.— Si tu sais tenir un secret, je te dirais comment je m’y suis pris, mais en attendant, il vaudrait mieux que tu rentres chez toi.— OK, mais je pourrais revenir la baiser ?— Euh, oui, sûrement, mais gaffe à mon père, il ne faudrait pas qu’il voit sa femme le faire cocu.— OK, j’essaierais d’être discret. Greg partit au moment où Stéphane revenait du garage, et il demanda à Laurent : — Greg vient de partir ?— Oui, il a fini.— Et ta mère est où ?— Elle se repose, le match l’a crevée.— OK et ta sœur ?— Je crois qu’elle dort aussi,— Oh les femmes, dis donc, que des flemmardes. Laurent avait déjà eu l’expérience avec sa sœur, il savait que les effets de la pilule n’allaient commencer à se dissiper que le lendemain, et que sa mère serait une grosse nymphomane le restant de la journée.Il se demandait comment il allait pouvoir gérer cela avec son père dans les parages.Mais la solution vint à lui comme un ange descendu du ciel, Camille descendait les escaliers doucement dans une tenue ultra-sexy.Elle portait une minijupe portefeuille bordeaux, qui lui arrivait tout juste sous les fesses, avec un petit top blanc à fine bretelle, légèrement transparent, mais suffisamment pour qu’on puisse discerner ses tétons sombres en dessous, attestant qu’elle ne portait aucun soutien-gorge.Lorsqu’elle aperçut Laurent en bas de l’escalier, elle lui fit un grand sourire, et malgré la proximité de leur père, elle écarta les cuisses, dévoilant à son frère, un joli petit string rose qui rendait sa chatte encore plus attirante. Laurent se retint de monter les escaliers et de retourner baiser sa salope de sœur, mais lorsque Stéphane entendit des pas dans l’escalier, il se retourna, Camille baissa rapidement sa jupe, reprenant une attitude plus ordinaire, avant que son père ne puisse soupçonner quoi que ce soit.Alors Stéphane partit s’occuper du barbecue pour le déjeuner, Laurent discuta avec sa sœur et lui dit : — Dis donc frangine, vu que tu as bouffé la chatte de maman, tout à l’heure, ça ne te dirait pas de te faire baiser par papa ? Depuis qu’elle avait accepté de coucher avec son frère et Marc, Camille était passée de la fille sérieuse de la Fac, à la grosse salope, prête à soulager tous les garçons de leur surplus de sperme.Alors la proposition de son frère, qui l’aurait scandalisée, il y a quelques semaines, l’excita énormément. Imaginer la bite de son père venir lui fourrer sa chatte trempée, ou encore mieux, s’enfoncer au fond de son cul devenu si souple depuis qu’elle se faisait enculer régulièrement l’enivra totalement.Encore suspendue à ses songes totalement incestueux, elle lui répondit : — Oui, ça pourrait être sympa, mais il est au courant que tu baises maman ?— Euh non, c’est justement pour ça, que j’ai besoin de toi, s’il accepte de coucher avec toi, il ne pourra rien dire si sa femme baise avec son fils.— OK donc, il faut que je le fasse craquer, pour qu’il accepte de me fourrer sa bite.— C’est tout à fait ça, et tu n’as rien à craindre de maman, je m’occuperais d’elle.— OK, tu veux faire ça quand ?— Eh bien, aujourd’hui, ce serait pas mal, comme ça, nos deux parents auront couché avec leurs enfants, le même jour.— Ah OK, bon, il va falloir que je réfléchisse comment m’y prendre. Ils durent stopper leur conversation immorale, car Stéphane revenait dans la cuisine, leur demandant de préparer la table pour pouvoir manger.Ils mirent les 4 couverts habituels, et alors qu’elle récupérait les assiettes dans le tiroir du bas, Camille profita que son père soit juste derrière elle, pour se pencher en avant, faisant remonter sa minijupe et dévoilant ses superbes fesses séparées par un petit string, à son père.Stéphane fit ce qu’il put pour regarder ailleurs, mais ses yeux ne voulaient pas quitter ce si joli petit cul qu’il avait à portée de main.Camille sentait le regard de son père sur son cul, elle fit durer le plaisir, en hésitant sur les assiettes à prendre, mais elle finit par se redresser et jeta un œil discret sur l’entrejambe de son père, où une belle bosse était déjà bien visible.Elle fut excitée de l’effet qu’elle avait sur son père, alors elle multiplia les occasions de se baisser devant lui, lui exhibant son superbe cul, sans aucune honte. Stéphane était de plus en plus à l’étroit dans son pantalon, il avait honte de bander à cause des fesses de sa fille, mais plus elle exhibait son cul et plus il se disait qu’il n’était qu’un homme faible, face à ses désirs immoraux.Ils déjeunèrent tous les trois, et d’un seul coup, Stéphane se rappela que sa femme ne les avait pas rejoints, essayant de trouver une excuse pour s’éloigner de ce petit cul de plus en plus tentant, il dit : — Oh maman, dors encore, je vais aller voir si elle va bien. N’étant pas gêné par une forte érection à dissimuler, Laurent se leva avant lui et dit : — Non, reste là, je vais y aller, au moins si elle est ronchonne, ce ne sera pas sur toi. Stéphane admit qu’il n’avait pas tort, Nadège n’aimait pas trop être réveillée, alors il resta assis, tandis que Camille profita d’être seule avec son père pour aller s’assoir sur un transat et lui dire : — Tu veux bien me mettre de la crème papa ? Il lui répondit presque par automatisme, espérant avoir un moment de répit pour calmer ses pulsions : — Oui, ma chérie, installe-toi, je vais chercher la crème.— Non, papa, je l’ai avec moi, il ne me manque plus que toi pour m’enduire de crème bien épaisse. Camille avait fait exprès d’utiliser un double sens à ses propos, elle voulait exciter son et tout en lui disant cela, elle retira son petit haut, dévoilant complètement sa poitrine nue à son père.Camille avait les yeux rivés sur la bosse que formait sa bite en érection, tandis que Stephane avait le regard bloqué sur les superbes seins de sa fille et ses propos avaient eu pour effet de lui remplir la tête d’image de sa queue en train d’éjaculer sur les superbes seins de sa fille.Il déglutit difficilement, et vint s’assoir lentement à côté de Camille, n’arrivant pas à lâcher ses seins des yeux.Camille le remarqua et eut un petit sourire de salope, en remarquant l’intérêt de son père pour ses seins, mais comme elle voulait faire durer encore le plaisir, elle lui tendit le flacon de crème et s’allongea sur le ventre.Stéphane sentait son cœur battre à cent à l’heure, sa bite lui faisait mal, tellement son sang pulsait à l’intérieur. Il prit la crème et commença à l’étaler sur la peau douce de sa fille.Il crut qu’il allait pouvoir reprendre le contrôle de ses pulsions, et ne plus être tenté de commettre un acte totalement immoral.Mais une fois qu’il eut fini d’étaler la crème sur le dos de Camille, elle lui dit : — Tu peux m’en mettre sur les jambes, s’il te plaît, papa. Il reprit de la crème et commença par le mollet droit, il remonta doucement sur la cuisse et sans pouvoir s’en empêcher, ses yeux se dirigèrent sous la minijupe de sa fille, espérant presque apercevoir son joli petit cul.Lorsque ses mains furent en haut des cuisses de sa fille, il put apercevoir le string rose qui recouvrait sa chatte brulante, ses doigts avaient de plus en plus tendance à glisser à l’intérieur des cuisses de Camille, il s’apprêtait à commettre un acte odieux, lorsqu’elle souleva sa minijupe, dévoilant complètement son superbe cul, en lui disant : — Mets en moi partout, papa. Stéphane transpirait à grosse goutte, mais une petite voix dans sa tête lui dit : — Ne fais pas ça, tu vas commettre une bêtise monumentale. Alors il prit une profonde inspiration et redescendit ses mains sur le mollet gauche, mais Camille en profita pour dégrafer sa minijupe et la retirer complètement, il ne lui restait plus que son string.Stéphane reprit de la crème, et l’étala sur le mollet sans pouvoir quitter des yeux, le superbe petit cul de sa fille, sa bite lui faisait mal, tellement elle était dure.Ses mains remontèrent rapidement sur la cuisse, et Camille lui dit : — Vas-y, papa, occupe-toi de mon cul, il a besoin de toi, lui aussi ? Cette fois, Stéphane se voyait enculer sa propre fille, et pourtant, sans hésiter plus longtemps, il posa ses mains sur les superbes fesses de sa fille, il commença plus à les malaxer, qu’à vraiment étaler la crème, et lui répondit : — Oui bien sûr ma puce. Sentant que son père était prêt à craquer, elle le laissa jouer avec ses fesses, pendant un moment, elle écarta un peu plus les cuisses et le sentit glisser ses doigts dans la raie de son cul et arriver contre sa chatte en feu.Mais alors qu’il s’apprêtait à glisser ses doigts sous son string, elle se retourna, et lui dit : — Il faut en mettre aussi devant, papa. Camille n’avait jamais vu son père dans un tel état, il avait un regard de pervers, cela lui fit presque peur, il était comme possédé.Elle n’eut même pas le temps de finir de s’allonger sur le dos, qu’il avait déjà posé ses mains sur sa ravissante poitrine, et pelotait fermement ses seins, la faisant pousser des gémissements de plaisir.Elle finit de s’allonger, laissant son père jouer avec ses tétons durs comme de la pierre, elle se mit à pousser de longs gémissements, et finit par lui dire : — Papa, il faut mettre plus bas aussi. Sans hésiter, Stéphane glissa sa main sous le string de sa fille et commença à lui caresser la chatte, la faisant jouir et gémir de plus belle.Camille était folle de plaisir, elle dit à son père : — Ouiiii, vas-yyy, papaaaa, fourre-moi tes doigts dans la chaaaattteeeee. Stéphane obéit à sa fille et lui enfonça directement deux doigts dans son vagin en feu.Camille poussa un long gémissement et posa sa main sur la bosse que formait la bite de son père, elle se mit à la branler à travers le tissu.Stéphane avait perdu tout sens moral, ce n’était pas la chatte de sa fille que ses doigts fouillaient en profondeur, mais celle d’une grosse salope en chaleur.Alors en sentant cette fine main se refermer sur sa bite bien dure, il se rapprocha de cette salope et l’aida à retirer son short et son boxer, libérant enfin cette bite qui ne demandait qu’à sortir.Camille se pencha aussitôt vers la bite de son père et se mit à la sucer comme les sucreries qu’il lui offrait quand elle était petite. Tandis que Camille faisait plonger son père dans le vice de l’inceste, Laurent avait rejoint sa mère, il lui avait ouvert les cuisses et l’avait réveillée en douceur, en lui bouffant la chatte.Elle avait ouvert les yeux, en gémissant de plaisir, quand elle avait aperçu la tête de son fils entre ses cuisses, elle s’était cramponnée à ses cheveux pour lui plaquer la bouche contre sa chatte en lui disant : — Mmmmmm, ouiiii, vas-yyyyy, mon chériii, bouffe bien la chattteeeee à mamaaannnnn. Il ne s’arrêta que lorsqu’il la sentit jouir, en soulevant son bassin et criant de plaisir.Nadège reprit son souffle, et lui dit : — Merci, mon chéri, tu m’as encore fait jouir, ça fait longtemps que je n’avais pas joui autant le même jour.— Si tout se passe bien, je pourrais te faire jouir comme ça tous les jours.— Ce serait bien, mais il faudra faire attention à ton père.— Je crois que Camille est en train de le convertir aux plaisirs incestueux.— Ah bon ?— Oui, si tu veux, on a qu’à aller voir ce qu’ils font. Nadège, curieuse de voir si sa fille allait vraiment coucher avec son père, et surtout voir si cet homme qu’elle pensait si intègre allait, tout comme elle, succomber aux charmes de sa fille.Elle ne prit même pas la peine d’enfiler un peignoir, elle ouvrit doucement la porte-fenêtre de leur chambre pour arriver sur un petit balcon qui surplombait la terrasse, et Nadège fut à la fois abasourdie et excitée, par ce qu’elle vit.Stéphane avait pris la place de Camille sur le transat, Camille s’était mise en 69 sur lui, elle lui pompait la bite, tandis qu’il lui bouffait la chatte avec passion.Laurent passa derrière sa mère, pendant qu’elle regardait, il lui caressa doucement les fesses et plaça sa queue bien dure, contre sa raie, pour la frotter doucement de haut en bas.Dès que Nadège sentit la queue de son fils entre ses fesses, elle se pencha en avant et se cambra pour lui offrir l’accès à sa croupe de salope. Laurent enfonça sa bite d’une seule poussée, au fond de la chatte de sa mère, la faisant pousser un long râle de plaisir, qui attira l’attention de Camille.Quand elle vit que sa mère et son frère les regardaient en baisant au-dessus d’eux, Camille se redressa et se retourna pour placer sa chatte au-dessus de la bite de son père, et lui dit en s’empalant dessus : — Vas-y, papa, baise-moi, je veux ta bite. Stéphane sentit sa queue s’enfoncer dans ce vagin si accueillant, et même s’il voyait sa fille chevaucher sa bite, il oublia tout lien de parenté qui pouvait les lier et se mit à lui pétrir ses superbes seins ou ses fesses bien fermes, pendant qu’elle gémissait de plaisir comme une folle. La mère et la fille gémissaient de concert, avec la bite du fils ou du père au fond de leur chatte en feu, et étrangement, elles étaient toutes les deux ravies de voir leur famille plonger corps et âme dans la luxure et la débauche. Laurent savait que grâce à la pilule qu’il avait fait prendre à sa mère, il pouvait lui faire ce qu’il voulait, alors pendant qu’il lui défonçait la chatte, il se mit à lui enfoncer des doigts dans le cul, la faisant gémir encore plus fort. Il commença par un doigt, puis rapidement un deuxième doigt, c’était la première fois qu’on fouillait le cul de Nadège en même temps qu’on la baisait, et étrangement, elle trouva cela très excitant et très jouissif, alors elle laissa son fils jouer avec son cul, et lorsqu’il tenta de lui enfoncer un troisième doigt dans le cul, elle lui dit quelque chose qu’elle ne serait jamais crue capable de dire un jour : — Ouiii, vas-yyy, fouilllleeeee moiiii le cuuulllll, tu me mettras ta grosse bite ensuite. Laurent eut un sourire pervers, il allait bientôt pouvoir enculer sa salope de mère, alors il se dépêcha de bien lui dilater l’anus, en lui crachant dans le cul et en faisant coulisser ses doigts doucement à l’intérieur.Dès qu’il sentit que l’anus de sa mère était prêt pour recevoir sa grosse queue, il la sortit de sa chatte et la plaça contre son trou de balle, et encore une fois, Nadège s’entendit dire quelque chose d’incroyable : — Ouiiiii, vas-yyy, mon garçon, encule ta grosse salope de maman. Laurent enfonça doucement sa bite dans le cul de sa mère, et ne s’arrêta que lorsqu’il lui eut tout enfoncé.Nadège ressentit un plaisir jusqu’alors inconnu pour elle, elle sentait la queue de son fils lui remplir le cul, c’était une sensation incroyable, tellement grisante et excitante, qu’elle oublia complètement son mari et sa fille qui baisaient en dessous.Une fois qu’il lui eut enfoncé toute sa queue dans le cul, Laurent attendit qu’elle s’habitue à ce visiteur qui passait par la porte de derrière.Mais Nadège avait envie de se faire défoncer le cul, comme une grosse salope, ou plutôt comme LA grosse salope qu’elle était devenue.Alors elle se mit à faire coulisser elle-même son cul le long de la bite de son fils, et lui dit : — Ouiii, Vas-yyyyy, mon chériiiii, défonce le cul de maman. Laurent s’agrippa à ses hanches et commença à accélérer les va-et-vient, si bien que les fesses de Nadège se mirent rapidement à claquer à chacun de ses coups de queue.Elle criait de plaisir tellement fort, sous les coups de boutoir de Laurent au fond de son cul, que Stéphane entendit, puis vit bientôt sa femme crier de plaisir, en se faisant enculer par son propre fils.Mais il ne sut et ne put rien dire, il se rendit enfin compte, que c’était sa fille qui chevauchait sa queue bien dure, et qu’il adorait lui pétrir ses superbes seins.Alors lorsqu’il sentit qu’elle se redressait pour faire sortir sa bite de sa chatte et lui dire : — Je veux ta bite dans le cul, papa, je veux que tu m’encules comme Laurent encule maman. Il sentit qu’elle plaçait sa queue contre son orifice le plus serré, et la vit descendre doucement sur sa bite.Jamais il n’avait ressenti une telle chose, sa bite était si serrée dans le cul de sa fille, c’était fabuleux, il la sentait s’enfoncer doucement dans son cul, et la sensation était incroyable.Lorsqu’il sentit les fesses de sa fille contre ses cuisses, elle lui dit : — Ça y est, papa, tu m’as mis toute ta bite dans le cul, j’adore ça. Elle se mit à monter et descendre sur sa queue, leur procurant à tous les deux, un plaisir fantastique, alors même s’il voyait et entendait sa femme jouir comme une folle à se faire enculer par son fils, il abandonna tous ses derniers principes moraux, et se mit à pétrir les fesses de Camille en l’aidant à monter et descendre son cul sur sa bite.Ils enculèrent les deux salopes pendant plusieurs minutes, les faisant crier de plaisir, jusqu’à ce que Stéphane sente le moment fatidique approcher, il essaya de prévenir sa fille en lui disant : — Je vais jouir, ma chérie, je vais jouir. Mais Camile ne s’arrêta pas, elle voulait sentir le sperme de son père, lui remplir le cul, elle adorait se faire fourrer le cul avec du sperme bien chaud.Alors Stéphane se cramponna à ses fines hanches, la bloqua avec sa bite au fond de son cul, et lui envoya de puissantes giclées de sperme dans les intestins, Camille eut un puissant orgasme en sentant le sperme paternel bien chaud lui remplir le cul.Mais Nadège en eut tout autant, Laurent avait réussi à se retenir pour jouir en même temps que son père, et se mit à remplir le cul de sa mère avec son sperme.Les deux salopes jouirent comme des folles en sentant ces giclées de sperme chaud, leur remplir les intestins.Tout ce petit monde s’effondra d’épuisement, chacun trouvant un lit ou un transat pour reprendre son souffle. Quand ils eurent suffisamment récupéré, ils se retrouvèrent tous sur la terrasse, il y eut comme un long silence, les filles étaient complètement nues, du sperme suintait encore de leur cul, et tout le monde attendait la réaction de Stéphane.Ce dernier regardait sa superbe fille nue, contre lui, et sa femme, tout aussi nue, à côté de leur fils, et il entendit la petite voix qui lui disait : — Eh bien, maintenant que le mal est fait, tu vas faire quoi ? Stéphane prit une longue inspiration et dit aux membres de sa famille : — Bon, eh bien, je crois qu’on ne peut pas revenir en arrière. Nadège l’interrompit en disant : — Et qui en aurait vraiment envie ?— OK, donc, si tout le monde est consentant, nous serons une de ces familles incestueuses que la morale réprouve complètement. Depuism toute la famille de Laurent baise ensemble, et même quand la pilule rose ne fit plus d’effet, Nadège ouvrit ses cuisses et son cul à son fils et à celui du voisin.Ils lui firent découvrir la double pénétration, pendant que Stéphane et Marc baisaient et enculaient Camille.Prochain chapitre sur la famille de Marc et sa sœur Stéphanie, après ce fameux match de tennis.A SUIVRE.
