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Le stage de Clara

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Je rentre, un peu frustrée. Le train-train quotidien reprend. Je m’ennuie un peu. Je n’éprouve plus de plaisir à faire cours, les profs me cassent les pieds. Sonia est toujours avec la proviseure. J’en suis certaine, Sonia est la maîtresse de la proviseure.
J’en ai eu la confirmation par hasard. Un soir, après les cours, j’étais dans ma classe à préparer mes cours pour le lendemain, j’ai entendu des voix. Je reconnus la voix de Sonia. Elle parlait fort, sec. Son ton n’admettait aucune contradiction. J’écoutais plus attentivement. Sonia demandait à quelqu’un si elle s’était fait baisser ce matin. Je reconnais la voix de la proviseure qui répondit que oui, elle s’était fait baiser par Jean, l’homme de service.
Sonia se mit à rire et dit :
— tu es vraiment une salope, soulève ta robe que je vois ta chatte.
Je me suis arrêté de travailler, déplacer sans faire de bruit pour regarder. La porte était entrouverte, je pouvais voir les deux femmes. Voilà que je devenais voyeuse. La proviseure était à genoux, la robe remontée, les cuisses écartées. On peut voir sa chatte malgré les plis de son ventre.
Sonia lui fait écarter les cuisses en grand. Elle se recule et lui assène un coup de pied sur la chatte. La proviseure se plie en deux quelques instants et se remet de suite en position. Sonia lui donne plusieurs coups de pied. Je vois les lèvres vaginales gonflées, rouges. Sonia finit par s’arrêter. La proviseure est allongée sur le sol. Elle passe sa main sur sa chatte. Sonia la fait mettre sur le dos. Elle soulève sa jupe et s’assoit sur le visage de la proviseure. Celle-ci là lèche tout en se caressant. Elles commencent toutes les deux à soupirer. Je frémis et je m’enfuis. Je ne mélange jamais le sexe et le travail et, là, il fallait que je parte pour ne pas succomber à la tentation.
Je pense de plus en plus souvent à la ferme. Je ne dors plus dans mon lit, mais par terre. Je mange dans ma gamelle. Je me conduis comme une femelle chez moi. La ferme me manque, l’odeur me manque, mes copines les truies me manquent, les insultes me manquent, les coups, les ordres me manquent. Tout me manque. Je ne suis pas à ma place ici. Des fois, en cours, j’ai envie de me mettre nue et de crier, regarder qui je suis, une salope qui adore se faire maltraiter. Je ne suis qu’une pute bonne à baiser. Je n’en peux plus. Après un mois comme cela, ma décision est prise. J’envoie ma lettre de démission au rectorat. Je suis seule. Je n’ai plus de famille, ils sont tous décédés. Je suis libre de choisir ma vie.
La fin d’année civile arrive. Voilà, à partir du premier janvier, je n’ai plus de travail, plus d’appartement. Je passe mon 31 décembre dans un bar, je m’amuse comme une folle. Je me fais peloter par tout le monde. Je suce quelques queues et même une chatte. Je me fais baiser plusieurs fois. Je profite un maximum. Au matin, je me dirige vers la gare. Je suis toujours en tenue de soirée, robe longue. Mes sous-vêtements ont disparu depuis longtemps. J’ai un long manteau et des escarpins. J’ai une petite valise, il y a tous mes jouets dedans. Je suis sereine.
Le train est un omnibus. Il met plus de 4 heures à faire le trajet. Je suis reposée, sors de la gare et marche sur la route. L’air est frais dehors, il ne pleut pas. Je prends un chemin où il y a beaucoup de nids de poule et arrive dans la cour de la ferme. Une jeune femme d’une vingtaine d’années est sur le pas de la porte.
— Maman, il y a quelqu’un dans la cour.
Solange sort, s’arrête et dit à sa fille :
— c’est la salope de cet été. Tu sais, je t’en ai parlé, celle qui n’arrête pas de mouiller et de jouir à chaque fois qu’on la maltraite. Une vraie truie.
Elles s’approchent. Solange m’attrape par les cheveux et les tire en arrière.

— tu es revenue. — Je voulais savoir si vous pouviez me garder à demeure, Madame.— Quand tu es partie, j’ai su que je reverrais. Ça tombe bien, ton box est libre et le véto est là. Mets-toi à poil.
Elle me lâche, je me déshabille le plus vite possible.
— Alors qu’en penses-tu, Jade ?
Jade s’approche de moi, m’inspecte et me crache à la figure. Elle prend les anneaux des tétons et les tourne. Je grimace. Elle insiste, je gémis. Mes tétons me font mal.
— Tu vas en baver, salope. Maman m’a tout raconté. J’ai regretté de ne pas être là, mais je vais pouvoir me rattraper.
Elle claque mes seins. Jusqu’à ce qu’ils soient bien rouges.
— Tu restes mais à nos conditions, sale pute. Je vais m’occuper de toi personnellement. Qu’en penses-tu maman ?— Elle est à toi. Amuse-toi tant que tu veux.
Elle me regarde droit dans les yeux. Ses yeux brillent. Je connais ce regard. Le regard de quelqu’un qui a un nouveau jouet et qui est pressé de jouer avec
— Alors, sale pute, si tu veux rester ici, c’est à mes conditions. Elles sont très simples. Tu m’appartiens et je fais de toi ce que je veux. Es-tu d’accord ?— oui Mademoiselle. Vous avez tous les droits sur moi. Je suis votre esclave. Faites de moi ce que vous voulez.— lèche mes chaussures, qu’elles soient bien propres.
Je me mets à genoux, me baisse et lèche les chaussures en m’appliquant, enlevant la boue avec ma langue.
— On la garde, maman. On va bien s’amuser. — Oui, c’est surtout le véto qui va être content.
Elles éclatent de rire.Jade me donne un grand coup de pied sur les fesses
— allez file dans ton box.
Mon ventre bouillonne. Je me dirige vers la porcherie. En ouvrant la porte, l’odeur me rentre dans les narines. Je fremis de plaisir, je vais rejoindre mes amies, les truies...
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