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Le stage de Clara

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Je retourne vers mon auge et commence à manger. J’entends des bruits, c’est la fermière qui arrive.
— Ha, ça y est, tu es réveillée.
Je la regarde sans rien dire. Elle lève sa jambe et appuie sur ma tête avec sa botte crottée. Je me retrouve le visage écrasé sur la paille.
— Luc, viens la tenir comme je le fais. Je vais la fouiller. Son maître nous a dit qu’elle n’était pas pleine, mais je préfère vérifier. Avec des salopes comme elle, je me méfie.
C’est au tour de la botte de Luc de m’écraser le visage. Il attrape mes poignets et tire dessus pour me forcer à lever les fesses. Deux coups de cravache sur chaque cuisse me forcent à les écarter.
Les doigts de Solange commencent à écarter mes lèvres.
— Elle est encore trempée. C’est vraiment une salope. J’ai rarement vu cela. Je ne vais même pas avoir besoin de mettre du lubrifiant.
Je sens les doigts entrer, ma chatte s’élargir. La main commence à m’emplir. La fermière fait de petits va-et-vient et progresse de quelques millimètres à chaque fois. Je sens ma chatte accepter cette intrusion. D’un seul coup, la main rentre. La fermière se met à rire.
— Ton maître nous avait dit que tu étais qu’une salope sous tes airs BCBG. Il a raison. Bon, ce n’est pas tout cela, voyons voir si tu es pleine.
La main me fouille, les doigts grattent. Je gémis. La fermière tourne la main dans tous les sens et la retire d’un seul coup.
— Non, elle n’est pas pleine.
Ils sont repartis en me laissant. Je n’ai pas pu jouir. Je me retrouve là, seule, sans même pouvoir me caresser.
Plusieurs jours, plusieurs semaines sont passés. Je n’ai absolument aucune idée de quand on est.
Je suis utilisée tous les jours pour assouvir les besoins des uns et des autres, mais aussi pour travailler dans la ferme.
J’ai constamment des chaînes aux pieds, je suis fouettée régulièrement, je n’avance pas assez vite à leur goût. Mes seuls moments de tranquillité c’est la nuit quand je suis dans mon box et encore.
Une fois, ils m’ont réveillée en pleine nuit à coups de cravache. Une fois qu’ils ont eu fini, j’ai été obligé de sucer la bite du vétérinaire. Quand il a été bien dur, il m’a enculée en disant que mon cul est bien serré. Il est revenu très souvent sous différent prétexte.
Cela n’a pas été le seul. Tout le monde était au courant dans les environs. Les plus dures, ce sont les femmes. Elles doivent être jalouses. Il y en a une particulièrement, son grand plaisir c’est de venir quand je travaille.
Pour travailler, ils enlèvent les poids de mes lèvres et y mettent une grosse chaîne qui traîne par terre. Elle est lourde et je n’ai pas le droit de la prendre avec mes mains. Mon travail consiste à curer le fumier et mettre de la paille fraiche aux cochons. C’est fatigant, sale. Je suis souvent fouettée. Je n’avance pas assez vite d’après eux.
La femme, qui vient le plus souvent, s’appelle Suzanne, et son truc, c’est de bloquer la chaîne avec ses pieds et de me fouetter pour que j’avance jusqu’à ce que mes lèvres soient étirées. Une fois mes lèvres bien tendues, elle prend un pique et s’amuse à appuyer sur mes lèvres. Si je crie, elle se met à rire, un rire cruel. Je suis certaine qu’elle se venge.
Un matin, la fermière arrive et me jette mes vêtements par terre. Elle m’enlève les bracelets, les poids, le collier.
— Habille-toi, ton train est dans une heure.
On est déjà le 25 aout. Je n’ai pas vu le temps passer. Plus exactement, j’ai complètement perdu la notion du temps. Alors que j’enfile ma culotte, la fermière dit :
— ne t’étonne pas si tes sous-vêtements ont des taches. Le vétérinaire adore se branler dedans. D’ailleurs, il l’a encore fait tout à l’heure quand il a su que tu allais partir.
En effet, ma culotte et mon soutien-gorge ont plein de taches et sont encore humides. Cela me fait tout drôle d’avoir des vêtements et des chaussures. Je trouve cela presque insupportable.
Une fois prêtes, je sors de la porcherie. La bétaillère est dans la cour. Au moment de monter dedans, la fermière s’approche, baisse son pantalon et sa culotte.
— Nettoie, Luc vient de me faire l’amour. Le sperme colle.
Je m’agenouille et lèche la chatte poilue et odorante. Le sperme coule. Je lèche bien, insiste sur le clitoris. Sa main appuie sur ma tête. Je continue à la lécher, enfonçant ma langue dans son vagin pour récupérer le plus de sperme possible.
Elle me repousse d’un coup de pied.
— ça suffit. Il faut que tu partes.
Luc ouvre la bétaillère. Je me retrouve au milieu des cochons. Je suis ballotté dans tous les sens. Je suis sûr que le fermier en fait exprès de passer dans les nids de poule. D’ailleurs, je suis tombée deux fois pendant le trajet. Le tracteur s’arrête. La porte s’ouvre.
— Allez, descends, salope. Il me tend mon sac à main et me donne une grande claque sur le cul.— Bien le bonjour à ton maître.
Le train rentre en gare. Je suis la seule à attendre. Je monte dans le train. Il n’y a qu’un voyageur au loin. Je ferme les yeux et repense à mon stage. Il a été particulièrement dur.
On me tape sur l‘épaule. C’est le contrôleur. Il a à peine tapé qu’il se recule en faisant une grimace. Je lui tends mon billet. Il le composte et part rapidement. Je pue. Les seules fois où j’ai eu de l’eau, c’est quand il a plu. A aucun moment, je ne me suis lavée.
Quand j’arrive à la gare, je n’ose pas prendre le métro. J’ai cinq kilomètres à faire à pied. Des gens qui me croisent, se bouchent le nez, font la grimace, me regardent avec dégout. Il y en a même un qui a dit tout haut que je puais la merde, qu’il fallait me jeter dans la flotte et me lavait au balai-brosse. C’est l’humiliation ultime. En fait mon stage n’est pas terminé. Il sera fini quand je serai dans mon bain.
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