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Un stage pas comme les autres

Chapitre 5

Hétéro
C’est en réalité le sixième chapitre de l’histoire, suite à une fausse manipulation le cinquième chapitre de cette histoire a été publié sous le nom "Amour secret avec ma tante" chapitre 4. Bonne lecture.Ca y est, après 3 ans d’études à Montpellier je décroche enfin mon Master, c’est à ce moment-là que je pense retourner sur Amiens, mais quelque chose m’en empêche. J’ai reçu une offre d’une entreprise pour travailler chez eux, chose que je ne peux refuser. Et donc je travaille dans cette boite pendant 7 longues années, et viens le moment où je pense avoir fait le tour du poste que j’occupe. Je décide donc je démissionner et de revenir dans ma ville d’origine : Amiens. Cette décision surprend mes parents, mais ils comprennent que je veuille revenir dans cette ville et ils pensent que je trouverais facilement un travail. Grace à l’argent que j’ai accumulé pendant mes années à Montpellier je peux me payer un appart pendant une durée confortable avant de retrouver un travail. Après m’être installé, la première chose que je fais est recontacter mes amis et je décide de les rejoindre dans un café du centre-ville. Alors que je les rejoins, je déambule un peu dans les rues de cette ville que je redécouvre, 10 ans après être parti contre mon gré. Mon regard est attiré par une femme, de dos elle me fait étrangement penser à Sophie. Eh oui, je pense toujours à Sophie, j’avais même envie de la recontacter après être revenu sur Amiens mais je me suis dit qu’après 10 ans elle avait tourné la page et qu’elle vivait à nouveau l’amour avec son mari. J’avais donc peur qu’elle m’ait oublié et qu’elle ignore mes appels. Cette femme me fait penser à Sophie, de dos je ne vois qu’elle, ces longs cheveux, et surtout ces fesses dont je me souviens dans les moindres détails. Mais la probabilité de la croiser est vraiment trop faible, ça ne peut pas être elle.
 Je passe alors mon chemin sans me retourner, mais quelque chose va me pousser à le faire. J’entends une voix de femme crier mon nom.
— Antoine ?
 Je reconnais cette voix, je me retourne, et, incroyable je reconnais Sophie, presque comme dans mes souvenirs, mais je ne la reconnais pas dans sa manière de s’habiller. Elle est toujours aussi belle mais lorsque je l’ai quitté il y a 10 ans elle était la plus féminine des femmes que j’avais rencontré dans ma vie, toujours bien coiffé, bien maquillé et habillé de manière sexy et chic. Cette Sophie, je ne l’ai pas retrouvé à ce moment-là, 10 ans plus tard. Elle a remis ses vêtements pratiques et informes qu’elle avait au début de notre relation. J’en conclus qu’elle est retournée à sa vie tranquille et son train-train quotidien avec son mari et cela ne m’étonne pas du tout.
— Sophie ? C’est toi ? -         Bah oui bien sûr !
 Sans la moindre hésitation elle me saute dans les bras, comme si on s’était quitté hier, à ce moment-là je m’attends presque à ce qu’elle m’embrasse, mais elle se contente d’un petit bisou sur ma joue que je lui rends volontiers.
— Ca fait tellement longtemps !!  Qu’est-ce que tu as changé ! Par contre tu es toujours aussi beau. -         Et toi tu es encore plus belle que quand on s’est quitté. -         Ne dis pas n’importe quoi, je ne ressemble plus à celle que j’étais devenu pour toi. -         Peut-être mais je te trouve plus belle. 
 Nous nous embarquons alors dans une conversation sur ce qu’il s’est passé pendant ces 10 ans. Evidemment elle reçoit un coup de fil qui interrompt nos retrouvailles.
— Je suis vraiment désolé mais je dois partir, je dois rentrer chez moi— Dommage, j’aurais bien aimé rester avec toi encore un peu. Est-ce que tu es disponible demain pour qu’on prenne un café en ville ? On pourra discuter plus tranquillement. -         Ce sera avec grand plaisir, j’ai déjà hâte.
 Pour me dire au revoir Sophie m’embrasse sur la joue mais le bout de ses lèvres entre en contact avec les miennes pendant un bref instant, mon cœur fait un bon dans ma poitrine.  Je n’en reviens pas, pour l’une des premières fois où je sors dans Amiens je croise la femme qui habite mon esprit et mon cœur. A présent je n’ai qu’une chose en tête : reconquérir Sophie et reprendre notre histoire où nous l’avions laissé. J’étais bien absent avec mes amis, je ne pensais qu’à Sophie et j’avais hâte de savoir ce qu’elle avait fait pendant ces 10 ans. Le lendemain nous avons rendez-vous dans un petit café du centre-ville, je n’ai surtout pas envie d’arriver en retard donc je me dépêche de me préparer et j’arrive un peu en avance, je m’installe donc à une table en terrasse. Après quelques minutes d’attente je sens une main se poser sur mon épaule, je me retourne et ma mâchoire manque de tomber tellement je suis bouche bée. C’est Sophie, elle s’installe devant moi et la femme peu féminine que j’ai vu hier a disparu, elle a fait place à la Sophie que j’ai connu, sexy et désirable. Elle porte une sublime robe rouge avec un décolleté vertigineux où je ne me prive pas de plonger mon regard, ses cheveux détachés et maquillée, elle est juste sublime.
— Alors, comment tu me trouve ? Je te plais ? -         J’ai pas de mots. -         Je prends ça pour un oui alors. -         Alors, comment ça va toi ? -         Et bah maintenant que tu es là ça va beaucoup mieux, je dois avouer que j’ai attendu que tu reviennes pendant très longtemps mais je n’osais pas t’appeler, je pensais que tu allais me rejeter. -         J’ai hésité moi aussi à t’appeler, mais je pensais pareil, que tu allais m’ignorer. -         Mais alors qu’est ce qu’il s’est passé pour que tu reviennes à Amiens ? -         Bah j’ai quitté mon boulot que j’avais à Montpellier parce que je voulais revenir aux sources, et j’avais en tête un petit espoir de reprendre contact avec toi. -         C’est dommage que tu ais quitté ton travail mais d’un autre côté je suis contente que tu sois de retour ici. Je n’en crois toujours pas mes yeux de t’avoir croisé de cette manière dans la rue. -         Pareil pour moi, c’est la dernière chose que je pouvais imaginer en partant de chez moi, et ça rend nos retrouvailles encore meilleures, comme si c’était notre destin de se retrouver après toutes ces années. -         C’est vrai tu as raison. -         Et malgré ces 10 années passées loin de toi j’ai l’impression de ne jamais t’avoir quitté. J’espère que tu me pardonneras un jour de t’avoir abandonné ainsi. Je t’aime plus que tout au monde et je ne te perdrais pas à nouveau, je t’en fais la promesse. -         Ton départ a été très éprouvant pour moi, je ne vais pas te le cacher, mais maintenant que je t’ai à nouveau à mes côtés je ne peux plus t’en vouloir. Mes sentiments n’ont pas changés, je t’aimes autant qu’il y a 10 ans, et ce sentiment ne fera que grandir maintenant que tu es là. -         Ca me rassure un peu ce que tu me dis, mais je ferais tout au quotidien pour effacer cette peine que je t’ai fait subir. -         C’est incroyable qu’après dix ans, nos sentiments l’un pour l’autre n’aient pas changés. -         Pour moi je ne pouvais trouver meilleure compagne. Pourquoi chercher quand on a déjà trouver la perfection ? -         Tu veux dire que tu n’as pas eu de copines pendant tout ce temps ? -         J’ai rencontré quelques filles mais je n’ai jamais retrouvé la perfection de la relation que j’avais avec toi. Et toi, avec ton mari, comment ça se passe. -         Et bien nous avons divorcés il y a 6 ans. -         Je suis désolé, ce doit être de ma faute. -         Nan tu n’as pas à te sentir coupable de cela, c’était inévitable, tu n’as fait que m’ouvrir les yeux sur la relation que j’avais avec mon mari. Après que tu sois parti les choses n’ont pas changés entre nous, il a été de plus en plus froid avec moi et mes filles, s’isolant progressivement. Jusqu’au jour où il a sèchement mit les choses au clair avec moi. Il m’a avoué qu’il me trompait depuis plusieurs années avec une jeune fille dont il était le professeur. Je n’ai pas vraiment réagit à cette annonce étant donné que j’avais vécu la même situation. Et je pense que mon manque de réaction a motivé sa demande de divorce. -         Et alors depuis ce temps-là tu n’as pas eu d’autres fréquentations ? -         Nan, depuis que j’ai quitté mon mari je suis désespérément seule. -         Et tu n’as pas eu des aventures d’un soir ? Juste pour le sexe ? -         Nan, je n’ai pas eu de relation depuis plus de 9 ans… -         9 ans ? Mais comment tu fais ? -         Et bien c’est assez compliqué et honteux. -         Tu ne veux pas m’en parler ? -     Si mais je préfèrerais qu’on soit seuls pour en parler. Est-ce que ça te dirait de venir boire un café chez moi pour qu’on parle plus intimement ? -         Oui bien sûr, je te suivrais où tu voudras. Maintenant je ne te quitte plus.
 Elle m’emmène donc chez elle, après quelques kilomètres en voiture elle se gare dans l’allée d’une petite maison. Elle me fait entrer et après une rapide visite des lieux on s’installe dans le salon. 
-          Bon je vais te dire un peu ce qu’il s’est passé après mon divorce. Donc après mon divorce je me suis retrouvé avec la garde de mes 4 filles, j’ai dû chercher une petite maison pour qu’elles puissent grandir dans un bon environnement. Durant cette période je pensais en priorité à mes filles, mettant un peu mon bien être de côté. 
 Pendant cette période je ne prenais pas trop soin de moi, je me laissais un peu aller, évidemment au début mes filles ne faisaient pas trop attention à ça, mais quand ma plus grande fille a commencé à s’intéresser à la mode et aux garçons elle a remarqué petit à petit que ma vie amoureuse était au point mort et qu’à cause de ça je ne faisais plus attention à moi. Et à partir de là on a commencé à se rapprocher, on discutait pendant de longs moments, on est devenu très complices, à parler des garçons que l’on voyait dans la rue ou à la télé. Elle m’a alors encouragé à rencontrer des hommes, j’ai essayé mais au fond de moi je ne pensais qu’à toi et je ne me voyais pas me mettre en couple avec un homme, surtout que j’aurais été déçu au niveau sexuel. J’écoutais avec attention le récit de Sophie, ce qui lui été arrivé pendant ces années m’intéressait beaucoup.
-         Je lui ai donc raconté notre histoire, elle a d’ailleurs été très surprise d’apprendre que j’avais eu un amant alors que j’étais encore avec son père mais quand elle a su ce que son père faisait de son côté elle m’a vite pardonné. Je lui ai raconté absolument tout de ce qui nous été arrivé. Il nous arrivait de parler ouvertement de sexe, ce n’était pas un sujet tabous entre nous deux. Je lui ai donc raconté à quel point les jours que j’avais passé avec toi ont été révélateur non seulement de mes sentiments mais également de ma sexualité. Au moment où j’en ai parlé avec Morgane je suis peut être entré un peu trop dans les détails mais elle en demandait toujours plus. Si bien qu’au fil de la conversation nous nous sommes rapproché physiquement, et c’est alors que tout a basculé.
 A ce moment de son histoire je m’attendais à tout, à vrai dire je n’avais pas encore rencontré ses filles mais apparemment la plus âgée avait déjà une description de moi assez poussé puisque Sophie lui avait raconté quelques détails de mon anatomie. J’appréhendais donc encore plus ce premier contact avec les enfants de la femme que j’aime.
-          La suite de l’histoire va peut-être te choquer donc j’aimerais que tu ne me juge pas s’il te plait. -         Quoi que tu puisses me dire je ne te jugerais pas et je resterais à tes côtés quoi qu’il arrive. -         Alors que je racontais en détails nos ébats à ma fille, déjà rien que cette phrase peut choquer, j’ai un peu honte. Donc comme je le disais avant, en racontant notre histoire, ma fille se rapprochait doucement de moi, je sentais qu’elle m’écoutait religieusement et qu’elle buvait mes paroles presque comme si elle était avec moi pendant l’histoire du camping. Nous nous sommes alors rapprochées physiquement, tout a commencé avec un baisé que Morgane a spontanément déposé sur mes lèvres alors que je lui contais mon récit. J’ai eu un petit recul dans un premier temps, surprise par ce mouvement. Mais après quelques secondes de réflexion je me suis abandonné à ce plaisir interdit et j’ai rendu à Morgane le baisé qu’elle m’avait donné.
 Et une chose en entraînant une autre, Morgane a glissé une de ses mains dans mon pantalon, elle a alors commencé à me caresser et à me doigter. J’ai un peu honte de te raconter tout ça, tu dois me prendre pour une folle d’avoir eu ce genre de rapport avec ma propre fille.
 -         Tu n’as pas à avoir honte, ce sont des choses qui arrivent, et je trouve ça beau dans un sens, que toutes les deux vous vous soyez trouvé et rapproché à ce point. Vous avez juste exprimé votre amour l’une pour l’autre d’une autre façon que les autres, et je trouve ça bien qu’elle ait été là pour toi à un moment où tu avais profondément besoin de ce contact physique avec une autre personne. -         Ca me touche beaucoup ce que tu me dis, ça me fais du bien de savoir que tu comprennes la situation.
 Donc je disais, Morgane a commencé à me caresser, cela faisait plus de 9 ans qu’une autre personne ne m’avait pas touché et j’avais presque oublié à quel point c’était agréable. Cette longue période d’abstinence n’a fait qu’amplifier les sensations que je ressentais. Je ne saurais pas dire pourquoi mais savoir que c’était ma fille qui me procurait ce plaisir ne faisait que décupler mon désir envers elle. Peut-être que l’interdit de la situation m’excitais. Après toutes ces années j’en avais presque oublié à quel point mes orgasmes pouvaient être fulgurant, alors quand le flot de plaisir m’envahit je n’ai pas su me contenir. Mon pantalon est devenu trempé en un éclair, ce qui a grandement surpris Morgane qui ne s’attendait pas à ça. Il faut dire qu’elle n’avait encore jamais rien vu de tel, à ce moment-là j’ai été submergé de honte, une fois l’excitation de l’instant passé je me suis rendu compte de la situation, j’étais sur mon lit avec Morgane, mes vêtements mouillés par mon éjaculation et la main de Morgane toujours fourrée dans ma culotte. Je n’osais même pas regarder Morgane dans les yeux alors que c’était à cause d’elle qu’on s’était retrouvé dans cette situation. Et pourtant malgré cette honte qui me submergeait j’avais encore du désir pour ma fille. Mais Morgane ne partageait ce sentiment de honte et après m’avoir fait jouir elle s’est levé et s’est lentement déshabillé pour se présenter à moi entièrement nue. Je découvrais le corps nu de ma fille, ses seins parfait, ni trop gros ni trop petits, et mon regard fut attiré par la partie inférieure de son anatomie, je découvrais son pubis épilé en forme de cœur, une très jolie intention pour je ne sais quel garçon, à côté d’elle je me sentais assez peu confiante avec ma toison dont je ne prenais pas soin.
 Morgane s’est alors approché de moi lentement et a agrippé ma main pour la conduire droit vers son entre jambe, instinctivement et sans trop y pensé j’ai commencé à la masturber. Je ne savais pas trop comment m’y prendre, après tout c’était ma première expérience avec une femme, j’ai introduit d’abord timidement un doigt dans la chatte de ma fille puis un deuxième et j’ai maintenu un mouvement de va et vient jusqu’à ce que je la fasse jouir. Et après cela nous avons continué ces petites séances de sexe, toujours dans le secret, Morgane me rejoignait le soir dans ma chambre quand mes autres filles étaient couchées.  Voilà, tu connais tout ce qui m’est arrivé pendant ces années dans les moindres détails.
 Tous ce qu’elle m’avait raconté m’avais excité à un point inimaginable, savoir qu’elle avait des relations sexuelles régulières avec sa fille me faisait bander comme jamais. Je dois avouer que depuis quelques années je fantasmais sur les relations incestueuses, je n’ai pas spécialement envie de passer à l’acte mais l’idée d’une relation interdite comme ça m’excite à mort. Alors quand j’apprends que la femme que j’aime a ce genre de relation incestueuse avec sa fille mon amour et mon attirance pour elle n’en est que plus grand. D’ailleurs il ne faut pas longtemps à Sophie pour remarquer la grosseur dans mon pantalon. Je vois son regard insistant vers mon entre jambe, elle pose alors timidement une main sur ma cuisse, ce qui a pour effet d’amplifier mon érection.
-          Est-ce que je peux ? me dit-elle en regardant avec insistance la bosse que ma bite dessine dans mon pantalon. -         Oui bien sûr, j’ai attendu ça depuis des années.
 Sophie déboutonne alors lentement mon pantalon, et en savourant chaque seconde de ce moment elle fait sortir ma bite de mon caleçon. Ses yeux s’ouvrent en grand, comme si elle avait oublié à quoi ressemblait un attribut masculin.
-          J’avais oublié à quel point ta bite était grosse, mais j’ai l’impression qu’elle l’est plus que la dernière fois que je l’ai vu. -         Ca je ne saurais pas le dire, mais elle n’appartient qu’à une seule femme, et c’est toi.
 Elle dirige alors sa bouche vers mon sexe dressé en l’air et l’engloutit d’un seul coup, je n’avais plus ressentis cette sensation depuis des années. Ma bite retrouve enfin la bouche de la femme qu’elle a toujours méritée, celle qui m’a fait découvrir l’amour et le sexe. La sensation que Sophie me procure en me suçant ainsi fait remonter en moi des tas de souvenirs, la douce humidité de sa bouche qui enveloppe mon membre, cette langue habile qui titille mon gland au fil de cette fellation, ses lèvres soyeuses qui déposent de temps à autre un doux baisé sur les flancs de cette colonne de chaire qu’elle aime tant. Tout cela me rappelle les bons moments que ma bite a passer en contact avec cette bouche experte. Malheureusement ce moment ne dure pas puisque nous sommes interrompus  par un bruit de porte, la poignée qui se tourne nous indique que les filles de Sophie sont de retour de l’école.
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