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Un stage pas comme les autres

Chapitre 4

Hétéro
Un relent de conscience professionnelle pousse Sophie à mettre fin à ce moment divin, et oui, tout ne peut pas être qu’amour frénétique où nos deux corps ne font plus qu’un, la première raison de notre présence reste le travail même si je vois bien qu’elle veut se débarrasser de ca au plus vite. Elle s’habille donc en quatrième vitesse, me poussant à me dépêcher pour partir le plus vite possible.Comme hier donc, nous embarquons à bord du van de l’université et nous nous dirigeons vers le ruisseau sur lequel nous devons faire nos mesures.Sophie est froide pendant ces sessions de travail et ce n’est pas plus mal puisque le travail est vite fait, ce qui nous permet de rentrer au camping juste 3h après notre départ.Sophie me fait remarquer qu’il faut que l’on fasse les courses pour manger ce soir, elle disparait quelques minutes dans la chambre pour se changer, elle ressort avec un petit haut a manche longues et une jupe un peu longue, elle ressemble à une danseuse de flamenco.
— Wah ! Tu es somptueuse dans cette tenue.— Oh ! Tu as toujours les mots pour me flatter.
Je lui prends la main et la fait tourner sur elle-même, histoire de pouvoir profiter de la vue. Elle me lance un grand sourire, signe qu’elle a apprécié mon petit mouvement.Nous voilà donc partis pour le supermarché, j’espère que cela va vite passer parce que je ne veux pas perdre du temps que je pourrais passer dans les bras de Sophie. Et d’ailleurs je lui fais part de ce que je pense et elle est du même avis.
— Oui faisons vite, j’ai hâte de rentrer pour te montrer la petite surprise que je t’ai préparé…— Une surprise ? Tu penses que je n’en ai pas eu assez avec tous ce que tu m’as fait vivre jusqu’à aujourd’hui ?— Bien sûr que non, il y a encore tellement de choses que j’ai envie de faire avec toi, tout plein de choses que je n’ai jamais pu faire avec mon mari. Tu comprends, j’ai en quelques sorte envie de rattraper le temps perdu.— Et j’ai envie de faire ça avec toi, en fait je crois que je pourrais faire n’importe quoi pour toi.— Tu es tellement adorable Antoine. Je t’aime.— Moi aussi je t’aime Sophie.
Nous arrivons rapidement au supermarché qui ne se trouve en fait qu’a quelques minutes du camping. Nous naviguons dans les différents rayons, je pousse le chariot et Sophie s’occupe de mettre dedans tout ce que nous aurons besoin pour les prochains jours. Au détour d’un rayon vide de monde Sophie se retourne brièvement vers moi et soulève furtivement sa jupe et offre à ma vue sa magnifique toison brune, objet de tous mes désirs. Elle ne satisfait mon plaisir visuel que quelques instants puis elle laisse retomber sa longue jupe avec un petit rire malicieux. Elle recommence cela deux ou trois fois pendant notre shopping, comme pour me mettre en conditions pour sa petite surprise.En une petite demi-heure les courses sont bouclées et nous pouvons alors retourner au camping.
— Alors comme ça tu ne portes plus de culotte quand on sort du camping.— Oui j’ai décidé que pendant notre séjour j’allais limiter le port des culottes. Et puis je vois bien que ça te plait, ton regarde et ton petit sourire en coin ne trompent pas.— Oui j’avoue que te voir comme ça, ça a un effet positif sur un de mes membres.— Coquin va !

Pendant le trajet de retour je ne peux pas m’empêcher de la regarder, elle est tellement belle que mon regard ne peut pas se détourner d’elle.
— Pourquoi tu me fixe comme ça ? Ça me gêne.— Parce que tu es belle, c’est tout.— Oh tu exagère, tu me trouves belle parce que tu es amoureux.— Nan, je suis amoureux parce que tu es merveilleusement belle.— Parfois je me demande ce qu’un homme aussi parfait que toi fait avec une femme comme moi.— Ne dis pas n’importe quoi.— Bah c’est vrai, tu es jeune, tu es beau. Tu pourrai avoir toutes les filles que tu veux, mais au lieu de ça tu es avec moi, une femme de 34 ans avec deux enfants.— Pourquoi je voudrais d’une minette alors que j’ai la plus belle des femmes qui m’aime. Surtout en sachant ce que tu risques en étant avec moi.— Je m’en rends compte de plus en plus que j’ai beaucoup de chance de t’avoir.
Ca me touche beaucoup qu’elle me dise ça car notre histoire bien qu’un peu atypique de par nos positions respectives compte énormément pour moi et j’aurais du mal à retrouver une histoire d’amour comme celle-ci si elle venait à se terminer.
Nous arrivons sur les coups de 19h à notre bungalow, pendant que je range les courses Sophie commence à préparer le repas. La cuisine n’est pas très fonctionnelle alors Sophie se contente d’un simple plat de spaghetti bolognaise que nous dégustons en tête à tête tel deux amoureux, ce que nous sommes d’ailleurs. Une fois englouti ce délicieux repas nous nous installons sur le canapé, blotti l’un contre l’autre devant un bon film. Après tous les moments intenses que j’ai passé avec Sophie, c’est la première fois que je me pose comme ça avec elle, elle est tout simplement dans mes bras sans aucune arrière-pensée. Je profite de chaque instant de ce moment, bizarrement plus que quand je lui fais l’amour, je suis un peu rassuré de voir que nous avons de la complicité et de la tendresse même dans les moments les plus simples, j’avais vraiment peur que cette attirance que l’on a l’un envers l’autre ne soit dû au sexe uniquement, mais ça va bien au-delà de ça.
Après deux heures de câlin, de bisous et de tendres caresses, Sophie se lève et m’annonce qu’elle va prendre une douche. Chose assez inhabituelle vu l’heure qu’il est, elle se défait alors de mon étreinte et s’éclipse dans la chambre, elle ressort quelques minutes plus tard vêtu uniquement d’une serviette. Derrière cette annonce je voyais une invitation, je m’apprêtais donc à la rejoindre mais à peine avais-je levé mes fesses du canapé que Sophie avait refermé la porte de la salle de bain derrière elle et fermé à clef cette dernière. Un peu surpris par ce qu’elle vient de faire je me rassois bien tranquillement dans le canapé.Une demi-heure plus tard, Sophie sort de la salle de bain, toute fraiche, une serviette sur la tête et une autre sur le corps, elle passe furtivement dans le salon pour entrer de nouveau dans la chambre. Je ne pense pas à la rejoindre, me disant que si elle veut que je vienne elle me le fera savoir, je reste donc devant la télé, ayant pour seul plaisir de sentir le doux parfum que Sophie a laissé sur son passage.Quand le poignet de la porte se met à bouger je ne sais pas à quoi m’attendre, pourquoi tout ce cirque et en plus à cette heure ?La porte s’ouvre doucement, comme pour me faire saliver avant l’arrivée d’un plat savoureux.La porte s’ouvre enfin entièrement et là, les mots me manquent, je me demande la tête que je fais au moment où je découvre Sophie. Elle porte un ensemble de lingerie tout ce qu’il y a de plus sexy, un soutien-gorge noir et rose légèrement ouvert au niveau des tétons, un porte jarretelle de la même couleur vient s’ajouter, avec des bas résille, et enfin une culotte un peu spéciale vient compléter l’ensemble. De face, la culotte a l’air d’une culotte normale, bien que plus sexy que ce qui se porte normalement, mais quand Sophie se retourne je remarque qu’elle est totalement ouverte à l’arrière, laissant apparaitre donc les fesses rebondies de Sophie. Sophie porte également des escarpins vernis noirs avec des talons vertigineux, galbant ainsi ces jambes. Elle est tellement désirable dans cette tenue que j’aimerais la prendre en photo sous toutes les coutures afin de pouvoir revivre ce moment encore et encore. Elle s’approche de moi avec une démarche lascive et terriblement sexy, lentement je la vois se rapprocher de moi et plus elle s’approche plus la déformation dans mon pantalon se fait imposante. Arrivé à moi elle dépose un délicat baisé sur mes lèvres avant de porter son attention sur la déformation qui se trouve dans mon entre-jambe. Lentement elle défait la fermeture éclair de mon pantalon afin d’en faire sortir l’objet de tous ses désirs, ce qu’elle arrive à faire assez rapidement malgré tout. Un léger va et vient avec sa main et bientôt je vois ma bite disparaitre dans la bouche de Sophie, elle s’est perfectionné dans cet art au fil de nos ébats amoureux, si bien que maintenant elle arrive à faire ce que l’on appelle communément une gorge profonde, à mon plus grand plaisir.Elle s’arrête un instant et me regarde dans les yeux, j’en profite pour lui poser une petite question.
— Alors c’était donc ça ma fameuse surprise ?— Oui et non, en fait ce n’est qu’une partie de ta surprise.— Ah bon ? Et bien rien qu’avec ça je suis comblé mais si ce n’est pas tout j’ai hâte de découvrir ce qui m’attend.— Tu ne vas pas être déçu, crois-moi…
Sur ces mots elle se lève et se dirige vers la porte de la chambre, elle se retourne furtivement et me fait un geste du doigt pour que je la suive. Ce que je m’empresse de faire après m’être débarrassé de mes vêtements. Elle m’attend à côté du lit et je remarque qu’elle cache quelque chose dans le dos et ça m’intrigue.
— Qu’est-ce que tu caches derrière ton dos ?— Ah ça t’intrigue ?— Bien sûr !
Elle me dévoile l’objet caché et je dois avouer que je ne comprends pas tout de suite de quoi il s’agit. Je m’en rends vraiment compte au moment elle me tend l’objet. Il s’agit d’un lubrifiant anal. Je n’en crois pas mes yeux, avec cela Sophie m’invite clairement à croquer le fruit défendu.
— Tu es vraiment sûre de vouloir faire ça ?— Je t’avais dit que je voulais partager des choses avec toi, et j’ai envie de découvrir cela avec toi.— Comme tu peux le deviner ce sera une première pour moi.— Oui je me doute, et comme ce sera une première pour moi aussi on sera tous les deux dans le même cas. Tu as voulu que ce soit moi qui soit ta première expérience sexuelle et moi j’ai envie que tu sois ma première expérience anale, c’est pour ça que je suis passé dans la salle de bain, je me suis en quelque sorte laver pour que tout se passe dans les meilleurs conditions. Ça peut te paraitre un peu bizarre mais c’est quelque chose auquel j’ai réfléchis et dont j’ai envie.— Je ne sais pas quoi dire, a part que j’ai aussi envie de partager ça avec toi. Je suis touché que tu ais envie de m’offrir une telle expérience.
Elle se met à quatre pattes sur le lit, ses fesses rebondies toutes offertes à moi. Je la sens excité et nerveuse à la fois. Je m’approche d’elle, le sexe en direction de la rondelle toute rose de Sophie et le tube de lubrifiant à la main. Je commence à masser légèrement ses fesses et à caresser sa chatte à travers sa culotte pour la mettre en condition pour ce qui va suivre. Un peu machinalement j’ouvre le tube et prends une noisette du lubrifiant pour l’appliquer entre les fesses de Sophie en insistant sur son anus, au passage de mon doigt Sophie frémis légèrement. Pour y aller progressivement, et ainsi ne pas faire mal à Sophie, j’introduis lentement un doigt dans son anus, et elle frémit de plus belle au fur et à mesure que mon doigt disparait entre ses fesses. Sophie ferme les yeux et profite de ces nouvelles sensations, une fois qu’elle s’est habitué à la présence de mon doigt en elle j’en introduis un autre en plus du premier et elle émet son premier gémissement de plaisir. Ne pouvant plus tenir devant ces fesses qui m’appellent je retire mes doigt et enduit mon sexe de lubrifiant pour pouvoir moi aussi profiter de ce nouveau plaisir coupable.
— Tu peux y aller, je me sens prête. Mais vas-y doucement s’il te plait.— Ne t’inquiète pas, tout ce qui compte c’est ton confort et ton plaisir. Si jamais tu ressens de la douleur ou quoi que ce soit, dis le moi et j’arrête immédiatement.
Sophie, touché par mes mots me réclame un baiser avant que l’on ne s’aventure vers de nouvelles sensations.Je présente alors ma bite devant la petite rondelle de Sophie, et doucement je la pénètre. Sophie ne montre aucun signe d’inconfort, c’est même le contraire puisque, quand je me retrouve totalement en elle, elle gémit de plaisir, comme si ce n’était pas son anus que je pénétrais mais sa chatte. Voyant bien que Sophie est à l’aise je décide d’augmenter un peu la cadence de mes pénétrations, et pour qu’elle ressente le maximum de plaisir je décide de lui caresser frénétiquement son clitoris.Pour ma part, les sensations sont incroyables, je sais que je n’ai pas beaucoup d’expérience dans ce domaine mais ça dépasse de loin tout ce que j’ai pu faire avec Sophie. C’est quelque chose de totalement nouveau et inattendu et je profite de chaque pénétration que je peux faire. Emporté dans ma frénésie je ne me rends pas compte tout de suite du rythme soutenu que j’impose à Sophie puis je me rappelle que c’est quelque chose de nouveau pour Sophie et que je pourrais lui faire mal, je ralentis alors la cadence pour être plus tendre avec Sophie. Avec les nombreuses fois où j’ai fait l’amour avec Sophie je commence à savoir à quel moment elle va jouir, je sens d’ailleurs que ce moment arrive, les gémissements de Sophie se font plus réguliers et plus intenses, elle finit par se cambrer et agrippe ma main avant de jouir dans un râle puissant et terriblement érotique. Comme presque à chaque fois Sophie éjacule de manière impressionnante de longs jets de cyprine qui inondent le lit, je dois avouer être assez fier d’avoir fait jouir Sophie pour notre première relation anale, surtout que je vois bien sur son visage que cette expérience a été un régal pour elle. Sophie a l’air assez épuisé par toute cette excitation, mais je ne compte pas m’arrêter là, à peine a-t-elle eu le temps de se remettre de ses émotions que je la retourne d’un geste pour la mettre sur le dos, elle est surprise par ce que je viens de faire et en une fraction de seconde mon sexe se retrouve en elle, accompagné d’un cri de plaisir de la part de Sophie. Encore sous l’excitation de l’orgasme que je viens de lui offrir, Sophie jouit une nouvelle fois, je suis alors complètement trempé, Sophie est d’ailleurs extrêmement gênée par ce qui vient de se passer. En ce qui me concerne je ne tiens pas plus longtemps et je finis par lâcher une quantité impressionnante de sperme dans le vagin de Sophie, j’ai l’impression que c’est la plus grosse éjaculation que j’ai fait jusqu’à maintenant.Je m’effondre à ses côtés, tout transpirant et la respiration haletante, Sophie se blotti contre moi et m’embrasse tendrement.
— Merci pour ce moment. C’était magique, je n’aurais jamais pensé que ça pouvait être aussi intense.— Oui c’était incroyable. J’avais jamais vécu un truc pareil. Tu voulais me faire une surprise et je pense que tu ne pouvais pas plus me faire plaisir.— Je suis vraiment contente d’avoir pu partager ça avec toi. C’est un peu comme si tu m’avais pris ma virginité, et ça me plait assez.
Ce moment de calme nous incite à parler de tout et de rien, de nos vies, de ce que l’on compte faire après ce séjour, ce sera un dur retour à la réalité où nous ne serons qu’amant, vivant cachés de nos amis et de notre famille.Au fil de la conversation j’en viens à aborder le sujet des enfants de Sophie, elle ne m’en a jamais parlé et j’ai envie d’en savoir plus puisqu’avant d’être ma petite amie cachée c’est une mère.
— Pourquoi tu ne me parles jamais de tes enfants ?— Je ne sais pas, peut-être parce que j’en ai jamais eu l’occasion et puis je ne voulais pas t’embarrasser avec ça. Mais tu voudrais que je t’en parle ?— Ouais, je suis un peu curieux, je veux en savoir plus sur ta vie.— Et bah alors, j’ai deux enfants, deux filles. Morgane, qui a 10 ans, et Julie qui a 7 ans.— Tu les as eus assez tôt en fait.— Oui, quelques années après avoir été embauché au laboratoire de l’université. J’avais envie de former une famille depuis assez longtemps et mon mari en avait aussi envie, du coup c’est allé assez vite. — Et tu n’en veux plus d’autre ?— Je dois dire que j’aimerais bien oui, j’ai très bien vécu mes grossesses alors la maternité est quelque chose que j’ai vraiment aimé mais tu sais je suis un peu vieille pour ça maintenant et puis je ne pas que mon mari serait vraiment d’accord avec ça.
On en vient à parler de ce qu’on pourrait faire pendant le reste des vacances et surtout pour l’année prochaine, quand je passerais en troisième année de licence. Sophie a une idée qui me parait irréalisable mais plus elle m’en parle plus j’y crois.
— Tu pourrais prendre un appart pour la prochaine année scolaire, ça nous permettrai de nous voir en toute discrétion.— Ça me parait difficile, mes parents voudront jamais me payer un appart, et puis je pense même pas qu’ils aient les moyens.— Je pourrais t’aider un peu financièrement, et puis je pense que je peux t’avoir un petit job au laboratoire, quelque chose de pas très contraignant.— Dans ces cas-là ça peut marcher, surtout avec les aides au logement.
J’y crois vraiment, et ce serait vraiment le rêve, avoir mon propre appart où Sophie pourra venir me rendre visite pour que nous passions de tendres moments à deux comme ceux que nous vivons dans ce camping.Nous nous endormons finalement au bout de plusieurs dizaines de minutes de discussion, blottis dans les bras l’un de l’autre. Inconsciemment je savoure cette dernière nuit puisque le lendemain nous devons rentrer chacun de son côté, fini l’ambiance de couple, retour à la dure réalité.
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