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Le stage de Clara

Chapitre 8

fin

SM / Fétichisme
J’ai du mal à me déplacer. Ma maîtresse, Jade, me laisse dans mon box. Mon gros ventre pèse. Je suis pleine. J’arrive à mon terme. Alors, je reste dans mon box, comme les autres truies qui sont pleines, elles aussi.

Je porte l’enfant de ma maîtresse. Je suis une mère porteuse. Ma maîtresse, qui a 30 ans maintenant, ne veut pas être déformée par les grossesses.

30 ans déjà ! Quand je suis revenue à la ferme, elle avait 20 ans. Cela fait 10 ans que je suis ici et je ne regrette rien. Je suis une femelle épanouie, heureuse. Quand je suis arrivée, ma maîtresse m’a prise en main.

Je me souviens du premier soir. Après m’avoir envoyée dans la porcherie à coups de pied dans le cul, elle vient dans le box, m’attrape par les cheveux et me gifle plusieurs fois jusqu’à ce que j’aie les larmes aux yeux. Elle m’ordonne de m’allonger par terre, cuisses grandes ouvertes, soulève sa jupe, enlève sa culotte et s’assoit sur mon visage.
Je dois la lécher pendant qu’elle me fouette la chatte avec des orties. Elle me pisse dessus, je continue à la lécher avec enthousiasme. Ma chatte me démange et je sens la douce chaleur montée, j’ai une énorme envie de jouir. Je lèche avec encore plus d’ardeur ma nouvelle maîtresse. Elle jouit et m’éclabousse le visage. C’est une femme fontaine. Au moment de se lever, elle lâche un énorme pet et éclate de rire. Un rire jeune, espiègle. Elle se lève complètement et me marche dessus avec ses bottes. Elle me piétine longuement. Quand elle a fini de me marcher dessus, elle me dit :
— Lève-toi et suis-moi. Tu te déplaces à quatre pattes.

Nous sortons du box et allons dehors, dans le froid. Là, elle m’attache, bras en l’air. J’ai froid, je frissonne. Elle attrape le fouet et commence. Aucune partie de mon corps n’est épargnée. Mes seins, mes fesses, mon dos, mes mollets, l’intérieur de mes cuisses. Elle frappe fort. Je crie sous les coups, mais cela ne l’arrête pas. Par moments, la mèche du fouet atteint mes joues. Je suis en pleurs, matée. Elle reprend son souffle et continue. Je ne sais pas combien ce temps cela dure, depuis combien de temps j’ai les bras en l’air. Enfin, elle s’arrête. Quand elle me détache, je m’écroule à ses pieds et lui dis :
— Je suis votre esclave maîtresse. Je vous obéirai. Quel que soit l’ordre, je vous obéirai, maîtresse.— Bien sûr que tu m’obéiras, tu es là pour ça et à la moindre incartade tu seras punie. Allez, retourne dans ton box et à quatre pattes, comme la truie que tu es.
Je suis retournée à mon box. Je me suis allongée sur la paille. J’ai pris la couverture que Maîtresse a eu la gentillesse de me donner. Elle a simplement dit : — Profite, c’est uniquement pour l’hiver, aussitôt que le printemps sera là, tu me la donneras et tu n’as pas intérêt d’oublier.
Une fois installée, les lumières éteintes, je n’entendais plus que le grognement des truies, j’ai commencé à me caresser, longuement, doucement, passant mes doigts sur les boursouflures que Maîtresse m’avait faites avec le fouet. Rentrant deux doigts dans ma chatte, jouant avec mon clitoris, je jouis sans faire de bruit, longuement, merveilleusement.


Bien sûr pendant toutes ces années, le vétérinaire a profité de mes trous, comme d’autres hommes d’ailleurs. J’ai servi de nombreuses fois. Un jour, Maîtresse est arrivée avec un jeune homme. Immédiatement, j’ai été jalouse de lui. Cela se voyait qu’ils étaient amoureux. Maîtresse s’est approchée et m’a dit.
— C’est mon petit copain, pour lui souhaiter la bienvenue, tu vas le sucer et moi, je vais te fouetter. A genoux et suce-le.

Je m’agenouille, cuisses grandes ouvertes, descends la braguette, sors la bite qui est encore flasque et la prends dans ma bouche.
Maîtresse me fouette le dos, les fesses. Elle frappe fort, les lanières touchent les lèvres de ma chatte me faisant sursauter.
Je m’applique à bien sucer, je sens la queue gonfler. Je lui fais une gorge profonde, toute la bite dans ma bouche. Je lui caresse les bourses. Il éjacule rapidement. J’ai la bouche remplie de sa semence, j’avale avec délice le sperme.
Maîtresse n’est pas contente et me le fait savoir :
— Espèce de truie, tu l’as fait jouir plus vite que moi.
Elle passe sa rage à me fouetter. C’est à ce moment que l’homme parle :
— Tu sais, chérie, c’est surtout de te voir manier le fouet qui m’a fait éjaculer. Tu es très belle en dominatrice, elle, ce n’est qu’un réceptacle.
Il s’approche et l’embrasse goulûment.

Les coups ont arrêté, je ne bouge pas. Je leur tourne le dos, cuisses très écartées.
Il reprend
— Putain, elle a les lèvres qui pendent, c’est incroyable.
Il prend les anneaux et tire dessus. Je gémis, ondule du bassin.
— La salope, c’est qu’elle aime cela.— Je vais te montrer quelque chose, Alban.— Tourne-toi et regarde-moi. Pose tes mains sur tes cuisses.
Je me mets en position
— Prouve-moi que tu es une esclave obéissante. Pour cela tu jouiras quand je t’en donnerai l’ordre. Interdiction de te toucher et tu dois toujours me regarder. C’est compris ?— Oui, Maîtresse.
Je regarde Maîtresse sans bouger.
— C’est sa mouille qui goutte comme cela, demande Alban.— Bien sûr, que veux-tu que ce soit, répond en riant Maîtresse.

Plus Maîtresse me fait attendre, plus je suis excitée. Je vois son regard qui brille, elle sait que je vais lui obéir et jouir aussitôt qu’elle m’en donnera l’ordre, ainsi, elle fait comprendre à Alban que c’est elle qui commande.
L’ordre tombe enfin sec comme un coup de tric : jouis !
Immédiatement je me mets à gémir en regardant Maîtresse droit dans les yeux, mon bassin ondule de plus en plus vite et je jouis très fort. A la fin de la jouissance, je dis :
— Merci Maîtresse d’avoir permis à votre truie de jouir.— Tu vois, chéri, c’est mon esclave, elle m’appartient.
Alban regarde Maîtresse et acquiesce.

Les premières contractions arrivent, elles commencent à se rapprocher.
Maîtresse arrive aussitôt, elle a tout vu à la caméra de vidéosurveillance.
— Lève-toi, tu vas dans la grange, c’est là-bas que tu vas mettre bas.

Je me lève difficilement, me dirige tant bien que mal vers la grange.
Là, tout est prêt, la table de gynéco, les serviettes et il y a le médecin qui est présent. C’est lui qui m’a suivi tout le temps de ma grossesse et bien sûr, il se faisait payer en nature.
Une fois installée, je sens les contractions qui se rapprochent, je pousse.

Je me réveille doucement. Je ne me souviens de rien. J’essaie de me lever, mais tout tourne et me rallonge. J’entends au loin la voix de maîtresse.
— Ne bouge pas, tu as perdu beaucoup de sang. Il faut que tu te reposes.— Et le bébé.— Il va bien. Tu es à l’hôpital, on va te soigner.

A l’hôpital, Maîtresse vient me voir tous les jours. Je suis toujours aussi mal. Les médecins me regardent inquiets. Un soir, la chef médecin vient me voir et me fait savoir qu’il n’y a pas grand-chose à faire, juste des soins palliatifs.
J’essaie de sourire et la regarde.
— Je veux rentrer.

Maîtresse est assise, avec moi dans le box. C’est moi qui ai demandé à être là. Je veux être à ma place jusqu’à la fin.
Maîtresse allonge ses jambes, je bouge ma tête difficilement pour toucher sa peau. Elle m’aide, j’ai sa tête sur sa cuisse. Je lui demande :
— Je voudrais vous lécher maîtresse pour vous remercier.

Maîtresse écarte ses cuisses, s’avance un peu pour que je puisse la lécher. Elle me caresse la tête, je sens des gouttes, ce sont les larmes de maîtresse. Je sors la langue, touche les lèvres, je ferme les yeux et je m’endors. J’entends juste les sanglots de maîtresse et je l’entends dire :
— Tu es ma meilleure amie, je t’aime.
Je fais un sourire et m’endors définitivement.
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