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Le stage de Clara

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je suis fébrile. J’ai hâte que la cloche sonne pour libérer mes élèves qui n’attendent que cela. Il fait un temps splendide en cette fin juin et pour une fois, cette année, je n’ai pas de corrigé de bac à faire. J’ai deux mois complets de vacance. La sonnerie libératrice retentit, les élèves sortent dans un énorme brouhaha. J’entends quelques-uns qui me souhaitent de bonnes vacances. Je respire, ferme mon cartable et je vais à la salle des profs.
Il y a une dizaine de profs qui discutent. Je dis au revoir à tout le monde et leur souhaite de bonnes vacances. Au moment de repartir, Sonia arrive. J’aime bien cette prof, elle a de la poigne et sait se montrer autoritaire. On se fait la bise et je pars rapidement. J’ai encore un peu de choses à mettre en place avant de partir. Je vais être absente jusqu’aux vingt-cinq aout, il faut que tout soit prêt pour la rentrée.
Aussitôt arrivée à l’appartement, je me dépêche de tout mettre en ordre. Je consulte mon ordi. Aucun message, mon stage commence bien demain. J’ai une appréhension, mais je suis certaine que tout va bien se passer. Je laisse un message sur le répondeur de mon portable, disant que je ne suis pas joignable. Voilà, tout est prêt. J’ai mon billet de train. Je vérifie l’horaire. Mon train est à 5H30. Comme seul bagage, j’ai juste un sac à main avec mes papiers. Je n’ai besoin de rien d’autre.
Je passe dans la salle de bain. Une fois nue, je me regarde dans la glace. Mon visage est fin, un nez aquilin, de petites pommettes, des yeux en amande, une fine bouche. Mes cheveux roux bouclés m’arrivent aux épaules. Mes seins sont gros et tiennent bien. Mes tétons sont percés. J’ai le ventre plat et je suis cambrée. Ce sont les années de danses qui font cela. Mes fesses sont fermes, ma chatte est épilée, mes lèvres sont percées. Mes jambes sont légèrement musclées. J’ai des chevilles fines et des petits pieds, je chausse du 38, ce qui est petit pour mon mètre soixante-dix.Je laisse couler l’eau de la douche longtemps, j’en profite. Je me savonne doucement. Mes doigts s’insinuent entre les lèvres. Cela fait du bien. Je m’arrête, je n’ai pas le temps. Il faut que je dorme, il est déjà onze heures du soir.
Contrairement à ce que je pensais, je me suis endormie rapidement et j‘ai eu du mal à me réveiller quand le réveil a sonné à 4H30.
Je me précipite sur ma cafetière, un bon bol de café, rien de tel pour bien commencer la journée.
Une fois le café pris, j’appelle un uber et je prends mon coffret dans la salle de bain. Je prends les anneaux à l’intérieur, les poses aux tétons et sur les grandes et petites lèvres. Je me regarde encore une fois dans la glace, j’aime me voir ainsi.
Je vais dans mon dressing, passe un soutien-gorge et culotte fuchsia en dentelle, enfile une petite robe d’été sans manches qui m’arrive au-dessus du genou et qui n’est pas trop décolletée, mets des escarpins et une petite veste. Je porte irrésistible de Givenchy.
J’écoute une dernière fois mon portable, j’ai un message.
— Salut Clara, c’est Max... bon dommage, j’aurai bien aimé te voir... une prochaine fois alors... bisous.
J’efface le message et laisse le portable dans le tiroir à la maison.Le uber m’attend. Arrivée à la gare, j’attends sur le quai que mon train arrive. Le trajet n’est pas très long, je dois arriver à 9H. J’en profite pour dormir dans le train, il n’y a pratiquement personne. Je me réveille à 8H30, le stress monte, dans une demi-heure, je serais fixée, je saurais si le stage me convient.
Je descends du train avec mon sac à main en bandoulière. A la sortie de la gare, il n’y a personne. Je m’assois sur un banc qui se trouve au pied d’un arbre et j’attends. Cela fait un bon quart d’heure que je suis là, quand je vois un tracteur avec une bétaillère arriver. Il s’arrête à mon niveau. L’homme sort de sa cabine et vient vers moi. Il n’est pas jeune, il doit avoir 45, 50 ans, mais très svelte. Il a sa tenue de travail, une cote et des bottes. Son regard noir me fait froid dans le dos.
— Tu es Clara ?
Son ton est froid, glacial. Je ne peux faire qu’un hochement de tête. Il prend mon sac à main, ouvre la petite porte sur le côté de la bétaillère.
— Monte.
L’odeur est très forte, j’hésite. Il me met la main aux fesses et me pousse à l’intérieur. Je dois me faire une place au milieu des cochons. La porte est refermée, le tracteur démarre. Je suis bousculée, les cochons se frottent contre mes jambes, j’ai peur de me faire mordre. J’écarte les jambes pour avoir plus d’équilibre et me tiens comme je peux pour ne pas tomber.
Le trajet me semble une éternité. Les cochons n’arrêtent pas de bouger dans tous les sens. J’ai du mal à tenir l’équilibre. D’un seul coup, je me suis retrouvée par terre, la remorque a dû passer dans un nid-de-poule et j’ai été déséquilibrée. Les cochons se sont poussés au moment de ma chute. Je me suis retrouvé les fesses dans le fumier. J’arrive difficilement à me remettre debout. Je suis sale, je pue, j’ai la même odeur que les cochons.Le tracteur s’arrête. J’entends la portière claquer puis plus un bruit. Les cochons sont calmes.
Je n’ai pas de montre, je n’ai aucune idée du temps qui passe. Suis-je restée une demi-heure, une heure dans cette bétaillère ? Je ne sais pas, mais cela m’a paru très long.
Enfin, la porte battante à l’arrière s’ouvre. Le fermier rentre, pousse les cochons et moi en même temps. Je me retrouve dans la porcherie. Les cochons sont parqués dans des box. Le fermier me pousse sans ménagement dans un box. Il est petit avec des murs de 1,50 m de haut. Il n’y a même pas de paille fraiche. Le box a servi pour les cochons avant. La paille est pleine de pisses et de crotte. Le fermier referme la porte avec 4 verrous. Cela fait longtemps que je suis debout, je m’assois et encore une fois, j’attends. Je commence à avoir faim, il ne doit pas être loin de midi.Si je fais le point de la matinée, je n’ai fait qu’attendre. Mon stage démarre bizarrement.
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