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Le stage de Clara

Chapitre 6

SM / Fétichisme
Je suis dans ce train qui m’emmène à Saint-Claude, le royaume de la pipe. Arrivée à la gare, je me dirige vers l’auberge de Savoie qui ne se trouve pas très loin. Un petit quart d’heure de marche. J’ai mes chaussures de randos, mon sac à dos. Arrivée à l’auberge, une dame m’indique un petit salon où le groupe se trouve. Je suis la dernière. Les personnes se tournent vers moi avec de grands sourires.
Un homme, 35 ans environ, s’approche.
— Tu dois être Clara ? On attendait plus que toi. Je propose que vous alliez tous vous changer et je vous expliquerais le programme autour d’un verre de bienvenue. J’ai pris un dortoir, je trouve cela plus simple.
Nous allons tous au dortoir. Je sors une robe assez courte et décolletée. Je me déshabille et me retrouve en sous-vêtements.
Une voix féminine dit.
— Ne mets pas de sous-vêtements, juste ta robe.
Je m’exécute. Tout le monde peut voir que je suis annelée. Une fois prête, je retourne dans la salle et m’assois sur un banc à la table. Jean, l’organisateur, revient de la cuisine. Pour le premier couple, l’homme fait au moins deux mètres et a une carrure d’athlète, elle, est beaucoup plus petite, environ 1m60 et est très bien proportionnée. Elle est maquillée avec soin et a des ongles très longs. C’est elle qui m’a dit de ne pas mettre de sous-vêtements. Lui est aux petits soins pour elle. Il a un marcel et un pantalon qui laisse le sexe et les fesses à l’air libre. Il y a un bracelet en cuir à la base de son pénis.
Elle a mis une tenue de cuir et des bottes avec des hauts talons aiguille. La parfaite dominatrice telle que certains se l’imaginent. Elle tient son soumis par la queue et le force à la suivre. Elle s’assoit juste à côté de moi.
L’autre couple est un couple dominant soumis. Elle, c’est une petite boulotte, elle a des yeux vert pâle, c’est ce que j‘ai remarqué chez elle. Ce couple est très souriant. Si on les croise dans la rue, on ne pense pas que c’est un couple qui pratique le bdsm.
Une fois tout le monde installé, Jean présente la rando, nous précise que les trajets sont courts, pas plus de 15 kilomètres et que sa femme, Christine, se chargera des bagages et de toute la logistique. Si quelque chose qui concerne la logistique ne convient pas au cours de la randonnée, Christine sera punie.
Sur ce, il nous sert un apéritif en guise de bienvenue.
Léa, la dominatrice pose sa main sur ma cuisse et me dit :
— on va jouer. Je vais chercher ton clito avec mes ongles, c’est à toi de me guider. Tu écartes bien tes cuisses.

Je sens la main, plutôt les ongles sur mon pubis. Ils descendent en appuyant. Ils arrivent à mes grandes lèvres qu’ils tripotent durement.
— Vous êtes sur mes grandes lèvres, Madame.
Je l’ai dit d’un soupir en grimaçant. Elle rit et enfonce un peu plus ses ongles. Elle les prend, tire dessus, joue avec.
— vous devriez écarter mes grandes lèvres Madame, si vous souhaitez toucher mon clitoris.
Elle me regarde.
— tu es pressée ? Moi, aucunement.
Elle continue à maltraiter mes grandes lèvres. Elle joue ainsi, montant, descendant, griffant. Enfin, je sens ses ongles qui s’insinuent à l’intérieur et touche mes petites lèvres. J’ai les larmes aux yeux. Les trois autres me regardent et ne disent rien. Je suis sûre que cela les excite.
— vous êtes un peu bas, Madame.
Je dis cela en sanglotant. Elle a enfoncé ses ongles dans mes petites lèvres. Elle s’amuse à les tordre. Elle enfonce un doigt dans mon vagin, le ressort en grattant l’intérieur. Là, elle enfonce les ongles dans les petites lèvres, les tire en tournant. Je pousse un petit cri.
— tu es bien sensible. On croirait mon soumis quand je m’amuse avec ses couilles.
Elle lâche mes petites lèvres et remonte en me griffant.
— Vous y êtes Madame.— Je rappelle, dit Jean en regardant ma voisine, qu’il est interdit, je dis bien interdit, toutes sortes de mutilations.
Elle se met à rire.
— Je sais ce que je fais et j’ai trop envie de jouer avec cette femelle toute cette semaine.
En disant cela, elle enfonce ses ongles et commence un va-et-vient.
— C’est une vraie maso, son clito est en train de gonfler alors que mes ongles sont enfoncés dans le capuchon. J’adore, je suis sûre que tu es capable de jouir, cela récompenserait Jean de nous avoir invités. Allez, je t’ordonne de jouir.
Ses ongles continuent à triturer mon clito. Mon ventre bouillonne, je ferme les yeux, ma respiration devient saccadée. J’aime ce qu’elle me fait. La jouissance est là, je la sens monter doucement, enfin je jouis.
J’ouvre doucement les yeux. Je vois l’autre soumise, assise en face de moi, les seins à l’air. Son maître et Jean s’amusent avec ses tétons. Plus exactement, ils s’amusent à tirer, tourner, pincer, claquer les seins et tétons. La main de la soumise est sous la table, je suis certaine qu’elle se caresse. D’ailleurs, ses gémissements me confirment qu’elle se branle.
Cela fait maintenant plus d’une heure que nous marchons. Je vois Céline, l’autre soumise. Elle a un bâillon. Un tee-shirt genre Marcel qui laisse ses seins à l’air, une chaîne relie les tétons, une corde à la base des seins qui les serre. Ils sont violacés. Une minijupe qui laisse voir les plis des fesses. Un gode gonflable dans son anus. Ses mains sont attachées dans le dos. Elle a des chaussures de marche. Je marche à côté d’elle avec exactement la même tenue. Mes seins me font mal, je bave et mon anus est dilaté. A chaque arrêt, un dominant s’amuse à appuyer sur la poire. Le plug gonfle, dilatant encore plus mon anus. Quand nous n’avançons pas assez vite, des coups de martinet sur les fesses pour nous rappeler à l’ordre.
Le soir, je dois faire le service avec Christine. Christine porte en permanence une ceinture de chasteté. C’est Jean qui a la clé. Il n’y a que sa bouche qui est utilisée.
La semaine de rando m’a un peu déçu même si j’ai été utilisée. Il ne faut pas y aller avec des couples déjà formés. Les dominants se sont occupés de moi, mais pas suffisamment à mon gré. J’ai été beaucoup plus souvent spectatrice. Je suis restée sur ma faim. Cela arrive. Un stage qui n’a pas rempli son objectif.
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