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Le stage de Clara

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Arrivée chez moi, je me déshabille et mets mes affaires dans la machine à laver. Je me précipite dans la salle de bain et prends pour commencer une douche. L’eau est noire. Une fois lavée, je fais couler un bain avec de la mousse. Je me coule avec délice dedans. C’est ce qui m’a le plus manqué, de pouvoir me laver.
Après une demi-heure de trempage, je sors de lu bain et me regarde dans la glace. J’ai gardé mes anneaux. Mes seins tiennent bien. Il faut dire que manier la fourche toute la journée, cela aide. Les trous de mes tétons sont nettement agrandis. On peut y passer un stylo. J’écarte les jambes. Mes petites lèvres dépassent nettement. J’enlève les anneaux, les range dans leur boîte et me regarde de nouveau dans la glace. Voilà, c’est ce que je voulais. Des gros trous aux tétons et aux petites lèvres. Des petites lèvres qui sortent et que l’on voit bien. Quand je me ferai baiser, il faudra les écarter pour qu’elles ne rentrent dans ma chatte.
Je mets des barrettes. Il faudra que j’en achète des plus grosses. Celles-ci ne vont aller uniquement sur mes grandes lèvres maintenant. Je m’habille et pars faire quelques courses. Les commerces sont juste à côté de chez moi. Au retour, sur un coup de tête, je m’arrête devant un magasin d’animalerie. Je rentre, fais différents rayons et je prends une gamelle pour chien. Un vendeur s’approche et me demande si je veux faire graver le nom de l’animal, c’est gratuit.
— Mettez, la truie. Ce sera suffisant.
Une fois rentrée, je me fais un super plat de salade, tomate, champignon avec une tartine de pain complet, un vrai bonheur. Je commence à manger, assise à une table avec un couteau et une fourchette, le luxe. Je déguste ce repas, pour moi, c’est un véritable festin. Je digère tranquillement, allongée sur mon canapé. Je me décide à allumer le micro. Pendant que le micro fait ses mises à jour, j’écoute les messages du portable. J’ai plusieurs messages de Max que je supprime allègrement.
Enfin, mon micro s’est mis à jour et je peux en disposer comme je veux. Je vais dans ma boîte mail, passe mon temps à supprimer un nombre incalculable de pubs pour au final n’avoir aucun message.
Je change de boîte, et me connecte à la boîte de Maître Richard. Les fermiers ont envoyé un mail pour demander si j’étais satisfaite de ma soumise. Je souris et leur réponds qu’elle est revenue encore plus docile qu’avant et que le travail effectué sur ses tétons et ses petites lèvres avait porté ses fruits. Je les remerciais pour tout ce travail effectué. Et bien sûr, je signais Maître Richard. Dans quelques jours, je supprimerais cette boîte et les fermiers n’auront aucun moyen de me contacter.
Je n’ai pas de maître ou de maîtresse. Je n’ai pas trouvé la bonne personne, alors, je m’en invente quand j’en ai besoin, c’est aussi simple que cela.Il est tard et je rejoins mon lit avec un vrai plaisir. Je me couche dans des draps propres, dans un lit moelleux. Je m’endors rapidement. Je me réveille vers deux heures du matin, elles me manquent. Mes deux cochonnes préférées me manquent. Je les ai appelées, Sophie et Martine. Les petits grognements, même leurs odeurs me manquent. Je réussis à me rendormir difficilement.
Je vais prendre un vrai petit-déjeuner, des céréales, un jus d’orange. Alors que je suis installée sur la table du salon, j’aperçois la gamelle que j‘ai achetée sur un coup de tête. Je l’ai laissée là, à traîner.
Je prends les céréales et les vide dans la gamelle. J’enlève ma nuisette et me mets à quatre pattes les mains dans le dos et commence à manger. Je fais une grimace, je pense au fermier qui dirait, c’est sec. Alors, je mets au-dessus de la gamelle et urine dedans. Une fois ma vessie vidée, je me mets à manger, mains dans le dos, cuisses écartées. Je sens l’odeur de mon urine mélanger avec les céréales, cela donne un drôle de goût, mais j’avale le tout avec plaisir. Une fois fini, je reste à genoux et je commence à me caresser, enfonçant deux doigts dans ma chatte, l’autre main tirant sur les anneaux de mes tétons. Je jouis vite, c’est presque frustrant.
C’est la première fois que cela m’arrive de me mettre comme cela chez moi. D’habitude, quand je rentre de « stage », je redeviens tout de suite la femme BCBG. Ce stage a été long et m’a réellement changée, je m’en rends compte. Il va falloir que je me reprenne.
C’est le jour de la rentrée des profs, je retrouve avec plaisir mes collègues. Je fais le tour de la salle pour dire bonjour à tout le monde. La proviseure rentre accompagnée de Sonia. Une fois le discours de bienvenue fait, les emplois du temps donnés, nous commençons à discuter. Je rejoins Sonia et la proviseure. Les banalités d’usages sont échangées quand Sonia dit.
— il y a quelque chose de changé chez toi ? — J’ai passé de super vacances, je suis encore dans les nuages. Après une semaine de travail, je pense que j’aurais à nouveau les pieds sur terre.
Sonia sourit et n’insiste pas. Elle s’en retourne et c’est à ce moment que j’entends ses talons. J’ai un frisson. Je l’imagine s’approchant de moi, le bruit ses talons sur le parquet, hum, j’ai envie de lui dire, domine-moi. La proviseure me sort de mon rêve en me demandant si le planning me convenait. Elle est assez grosse, toujours en jupe ou robe qui la boudinent. Elle a une poitrine volumineuse. Je n’aime pas la façon dont elle me regarde. On croirait qu’elle m’en veut, mais je ne sais pas de quoi. Je lui réponds que cela me convient parfaitement. Elle murmure ne cherche pas Sonia. C’est de moi qu’elle s’occupe. Sur ces mots, elle fait demi-tour et s’en va.
Cela fait maintenant un mois que la rentrée est faite. Le rythme est pris. Tous les matins, j’urine sur mes céréales et les mange avec délice. Après m’être masturbée, je vais au lycée. Le soir, je rentre et me mets nue. Le stage de cet été a laissé des traces. Avant, je ne faisais pas cela.
Il faut que je m’occupe de mes vacances d’automne. Après plusieurs jours de recherche, je trouve quelque chose d’intéressant, une randonnée dans le Jura.
Je crée un compte au nom de Master Franck et envoie un message. La réponse ne se fait pas attendre, oui il y a encore de la place et il n’y a pas de frais d’inscription. Il accepte les soumises seules surtout si c’est pour parfaire leurs éducations. Au bout d’une semaine et plusieurs échanges pour m’assurer que je ne me trompais pas, j’envoie un message disant que ma soumise participera et j’espère qu’elle reviendra encore plus docile. Je prends le prétexte du travail pour ne pas l’accompagner. Je précise qu’elle aura avec elle une mallette avec différents objets, plug gonflable, plusieurs sortes de pinces, des poids, deux rosebuds de tailles différentes. Bien sûr, son intégrité physique doit être respectée.
Je suis très excitée à l’idée de faire une rando avec des dominants et soumis. C’est une expérience que je voulais faire depuis longtemps. Et puis, retrouver des gens qui vont me remettre à ma place, j’en ai très envie et j’en ai besoin. Cela me manque de plus en plus. J’ai envie d’être sous la coupe de quelqu’un 24H/24. Je n’aime plus ma liberté. Les deux mois à la ferme m’ont ouvert les yeux. Là-bas, je ne décidais rien, j’étais à disposition. C’est cela que je veux, j’adore ça. Rien que d’y penser, cela me fait mouiller.
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