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Stage hôtel

Chapitre 1

Gay
Ce bon moment s’est déroulé il y a déjà quelques années. Je venais d’être reçu au concours d’une des Grandes Ecoles de Paris. Après toutes ces années de "prépa" et de cette réussite, je voulais enfin prendre quelques vacances et partir un peu. Seul souci, je n’avais pas beaucoup d’argent pour cela.
Devais-je travailler et partir ensuite ou essayer de conjuguer les deux de suite ? Après réflexion, j’ai osé envoyer quelques C. V. (Curriculum Vitae), avec un courrier expliquant cette situation.De nombreuses réponses m’acceptaient comme saisonnier principalement en hôtellerie (je pense, sans me vanter, à cause de mes diplômes et parlant quatre langues). Ces courriers me proposaient en général un poste avec de très grandes amplitudes d’horaires et comme toujours dans ce corps professionnel que nous connaissons. J’allais donner ma réponse à l’une d’entre elles, lorsque je reçus un appel d’un directeur d’établissement hôtelier haut de gamme, très compréhensif et surtout très arrangeant. Au lieu de travailler comme les autres tout un mois, (ce qui était évident et normal) pour me payer mon escapade vacancière, celui-ci me proposait de travailler avec une plus grande amplitude de mois jusqu’à mon entrée à Centrale, c’est-à-dire trois mois et d’avoir un temps de travail et un temps de détente-vacances. Cela me convenait tout à fait.
Ce que je souhaitais de la détente, pas forcément de lointains voyages, cela sera pour plus tard, lorsque j’aurai ma situation (c’est ce que je peux faire maintenant).Après cette longue conversation téléphonique avec ce Directeur assez ouvert sur la vie des étudiants, il me proposa de travailler quinze jours (sans repos) et dix jours de repos-congés. Et tout cela avec une rétribution à laquelle je n’attendais pas, nettement plus importante que prévu et nourri, logé. En moi-même, j’étais tout à fait d’accord et heureux de m’octroyer des va-can-ces. Je lui répondis donc dans l’affirmative. Il me proposa des dates et je pus commencer quelques jours après cet échange.
J’étais très content et soulagé après ce long dialogue. Je fis mes bagages et me suis rendu en train rejoindre cet établissement. Le directeur m’avait plus ou moins décrit son établissement. Avec mes parents ou étudiant, nous n’avions pas pu fréquenter cette gamme de lieu de vacances.
Je l’avais averti de mon arrivée. Après un voyage de plus de cinq heures, je suis arrivé en gare de Menton. Dans le hall de cette jolie gare, un homme en costume bleu-marine tenait une pancarte avec mon nom. Que se passait-il ? Je me suis présenté à ce monsieur. Vous êtes monsieur Gérard ? Oui, lui répondis-je. Monsieur le Directeur m’a demandé de venir vous chercher, car l’hôtel est éloigné du centre-ville et mal desservi par les transports en commun. Nous fîmes une petite demi-heure de route pour rejoindre cet établissement hôtelier, Relais et Châteaux style haussmannien de grande classe.
Je fus médusé et presque sans souffle. C’était un établissement de luxe et probablement de prestige. Je n’osais pas descendre de la voiture, je ne me trouvais pas à la hauteur de cette catégorie de lieu de vacances et des personnes qu’il pouvait accueillir en voyant les véhicules sur ce parking ombragé. Mes jambes commencèrent à trembler.
Pour moi, un job de vacances était un petit hôtel tranquille familial comme j’avais connu avec mes parents.Après avoir marché dans l’allée gravillonnée ombragée par des cyprès probablement centenaires, nous arrivâmes sur un large perron, une haute et large porte vitrée s’ouvrit. Le monsieur qui m’avait véhiculé m’invita à rester dans ce vaste et impressionnant hall en marbre et boiseries. Il me dit, restez là, je vais chercher Monsieur le Directeur.
Quelques instants après, un très bel homme d’une bonne quarantaine d’années arriva. Un homme élégant avec des cheveux courts poivre et sel, tel les beaux mannequins, il se présenta tout en me saluant. C’était le Directeur qui m’avait appelé.
Laissez votre bagage ici, me dit-il.Nous nous dirigeâmes dans son bureau. Après quelques phrases échangées ; il me fit signer mon contrat.Et me dit : Le chef de la réception va vous faire visiter notre établissement, ensuite il vous montrera le studio où vous logerez et après, vous irez à la lingerie pour que l’on vous fournisse votre uniforme pour quelques retouches à y faire. Vous ne commencerez pas demain, mais vous serez tout de même payé à partir d’aujourd’hui, vous prendrez votre service pas avant deux ou trois jours, cela vous permettra de vous habituer à l’ambiance de notre établissement, ou interroger monsieur Philippe, le chef de la Réception, et monsieur Henri qui sera votre tuteur durant toute votre période chez nous.
Lors de la conversation le Directeur, monsieur Edouard H. m’informa que je serai pour commencer au Room-service. Un tiers du temps en matinée, et les deux autres tiers en soirée et de nuit. J’ai bien sûr accepté, car monsieur Edouard m’avait embauché dans de bonnes conditions et celles-ci me permettaient plus de congés que je n’avais espéré.

Le surlendemain, dans mon uniforme impeccable, je prenais mes fonctions de room-service dans l’amplitude de vingt-trois heures à huit heures le lendemain.Je découvrais ce qu’était la vie professionnelle. Je ne savais pas que tant de personnes avaient recours à cette facilité d’être servis en permanence et à n’importe quelle heure.Déjà dès vingt-trois heures, j’avais un appel. Ce premier pour une "table" c’est-à-dire un dîner avec boisson. Après quelques recommandations de monsieur Henri, je montais donc ce repas sur la table roulante magnifiquement arrangée et disposée par l’ascenseur de service pour arriver au second étage dans une très belle et vaste chambre. Après avoir frappé, j’avance cette table au milieu de la pièce et pris congé. Ce client (le premier) avec beaucoup de prestance et d’élégance me glissa un billet de cinquante euros (pour le peu que j’avais effectué, je n’en revenais pas) puis je suis redescendu à l’office. A peine arrivé, monsieur Henri, l’agent de maîtrise du service, m’avertit que j’avais une bouteille de Champagne millésimé à monter dans une des suites du troisième. Là aussi, il fallait dresser une table (roulante) avec nappe, seau, verres (coupes en cristal) et mignardises.
Me revoilà parti, pour le troisième étage ; arrivé devant la porte de la suite 355, je toque à la porte en annonçant : "Room-Service". Pas de réponse, je retoque une seconde fois et après quelques minutes, j’entends un vague "oui – oui" je prends mon passe et entre. J’entre dans le mini-couloir, pénètre dans la vaste pièce de la suite puis je n’ose plus avancer. Un couple complètement nu était sur le lit en pleine action.
Le monsieur un peu essoufflé me lance :
— Excuse-moi, mais je suis sur le point de tout lâcher, je ne peux pas m’interrompre.
La phrase à peine terminée, le monsieur positionné derrière son épouse reprend ses va-et-vient frénétiques d’une force incroyable. Je reste pétrifié. La femme est à quatre pattes sur le lit king size et de sa main gauche, se caresse la chatte et pousse des cris d’extase. Elle encourage son mari de continuer :
— Vas y, vas y enfonce, enfonce !
Puis elle se mit à pousser de violents cris successifs de satisfaction annonçant son orgasme au moment où deux puissants jets de cyprine mouillaient le drap. En un éclair, tout son corps se mit à onduler et trembler pendant que monsieur donnait encore de forts coups de reins en criant pour ne par dire en hurlant : "ça v i e n n n n t". Il s’écroula sur le lit. Après encore de courts et furtifs regards, je fis demi-tour, la tête pleine de ces images, sans compter une belle érection dans mon pantalon.

Je sentais que le bout de mon gland mouillait. J’étais un peu troublé par l’attitude très osée de ces clients sans gêne et sans retenue pour recevoir du personnel.A peine arrivé à l’office, mon chef, monsieur Henri m’interroge :
— Tu as l’air tout bizarre Gérard.
Je me sentis rougir et en restant très soft, je lui expliquai en quelques mots la livraison de la bouteille de champagne.
— Oh ! Tu sais, la tâche de room-service te fait voir des choses absolument invraisemblables. Ces clients qui ont beaucoup d’argent se croient presque tout permis, et cela va même jusqu’à te faire des propositions. Avec le service, cela n’est pas possible. Et tout en sachant que de céder est un motif de licenciement immédiat.
Le reste de la soirée et de la nuit furent assez tranquilles avec quelques demandes qui se sont passées normalement et avec beaucoup de reconnaissance de clients bien élevés.Les jours s’écoulaient avec un travail parfois pénible, mais qui me laissait du temps comme monsieur Edouard m’avait gentiment prévenu pour profiter alentour de cet établissement de grand luxe et même certaines de ses installations. Le travail se déroulait normalement tant avec les clients très chaleureux et courtois que le personnel très gentil et prévenant avec moi. Tout se passait bien.
Arriva le quatorzième jour. Sur le tableau du lendemain matin pour sept heures, était programmée une demande de deux petits-déjeuners avec de nombreux suppléments salés-sucrés pour ces petits-déjeuners destinés au premier étage, la chambre 127.
A l’heure dite, me voilà parti avec la roulante (celle-ci était plus grande). Porter le petit-déjeuner à une telle heure et pendant les vacances me surprit. J’allais peut-être les réveiller. Je frappe à la porte, annonçant le room-service, et entendis de suite :
— Oui, oui, Entrez.
Après avoir franchi le petit corridor, j’entre dans l’immense chambre baignée par le soleil. Et là, oui trois hommes entre trente-cinq et cinquante-cinq ans qui s’amusaient. Ils étaient nus. L’un d’eux légèrement poilu par rapport aux deux autres qui étaient plus ou moins épilés aux endroits stratégiques. Malgré tout, j’avance la table à l’emplacement adéquat.
Que voyais-je ?? Le plus jeune, splendide, qui était debout en train de se faire sucer par le plus âgé, un petit peu poilu, qui était donc penché en avant et se faisait prendre par un très bel homme d’une quarantaine d’années, mais surtout avec une queue énorme. Un sexe de quelques vingt centimètres et d’un diamètre impressionnant, presque hors du commun tout luisant !! Cet homme tenait le plus âgé par les hanches pour avoir plus de prise à le pénétrer jusqu’aux couilles.
Et là ! ! Quand tout d’un coup, celui qui pilonnait tourna la tête. Je pus avec étonnement m’apercevoir que c’était monsieur Edouard (le directeur). En me voyant, son rictus se déforma et il devint cramoisi. Car que faisait-il là ? Alors que j’amenai comme les trois jours précédents, les deux petits-déjeuners de ces clients. J’étais complètement stupéfait et étonné. Le propriétaire d’un tel établissement dans la chambre de clients pour une chaude débauche sexuelle. Alors qu’un de ses employés m’avait fait la morale au cas d’une proposition de résidents, le patron licenciait immédiatement. Au lieu de partir de suite, je suis resté planté paralysé, complètement bloqué à regarder ce magnifique spectacle très animé. Le Directeur tenant toujours son partenaire par les hanches, me lança :
— Tu peux regarder.
Et m’invita par un signe de la main de m’approcher quand il ajouta :
— Si tu le souhaites, Tristan peut te sucer aussi. Il a une technique qui est éblouissante, il a une bouche qui est faite pour te mener à une forte éjaculation.
J’avais une trique d’enfer. Ma bosse devait se voir avec ce pantalon d’uniforme un peu ajusté. Mes yeux étaient grands ouverts et fixés sur tous ces beaux sexes. Celui qui se faisait sucer avait un splendide corps bien dessiné, légèrement musclé, épilé aux aisselles et pubis, nonobstant avec une très fine ligne de poils bruns le long du sternum. J’étais statufié, pas devant cette scène, mais par la participation de monsieur Edouard (qui m’avait dit lors de notre communication téléphonique que cette profession était compliquée pour harmoniser sa vie familiale et sa vie professionnelle.
Je me décide à avancer et me dirige vers le jeune beau mâle (qui était debout).Il tendit légèrement sa main et me la déposa doucement sur la bosse de mon pantalon. Même à travers le tissu, je sentais la douceur de ses gestes. Il se pencha vers moi et me déposa un baiser sur la joue ; inconsciemment malgré mon excitation, je n’étais pas à l’aise avec le patron présent et tout proche. J’incline un peu ma tête et la tourne vers Arnaud, il me dépose délicatement ses lèvres sur les miennes et sent sa langue tourner dans ma bouche, et ce fut un très chaud baiser. Pendant ce temps, sa main avait saisi ma bosse et la malaxait. C’était terriblement bon. Pendant ce temps, je sentais des doigts s’agiter sur la ceinture de mon pantalon. C’était le plus âgé qui essayait d’ouvrir mon uniforme. Après avoir ouvert le pantalon et descendu la fermeture éclair de ma braguette, il descendit légèrement mon slip. J’étais terriblement excité. Pendant ce fougueux baiser, je me laissais faire en fermant les yeux.
Je sentis un léger déplacement de l’homme et oh surprise, il avait enlevé la queue du jeune pour enfourner délicatement la bite dans sa bouche jusqu’à mes couilles. Oui, c’était vrai, il avait une manière de sucer assez exceptionnelle. Les sensations se développaient de plus en plus, elles étaient absolument indescriptibles. On ne m’avait jamais fait une telle fellation. C’était bon, très bon. Je commençais à onduler et bouger en donnant même parfois des coups de reins afin que ma bite rentre encore plus profondément. Même avec mon chibre aussi englouti, il arrivait encore à me l’aspirer de ce me fit gémir. J’étais bien. Puis vint monsieur Edouard à côté de moi. J’étais content, j’allais pouvoir probablement lui toucher son énorme queue. On me poussa progressivement et doucement vers le lit. Je me suis allongé sur le dos, les jambes encore à terre.
Et d’un côté, j’avais le beau mâle imberbe avec une bite honorable et des couilles bien serrées rasées et de l’autre côté, monsieur Edouard avec son énorme cylindre de vingt-trois centimètres et d’un diamètre d’à peu près cinq bons centimètres. J’étais bien. J’étais sucé, et masturbant de chaque main la queue de monsieur Edouard et celle d’Arnaud. Je les caressais, je passais mes index autour de couronne et frottais leur frein. Je les sentais vibrer ? Au bout d’une queue, le liquide séminal me mouillait le bout du doigt. Cela semblait leur plaire. Je commençais à avoir chaud, mon sexe se raidissait de plus en plus. Inconsciemment, je dis à mon suceur d’accélérer, je n’en pouvais plus. Mais le cochon, pour me faire languir, ralentissait ses mouvements de va-et-vient de tête et de bouche sur mon sexe qui n’en pouvait plus.
Il avait un art de travailler ma queue à l’intérieur de sa bouche, ce qui me faisait réellement décoller du matelas, je soulevais même tout mon corps et chose qui ne me soit jamais arrivée, j’ai poussé un grand cri lorsque ma semence inondait la bouche de Tristan. Il avala cette quantité inhabituelle et il continua de façon jamais connue d’aspirer ma queue en resserrant un peu ses lèvres et quelques courtes minutes après, j’ai eu un énorme soubresaut lorsque je sentis une puissante giclée venir, puis une seconde, puis une troisième qui me firent hurler et d’un coup, je m’affale sur le lit. (Bien évidemment lors de la toute première éjaculation rentrant ce formidable orgasme, j’avais lâché les queues de mes mains). Et je sentis Arnaud me donner quelques doux baisers, pendant que monsieur Edouard me caressait l’intérieur des cuisses.
Revenu à moi complètement vidé et essoufflé, avec le trop-plein de mon sperme sur le ventre, je voulus masser à l’huile la belle queue de mon patron Edouard.
Cette suite, je vous la raconterai plus tard ainsi que celle vécue d’Arnaud avec un autre exercice.Eudes
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