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Sports d’hiver [après le GR20, Emilie et Rémi]

Chapitre 5

Emilie

Orgie / Partouze
Je me réveillai avant le jour, blottie dans mon duvet. Je m’attendais à trouver la chaleur de Rémi contre moi, mais non… Il avait dû se lever peu avant : le feu avait repris dans le poêle, quelqu’un venait juste de le recharger. Mais Rémi n’était pas revenu. Machinalement, je plaçai ma main entre mes cuisses : j’avais envie de sentir son corps, de m’enrouler autour de lui… Somnolant encore, je repensais à la journée de la veille et la nuit. Il y avait longtemps que nous n’avions pas vécu de tels moments. J’adorais que Rémi me prenne, qu’il s’enfile dans ma bouche, mon sexe, mon anus, j’adorais le sentir s’imposer en moi. Mais j’aimais aussi m’offrir à d’autres devant lui, à sa demande. Le souvenir des pénétrations d’Arnaud me firent plonger mes doigts dans ma chatte : me faire fourrer ainsi, sur injonction de Rémi, et ensuite sodomiser, avec le poids de Rémi en plus sur nous deux, puis me laisser prendre en sandwich avec le jeune et gentil étudiant pendant qu’un autre baisait ma bouche…
 Rémi avait dû apprécier ces moments. Il devait seulement regretter de ne pas avoir été lui aussi pénétré dans cette nuit de folie : il aimait aussi dans ce sens. Somnolant à moitié, je continuai à me masturber, en murmurant son nom, plusieurs fois. Je l’entendis me répondre.
 -  Tout va bien, ma puce, je ne peux juste pas m’occuper de toi maintenant. Fais-toi plaisir. 
 Mieux réveillée, j’ouvris les yeux. Plusieurs dormeurs dans leurs duvets autour de nous, que j’identifiais comme Arnaud, Anne, Seb. Quant à Rémi… Il était agenouillé, je le percevais en ombre chinoise, le poêle projetant des lueurs vacillantes derrière lui. Je remarquai alors qu’il bougeait, montant et descendant, et que sa respiration était irrégulière. Je regardai mieux : le gentil étudiant qui m’avait sodomisée était allongé sous lui et haletait. Rémi le chevauchait, s’empalant sur sa queue dressée. Cette vision acheva de me réveiller et me fit cruellement sentir une envie d’être remplie. Rémi, tête rejetée en arrière, bouche entrouverte, haletait, savourant cette lente sodomie qu’il contrôlait entièrement. L’étudiant caressait son torse et ses hanches, ne semblant parvenir à se fixer sur un point du corps, ses mains s’égarant sur Rémi au rythme de son plaisir.
 - Rémi… Mon amour… Tu veux que je te prenne dans ma bouche en même temps ? - Ma puce… ma puce chérie, non, non, c’est juste bon d’avoir une vraie queue qui me pénètre, ça faisait trop longtemps. Tu peux te faire plaisir de ton côté…
 Il commençait à gémir, l’étudiant aussi, je l’entendais réclamer davantage à Rémi et le supplier de l’enculer à son tour. Frustrée, je continuai à me masturber. J’avais envie de Rémi en moi. C’est alors que je sentis un corps contre le mien, dans mon dos. Un des dormeurs s’était réveillé, j’ignorai lequel… Instinctivement, j’écartai les jambes. Une queue glissa entre mes cuisses, une main écarta les lèvres de mon sexe et je fus rapidement pénétrée, dans un ahanement. Je gémis en reconnaissant le sexe d’Arnaud. C’était un con, mais il était membré comme il fallait. Il murmura à mon oreille : « Tu me dois bien ça, après ce que ton mec m’a fait… » Je me laissai faire : Rémi l’avait vu et n’avait rien dit. Il était d’accord. Vu le personnage, je m’attendais à une baise brutale, ce qui m’excitait par avance : c’est ce genre de situation qui nous avait rapprochés, avec Rémi, et conduits à cette magnifique relation. Tandis qu’Arnaud me besognait violemment (en marmonnant que j’étais une bonne pute, un garage à bites), je vis du mouvement du côté des hommes. Rémi allait-il accéder à la demande de l’étudiant ? (son nom m’échappait, il faut dire que lorsqu’il m’avait sodomisée j’avais la bouche pleine de son frère, je n’avais pu le lui redemander)
 - Attends, ne bouge pas trop, laisse-moi faire. Doucement, Ben.
 Ah oui, Ben, Benjamin, le nom de mon gentil enculeur. Rémi s’était soulevé, avait retourné Ben sur le ventre pour entamer une sodomie. L’étudiant avait fiévreusement écarté ses fesses en tendant son bassin vers l’arrière.
 - Oui, prends-moi, s’il te plait, viens te faire plaisir dans mon cul, s’il te plait Rémi…
 Rémi se positionna au-dessous et s’enfonça lentement en lui, le faisant gémir. Manifestement, il l’avait pénétré sans difficulté : son gland avait forcé sans peine l’anus et le reste avait suivi, pénétrant dans le même mouvement le rectum de Ben. Je me mis à haleter et gémir en imaginant ce que devait sentir Ben (qui suppliait, réclamait d’être enculé fort), la queue de Rémi fichée en lui. Cet idiot d’Arnaud crut que c’était pour lui et saisit mes seins.

 - C’est bon, hein ? Tu l’aimes, ma bite, hein ? Elle est bien grosse et te fait bien plaisir, hein ? Tu aimes que je te prenne comme ça, tu es une vraie pute, tu… - Arnaud, tais-toi. Et mets-la moi dans le cul, plutôt.
 Il ne se le fit pas dire deux fois, se retira et m’encula aussi sec. Je geignis un peu mais m’habituai vite : même s’il se montrait brutal dans ses mouvements, j’étais assez dilatée pour qu’il entre facilement.
 - Oh Rémi, il est dans mon cul, comme toi dans Ben, c’est bon, c’est bon !
 Rémi s’activait vigoureusement sur l’étudiant qui gémissait de plaisir et ondulait sous lui pour accentuer la pénétration, en chuchotant :
 - Rémi c’est tellement bon ce que tu me fais, tu me pénètres loin et tu me dilates bien, j’adore ta queue, j’adore ton corps, s’il te plait, s’il te plait, continue à me prendre comme ça, s’il te plait…
 Je m’imaginais à sa place, dominée par Rémi, son érection durcissant de plus en plus en moi, faisant monter mon plaisir. Je commençai à contracter mes muscles sur Arnaud, qui accéléra ses mouvements. Rémi finit par s’immobiliser, planté dans le cul qui s’offrait à lui, puis je le vis trafiquer un moment avant de prendre une position étrange. Je me souvins alors d’un de ses fantasmes : pénétrer et être pénétré, en même temps. Intrigué, Arnaud avait lui aussi cessé de bouger et les regardait faire. Ben était désormais sur le dos. Rémi, au-dessus et face à lui mais tête-bêche, la tête au niveau des pieds de Ben, continuait à le pénétrer. Dans cette position étrange, son pénis ne s’enfonçait pas complètement, même si Ben avait relevé ses jambes pour mieux offrir son cul. Haletant, il saisit la queue de Ben, qui se dressait entre ses fesses, et murmura :
 - Emilie, ma puce chérie, il a une longue bite (oui, j’avais remarqué quand Ben m’avait sodomisée), je crois que ça va marcher…
 Quelques remuements de Ben et Rémi, derniers ajustements, et je vis Rémi enfoncer entre ses fesses la queue de Ben, alors que lui-même pénétrait toujours l’étudiant. Voyant cette lente et progressive sodomie, je gémis longuement, imaginant les sensations pour Rémi, pénétrant et pénétré à la fois, dans et par le même homme. 
 - Oh Rémi, c’est bon mon amour, c’est bon, c’est tellement bon, vas-y…
 J’aurais voulu être lui pour connaitre ça, ce double plaisir. La pénétration d’un gland forçant la contraction de mon anus avant de s’enfoncer dans mon rectum, suivi de la hampe en pleine érection ; une queue longue, épaisse, me pénétrant profondément et me dilatant largement, et en même temps vivre le plaisir de pénétrer moi aussi. Mais avoir moi-même une queue et la sentir serrée dans l’anus de celui qui me sodomisait, percevoir ses contractions sur moi, le pénétrer en même temps... Je n’arrivais pas à me figurer l’intensité du plaisir. J’avais commencé à bouger mon bassin pour mieux sentir moi aussi la queue qui me prenait. Arnaud, silencieux, recommença à m’enculer bestialement. Il avait ramené une main derrière lui : je devinai qu’il se mettait des doigts dans le cul.
 - Oh c’est bon, c’est bon, c’est trop bon dans le cul comme ça…
 Je ne savais plus qui gémissait et suppliait, moi sous les coups de boutoirs d’Arnaud, Ben dont le visage éperdu de plaisir me fixait en suppliant Rémi de continuer, Rémi contrôlant la double sodomie, Arnaud qui prenait son pied en abusant de mon cul et en se masturbant l’anus… Ce dernier finit par me faire basculer sur le ventre et me défonça férocement, griffant mon dos et mes fesses, mordant mes épaules. Je restai passive sous lui, le corps abandonné, geignant le nom de Rémi, en boucle, jusqu’à ce que je sente sa queue gonfler, se contracter et commencer à gicler. Je gémis.
 - Oh Rémi, il jouit, je vais venir aussi, mon amour, Rémi, Rémi, je jouis pour toi… - Vas-y ma puce, ça vient pour moi aussi, je vais juter…
 Tandis qu’Arnaud achevait de me remplir le cul de foutre en étouffant ses cris, je vis les corps de Rémi et Ben se contracter. Rémi gémit longuement, comme moi, tandis que Ben sanglotait de plaisir en balbutiant des supplications inaudibles. Ils finirent par s’apaiser et s’immobiliser, tandis que je jouissais à mon tour, contractant mon sexe sur mes doigts dans ma chatte et mon cul sur la queue toujours raide d’Arnaud. Il bougeait encore convulsivement en moi, ahanant et achevant d’éjaculer.  Je vis le sperme de Ben commencer à s’écouler de l’anus de Rémi, alors que je sentais moi-même la chaleur d’Arnaud, qui m’avait remplie, déborder hors de mon rectum et glisser sur mes cuisses. La position ne me permettait pas de la voir, mais j’imaginais la queue de Rémi, toujours plantée dans Ben, et son foutre coulant. Je me dégageais d’Arnaud, tandis que Rémi se relevait. Il caressa doucement le torse de Ben en l’embrassant, puis nous nous essuyâmes les uns les autres (sauf Arnaud, qui avait bien compris qu’il n’était que toléré dans nos jeux sexuels). Rémi jeta du bois qu’il avait humidifié avec un peu d’eau dans le feu en s’adressant à Ben. « Avec la fumée, tes parents ne sentiront pas les odeurs de sperme. C’est préférable, je pense… » Ben frissonna. « Oui. Tu n’imagines pas ce qu’ils ont pu me dire quand ils ont su… pour… enfin, que moi c’était pas qu’avec les filles, quoi. »
 Ben le prit silencieusement dans ses bras. Nous nous recouchâmes : il n’était que cinq heures du matin, nous avions encore deux heures pour dormir et récupérer un peu. Je me blottis contre Rémi et m’endormis immédiatement.
 
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 Lorsque tout le monde fut réveillé, le petit déjeuner fut assez silencieux : à part les parents des jeunes, nous étions tous passablement fatigués. Une fois les affaires rangées, nous reprîmes la rando, tous ensemble, malgré nos différences de rythme : difficile d’imaginer nous séparer aussi vite. Le circuit bouclé, nous arrivâmes aux voitures. Nous avions définitivement sympathisé avec l’ensemble de la famille et nous continuions à discuter ; Arnaud quant à lui ne s’attarda pas et s’éclipsa rapidement. Nous finîmes par échanger nos numéros avec Ben, sous le regard attendri de ses parents - qui me dirent discrètement, alors que Ben discutait avec Rémi : « Nous sommes bien contents, il est assez discret depuis son adolescence et n’a pas beaucoup d’amis. Toujours dans la montagne, à s’isoler… Ca lui fait du bien de rencontrer des gens comme vous, de la ville. ». Les parents, toujours capables de te mettre la honte, même quand tu es adulte… « Des gens comme nous », hein ? S’ils savaient ! Je leur fis mon plus beau sourire et pris Ben dans mes bras au moment du départ. « N’hésite pas à venir nous voir, quand tu veux. En ville aussi, on sait être sportif ! » Il sourit et me rendit mon accolade. « J’ai vu, oui ! Je n’y manquerai pas… »
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