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Spin-off « les mystères de l’asie »

Chapitre 11

Inceste
Spin off 11Après le fameux match de tennis avec Laurent et Nadège, Marc et Stéphanie rentrèrent chez leurs parents.Sur la route, ils discutèrent de leur ébat incestueux, et Stéphanie dit d’un ton étrangement satisfait :
— Tu sais que c’est interdit de coucher entre frère et sœur ?— Ben il faut surtout éviter que tu tombes enceinte, mais si on est consentant tous les deux, je veux bien faire une entorse à la morale.
Stéphanie réfléchit quelques secondes à cette phrase, ou plutôt sur ce mot : consentant, elle avait ressenti, si soudainement, l’envie de se faire baiser, qu’elle n’avait pas eu la force de repousser son frère lorsqu’il lui avait donné sa queue à sucer.Et puis, quand elle avait à peine 18 ans, elle avait déjà eu une expérience incestueuse, en secret, avec son cousin, il l’avait dépucelée pendant les vacances d’été, et ils avaient recommencé tous les jours jusqu’à la fin des vacances.Lorsque Marc lui donna sa queue à sucer, son désir occulta, de nouveau, tout sens moral, et elle pompa la bite de son frère avec un appétit féroce.Mais maintenant qu’elle sentait son sperme au fond de la chatte, elle se dit qu’elle allait avoir du mal à s’en passer, mais il fallait faire attention à leurs parents.Alors elle lui répondit :
— Il ne faudrait pas que papa et maman l’apprennent, sinon ils vont faire une attaque.— Tu as raison, on ne fera ça que lorsqu’ils seront absents.— OK, mais avant qu’on décide ou non de continuer à baiser ensemble, je dois t’avouer un truc.— Quoi ?— Tu n’es pas le premier garçon de la famille avec qui j’ai couché.— Ah bon, tu as couché avec qui ?— Eh bien, c’est ...
Stéphanie semblait hésitante à raconter à son frère qu’elle avait couché avec leur cousin, mais elle venait de vivre un nouvel acte incestueux, et elle était encore un peu perdue.Mais Marc désirait connaître le passé immoral de sa salope de sœur, il glissa sa main entre ses cuisses et lui caressa la chatte, en conduisant. Stéphanie ouvrit naturellement les cuisses, elle laissa son frère lui caresser le clito en l’entendant lui dire :
— Allez te fais prier, dis-moi avec qui tu as baisé, petite salope.

Elle se rendit compte qu’elle adorait qu’on la traite de salope, de pute, ou autre qualificatif dégradant, alors elle écarta les cuisses autant qu’elle put, laissa son frère lui fourrer deux doigts dans sa chatte pleine de son sperme, et lui répondit en gémissant comme une chienne en chaleur :
— C’est Dimitri, notre cousin, c’est lui qui m’a dépucelée, et on a baisé pendant toutes les vacances après.
Marc fut un peu surpris par cette révélation, il avait remarqué que sa sœur et son cousin étaient très proches, mais comme ils avaient le même âge, il n’avait pas soupçonné qu’ils baisaient ensemble, alors tout en continuant de fouiller la chatte de sa sœur, il lui demanda :
— Dis-moi, petite salope, vous baisez encore ensemble ?
Stéphanie gémissait de plaisir, avec les doigts de son frère au fond de sa chatte, alors elle ne ressentit aucune honte à lui avouer :
— Oui, on baise à chaque fois qu’il vient à la maison, ou lorsqu’on va chez lui.
Marc se dit que sa sœur était vraiment une belle salope, s’il avait su cela avant, il n’aurait même pas eu besoin d’utiliser la pilule sur elle, cette chienne couchait avec leur cousin, alors que celui-ci venait tout juste de se marier, il repensa au jour du mariage, et lui demanda :
— Dis-moi, petite pute, tu as couché avec lui, le jour de son mariage ?
Stéphanie était folle de plaisir, les cuisses grandes ouvertes, les genoux remontés sur sa poitrine, les doigts de son frère coulissaient de plus en plus vite dans sa chatte, alors sentant l’orgasme approché, elle lui répondit en criant de jouissance :
— OUIIIIIII, il m’a baisée, derrière l’église, alors qu’il venait de dire OUIIII, à sa femme.
Des jets de cyprine surgirent de la chatte de Stéphanie, se mélangeant au sperme de son frère, et produisant des bruits de clapotis obscènes à chaque fois que Marc enfonçait ses doigts dans la chatte de sa sœur.Elle jouissait comme une folle, et ne voulait pas que ça s’arrête, même lorsque Marc s’arrêta à un feu rouge, l’obligeant à abandonner sa chatte en feu, elle resta les cuisses relevées, grandes ouvertes, offrant à tous les passants la vue de sa chatte trempée.Certains furent choqués, mais la plupart se caressèrent discrètement dès qu’ils remarquèrent cette superbe créature, dans une posture des plus obscènes.Stéphanie les remarqua, mais elle ne fit rien pour dissimuler sa chatte, et attendit comme une grosse salope que son frère redémarre et revienne lui fourrer ses doigts à l’intérieur.Ce qu’il fit dès qu’il eut une main libre, et tout en enfonçant ses doigts dans la chatte gluante de sa sœur, il lui dit :
— Très bien, salope, dès qu’on verra Dimitri, je veux que tu m’aides à baiser avec sa femme, Dao est super canon, et j’ai bien envie de lui fourrer ma bite dans le cul.— D’accord, petit frère, je ferais ce que tu veux.
Profitant de l’emprise qu’il avait sur sa sœur, il lui dit :
— Et peut-être que tu pourrais m’aider à baiser aussi avec Aurore, je ne vois pas pourquoi il baiserait ma sœur, et que je ne pourrais pas me taper la sienne.— D’accord, tout ce que tu veux, mais continue de me fouiller la chatte.
Marc avait arrêté de faire coulisser ses doigts, en imaginant Aurore et Dao en train de lui pomper la queue.Alors devant la plainte de sœur, il reprit les va-et-vient, lui défonçant la chatte avec ses doigts jusqu’à la maison familiale.Stéphanie avait joui plusieurs fois avant d’arriver chez eux, elle était épuisée, elle prit un moment pour reprendre son souffle et retrouver une posture plus correcte.Le siège de la voiture et sa jupe étaient complètement trempés, à cause de ses multiples orgasmes, Marc l’aida à sortir de la voiture, et en constatant son état déplorable, lui dit :
— Attends là, je vais voir si les parents sont dans le coin, si c’est bon, tu n’auras qu’à filer dans la douche et te changer.— OK, merci, frérot.— De rien, tu es ma petite salope, maintenant.
Et alors que Marc se dirigeait vers la porte d’entrée, Stéphanie se rendit compte que son nouveau statut de salope de son frère l’enchantait.Il pouvait lui demander tout ce qu’il voulait, elle le ferait, elle était presque impatiente qu’il lui demande de faire les pires obscénités, elle était sa chose, et elle lui obéirait avec plaisir.Marc lui fit signe que la voie était libre, alors elle se dépêcha de se faufiler à l’intérieur et fonça sous la douche pour se laver et retirer toutes les traces de sperme et de cyprine qu’elle avait sur elle.Lorsqu’elle ressortit de la douche, elle se sentait propre, mais étrangement, elle avait l’impression qu’il lui manquait quelque chose.Elle partit dans sa chambre pour se changer, et lorsqu’elle se retrouva nue devant le miroir de son placard, elle contempla son corps magnifique pendant un moment, se remémorant tout ce qu’elle venait de vivre avec son frère, et ce qu’elle avait vécu avec son cousin.
Elle finit par se dire qu’elle avait un corps fait pour le sexe et ses plaisirs, elle commença à se caresser doucement le clito, elle renonça doucement à tout sens moral que son éducation avait pu lui inculquer, et concéda définitivement à se soumettre aux moindres désirs de son frère, quels qu’ils soient.Alors après s’être fait jouir une nouvelle fois, elle ouvrit son placard et chercha une tenue digne de la salope qu’elle était à présent.Lorsqu’elle retourna dans le salon pour retrouver son frère et ses parents, elle était vêtue d’une minijupe au raz des fesses, et d’un petit haut qui ne couvrait que sa poitrine, laissant son ventre et son dos nus.Marc eut un sourire pervers en découvrant sa sœur ainsi vêtue, s’imaginant déjà la baiser violemment, tandis que leur père, Daniel, et leur mère, Sylvie, étaient plutôt gênés.Leur mère lui dit :
— Eh ben, Stéphanie, tu vas exciter les garçons, vêtue comme ça.
Et sans ressentir la moindre honte, elle lui répondit :
— C’est le but, maman.
Elle en eut le souffle coupé par tant d’audace, qu’elle ne trouva rien à dire.Le déjeuner se passa dans une ambiance lourde et pesante, les garçons ayant un mal fou à quitter des yeux, la poitrine de Stéphanie, à peine cachée par son petit haut, et encore plus lorsqu’elle se levait pour aller chercher quelque chose, ils avaient les yeux rivés sur son superbe petit cul, parfaitement moulé dans sa minijupe.Pour essayer de lancer la conversation sur un sujet qui permettrait aux mâles d’oublier le physique envoûtant de Stéphanie, Sylvie leur dit :
— Tiens au fait, la semaine prochaine, on reçoit la visite de ma sœur.
Tout à coup, intéressé par le sujet, Marc demanda :
— Il y aura Dimitri ?— Euh oui, sans doute, il devrait être là avec Dao.— Cool, ça fait longtemps que je ne les ai pas vus.
Etonnée que son fils soit si enthousiaste de revoir son cousin, Sylvie fut ravie d’avoir réussi à changer le centre d’intérêt de son fils, quant à son mari, elle allait avoir une longue discussion avec lui, après le repas.Marc se dépêcha de finir de déjeuner, et en sortant de table, il dit à sa sœur :
— Stéphanie, tu me rejoins dans ma chambre, j’ai un truc à te montrer sur l’ordi.— OK, je finis et j’arrive.
Stéphanie se doutait de ce que son frère lui réservait, et même s’ils avaient dit qu’ils ne baiseraient ensemble que lorsque leurs parents seraient absents, il n’aurait qu’à demander et elle le laisserait abuser de son corps avec plaisir.Afin de ne pas éveiller les soupçons de leurs parents, elle traîna un peu à table, sans se rendre compte du trouble qu’elle générait chez son père.Quelques minutes après le départ de Marc, elle sortit à son tour de table, laissant ses parents seuls, pour rejoindre son frère dans sa chambre.Elle sentait sa chatte frétiller d’envie en s’approchant de la porte, et lorsqu’elle l’ouvrit, elle vit Marc, la bite à l’air, qui lui dit :
— Allez, viens salope, suce-moi la bite, pendant qu’on monte un plan pour que je puisse baiser Aurore et Dao.
Totalement soumise à son frère, Stéphanie s’agenouilla entre ses cuisses et se mit à lui pomper la queue, en l’entendant élaborer un plan machiavélique pour baiser avec Aurore et Dao.Pendant ce temps, Stéphanie venait à peine de sortir de table que Sylvie dit à son mari, sur un ton très tranchant :
— Tu n’as pas honte de mater les seins et le cul de ta fille comme ça, gros pervers ?
Daniel était un peu pris au dépourvu, il sentait sa queue bien dure dans son pantalon, et sa femme avait raison, il aurait dû avoir honte d’avoir des pensées si lubriques envers leur fille.Mais pourtant, il bandait tellement dur pour sa fille, et il n’avait pas bandé si dur depuis des lustres, alors il prit son courage à deux mains, et osa affronter le courroux de sa femme.Profitant qu’ils soient seuls, il sortit sa queue et la montra à sa femme, en lui disant :
— Regarde un peu, comme elle me fait bander la petite.
Sa femme fut abasourdie, à la fois par le toupet de son mari, mais également par la puissante érection de sa queue.Il enfonça le clou en lui disant :
— Je n’ai pas bandé comme ça depuis un bail, alors au lieu de râler, baisse ta culotte que je fourre ta chatte de salope.
La mère et la fille avaient la même petite faiblesse, dès qu’elles se faisaient traiter de salope, elles avaient la chatte qui frétillait et elles s’abandonnaient totalement à leurs pulsions.Si bien que les émotions de Sylvie passèrent de la colère à l’excitation en quelques secondes, elle oublia complètement la raison de sa colère et souleva sa jupe pour retirer sa culotte,Daniel l’attira sur le canapé, et oubliant que leurs enfants n’étaient pas très loin, il la mit à 4 pattes et la prit en levrette en enfonçant sa bite bien dure d’une seule traite, tellement elle avait la chatte trempée.Et alors que Sylvie se mettait à gémir sous les coups de queue de son mari, Stéphanie en faisait autant avec la bite de son frère qui lui ramonait sauvagement la chatte.Elles jouirent toutes les deux comme des folles, tandis que ceux qui les baisaient imaginaient baiser une autre chatte.
Pour Marc, c’était les chattes de sa cousine et de la femme de son cousin, et pour son père, c’était celle de sa fille qu’il imaginait défoncer, en faisant claquer les fesses de Sylvie, à chacun de ses coups de queue.Chacun jouit dans la chatte qu’il fourrait en fantasmant qu’ils éjaculaient au fond du vagin d’une autre salope.Tout ce petit monde reprit son souffle, et après avoir joui comme une folle, Sylvie dit à son mari :
— Eh bien, tu m’as drôlement bien baisée, mon salaud.— Ça faisait longtemps que je n’avais pas bandé comme ça.— N’empêche, mon salaud, que c’est ta fille qui t’a fait bander comme un âne, tu devrais avoir honte.— Pourquoi, du moment, que c’est toi qui en profites, tu ne vas pas t’en plaindre quand même.
Sylvie ne put qu’admettre que grâce à sa fille, elle venait de jouir comme une folle, une jouissance telle qu’elle ne se souvenait pas avoir autant joui depuis longtemps, alors elle dit à son mari :
— OK, tant que tu n’essaies pas de fourrer ta queue entre ses cuisses, je ne dirais rien, mais essaie d’être plus discret quand tu mates son cul ou ses seins, tu avais vraiment un regard de pervers tout à l’heure.— Désolé, mais elle était vraiment bandante, la petite.— Je sais, je vais lui en toucher quelques mots pour qu’elle évite ce genre de tenue.— Surtout pas ! si elle s’habille normalement, comment tu veux que je bande bien dur, pour te baiser comme une grosse salope.
Sentant qu’ils jouaient à un jeu dangereux, Sylvie lui dit :
— Moui, mais quand même, elle abuse un peu à s’habiller comme une pute devant son père et son frère.— Ne fais pas ta farouche, elle est jeune, elle veut plaire, tu étais pareil à son âge.— Peut-être, mais si je m’étais habillée comme elle devant mon père, j’aurais pris une bonne dérouillée.— C’est une autre époque, aujourd’hui, les jeunes filles peuvent s’habiller comme elles ont envie.— .....
Tandis que Sylvie et Daniel palabraient sur les mœurs d’hier et d’aujourd’hui, Marc avait fini par jouir au fond de la chatte de sa sœur, la faisant jouir intensément.Après avoir récupéré leurs forces, ils discutèrent du plan diabolique pour faire succomber Aurore et Dao à la bite de Marc.Les jours qui suivirent, Marc et Stéphanie baisèrent ensemble tous les jours, sa sœur le laissa même lui dépuceler l’anus, et après avoir goûté à la sodomie, il était fréquent que son frère la coince sur le plan de travail de la cuisine, lui badigeonne le trou de bal avec de l’huile et lui enfonce sa bite dans le cul, la faisant crier de plaisir.
Stéphanie avait pris l’habitude de ne plus mettre de sous-vêtements lorsqu’elle était chez elle, laissant à son frère, libre accès à sa chatte ou à son cul, et afin de bien l’exciter, elle avait fait les boutiques, et s’était acheté quelques minijupes très sexy et même quelques microjupes qui laissaient les bas de ses fesses à la vue de tous.
Elle ne portait ces microjupes que chez elle, et les portait uniquement lorsqu’elle était seule avec son frère.
Mais quelques jours avant le WE où ils devaient aller chez leur cousin et mettre en pratique le plan que Marc peaufinait un peu plus tous les jours, alors que Stéphanie, sachant que ses parents allaient rentrer tard, avait choisi une microjupe qui lui couvrait seulement la moitié des fesses et comme elle ne portait rien en dessous, on pouvait même apercevoir ses lèvres vaginales.
Tandis que pour le haut, elle avait mis un étrange soutien-gorge, il lui couvrait à peine la poitrine, laissant les bords extérieurs de ses superbes seins nus, et les bouts de tissu censés cacher ses tétons étaient fendus au milieu, si bien que si ses tétons se mettaient à pointer, comme ils le faisaient à chaque fois qu’elle était excitée, ceux-ci pouvaient passer à travers la fente et être disponible à toutes les langues voulant en profiter.
Comme à son habitude, elle attendait son frère dans le salon, en regardant un film porno à la télé, et se caressait la chatte en s’imaginant à la place des actrices qui se faisaient fourrer par tous les trous.
Elle entendit une voiture se garer dans l’allée de la maison, elle coupa la télé, et attendit comme une bonne salope soumise, que son frère vienne la rejoindre dans le salon.Elle sursauta lorsqu’elle reconnut la voix de son père, dans l’entrée, elle ne savait pas quoi faire, elle était dans une tenue totalement indécente, elle essayait de trouver une solution, mais plus son père approchait, plus elle paniquait, elle espérait qu’il ne vienne pas au salon, pour lui permettre de s’enfuir, mais elle entendait ses pas approcher.
Si bien que lorsque Daniel arriva dans le salon, pour lui faire la bise, elle se leva précipitamment du canapé, et s’enfuit dans la cuisine.
Mais elle avait eu beau avoir voulu être aussi rapide qu’une comète, son père n’avait rien manqué de sa tenue ultra-sexy.Il avait suivi ses superbes fesses des yeux, et avait pu apercevoir sa jolie petite chatte, il sentait déjà sa bite devenir bien dure, il avait également remarqué les fentes sur le soutien-gorge de sa fille, et avait aperçu ses tétons pointés fièrement.
Il n’en croyait pas ses yeux, pourtant elle était habillée comme une véritable pute, et sa queue ne désirait qu’une seule chose : aller visiter la petite chatte qu’il avait aperçue.Une fois dans la cuisine, Stéphanie essaya de retrouver son calme, en prenant de profondes inspirations, elle espéra que son père n’ait rien remarqué, mais maintenant qu’elle avait retrouvé un soupçon de réflexion, elle se maudit d’avoir fui dans la cuisine, elle n’avait aucune autre issue, si elle voulait se changer, elle devrait repasser devant son père.
Mais elle paniqua de nouveau, en entendant son père approcher de la cuisine, alors ne voulant pas affronter son regard, elle se tourna et fit semblant de chercher quelque chose dans un placard en hauteur.
Mais elle avait complètement oublié ce qu’elle portait et en faisant cela, elle ne faisait que découvrir davantage ses fesses et sa petite chatte.
Daniel arriva dans la cuisine avec une belle bosse dans le pantalon, et elle ne fit que s’accentuer lorsque ses yeux tombèrent sur les magnifiques fesses nues de sa fille, et d’où il était, il pouvait même voir sa jolie petite chatte fraichement épilée.Les cœurs de Stéphanie et de Daniel battaient à cent à l’heure, mais ce dernier était tellement excité par ce qu’il avait sous les yeux, qu’il ne put s’empêcher de se rapprocher de sa fille.Il posa ses mains chaudes sur les hanches nues de Stéphanie, leur provoquant une douce décharge électrique à tous les deux, et il lui dit doucement :
— Tu cherches quelque chose, habillée en petite salope, ma chérie ?
Etrangement, Stéphanie se calma lorsque son père plaqua sa queue bien dure entre ses fesses.Était-ce parce qu’il venait de la traiter de salope, ou parce qu’elle sentait sa bite raide contre son cul, mais les battements de son cœur ralentirent, elle sentit les mains de son père remonter sur son ventre, elle les laissa se glisser sur son soutien-gorge, et venir prendre possession de ses seins.Elle se mit à gémir de plaisir lorsque les doigts de son père se mirent à jouer avec ses tétons durs d’excitation, en les faisant rouler ou en les pinçant.Il la pelota pendant quelques minutes, elle sentait sa langue chaude dans son cou, et sa grosse bite coulisser dans la raie de ses fesses, cela la rendait folle de plaisir.Mais d’un seul coup, il se recula, il abandonna ses seins et lui dit :
— Cherche dans le placard du bas, ma petite salope, je suis sûr que tu trouveras ton bonheur.
Elle lui obéit, et sentait qu’il trifouillait dans son pantalon pendant qu’elle se penchait en avant, dévoilant complètement ses superbes fesses et sa chatte trempée.Elle fut étrangement radieuse, en sentant le gland de la bite de son père, trouver le chemin de sa chatte brulante.Et alors qu’il s’enfonçait en elle, elle ne trouva rien d’autre à lui dire que :
— Ouiiii, vas-y, papa, baise-moi, fourre-moi ta grosse bite au fond de la chatte.
Daniel se cramponna aux fines hanches de sa fille et commença à faire coulisser sa bite dans la chatte de Stéphanie, la faisant gémir de plaisir.Au fur et à mesure qu’elle se prenait les coups de bite de son père, elle avait été obligée de se mettre à plat ventre sur le plan de travail, elle avait soulevé une jambe pour permettre à son père de lui fourrer sa grosse bite au plus profond de la chatte.Elle gueulait de plaisir et l’encourageait à la défoncer de plus en plus fort :
— OUIIIII, ENCOREEEEEE, DEFONCEEEEE-MOIIII, OUIIII, C’ESTTTTT TROOPPPP BOOONNNN, CONTINUUEEEEE, FOURRREEEEE-MOIIIII AVEC TAAAA GROOOOSSSSEEEEE BBIIIITTTEEEE.
Daniel était ivre de plaisir, il avait si souvent fantasmé sur ce moment, qu’il se déchaîna dans la chatte de sa fille, la faisant hurler de plaisir.Même s’il avait senti le vagin de sa fille se contracter plusieurs fois autour de sa queue, prouvant qu’elle prenait autant de plaisir que lui, il avait réussi à résister à l’envie de lui fourrer son sperme dans la chatte.Arriva le moment où ses dernières forces l’abandonnèrent, mais il ne voulait pas prendre le risque de mettre enceinte sa propre fille, alors même s’il mourrait d’envie de lui remplir la chatte avec son sperme, il retira sa queue de la chatte de Stéphanie, il la retourna et lui dit :
— Allez, salope, bouffe-moi la queue, et avale tout mon sperme comme une bonne pute.
Stéphanie était sur un petit nuage, elle avait joui comme une folle, alors totalement soumise à son père, elle s’agenouilla devant lui, et avala sa bite comme une pute l’aurait fait.Elle lui pompa la queue avec un appétit vorace, et au moment où il lui éjaculait son sperme au fond de la bouche, ils entendirent la porte d’entrée s’ouvrir, mais Daniel était tellement fou de plaisir qu’il ne put retirer sa bite de la bouche de sa fille et la laissa lui vider les couilles alors qu’il disait bonjour à sa femme, par-dessus le plan de travail.
Stéphanie avala tout le sperme de son père, et finit de lui nettoyer la bite pendant qu’il discutait avec sa mère, comme-ci de rien n’était.Daniel laissa sa fille ranger sa queue dans son pantalon, et afin que sa femme ne s’aperçoive de rien, il l’attira dans le salon, pour permettre à Stéphanie de filer dans sa chambre, et de se changer.Mais même si celle-ci avait bien compris le message, et fila discrètement dans sa chambre, elle ne se changea pas tout de suite, elle avait bien joui avec la bite de son père, mais elle voulait aussi celle de son frère, c’était pour lui qu’elle s’était habillée ainsi.
Alors elle l’attendit dans sa chambre, se remémorant ce qu’elle venait de faire avec son père, elle se caressa la chatte, et lorsque Marc arriva enfin, elle l’appela du haut de l’escalier en lui montrant ses fesses nues qui l’attendaient.Celui-ci monta les marches 4 à 4, et en lui pelotant son superbe petit cul, lui dit :
— Tu es folle, il y a les parents en bas.— Et alors, papa vient de me baiser dans la cuisine, il m’a même fait avaler son sperme, et j’ai adoré ça.
Marc fut surpris par cette révélation, il fourra un doigt dans le cul de sa sœur en lui disant :
— Il t’a mis sa bite dans le cul, salope ?— Mmmm, non, mais je n’aurais pas dit non, rien qu’avec la chatte, il m’a fait jouir comme une folle.
Marc fit coulisser son doigt dans le cul de sa sœur, il la poussa vers sa chambre en lui disant :
— Avance, sale pute, je vais te fourrer ton cul de salope.— Mmmm, ouiii, comme ça j’aurais eu une bite dans chaque trou aujourd’hui.
Marc la fit se mettre à genoux au pied du lit, il sortit sa bite bien raide, il s’agenouilla derrière sa sœur, et souleva le ridicule bout de tissu, pour lui enfoncer sa queue dans le cul, la faisant crier de plaisir.Il se déchaîna dans ce superbe petit cul, Stéphanie enfonça son visage dans sa couette pour étouffer ses cris de jouissance, tandis que ses fesses claquaient à chacun des coups de queues qu’elle se prenait dans le cul.Tandis que Marc enculait violemment sa sœur, Daniel profita que sa femme soit occupée en cuisine pour monter à l’étage et tenter de discuter avec sa fille de ce qu’ils venaient de vivre ensemble.Mais lorsqu’il arriva devant la porte de sa chambre, il fut abasourdi de la retrouver à 4 pattes au pied de son lit, tandis que Marc lui défonçait le cul.Malgré sa récente éjaculation, dans la bouche de sa fille, Daniel sentit sa bite se remettre au garde-à-vous, et prit d’un élan totalement immoral, il sortit sa bite et s’approcha de ce couple incestueux.
Marc sursauta quand il vit son père, il avait la bite plantée au fond du cul de sa sœur, mais il se rendit compte que son père se branlait en les regardant, il le vit se placer devant Stéphanie et lui dire :
— Continue à lui défoncer le cul à cette pute.
Marc reprit doucement ses enculades, et vit son père soulever la tête de sa sœur en la tirant par les cheveux, pour placer sa bite contre sa bouche.Daniel faisait mal à Stéphanie en lui tirant les cheveux, mais elle était tellement ivre de plaisir, qu’elle ne réfléchit pas, elle ouvrit la bouche et avala, encore une fois, la bite de son père.Daniel lui gueula :
— Allez, sale pute, avale-moi toute la queue, pendant que ton frère te défonce le cul.
Elle avait maintenant deux bonnes queues pour elle toute seule, alors elle laissa son père et son frère abuser d’elle, tandis qu’un lui défonçait le cul, l’autre tentait à chaque va-et-vient de lui enfoncer un peu plus sa bite dans la bouche.
Et dans un puissant coup de queue dans le cul de Marc, elle avala un peu plus la bite de son père, la sentant glisser jusque dans sa gorge, mais elle était tellement enivrée par tant de plaisir, qu’elle ne ressentit aucun haut-le-cœur quand il commença à lui baiser la bouche.
Elle laissa son père enfoncer complètement sa bite dans sa bouche, lui fourrant le nez dans ses poils pubiens, et la faisant baver sur ses couilles Mais elle jouit intensément d’être ainsi le jouet sexuel des deux mâles de la famille, si bien que lorsqu’ils entendirent Sylvie les appeler, ils se dépêchèrent de lui gicler leur sperme, remplissant à la fois son cul, et sa gorge avec du sperme bien chaud.
Elle avala ce qu’elle put et laissa le reste dégouliner sur son menton et sur ses seins.
Marc lui remplit les intestins avec son sperme, et une fois qu’ils se furent bien vidé les couilles dans les orifices de cette salope, ils se dépêchèrent de descendre, laissant Stéphanie dans un état déplorable, le cul débordant de sperme de son frère, et la bouche et les seins couverts avec celui de son père.
Ils dirent à Sylvie que Stéphanie était un peu fatiguée, et qu’elle ne dinerait pas.Marc se dépêcha de dîner et retourna dans la chambre de sa sœur pour l’aider à prendre sa douche et à se coucher.Elle était encore groggy par toute cette jouissance, elle laissa son frère s’occuper d’elle et une fois au lit, elle s’endormit profondément.La nuit fut reposante pour Stéphanie, elle fut remplie de songes plus ou moins érotiques, où elle laissait son père et son frère fourrer leurs doigts ou leurs bites dans tous ses orifices.Elle se réveilla avec une main entre les cuisses, et les tétons bien durs, mais elle mourrait de faim, elle n’avait eu droit qu’à deux bonnes doses de sperme la veille, et même si elle avait adoré ça, il lui fallait quelque chose de plus consistant.
Alors elle se leva, elle hésita à enfiler sa petite nuisette en coton, pour rester nue et exciter les mâles de la maison, mais il y avait sa mère et elle se dit que si elle les excitait encore, elle aurait certainement droit à leur sperme ou à leur bite dans la bouche, mais rien de très nourrissant.Elle enfila donc sa nuisette qui lui arrivait à mi-cuisse et descendit prendre son petit-déjeuner.Tout le monde était déjà debout et se préparait le petit-déjeuner, en voyant sa fille, Sylvie lui demanda :
— Ça va mieux, ma chérie, ton frère m’a dit que tu étais fatiguée, hier.— Oui maman, certaines personnes m’ont usée jusqu’à l’os, hier, j’étais crevée.
Marc et Daniel se sentirent étrangement visés, surtout que Stéphanie les regardait d’un air accusateur, mais Sylvie ne remarqua pas la gêne des deux garçons et lui dit :
— Tu dois avoir faim, allez prépare-toi le petit-déj et viens manger.
Stéphanie alla dans la cuisine pour préparer son repas, mais il y avait déjà Marc et Daniel, alors elle dut les laisser lui caresser le cul et les seins, pendant qu’elle préparait son petit-déjeuner.Les salauds, alors qu’elle attendait que son eau chauffe dans la bouilloire, lui soulevèrent sa nuisette et lui fourrèrent leurs doigts dans la chatte et dans le cul.Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir de plaisir, mais elle souleva une jambe et les laissa, encore une fois, abuser de son corps.Ils lui pelotaient les seins et faisaient rouler ses tétons durs entre leurs doigts, sa bouche passait de son frère à son père, leur roulant une pelle langoureuse, à chacun.Elle était de nouveau, leur jouet sexuel, et elle adorait ça.
Marc lui chuchota, pendant qu’il lui fouillait la chatte :
— Salope, tu vas m’aider à baiser avec Aurore et Dao.— Ouiiii, je ferais ce que tu veux.
Daniel entendit cela et demanda à son fils :
— Tu veux baiser avec ta cousine et la femme de ton cousin ?— Oui, papa, Stéphanie s’est fait dépuceler par Dimitri, et il l’a même baisée le jour de son mariage, donc je ne vois pas pourquoi ce salaud pourrait profiter de ma sœur et que moi je ne pourrais pas en faire autant avec la sienne, et avec sa femme aussi.— C’est vrai, Stéphanie, tu as couché avec Dimitri ?— Ouiiii, papaaaa, mais continue avec tes doigts dans ma chaaattteeeee.— Il faut que tu me racontes comment ça a commencé, ma chérie.
Mais la bouilloire venait de sonner et Stéphanie craignant que sa mère ne débarque dans la cuisine, la trouvant avec les doigts de son père et de son frère dans le cul et la chatte, elle prit une profonde inspiration, rabaissa la jambe, libéra ses orifices des doigts fouineurs, et leur dit :
— Après le petit-déj et quand maman sera partie.
Elle remit sa nuisette en place et partit dans la salle à manger, elle avala enfin quelque chose de nourrissant, même si elle adorait le sperme, il fallait qu’elle mange.Sylvie venait de finir, elle débarrassa son bol et se prépara à partir au travail.Elle fit la bise à ses enfants et embrassa son mari, avant de les laisser seuls. Elle avait à peine franchi la porte que Daniel plaça sa chaise à côté de sa fille, il glissa sa main entre ses cuisses, et lui dit :
— Allez, petite salope, raconte-nous un peu comment tu t’es fait dépuceler par ton cousin.
Stéphanie ouvrit naturellement les cuisses, laissant son père venir lui enfoncer un doigt dans la chatte.Et elle commença son récit :C’était en été, on venait d’avoir 18 ans tous les deux, vu que l’on est né à quelques jours d’écart, on était parti déjeuner en ville, comme il faisait chaud, j’étais en minijupe qui arrivait à mi-cuisse, et un petit haut moulant, pendant le retour dans le bus, on était assis l’un à côté de l’autre, et après une bosse sur la route, j’ai senti le dos de la main de Dimitri frôler ma cuisse, elle était chaude et douce, je n’ai pas osé bouger pour la retirer.Il s’est installé un étrange silence entre nous, on ne se parlait plus, il n’y avait plus que le toucher de sa main qui nous captivait tous les deux.Mais plus la route était cahoteuse, plus la main de Dimitri se collait à ma cuisse, et après quelques km, il l’avait retournée et posée complètement sur ma cuisse, mais je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas eu envie de la retirer.
Il s’est mis à me caresser, j’ai senti quelque chose d’étrange fourmiller entre mes cuisses, alors je l’ai laissé continuer, et ce cochon, même s’il y avait du monde autour de nous, a glissé sa main sous ma minijupe, mais encore une fois, je l’ai laissé faire, j’ai regardé autour de nous pour voir si quelqu’un remarquait ce qu’il était en train de faire.
Mais mon cœur battait à cent à l’heure, alors quand ses doigts ont effleuré ma petite culotte, j’ai senti comme une décharge me remonter dans le dos, et sans comprendre pourquoi je faisais cela, j’ai écarté les cuisses, et je l’ai laissé poser sa main sur ma chatte, par-dessus ma culotte.
Il me caressait, devant tout le monde, c’était à la fois excitant et effrayant, si quelqu’un nous surprenait, je n’aurais pas su quoi faire.Pourtant il a continué, il a même glissé sa main dans ma culotte, et encore une fois, je l’ai laissé faire, et j’ai ouvert encore plus mes cuisses.Je sentais ses doigts se glisser dans ma fente humide, et me caresser le clito, je me mordais les lèvres, pour ne pas gémir et attirer l’attention.Mais j’avais les cuisses grandes ouvertes, ma minijupe remontée jusqu’aux hanches, avec la main de mon cousin dans la culotte, j’étais folle de plaisir, alors quand j’ai voulu vérifier que personne n’avait remarqué ce qu’on faisait, j’ai été pétrifiée lorsque j’ai découvert un homme qui nous regardait en se caressant la bite par-dessus son pantalon.
Je ne savais pas quoi faire, Dimitri continuait de me caresser la chatte, il m’enfonça même un doigt à l’intérieur, alors que je regardais l’homme dans les yeux.Je pouvais lire son désir pervers dans ses yeux, et cela m’excita encore plus, alors j’ai ouvert davantage les cuisses, et laissé Dimitri m’enfoncer tout son doigt dans la chatte, devant l’homme qui pouvait maintenant voir ma petite culotte avec le doigt de mon cousin, qui coulissait dans ma chatte trempée.Je me disais que j’étais complètement folle, mais j’adorais ça, le regard de l’homme rivé entre mes cuisses m’excitait énormément.Alors j’ai joui, imbibant le doigt et la main de mon cousin de mon jus de plaisir, et mouillant copieusement ma petite culotte.Jamais je n’avais ressenti une telle sensation, je ne voulais pas que ça s’arrête, mais Dimitri, qui devait être aussi excité que moi, avait les idées un peu plus claires, il remarqua qu’on arrivait à notre arrêt.Il retira sa main de ma culotte et me dit :
— On doit descendre au prochain arrêt.
J’eus à peine le temps de reprendre mon souffle, et de remettre ma minijupe en place, qu’il me tirait par la main, pour se rapprocher de la porte de sortie.Mais en attendant que le bus arrive à l’arrêt, l’homme qui m’avait matée en train de me faire fouiller la chatte, s’était collé à moi, sans que Dimitri le remarque, il me caressa les fesses, il glissa ses mains sous ma minijupe et dans ma culotte pour me peloter le cul, et juste avant que l’on descende, il me dit à l’oreille :
— La prochaine fois, ce sera moi qui te fouillerai la chatte, petite salope.
Ce fut comme un éclair qui me tombait dessus, je faillis trébucher en descendant du bus, c’était la première fois qu’on me traitait de salope, et que j’aimais ça, que j’étais étrangement flattée par cette insulte, qui n’en était plus une pour moi, c’était mon nouveau statut, ma ligne de conduite.Alors encore troublé par la phrase de l’homme, je suivis Dimitri jusqu’à la maison, heureusement pour nous, personne n’était là, quand nous sommes rentrés.Il m’a emmené jusque dans ma chambre, poussée contre le lit, on s’est déshabillé, j’ai caressé sa bite dure, c’était la première fois que je sentais une queue bander pour moi, c’était grisant et très excitant.On s’est vite retrouvé à poil sur mon lit, et il était tellement excité, qu’il a enfoncé sa queue dans ma chatte sans aucun préliminaire.Mais j’étais tellement excité par ce qu’il s’était passé dans le bus, que je ne ressentis pratiquement aucune douleur lorsqu’il perfora mon hymen.
Il a commencé à me pilonner avec sa queue, j’ai cru pouvoir atteindre l’orgasme, mais il jouit rapidement, il se vida les couilles au fond de ma chatte, en moins de 2 minutes.On s’embrassa, on se caressa en s’avouant à chacun que c’était notre première fois.Heureusement pour moi, on recommença très souvent pendant les vacances, et Dimitri devint plus endurant, au fil du temps. Il arrivait à me baiser pendant plus d’une heure, sans jouir, me faisant grimper au septième ciel, plusieurs fois.
Même quelquefois, il me baisait alors que vous étiez au rez-de-chaussée, et je crois que ça augmentait encore plus mon plaisir, j’adore me faire prendre en public ou quand il y a un risque de se faire surprendre.
Enfin, j’étais folle de lui et de sa bite, à la fin des vacances, on s’est promis de rester des amants pour la vie.C’est pour ça, que même le jour où il nous a présenté Dao, il m’a baisée dans ma chambre et à chaque fois qu’on se voyait, même à son mariage, il m’a attirée derrière l’église, et il m’a baisée comme une salope, me prouvant que malgré son mariage, on restait des amants à vie.
Marc et Daniel bandaient comme des fous, en écoutant le récit de Stéphanie, son père continuait de lui fouiller la chatte, et mourrait d’envie de lui enfoncer sa bite, mais il lui posa une dernière question :
— Et l’homme dans le bus, tu l’as revu ?— Oui...— Et ?— Ben, il m’a baisée.— Raconte, regarde ça nous excite, on te baisera après.— On va finir par être en retard.— Et alors, je veux savoir comment ma fille est devenue une si bonne salope.
Encore ce mot envoûtant, auquel, elle ne pouvait résister, alors elle commença son second récit, en se faisant peloter les seins par son frère et fouiller la chatte par son père.C’était un soir de septembre, je rentrais de la bibliothèque, j’étais habillée en robe souple qui m’arrivait au genou, et qui me faisait un petit décolleté, rien de très sexy, mais qui faisait tout de même loucher les garçons de l’université.L’histoire avec Dimitri dans le bus remontait à plusieurs mois, j’avais complètement oublié cet homme, qui m’avait vue me faire fouiller la chatte par mon cousin.Il y avait tellement de monde dans le bus que j’attendais debout mon arrêt, et d’un seul coup, alors que je regardais les gens monter les uns derrière les autres, je le vis, je l’ai tout de suite reconnu, et mon cœur s’est emballé.Je ne savais pas si j’espérais qu’il me reconnaisse ou si je voulais être invisible.
Mais je n’ai pas eu le temps de décider, son visage se tourna vers l’allée du bus, et ses yeux se sont posés sur moi.A son regard, je sus immédiatement qu’il m’avait reconnue, une lueur vicieuse enflammait ses yeux, il se fraya un chemin jusqu’à moi et quand il fut juste devant moi, il me chuchota :
— Bonjour, toi, comment va ma petite salope ?
Je n’osais pas répondre, mais je sentais déjà ma volonté m’abandonner, si bien que dès que le bus reprit la route, il profita des chaos pour poser sa main sur ma poitrine.Je ne trouvai pas la force de retirer sa main, et le laissai me peloter le sein par-dessus ma robe.Mais il ne s’en contenta pas, il commença à défaire les boutons du haut de ma robe pour dégager l’accès à ma poitrine.Encore une fois, je le laissai faire, et lorsque je sentis sa main chaude glisser dans ma robe et sous mon soutien-gorge, pour me peloter les seins, je me mis à gonfler la poitrine pour les lui offrir comme une bonne salope.J’étais complètement excitée par la situation et par cet homme, il sentit que je lui offrais mes seins, et tout en me pelotant les seins, il me dit :
— C’est bien, ma petite salope, laisse-moi jouer avec toi, tu vas adorer ça.
Je sentis qu’il glissait son autre main sous ma robe, il plaqua aussitôt sa main entre mes cuisses, et en bonne salope, je les écartai, lui permettant d’avoir libre accès à ma chatte trempée.Il glissa sa main sous mon string, sous-vêtement, que je m’étais acheté depuis que j’étais devenue la salope de Dimitri, et qu’il m’avait demandé d’abandonner mes petites culottes trop sages, pour la salope que j’étais.
Donc l’homme se mit à caresser mon clitoris, tout en me pelotant les seins dans le bus, j’avais un mal fou à me retenir de gémir de plaisir, alors je fis la seule chose qui me passa par la tête pour étouffer mes gémissements, je l’attrapai par le cou et lui roulai une pelle passionnée, tout en gémissant comme une folle dans sa bouche.
Je commençai à avoir une certaine expérience des garçons, et de ce qui les excitait, alors en bonne salope, je glissai ma main entre nous, et défis sa braguette, pour aller chercher sa queue bien dure et la branler doucement.
Ce fut à son tour de gémir de plaisir.
Nos bouches et nos langues ne se quittèrent pas un seul instant, il m’enfonça un doigt dans la chatte, me faisant jouir intensément.Je finis par sortir complètement sa queue et la branlais fermement.Il ne résista pas longtemps à l’envie de me baiser, et j’en avais également très envie, alors même si on était entouré de plusieurs personnes, il me retourna contre la vitre du bus, baissa mon string jusqu’aux genoux, plia légèrement les siens pour placer son gland à l’entrée de ma chatte brulante.Il me fourra sa bite au fond de la chatte, d’un puissant coup de reins, me faisant gémir de plaisir, et en me disant :
— C’est ça que tu veux, petite salope ?
Je lui répondis en gémissant de bonheur :
— Ouiiii, allez-yyyy, défoncez-moiiiii.
Il commença à faire coulisser sa queue au fond de ma chatte, ceux qui nous entouraient, remarqua rapidement ce qu’on était en train de faire.Les femmes tournèrent la tête, outrées, tandis que les hommes nous mataient en train de baiser en public.Je les voyais dans les reflets de la vitre, et cela me rendait folle, ils se caressaient la queue, en me regardant me faire défoncer par un inconnu.Mais je crois que l’homme qui me baisait, voulait m’offrir à eux, il tira sur les manches de ma robe pour dénuder mes seins, et me mettre à moitié nue.J’étais tellement folle de plaisir, que je l’aidai à me foutre à moitié à poil en public.
J’eus bientôt les seins plaqués contre la vitre, et il eut quelques accidents autour du bus quand les conducteurs des voitures virent mes nichons écrasés sur la vitre, tandis qu’un homme me défonçait la chatte.Mais quand certains des hommes qui nous mataient se rapprochèrent et commencèrent à me caresser les fesses et le ventre, en disant :
— On peut profiter, nous aussi, de cette superbe salope ?
Celui qui me baisait, me tourna vers eux, tout s’accéléra d’un seul coup, j’eus plusieurs mains sur les seins, une langue dans la bouche, on me fit rapidement pencher en avant et j’eus trois belles queues juste devant la bouche.Sans réfléchir, j’en attrapais une dans chaque main, tandis que j’avalais la troisième.Je les ai sucés à tour de rôle, jusqu’à ce que l’homme qui me baisait la chatte me fourre son sperme chaud dans le vagin, me faisant jouir intensément.Une fois les couilles vides, il libéra ma chatte et dit aux autres hommes :
— A votre tour, cette salope n’attend que ça.
Et il avait raison, j’avais hâte de me prendre toutes ces bites dans la chatte.Ils m’ont baisée jusqu’au terminus du bus, le chauffeur ne laissait plus monter personne, et tous les autres descendaient au fur et à mesure.Quand certains tentaient de monter par l’arrière, et me voyaient à 4 pattes, complètement nue, avec une bite dans la chatte, pendant que j’en suçais deux autres, ils redescendaient et nous laissaient tranquilles.Si bien qu’en arrivant au terminus, je sentis, enfin, la troisième bite me remplir la chatte, avec son sperme.J’en avais tellement pris que ça débordait, ça coulait sur mes cuisses.
J’étais à bout de souffle, les trois hommes remballèrent leurs queues, descendirent du bus, et me laissèrent à 4 pattes, complètement nue au milieu du busJe crus que c’était fini, mais j’avais oublié le chauffeur.Je le vis s’approcher, alors que j’étais toujours à 4 pattes, il sortit sa bite bien dure, il s’agenouilla devant moi, et me dit :
— Allez pompe-moi la queue, salope, ne t’inquiète pas, je ne passerais pas dans ta chatte après ce que tu t’es prise, je n’ai pas envie d’attraper des maladies.
Je lui pompai la bite en pensant que j’étais folle, il avait raison, à me faire baiser par des inconnus, je risquais d’attraper des saletés.Il se vida les couilles dans ma bouche, et m’obligea à l’avaler, j’avais l’habitude d’avaler le sperme de Dimitri, donc cela ne me posa aucun problème.Le chauffeur m’aida à me relever et à me rhabiller, et avant de me laisser partir, il me dit :
— Tu devrais aller faire des analyses, après ce que tu viens de faire, tu risques d’avoir choppé une MST.
Dès le lendemain, je fonçai chez le médecin et me fit prescrire une ordonnance pour dépister toutes les MST possibles.Depuis, je ne sors plus sans un bon paquet de capotes, au cas où l’on veuille encore abuser de moi.Daniel et Marc étaient complètement excités, ils attrapèrent Stéphanie, et l’emmenèrent jusqu’au canapé.Daniel s’assit, Stéphanie comprit aussitôt ce qu’ils voulaient lui faire, et elle avait également très envie d’essayer depuis que son frère lui avait dépucelé le cul.Elle monta à califourchon sur son père, attrapa sa queue pour empaler sa chatte dessus, et une fois qu’elle l’eut complètement enfoncée à l’intérieur, elle se pencha en avant, laissant son père lui bouffer les seins, pour s’écarter les fesses et dire à son frère :
— Vas-y frangin, je veux vos bites en moi, défoncez-moi par tous les trous.
Marc enfonça sa queue dans le cul de sa sœur, et ressentit une étrange sensation, il sentait la bite de son père vibrer dans la chatte de sa sœur, c’était étrange, mais tellement excitant de fourrer cette salope des deux côtés.Pour Stéphanie, c’était également une première, elle sentait une bite bien plantée au fond de sa chatte et sentait celle de son frère s’enfoncer dans son cul, et cela lui procura une jouissance fabuleuse.Elle avait, enfin, deux bites rien que pour elle, elle en avait souvent rêvé en regardant les films pornos, mais quand ils commencèrent à lui défoncer la chatte et le cul simultanément, elle se mit à crier de plaisir.Elle était ivre de jouissance, les bites de son père et de son frère la faisaient jouir comme une folle.Et après plusieurs minutes de défonçage de ses orifices, elle eut un orgasme violent, les garçons finirent par lui jouir dans le cul et la chatte, la remplissant une nouvelle fois avec leur sperme.
Marc sortit sa bite de son cul et elle s’écroula sur le canapé, encore sur son petit nuage.Mais avant qu’ils ne la laissent et partent pour aller travailler, elle leur dit sur un ton sensuel :
— Qu’est-ce que c’est bon l’inceste quand même.
Marc et Daniel la regardèrent, elle était complètement nue, affalée sur le canapé, les cuisses grandes ouvertes, du sperme suintait de sa chatte et de son cul, c’était particulièrement obscène, mais tellement excitant, qu’ils lui dirent :
— Oui, et on n’est pas près de pouvoir s’en passer.
Stéphanie s’assoupit pour se remettre de ses émotions, tandis que Marc et Daniel partirent travailler.A suivre.
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